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Date: 62-0713 | La durée est de: 1 hour and 53 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci. Restons debout juste un moment pendant que nous inclinons la tête pour la prière. S’il y a une requête ce soir, faites-la connaître par une main levée vers Dieu, pour la requête.
Notre Père céleste, Tu vois les mains et Tu connais ce qui est dans les coeurs des gens, Tu sais ce dont nous avons besoin, et Tu as promis que Tu seras un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Et nous Te prions de les délivrer de chaque problème. Accorde-le, Seigneur.
Nous Te remercions pour ce que Tu fais aujourd’hui dans le pays. A travers le monde, le grand mystère de l’Evangile est révélé aux milliers des gens qui croient que Tu prépares une Eglise que Tu prendras à Ta venue. Je prie, Père, qu’il y en ait beaucoup de cette ville-ci qui aillent dans ce grand enlèvement que nous attendons à tout moment. Accorde-le.
Bénis-nous ensemble maintenant, comme nous nous sommes rassemblés au Nom de Jésus, demandant à Dieu en Son Nom d’être avec nous. Nous sommes entre Tes mains, Seigneur. Fais de nous ce que bon Te semble. Amen.

2 Je considère certainement ceci comme un grand privilège encore une fois ce soir, de me tenir ici avec ces gens et de croire que Dieu va nous secourir encore ce soir. Et que la richesse de sa grâce repose toujours sur nous. Hier soir, ç’a été, pour nous, une chose merveilleuse, quand nous l’avons vu guérir les gens tout du long. Et nous avons consacré cette soirée-là à la prière pour les malades. D’habitude, nous essayons de ne pas prendre beaucoup de temps pour les malades. Nous prions chaque soir. Tout est inclus. La chose essentielle que nous essayons de faire, c’est de laisser les gens voir que Christ n’est pas mort, qu’Il est vivant. Si nous pouvons juste voir que Celui qui nous a donné toutes ces grandes promesses est ici pour accomplir ces promesses...

3 Eh bien, ce que vous voyez ici dans ces réunions, quand nous avons ce genre de soirées, c’est vraiment... Il n’y a aucun moyen de l’expliquer. Je me tenais simplement là quand quelques soeurs se sont approchées, trois d’entre elles, je crois. Et une soeur a regardé en bas, elle a dit : «Frère Branham, je voudrais remercier Dieu pour sa miséricorde envers mes enfants ce soir, envers mes chéris. En venant, une voiture a quitté le chemin et ils ont fait un tonneau et tout, mais ils n’ont même pas eu une égratignure. Ils sont ici même maintenant, ils sont assis sur les marches de devant cherchant de suivre le message de l’extérieur.» La grâce étonnante. Parfois, pour ainsi dire, comme je l’ai dit hier soir... revenant d’Emmaüs... Il marche avec nous tous les jours et nous aide. Et pourtant, nous ne reconnaissons peut-être pas cela, sinon quelquefois seulement.

4 Eh bien, les visions, c’est quelque chose au-delà de tout ce que l’on peut expliquer. C’est le Dieu infini qui connaît la fin depuis le commencement, et qui prédit la fin, et qui dit ce que sera la fin; car Il connaissait tout et connaît toujours toute chose. Il n’ignore rien. Et Il – Il n’a pas plus de connaissance maintenant qu’Il n’en avait au commencement, parce qu’Il est infini. Croyez-vous que Dieu est infini? S’Il ne l’est pas, Il n’est pas Dieu.

5 Ainsi donc, pensez-y simplement. Voici juste... Vous ne pouvez pas stopper l’infini. Il est juste comme... Etre infini, c’est juste comme être, ce que je – j’appellerais éternel. Ce qui est éternel n’a jamais eu de commencement, cela n’a donc pas de fin. Y avez-vous déjà pensé? Et tout ce qui a un commencement a une fin. Voyez? Et les choses qui n’ont pas de fin, sont celles qui n’ont pas eu de commencement.

6 Et c’est pourquoi nous devons avoir la Vie Eternelle. Nous sommes une partie de la Vie de Dieu ; en fait, le mot éternel... Les frères savent que cela vient du mot grec «Zoé», qui signifie la «Vie même de Dieu». Voilà pourquoi nous devenons Ses propres enfants. Voyez? C’est la Vie Eternelle en nous. La Vie qui est en nous n’a jamais eu de commencement ; Elle ne peut avoir de fin. Elle ne peut pas mourir, pas plus que Dieu ne peut mourir, parce que Elle est éternelle. Une seule chose est éternelle, et c’est Dieu. Et nous devenons une partie de Lui en devenant des fils et des filles de Dieu. Que c’est merveilleux de savoir que Dieu l’a promis!

7 Nous avons vraiment besoin de plus de temps pendant les réveils. Un jour, j’espère avoir une tente que j’ai désiré avoir depuis très longtemps. Et je... Et ainsi, nous pourrons rester un peu plus longtemps, alors, nous pourrons nous débarrasser de tous les sentiments bizarres. Les gens ne veulent pas être comme cela, mais ils sont réellement ainsi. Voyez? C’est vrai. Nous nous rassemblons comme un groupe de gens, peu importe d’où nous venons, les différentes dénominations nous ont tout pris.

8 Puis, quand nous entrons dans des assemblées comme celle-ci, alors on voit quelque chose de mystérieux se produire. Vraiment, cela nous choque un peu. Et ainsi cela… principalement avec les ministres. Pas avec ceux-ci, mais avec la plupart des ministres. Ce sont des bergers; ils gardent leurs brebis, voyez, et ainsi ils surveillent chaque petite chose. Vous ne – vous ne pouvez pas condamner l’homme, voyez, parce qu’il lui faut d’abord comprendre.
Mais la chose… si un homme fait de violentes critiques et rejette la chose, il y a donc là quelque chose de faux. Si un homme ne veut pas considérer cela pour – pour l’examiner dans la Bible et sonder cela… Regardez, c’est de cette façon que les pharisiens ont traité notre Seigneur.

9 Saviez-vous que chaque prophète qui fût jamais suscité sur la terre n’a jamais été reçu par les gens? Chaque messager envoyé de Dieu n’a jamais été reçu, et les gens n’ont jamais reconnu le messager avant sa mort et son départ. Eh bien, c’est vrai.

10 Vous les catholiques qui êtes ici, comment avez-vous manqué de reconnaître Jeanne d’Arc? Beaucoup parmi vous les écoliers s’en souviennent. Cette femme était une femme de Dieu. Elle prophétisait; elle était une femme spirituelle. Et savez-vous ce que votre église a fait? Elle l’a brûlée comme sorcière. C’est vrai. Bien sûr, deux cents ans plus tard, vous vous êtes repentis. Vous avez déterré les corps de ces prêtres et les avez jetés dans la rivière quand vous vous êtes rendu compte qu’elle était une sainte. Voyez?

11 Toujours le passé. Ils n’avaient jamais reconnu Patrick. Et les gens pensent que saint Patrick était un catholique. Il l’était autant que je le suis. Voyez où sont ses écoles là en Irlande. Pas de croix, pas de crucifix avec lui. Il s’est fermement opposé au pape. Mais, bien sûr, ils essaient de faire de lui un membre de leur église, mais c’est faux.

12 Je suis issu d’une famille catholique. Je sais de quoi je parle. J’ai les Réalités de notre foi et tous ces livres que j’ai étudiés autant que possible. Et ainsi… Mais ces choses, voyez, elles leur échappent. Ils n’avaient point reconnu Elie, ils n’avaient point reconnu Jean, ils n’avaient point reconnu Jésus avant Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection. Et maintenant, le Saint-Esprit se déverse et ils ne reconnaîtront pas Cela (juste comme du temps de Noé) jusqu’à ce que le déluge vienne et les emporte (c’est vrai), le grand déluge arrive.

13 Si ces pharisiens s’étaient simplement assis pour réfléchir. Jésus leur a dit : «Vous avez lapidé les prophètes. Vous – vous avez blanchi les – les murs de leur… vous avez orné leurs sépulcres, et c’est vous qui les y avez mis.» Voyez? «Mais comment… Lequel des prophètes que Dieu a envoyés, vos pères n’ont-ils pas lapidé?» Voyez? Et ceux… ainsi de suite… Nous devons nous asseoir et y réfléchir.

14 Il y a eu la catégorie de Nicodème, le croyant en secret, qui est venu de nuit, s’est faufilé et a dit : «Rabbi, nous savons que Tu es un docteur venu de Dieu. Nul ne peut faire les choses que Tu fais si Dieu n’est avec lui.»

15 Considérez le petit Jaïrus. Il a peut-être fait comme s’il ne croyait pas à la guérison divine, jusqu’au moment où sa fillette était couchée, à l’article de la mort. Dieu a une façon de manifester cela pour vous amener à montrer vos couleurs. Voyez? Et alors, il s’est trouvé devant une difficulté, il était un croyant. Et il fallait qu’une difficulté surgisse pour qu’il soit amené à voir cela. Dieu est si bon envers nous, et nous sommes reconnaissants pour des hommes et des femmes, comme ceux qui sont assis ici ce soir (j’en suis un), qui croient l’Evangile, qui croient à la guérison divine, qui veillent.

16 J’ai toujours parlé de nos organisations, je crois en elles, et je crois qu’elles sont bonnes. Elles jouent un rôle. Mais vous voyez, quand nous formons une organisation, quatre-vingt-quinze pour cent d’entre nous, quand nous en formons une, nous écrivons ceci : «Voici ce que nous croyons», point. «Voici ce que nous croyons, virgule, plus tout ce que Dieu nous donnera en plus,» ce serait alors correct. Ce – c’est bien. Voyez? C’est exact.

17 Quand la Colonne de Feu se déplaçait, Israël se déplaçait avec Elle. Et dans le Nouveau Testament, quand Elle a commencé à se déplacer, exactement comme Elle le faisait dans l’Ancien Testament, Elle s’est déplacée de la même manière... Israël devait suivre cette Colonne de Feu et dresser la tente sous Elle. Et quand Elle a commencé à se déplacer dans ce dernier… à la reforme, Martin Luther a vu Cela.

18 Et alors, aussitôt après la mort de Luther, ils ont formé une organisation autour de l’oeuvre de Luther. Dieu en est carrément sorti. Et Wesley a vu Cela, et il est parti. Après Wesley et Asbury et beaucoup d’autres, quand... Après leur temps, alors qu’est-ce qui s’est passé? Les gens ont formé une organisation autour de cela. Dieu en est carrément sorti. Il est parti de l’orient. Voyez?

19 Et maintenant, nous les pentecôtistes, nous faisons la même chose. Vous ne pouvez pas organiser le Saint-Esprit. Vous ne pouvez pas le faire. Nous croyons dans les organisations pour maintenir la fraternité et tout. Elles jouent un bon rôle. Cependant, étendez toujours la couverture pour couvrir l’autre frère (voyez?) et gardez votre coeur ouvert pour recevoir ce que Dieu est sur le point de nous envoyer. Voilà comment il faut agir. Voilà la vraie fraternité. Et j’aime donc cela. Quand... Si jamais je pouvais voir le moment où l’Eglise pentecôtiste...

20 Eh bien, la Pentecôte n’est pas une organisation, la Pentecôte est une expérience. Je connais presque autant de luthériens, de baptistes et de presbytériens qui ont eu l’expérience de la Pentecôte que les pentecôtistes qui se disent eux-mêmes pentecôtistes. Donc, la Pentecôte est une – une expérience.
Il y a quelque temps... Je vais commencer là, et alors m’écarter de mon message ou... Donnez-moi juste le temps de dire ceci. Le voulez-vous? Soyez patient avec moi. C’est bien.

21 J’étais à Minneapolis, dans le Minnesota. C’est une grande contrée des Norvégiens. Et je tenais une réunion, et nous étions au – dans un grand bâtiment, et j’étais là en plein hiver ou plutôt en plein printemps. Et je logeais là à un petit hôtel bon marché... Je crois que les chrétiens ne devraient pas avoir tout si luxueux. Jésus n’avait pas d’endroit où reposer Sa tête, voyez, et nous, nous cherchons à avoir – à avoir le meilleur, beaucoup de sécurité et tout le reste. Honte à nous. Voyez? Mais un petit hôtel...

22 Et cela... Un soir, à mon retour de l’église... Le lendemain matin, je suis sorti, j’ai pris mon petit déjeuner et, à mon retour, il y avait à mon adresse une – une lettre de vingt deux pages dans le petit casier à courrier. Comment cet homme avait-il su que j’étais là, je ne le comprends pas. J’ai donc lu cela. Et oh, vous parlez d’une critique verte; c’en était une. Et j’apprécie cela. Je l’apprécie certainement. Tout homme qui a réellement une remarque et qui veut apporter une critique, cela nous amène à nous examiner. Vous savez, les critiques améliorent le produit, voyez, quand nous sommes disposés à les accepter, à les éprouver.

23 Ainsi, cet homme m’avait rabroué. C’était un doyen d’une université et il disait : «Hier soir, tu as dit que tu es dans le ministère ça fait vingt-cinq ans (c’est trente et un maintenant).» Mais il a dit : «Vingt-cinq.» Il a dit : «J’étais dans le ministère avant ta naissance.» Et il a dit : «Et certain... J’ai vu des choses bien étranges.» Et il a dit : «Hier soir, j’ai roulé sur une distance de quinze miles [24km – N.D.T] dans une aveuglante tempête de neige, me disant que j’allais voir un serviteur de Christ. Et qu’ai-je trouvé sinon un fin diseur de bonne aventure.»

24 Et il a dit... Et il ne voulait pas m’appeler frère ; il a simplement dit «Branham.» C’était en ordre. Alors, il a dit : «Et en voilà une idée! La théologie la plus pourrie que j’aie jamais entendue de ma vie.» Et il a dit : «Tu as dit ceci par exemple, que Satan ne peut pas guérir.» Il a dit : «Un homme comme toi, qui te tiens devant une si grande foule de gens, commettre une telle erreur!» Il a dit : «Eh bien, c’est affreux!»
Il a dit : «Eh bien, laisse-moi te dire quelque chose, jeune homme.» Il a dit : «Derrière notre séminaire, ici», ou une concession, il a dit : «Il y a une femme qui évoque les morts.» Et il a dit : «Elle porte un grand tablier.» Et il a dit : «Les gens vont là-bas pour la guérison divine.» Et il a dit : «Ils... Et elle va, elle les palpe partout, comme ça, de ses mains.» Et il a dit : «Alors la première chose, vous savez, on met de l’argent dans ce tablier.»

25 Eh bien, vous pouvez voir là même que ce n’est pas scripturaire, et que ce n’est pas vrai pour commencer. Quiconque en sait – en sait sur Dieu... Voyez? Et il a dit : «Alors, elle saisit et arrache quelques cheveux de sa nuque, et elle tire aussi un peu de sang de leurs veines, en imbibe ces cheveux, elle descend à un petit ruisselet derrière cette concession, et jette cela par-dessus sa tête dans le ruisseau.»
Et il a dit : «Puis, elle se met à marcher vers les gens. Et si elle est contrainte de regarder en arrière, dit-il, les gens, la maladie revient sur les gens. Si elle ne regarde pas en arrière, dit-il, eh bien alors, la maladie ne revient pas.»
Et il a dit : «Nous avons vu cela.» Et il a dit : «Un certain pourcentage d’entre eux est guéri.» Et il a dit : «En voilà une idée de ta part, dire que Satan ne peut pas guérir!» Eh bien, il a continué avec un tas d’histoires.

26 Et je me suis dit : «Eh bien, s’il a pris assez de temps pour m’écrire vingt-deux pages, je devrais lui écrire au moins deux pages comme réponse. Alors, j’ai écrit de mon mieux. Je n’arrive même pas à lire mes écrits, ainsi... Et je lui ai griffonné quelque chose. Et j’ai dit : «Mon précieux frère...» Je devais l’appeler comme cela. Tout homme qui a prêché depuis cinquante ans devrait être considéré comme frère, quelqu’un qui prêche l’Evangile, peu importe comment cela a été. Et je – je – je le considère comme mon frère.
Et j’ai dit : «J’apprécie certainement et j’estime beaucoup vos longues années dans le ministère pour notre Seigneur.» Et j’ai dit : «Je – je suis certainement reconnaissant à Dieu de vous avoir accordé de vivre jusqu’à un âge avancé comme celui-là, et pour ce que vous avez fait», et ainsi de suite. Et un autre frère était avec lui. Ainsi donc... de cette université.

27 Alors, la première chose, vous savez, je – je – j’ai dit : «Mais le... Quelle chose étrange pour moi, ai-je dit, que vous me critiquiez tant pour avoir dit que Satan ne peut pas guérir.» J’ai dit : «Eh bien, vous avez dit que Satan peut guérir. Jésus a dit que si Satan peut chasser Satan, alors son royaume est divisé.» J’ai dit : «Alors, qui vais-je croire, vous ou ce que Christ a dit? Satan ne peut pas guérir. C’est Christ qui l’a dit. Il travaillerait contre lui-même. Il ne peut pas guérir.»

28 Mais j’ai dit, et je... «Si vous voulez bien me pardonner le fait de chercher à expliquer, ai-je dit, à un doyen d’université ou à un grand homme comme vous, je voudrais en fait vous dire qu’en tant que missionnaire, j’ai vu des gens s’approcher des idoles et être guéris. En Alsace-Lorraine, en France, il existe l’idole d’une femme. Et là à Paris, j’ai trouvé là où une – une femme, une femme était morte, et les gens ont fait disparaître toute une pierre à force de la frotter après la mort (de la femme) pour préserver la ville des fléaux. J’ai vu toutes ces choses.»
«Et j’ai vu des gens en Amérique, qui se disent guérisseurs divins, et qui disent : ‘J’ai la guérison ici, et la guérison par ce moyen-ci et la guérison dans ce...’» J’ai dit : «C’est la même chose. Voyez? La guérison est en Christ.» C’est exact.

29 Mais j’ai dit : «Les gens... Je ne doute pas que ces gens-là aient été guéris. Mais voici ce qui se passe. La – la guérison divine est basée sur la – sur la foi. Et ces gens qui vont auprès de cette sorcière dont vous parlez, bien sûr, ils obtiennent cela. Ils pensent qu’ils s’approchent de Dieu par le canal de cette sorcière, et sur base de leur foi, Dieu les guérit.» Voyez? Ils – ils… Certainement. Vous... Si vous avez assez de foi pour y croire, elle aura lieu. C’est tout à fait exact.

30 Mais j’ai dit : «Ce qui est étrange pour moi, c’est le fait qu’un doyen d’une université luthérienne puisse baser sa foi sur une expérience plutôt que sur la Parole de Dieu, alors que Christ a dit que Satan ne peut pas guérir. Il s’agit de leur approche, en croyant qu’ils s’approchent de Dieu par la sorcière, par l’idole et tout. Ce sont d’innocentes gens qui croient que Dieu guérit.»

31 Eh bien, environ une année après, je suis retourné là-bas pour une réunion chez les Hommes d’Affaires Chrétiens. Et un autre précieux frère, Docteur Aegery de l’université de Bethany m’a écrit une lettre, et il a dit qu’il voulait me rencontrer là. Je craignais d’y aller, parce que je connaissais ces géants intellectuels. Ma petite instruction d’école primaire ne pouvait pas tenir devant la leur. Et il m’a invité et j’ai dit à frère Moore : «Veuillez m’accompagner maintenant et m’aider à aller au-delà de mon instruction, je vous cognerai du genou, et vous, vous prendrez la relève à ce moment-là.» Et ainsi, il a accepté d’aller.

32 Nous nous sommes donc mis à table. Et ils nous ont dressé là une belle table, dans le gymnase. De jolies petites luthériennes nous ont servi un bon dîner, un très bon. Et quand... Le Docteur Aegery était assis à côté de moi, et il a dit : «Eh bien, Monsieur Branham...» Quand nous avons terminé, il a dit : «J’aimerais dire cette seule chose. Pardonnez-moi.» C’est ce que cet homme a dit. Il a dit : «Eh bien, mais je...»
J’ai dit : «C’était pardonné dès le début.»

33 Et il a dit : «Nous avons faim ici à Bethany.» Il a dit : «Nous sommes... Il y a une grande...» Les étudiants, quand ils ne parviennent pas à payer leurs études, ils ont des centaines d’hectares de maïs et d’autres choses qu’ils cultivent, et ils travaillent pour payer leurs études à l’université : une très bonne école. Et il a dit : «Nous avons faim. Nous faisons des études sur Dieu.» Et il a dit : «Nous avons trouvé là, voici quelques années, quelque chose sur le Saint-Esprit et la manière dont Il agissait.»

34 Et il a dit : «Nous sommes allés chez les pentecôtistes qui prétendaient L’avoir.» Et il a dit : «Nous les avons vus renverser les chaises avec des coups de pied et faire sauter les fenêtres et ainsi de suite.» Il a dit : «Qu’ont-ils?»
J’ai dit : «Le Saint-Esprit.»
Et il a dit : «Ça?»

35 J’ai dit : «Certainement. Ils ont tant de vapeur qu’ils doivent en laisser s’échapper par le sifflet. Ils ne veulent pas mettre cela en action, mettre cela à l’oeuvre, ai-je dit, c’est tout. Il y a tant de vapeur qui se dégage – qui s’accumule, qu’ils doivent libérer d’une manière ou d’une autre.» Et j’ai dit: «Simplement ils... Si vous mettiez cette même puissance, cette même chose en action, avec la foi, avec la Parole de Dieu et que vous fassiez agir cela, voyez, au lieu de laisser cela se dégager… Voyez? C’est le Saint-Esprit qui accumule cela là-dedans.»
Et il a dit : «Eh bien, alors qu’est-ce que vous pensez que nous avons, nous les luthériens?»

36 J’ai dit : «Le Saint-Esprit.» Et alors, il s’est arrêté et m’a regardé. Je me suis dit : «Seigneur, si jamais Tu devrais me venir en aide, fais-le maintenant, parce que je me suis certainement mis...»
Il a dit : «Eh bien...»
Je me suis dit : «Veux-Tu bien me venir en aide, Seigneur...» Il l’a toujours fait, parmi les sorciers guérisseurs et les démons, et à travers le monde dans des situations difficiles.
Et il a dit... J’ai dit : «Eh bien, écoutez, monsieur.»
Il a dit : «Nous sommes allés à – nous avons pris l’avion pour Los Angeles afin de voir un homme qui a écrit un livre sur tous les dons.» Et il a dit : «Quand nous sommes arrivés là-bas, il a dit : ‘Je ne – je n’en ai aucun.’ Il a dit : ‘Je – je n’ai fait qu’écrire là-dessus’»
Il a dit : «Eh bien, nous pouvons faire la même chose ici, parce que... Il a tiré cela directement des Ecritures. Nous voulons voir cela. Ce soir-là, quand nous sommes descendus là-bas et que nous avons vu cela, nous nous sommes dit que c’était faux. Et c’est pourquoi nous vous avons taxé d’un fin diseur de bonne aventure.»
J’ai dit : «Eh bien, je vous pardonne pour cela, comme je l’avais dit.» Mais j’ai dit...
Il a dit : «Que – qu’avons-nous, nous les luthériens?»
J’ai dit–j’ai dit, le Saint-Esprit. Maintenant, écoutez.» Je me suis dit que je m’en tiendrais – parlerais en rapport avec son domaine, ainsi il comprendrait. J’ai dit : «Une fois, un homme avait apprêté un grand champ, et il a planté du maïs. Il continuait à le surveiller jour après jour jusqu’à ce qu’un matin, il est sorti, et il y avait deux petites pousses qui étaient sorties.» Vous savez comment se présente le maïs quand il pousse. J’ai dit : «Cet homme s’est tenu sous sa véranda et a dit : «Gloire à Dieu pour le maïs!» J’ai demandé : «Eh bien, l’avait-il?»
Il a répondu : «Eh bien, il n’en avait que les pousses.»
J’ai dit : «Alors, nous pouvons dire qu’il avait cela potentiellement. Bientôt ces... Ça, c’était vous les Luthériens, au début.» Et j’ai dit : «Peu après, ces feuilles ont poussé et une aigrette en est sortie. C’était les Méthodistes.»

37 Et j’ai dit : «Puis, les Méthodistes se sont retournés vers les Luthériens et ont dit : «Je n’ai pas besoin de vous. Je suis l’aigrette. Vous n’êtes pas dedans. Mais, vous voyez, elle a dû utiliser aussi les feuilles pour que le pollen tombe là-dedans. Et de cela est sorti un épi, la Pentecôte, avec... original... Comme au début, le grain qui était tombé en terre a produit un grain.» J’ai dit : «Eh bien, nous avons beaucoup de champignons sur l’épi, mais nous avons aussi le grain.» C’est vrai. J’ai dit : «Comme c’était le cas au début.»

38 J’ai dit : «Voilà pourquoi je suis avec ces gens. Ils sont le peuple de Dieu.» Et j’ai dit : «Vous voyez, l’Eglise pentecôtiste, c’est l’Eglise luthérienne à un stade avancé, car la même vie qui était dans la feuille a produit le maïs.» Et c’est vrai. Et il a saisi cela.

39 Il a repoussé vivement son assiette et s’est levé. Il a dit... Il a baissé le regard vers ses associés, tous les étudiants et les autres, vers les doyens ainsi que le comité et il a dit : «Nous ici à Bethany, nous avons faim du Saint-Esprit, a-t-Il dit, Frère Branham, que devons-nous faire pour Le recevoir?»
J’ai dit : «Détournez les visages de la table, allez vous tenir contre ce mur, et agenouillez-vous face contre le mur et soyez vraiment sincères.»

40 Je suis allé là et leur ai imposé les mains. Quarante et quelques ont reçu le Saint-Esprit sur-le-champ. Et actuellement, ils en ont plus de quatre cents dans cette école qui accomplissent toutes sortes de signes et de miracles. Qu’est-ce? C’est la Pentecôte des luthériens. Voyez? Partout, partout le Saint-Esprit... Nous ne pouvons pas lier ceci et dire : «C’est nous les pentecôtistes qui avons cela.» Dieu a détruit cette frontière et est entré là, et a pris tout ce qu’il y avait. «Que celui qui veut, vienne.» Voyez? C’est pour les gens.

41 La Pentecôte est une expérience. Les Catholiques romains, les Juifs orthodoxes, qui qu’ils soient, les Chinois, les Bouddhistes, tous : L’Evangile est pour quiconque le veut, qu’il vienne.
Oh, j’aime vraiment cela, et j’aime vraiment cela. Oh, combien j’aime cela! Et je sais que Dieu peut, au dernier jour, ressusciter ceux qu’Il a dit qu’il ressusciterait. Je crois cela. Je crois dans la résurrection générale, que ceux qui sont morts dans le passé, dans la foi luthérienne au commencement ne seront pas... Ceux... ne devanceront pas ce... au son de la trompette de Dieu, tous les morts en Christ ressusciteront. C’est vrai.

42 Je crois que l’église tend constamment vers la perfection, en montant. Et quand l’ennemi viendra comme un fleuve, l’Esprit de l’Eternel lèvera un étendard contre lui, devenant de plus en plus grand. Maintenant, c’est arrivé à cette dernière chose, dont je parlais hier soir. Oh, je crois qu’Il viendra. Et je crois que nos vieux corps frêles que voici seront changés et rendus semblables à Son propre corps glorieux.

43 J’ai prêché sur la manière dont Il avait changé Abraham et Sara autrefois en un jeune homme et une jeune femme afin qu’ils aient cet enfant... J’ai dit cela, il y a quelque temps, j’étais en train de peigner ces deux ou trois cheveux qui me restent, ma femme m’a dit, elle a dit : «Billy, tu es presque chauve.»
J’ai dit : «Mais, je n’en ai perdu aucun.»
Elle a dit : «Je te prie alors de me dire où ils sont.»

44 J’ai dit : «Chérie, dis-moi où ils étaient avant que je les aie. Où qu’ils aient été en ce temps là, ils y sont retournés maintenant et m’attendent que j’aille vers eux.» Amen. C’est vrai. C’est... Même les cheveux de votre tête sont comptés. Aucun d’eux ne sera perdu. C’est tout à fait vrai. De quoi sommes-nous faits? Nous sommes composés de seize éléments, il s’agit du potassium, du pétrole, de la lumière cosmique, et ainsi de suite. C’est exactement ce que Dieu a juste...

45 Il est un grand Entrepreneur. Avant qu’Il ait jamais eu un être humain sur la terre, Il a posé là le matériel, comme un entrepreneur de bâtiment qui construit une cité. Il allait créer l’homme à Sa propre image et lui donner la terre comme demeure. Et ils étaient de petits dieux par rapport à Lui.

46 Jésus a dit : «Votre loi dit que vous êtes des dieux.» Ça, c’est le règne, le règne du roi sur la terre. Il pouvait faire tout ce qu’il voulait. Et le péché est entré, et maintenant la femme donne naissance aux enfants. Et alors, cet enfant doit mourir. Voyez? C’est exact. C’est une naissance pervertie. Mais alors, quand la nouvelle naissance intervient, elle corrige cette naissance pervertie et lui donne la Vie éternelle par le Père, Jésus-Christ.

47 Oh, frère! Jésus a dit : «Celui qui écoute Ma Parole... Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang a la Vie éternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» Amen. «Tout ce que le Père M’a donné viendra à Moi», et rien n’est perdu. Amen. Il le ressuscitera au dernier jour. Ni la mort ni rien d’autre ne peut nous séparer. Nous sommes toujours dans la Présence de Dieu. Combien j’aime cela!

48 Et une petite citation... Très rarement je... Je ne dis pas grand-chose. Je parle beaucoup, pour ne rien dire. Mais parfois... Je ne suis pas comme ces frères prédicateurs-ci qui sont des érudits et savent comment ordonner ces choses. Mais parfois, je dis quelque chose, et cela – cela m’aide beaucoup de toutes les façons. Et il n’y a pas longtemps, j’ai dit quelque chose de très profond pour moi.

49 Je pensais à la certitude de notre départ pour l’autre côté. Et alors... Nous savons qu’une fois, les enfants de Dieu ont été esclaves là en Egypte. On leur jetait du pain moisi, pourri. Quoi que ce fût, ils devaient manger cela. On violait leurs filles; on tuait leurs fils ; tout ce qu’ils voulaient... Et ils étaient le peuple de Dieu. C’est vrai. Eh bien, et ils étaient donc des esclaves, et ils n’y pouvaient rien.

50 Mais un jour, du désert est venu un prophète avec la – avec la Colonne de Feu au-dessus de lui. Et il leur a annoncé la Parole de Dieu comme quoi il y avait un pays où coulaient le lait et le miel, et Dieu avait promis à Abraham d’y amener ses enfants. Et ce prophète a été confirmé comme étant de Dieu par des signes et des prodiges qu’il a accomplis pendant qu’il était en Egypte. Et les gens ont cru cet homme.

51 Et il est sorti de l’Egypte, les enfants d’Israël en sont sortis, et ils sont arrivés à un endroit, Kades Barnéa; en fait, tout érudit sait que Kades Barnéa était autrefois le siège du jugement du monde. C’est là qu’Israël a été jugé quand ils n’ont pas cru l’évidence qui leur a été rapportée, des raisins et d’autres choses venues de ce pays-là.

52 Eh bien, rappelez-vous. Personne de leur groupe n’avait jamais été dans ce pays. Ils en avaient entendu parler. La foi vient de ce qu’on entend et Dieu avait fait la promesse. Saisissez-vous cela? Dieu a fait la promesse, et voici venir Moïse, un prophète en fuite, là, avec des signes confirmés et il prouvait que c’était Dieu qui les amenait dans ce pays qu’ils n’avaient jamais vu. Quel parfait type d’aujourd’hui! Aucun de nous n’a jamais été de l’autre côté.

53 Remarquez. Quand ils sont arrivés à Kades Barnéa, le siège du jugement, ils avaient parmi eux un vaillant guerrier du nom de Josué, ce qui signifie Jéhovah Sauveur, Josué. Eh bien, il a traversé le Jourdain et est entré dans ce pays promis, et il est retourné avec l’évidence que c’était un bon pays. Il avait des raisins, deux hommes portaient une grappe. Ils ont pu goûter des choses célestes venues du pays promis, du bon pays où coulaient le lait et le miel. Ils sont revenus pour confirmer que le pays existait réellement, que c’était la Parole de Dieu, c’était exactement tel que Moïse l’avait dit par l’inspiration de Dieu. C’était là.

54 Ils pouvaient avoir leurs propres maisons. Les occupants... Naturellement, ils ont dû se battre pour chaque pouce de terrain qu’ils ont conquis. Dieu a dit à Josué, dans Josué 1, que : «Tout lieu que foulera la plante de vos pieds, c’est votre possession.» C’est pareil aujourd’hui. Tout lieu que foulera la plante de nos pieds, c’est notre possession. Continuez simplement à marcher. Les empreintes des pas signifient la possession. Prenez simplement cela.
Maintenant, rappelez-vous, ils ont dû se battre pour chaque pouce de terrain. Certaines personnes sont juste capables de prendre une épée à deux mains, et disperser au combat juste un tout petit peu d’ombre. D’autres peuvent se frayer un chemin jusqu’à la guérison divine, à chaque promesse de Dieu avec cela. C’est vrai. La Parole est une épée, et il faut la foi pour tenir cette épée (C’est vrai.), la foi dans la Parole promise.

55 Eh bien, nous remarquons que quand... Ils sont revenus, et ils ont dit qu’ils pouvaient avoir leurs maisons et tout. Israël a traversé et est entré dans la terre promise; ils ont construit des maisons, ils ont élevé leurs enfants, ils ont vécu en paix. Toutes les autres nations les respectaient. Quelle chose merveilleuse! Mais finalement, là sur le flanc de la colline... C’était parsemé des tombeaux. Ils vieillissaient, mouraient, étaient ensevelis.

56 Puis un jour, vint un autre vaillant Guerrier, le plus grand de tous, Emmanuel. Il est descendu et Il a dit : «Ce n’est pas ça le pays. Mais il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père. Si cela n’était pas, Je vous l’aurais dit. Et Je m’en vais vous préparer une place, puis je reviendrai et vous prendrai avec Moi.» Remarquez.

57 Il est arrivé à Son Kades Barnéa, le Calvaire, où Il a subi le jugement du péché pour nous tous. La peine du jugement de Dieu a été écopée avec justice quand Christ mourut sur le Calvaire, payant le prix du péché pour nous tous. Et Il a traversé un Jourdain, comme nous le savons, le Jourdain de la mort, et est entré là dans le pays, puis Il est revenu le troisième jour, comme Josué l’avait fait, ramenant l’évidence qu’après sa mort l’homme peut revivre. Il y a une vie après la mort. Il l’a prouvé.

58 Et maintenant... Il a dit : «Car les arrhes de ceci, les accom-... (Vous savez ce que sont les arrhes de quelque chose – l’acompte), allez là dans la ville de Jérusalem et attendez. Je vais vous envoyer les arrhes de votre salut.» Amen. Eh bien, je commence à me sentir religieux. Et ils ont attendu jusqu’à ce qu’ils ont reçu les arrhes.

59 Eh bien, jusqu’à ce jour, ce même Saint-Esprit qui nous a élevés au-dessus de la vie du péché que nous menions autrefois... Et nous sommes déjà morts en Christ, ensevelis et ressuscités avec Lui lors de Sa résurrection, et maintenant nous sommes assis dans les lieux célestes avec Lui (Amen.), nous Le voyons agir parmi nous. Pourquoi? Pourquoi ne suis-je pas là parmi les dénominations? En effet, ce sont ceux qui sont morts et ensevelis en Lui, qui sont ressuscités avec Lui dans Sa résurrection...

60 Et maintenant, ce n’est pas que nous le serons, nous sommes maintenant même dans les lieux célestes en Jésus-Christ, regardant là en arrière, là où nous étions autrefois : «Une évidence directe que nous en avons reçu une partie parce que nous sommes morts, et notre vie est cachée en Dieu au travers de Christ, et nous sommes déjà ressuscités dans la résurrection avec Lui. Amen. Oh! la la!
C’est comme une vieille soeur de couleur a dit... Excusez-moi, mes amis de couleur. Je vais le dire tel qu’elle l’avait dit. Elle avait vraiment un accent du Sud. Elle a dit : «Eh bien, j’aimerais donner un témoignage ce soir, Docteur.»
«Très bien. Allez-y, soeur.» [Frère Branham imite la manière dont la soeur articule ces termes – N.D.E.]

61 Elle a dit : «Je voudrais dire ceci. Je ne suis pas ce que je devrais être.» Et elle a dit : «Je ne suis pas ce que je veux être. Mais une chose est certaine, je ne suis plus ce que j’étais.» [L’assemblée rit – N.D.E.] Oui oui. Elle savait qu’elle avait atteint un certain niveau. Amen.

62 Qu’est-ce? L’évidence que nous sommes maintenant morts. Notre vie est cachée en Dieu au travers de Christ, scellée par le Saint-Esprit, et ressuscitée avec Lui, et nous sommes assis dans les lieux célestes, Le contemplant. Pensez-y. Non pas la puissance, mais l’autorité. Nous n’avons pas de puissance ; nous avons l’autorité. C’est Christ qui a la puissance. Il est la puissance, mais nous, nous avons l’autorité.

63 Pas besoin d’être très grand. Prenez par exemple, un vieux petit policier qui se tient ici dans la rue, avec son pistolet pendu très bas sur le côté; qui fait qu’il se penche de côté, avec son – son képi enfoncé, rabattu sur ses oreilles, et les voitures passent là dans la rue, à soixante miles[96 km – N.D.T.] à l’heure. Il n’a pas la puissance pour arrêter l’une d’elles. Non, non. Eh bien, certaines d’entre elles ont trois ou quatre cents chevaux, elles passent par-là à vive allure...

64 Mais qu’il avance simplement là avec cette étoile brillante, qu’il lève la main gantée, et qu’il siffle. Vous entendrez les freins crisser et tout. Il n’a aucune puissance, mais il a l’autorité. Amen. Alléluia! C’est là où en est l’Eglise ce soir. Elle a l’autorité parce qu’Elle est ressuscitée en Christ : l’autorité.

65 Eh bien, si le policier dit : «Je crains de me tenir là. Je ne sais pas. Il peut se faire que mon bureau ne me soutienne pas.» Elles continueront à passer à vive allure. Et je vous assure, même la mort elle-même fait grincer ses freins quand cette autorité se lève là au Nom du Seigneur Jésus. «En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents et boiront des breuvages mortels. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Dieu notre Père, nous donnons ces témoignages juste pour aider les gens. Maintenant, dispose nos esprits, Seigneur, comme nous abordons Ta Parole. Accorde, Seigneur, que le Saint-Esprit prenne ces quelques mots qui vont suivre maintenant, et les fasse pénétrer dans les coeurs des gens, et que les cloches de joie du ciel viennent sonner dans chaque coeur. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

66 Dans l’Evangile de saint Matthieu au chapitre 4, je veux lire le verset Et dès ce moment, Jésus commença à prêcher disant: Repentez-vous car le Royaume des cieux est proche.

67 Eh bien, pour environ vingt ou trente minutes de votre temps... Dès ce moment, je voudrais prendre cela comme sujet : Dès ce moment, trois mots. Eh bien, il y a des moments et des choses qui arrivent, qui changent tout le cours de notre vie. Nous savons cela. Nous en sommes tous conscients. Durant le voyage de notre vie, certaines choses arrivent, qui changent tout le cours de la vie pour nous.
Eh bien, c’est comme quand on était enfant, vous pourriez avoir déclaré quand vous étiez un enfant que certaines choses avaient eu lieu. J’ai reçu un homme chez moi... Ces visions que vous voyez ici à l’estrade sont simplement... Elles sont vraiment...

68 Ce sont des visions, mais non pas la vraie vision. Elles sont... C’est vous qui les provoquez. Ce n’est pas – ce n’est pas moi ; c’est vous. C’est vous qui les provoquez par vous-même. Vous n’en êtes pas conscients, mais c’est vous qui le faites. Vous ne pouvez pas expliquer Dieu. Tout homme... Vous devez croire Dieu par la foi. Dès que vous arrivez à expliquer Dieu, ce n’est plus la foi. Personne ne peut L’expliquer. Mais c’est comme quand... Jésus était le don de Dieu envoyé à la terre.

69 Mais quand... Un jour, Lazare est tombé malade. Avant qu’il tombe malade, Dieu a dit à Son Fils : «Pars», et Il Lui a annoncé tout ce qui arriverait, car Il a dit dans saint Jean 5.19 : «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Eh bien, cela doit être la vérité, sinon, Il – Il a menti. Et vous ne pouvez pas Lui faire mentir parce qu’Il est Dieu. Voyez? Ainsi, le Père L’a envoyé au loin.

70 On L’a envoyé chercher pour qu’on obtienne de l’assistance pour Lazare, mais au lieu de venir, Il a simplement ignoré cela. Il savait ce qui arriverait; ainsi, Il a continué Son chemin. On L’a encore envoyé chercher, et Il a encore ignoré cela. Finalement, Il a dit : «Lazare dort.»
Et ils ont dit : «Il sera guéri.»
Et alors, Il leur a parlé dans leur langage : «Lazare est mort, et à cause de vous – à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.»

71 Eh bien, Il a rencontré Marthe, et Marthe a dit : «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

72 Et à la tombe, regardez. Le Père le Lui avait déjà montré. Il a dit : «Père, Je Te remercie. Tu as déjà accompli ces choses. (Mais Il a prié pour donner un exemple.) Je dis ceci pour ceux qui se tiennent là. Lazare, sors!» Et un homme qui était mort depuis quatre jours ressuscita et sortit de la tombe. Nous croyons cela ; c’est l’Evangile. Il n’a jamais rien dit pour ce qui est de faiblir. Mais une petite femme a touché le bord de Son vêtement, et Il a dit qu’Il était devenu faible.

73 Qu’était-ce? C’était le Père qui utilisait Son don. Et cela L’a élevé, et a fait qu’Il voie ce qui arriverait et ce qui se passerait et ainsi de suite. Et c’était donc ça. Il est allé de l’avant et a accompli la scène qu’Il avait vue en vision.

74 Mais cette femme, elle et sa foi utilisaient le don de Dieu. Elle a dit : «Si seulement je peux Le toucher!» Voyez? Et c’était la femme... Jésus ne savait pas qui était celui qui avait fait cela. Il a dit : «Ta foi (Non pas, «J’ai» mais), «Ta foi t’a sauvée, voyez, ta foi», non pas Sa foi à Lui mais sa foi à elle. Et c’est pourquoi Il faiblissait.
Eh bien, dans les réunions, et ceux qui sortent pour suivre là, et qui savent comment le Saint-Esprit... Ces choses-ci, ça peut vous rendre méfiant. Mais – mais sortez une fois pour observer ce qui se passe, et juste voir comment Il prédit exactement...

75 Et je demande à n’importe qui une seule chose que j’aie déjà dite de toute ma vie qui ne se soit pas accomplie exactement comme annoncée. C’est vrai. J’annonce cela des mois et des mois avant, c’est très exact. Combien étaient ici la première fois que je suis venu à Washington il y a des années? Souvenez-vous, je devais prendre les gens par la main et me tenir là et les tenir juste pour savoir ce qu’il y avait. Et je vous avais dit à vous tous à l’époque, qu’Il m’avait dit que si j’étais sincère, je connaîtrais les secrets mêmes des coeurs des gens. Combien reconnaissent que j’ai prédit cela? Voilà. Voyez? Cela est-il arrivé? Très exactement. Voyez?

76 Et je suis en train d’attendre en ce moment même. Pourquoi est-ce que je tiens ces réunions de cette façon? Je prends mon temps, attendant de voir ce que serait la prochaine étape. C’est exact. Je ne sais quel chemin prendre. J’irais dans le champ missionnaire après ceci, me posant simplement des questions, car, je sais que nous sommes juste à la fin. Voyez? Combien c’est proche, je ne le sais pas, mais je crois que nous sommes à la fin.

77 Certaines choses ont eu lieu. Quand j’étais un petit garçon, Il m’a parlé, Il a dit : «Ne fume jamais, ne bois jamais et ne souille jamais ton corps. Il y a un travail que tu vas faire quand Je serai – quand tu seras plus grand.» C’est dans le livre là au fond. Vous pouvez lire cela. Et ma mère et les autres, ils ont pensé que j’étais tout simplement nerveux.

78 Et puis, cela a continué, et deux jours – trois jours après, il a été annoncé que ce pont enjamberait la rivière juste en aval de là où nous habitons maintenant, que seize hommes y perdraient la vie. Et on a écrit cela. Et vingt-deux ans après, cela est arrivé à la lettre, et seize hommes ont perdu la vie. Cela n’a jamais manqué sur des milliers de choses, d’être parfaitement vrai. Voyez? C’est vrai. Voyez, quand on est enfant, il arrive des choses qui vous laisse une forte impression.

79 Eh bien, le temps, avec le temps, de temps en temps, il se passe des choses qui laissent une impression sur notre vie. Prenons par exemple, comme nous le disons, une femme immorale. J’en ai reçues lors de la confession. J’en ai reçu une il n’y a pas longtemps. C’était le cas le plus pathétique. Nous étions assis là dans une maison, et on...

80 Les gens appellent, du monde entier. Un administrateur de notre église... Et quelques-uns d’entre eux sont dans ce bâtiment ce soir. Ils savent que c’est la vérité. Il y en a environ trois cents sur la liste d’attente, et ils viennent de l’Afrique, de l’Asie, de l’Europe, de partout où j’ai été – ils attendent et veillent. Ils écrivent tout le temps jusqu’à ce que leur tour arrive. Et nous nous asseyons juste là jusqu’à ce que le Saint-Esprit révèle tout, et alors Il leur dit juste quoi faire et comment le faire. Et jamais, en aucune fois, cela n’a failli. Voyez?

81 La personne vient et attend. Peut-être s’agit-il de quelque chose dans sa vie. Ils connaissent le plan du salut et autres, mais il y a quelque chose pour lequel ils ne savent comment agir ou plutôt quoi faire. Et ils attendent là pendant des mois, attendant que cela arrive. Voyez?
Et une fois, j’ai reçu une femme qui était venue. Ce n’était pas chez moi; c’était à une réunion. Et la femme... Je suis entré au pavillon où se trouvaient les fous en camisole, et c’était... Je suis entré là. Et ils ne pouvaient pas se présenter en public. Ils étaient en camisole de force, et – et certains d’entre eux devaient être sans la surveillance par des gardes.
Et alors, quand je suis entré, une belle jeune femme était assise là, une jolie jeune fille. Et j’ai dit : «Bonjour.»
Elle a dit : «Bonjour. Est-ce vous, Frère Branham?»
J’ai dit : «Oui.» Et j’ai dit : «Eh bien, je ne sais tout simplement pas par où commencer.»
Elle a dit : «Je souhaite que vous commenciez par moi.»
Et j’ai dit : «Vous?» J’ai dit : «Etes-vous malade?»
Elle a dit : «Oui.»
J’ai dit : «Ceci est réservé aux fous.»
Elle a dit : «C’est ce que je suis.»
J’ai dit... Elle a dit : «Voudriez-vous écouter mon histoire?»
Et j’ai dit : «Certainement, Madame.»
Et oh, ce que cette demoiselle m’a raconté! Jeune, environ vingt-cinq ans, vingt-deux ou vingt-cinq ans, quelque chose comme cela à mon avis, une très jolie demoiselle, qui ferait on dirait une jolie, une belle petite reine pour n’importe quel homme. Et elle m’a dit que quand...

82 Elle avait été élevée dans une famille chrétienne. Et alors, elle avait commencé à fréquenter un garçon qui fumait et buvait. Et un soir, on lui a donné une boisson corsée à son insu, pas exactement avec quelque chose qui pouvait lui faire perdre connaissance, mais avec quelque chose qu’elle n’avait pas... Eh bien, elle... C’était quelque chose, un acte immoral. Elle s’est dit qu’elle allait gâcher sa vie.

83 Elle est devenue alcoolique; elle est devenue une prostituée ; elle a été recueillie et envoyée au Good Shepherd’s Home [Foyer du bon berger – N.D.T.], alors qu’elle n’avait qu’environ quinze ans, une institution catholique, elle a changé de religion pour devenir une catholique. Elle en est ressortie, disant qu’elle se porterait bien, elle a dit que la même chose était revenue.

84 Puis elle a été arrêtée. Elle prenait alors de l’âge. Elle a été arrêtée et elle a passé deux ans dans une prison pour femmes. Et là, on pensait avoir alors bien redressé la chose.
Elle a dit que quand elle en était sortie, elle a dit, la même chose avait recommencé.

85 Et j’ai dit : «Eh bien, alors madame, c’est... Vous essayez simplement de tourner une nouvelle page. Cela – cela ne marchera pas.» Et j’ai dit : «Cela peut paraître démodé...» J’ai dit : «Je voudrais vous poser une question.» J’ai dit : «N’envisagez-vous jamais être mariée, une belle femme comme vous, et avoir un mari et des enfants comme n’importe quelle femme ord – normale?»
Elle a dit : «Oui, mais qui au monde voudra de moi.» Et elle a dit : «Que puis-je promettre à un homme?» Elle a dit : «J’ai des accès de colère qui font que je – je me bats, que je jure, et que je boive.» Et elle a dit : «Je peux m’enivrer et ne pas revenir à la maison pendant tout un mois.» Elle a dit : «Qu’est-ce qu’un homme va faire d’une femme comme moi?»

86 Et j’ai dit : «Il n’en voudra pas.» Mais j’ai dit : «Avez-vous déjà pensé qu’au lieu de quelque chose comme une école, comme tourner une nouvelle page, ou quelque chose qui pourrait vous aider, qu’il s’agit d’un démon?»
Et elle a dit : «Monsieur Branham, j’ai toujours cru cela.» Elle a dit : «Maintenant, on dit que je suis délinquante.»
J’ai dit : «Je ne le crois pas. Je crois que c’est le diable qui s’est saisi de vous.»
Et elle a dit : «J’ai toujours cru cela.»
J’ai dit : «Eh bien, le seul moyen de se débarrasser d’un démon, c’est par la prière.» Et j’ai dit : «Maintenant, agenouillons-nous et prions.»
Et elle a prié. Et elle a prié là, pendant un moment. J’ai prié avec elle, et elle a levé les yeux et elle a dit : «Oh, Monsieur Branham, je – je crois qu’en partant d’ici je serai une fille changée.»

87 J’ai dit : «Non. Vous allez sortir d’ici tel que vous êtes entrée. Voyez? Vous acceptez simplement cela selon une conception mentale.» J’ai dit : «Il vous faut être sérieuse avec Dieu, soeur.»

88 Et nous nous sommes agenouillés là et nous avons commencé à prier. Quelque temps après, quelque chose l’a saisie. Alors elle s’est retournée, et les larmes sortant de ces grands yeux bruns coulaient sur ses joues, elle a dit: «Frère Branham, je ne ferai plus jamais cela.» Oh, elle avait alors trouvé quelque chose.
Elle est mariée maintenant, et elle a deux ou trois enfants. Elle n’a plus jamais bu depuis ce jour-là. Elle n’a plus jamais fumé. Voyez, quelque chose était arrivé.

89 Mais vous voyez, cela a commencé quand elle était encore une jeune fille, un mauvais acte. Un jeune homme, peut-être un petit Elvis moderne, avec une coupe au carré et – et là-bas pensant qu’il était si mignon ou quelque chose comme cela. Et la première chose vous savez, il prend une fille et l’amène à se lier à lui comme cela, et ensuite il use d’une astuce comme cela. Ça c’est un Juda moderne. C’est vrai. Eh bien, elle n’en avait pas l’intention, mais cela s’est passé alors qu’elle n’était qu’une enfant.

90 Les ivrognes, j’en ai rencontré beaucoup qui disaient : «Frère Branham...» là dans les bas quartiers et autres.
Quand j’étais à New York, il n’y a pas longtemps... Je n’aurai pas le temps de raconter cela, mais oh, j’ai relevé un ivrogne. Il avait été le président d’une banque que je pouvais voir à partir de là où il était. Il a dit : «Un soir, je suis rentré à la maison, j’ai trouvé une lettre de rupture. Je me suis dit que je noierai cela dans la boisson. Me voici. Pouvez-vous me donner vingt-cinq cents pour acheter à boire? Et voilà. Ils n’avaient pas l’intention de le faire.

91 Le fumeur, cette femme qui a fumé sa première cigarette, elle n’avait pas l’intention de devenir un insecte rongeur de tabac. Ce garçon, la première fois qu’il a fumé cette petite cigarette de barbe de maïs, vous n’aviez pas l’intention de devenir un mordu de la cigarette. Au tout premier petit verre amical que vous avez pris, vous n’aviez pas l’intention de devenir un ivrogne. Voyez? Vous n’en aviez pas l’intention, mais cela est dû au fait que quelqu’un vous a influencé à le faire. C’est cela.

92 Oh, des histoires au cours de ces trente et un ans à travers le monde, et ici et là, partout, j’ai entendu des confessions et autres qui vous feraient dresser les – les cheveux sur la tête. De penser à des – des choses qui… , de les entendre confesser ce qu’ils s’étaient mis à faire, combien ils étaient innocents, et combien le péché paraît beau, et combien il paraît attrayant. Cependant c’est – c’est le chemin de la mort. Ne l’empruntez pas. Quoi que vous fassiez, fuyez le mal sous toutes ses formes.

93 Le menteur, jamais il... Il s’est dit qu’il raconterait simplement un petit mensonge à sa mère. Il est allé mâcher du café, et – et il est allé souffler au visage de sa mère.
«Tu vois, jamais je-je... Je – je n’ai pas fumé maman.» Mais vous avez menti.

94 Une lumière rouge clignote : «Ne fais pas ceci, petit garçon.» Ce n’est pas facile d’aller en enfer. Il vous faut vous battre pour vous frayer un chemin vers l’enfer. Chaque fois que vous faites quelque chose de mal, une petite lumière rouge s’éteint en vous, et le compte à rebours commence. «Petit garçon, ne fais pas ceci. Petite fille, ne fais pas cela.» Voyez, c’est quelque chose qui se passe en vous. Mais vous vous débattez pour passer outre à cela.

95 Vous passez près d’une église, et vous entendez les gens chanter des cantiques. Vous sentez une réelle envie d’y entrer. Mais oh! la la!, vous allumez une autre cigarette et vous secouez la tête. Qu’est-ce que vous essayez de faire? Vous vous débattez pour vous frayer un passage à travers chaque barricade.

96 Ce n’est pas Dieu qui vous envoie en enfer, vous vous envoyez vous-même en enfer. Vous démolissez chaque barricade, vous outrepassez tous les feux rouges, cherchant à vous envoyer vous-même en enfer. Et ensuite, vous dites que Dieu est bon et qu’Il ne voudrait pas vous envoyer en enfer. Vous vous envoyez vous-même en enfer. C’est vrai. Dieu n’envoie personne en enfer. Celui-ci a été créé pour le diable et ses anges, pas pour vous. Mais vous vous débattez pour vous frayer un chemin vers là; c’est ce que font les hommes et les femmes.

97 Voyez ces prodiges de Dieu. Certaines personnes le feraient. Mais juste à cause de la théologie, à cause du credo d’une église ou de quelque chose comme cela, vous vous éloignez et vous fuyez Dieu pour éviter de recevoir le Saint-Esprit. Vous voyez les gens là à l’autel en train de prier, vous voyez ces femmes se lever et ces hommes, et leurs visages noyés de larmes, et ils crient et ils vont et viennent dans le bâtiment; là dehors certains de vos amis sont en train de rire.
Vous dites : «Si c’est ça la nouvelle naissance, je ne veux rien à voir avec cela. Notre église croit à la nouvelle naissance, et nous inscrivons simplement nos noms dans le registre.» Vous avez peur de Cela.

98 Permettez-moi de vous dire ceci. Peu m’importe le genre de naissance, c’est un gâchis. Que ça soit dans une porcherie, ou dans une chambre d’hôpital décorée en rose, c’est un gâchis. Et la nouvelle naissance n’est rien de moins, mais il faut cela pour apporter la vie. Vous devez mourir pour naître de nouveau. C’est vrai.

99 Observez comment Dieu avertit : «Ne mens pas.» Alors chaque nouvelle année, vous faites des promesses : «Je ne le ferai plus.» Oh, vous avez des bonnes intentions. Certainement. L’enfer en est pavé, de bonnes intentions. Vous ne pensez pas que... Vous pensez que c’est comme ça qu’il faut s’y prendre, vous présumez tout simplement que c’est comme ça que vous devriez vous y prendre. Chaque nouvelle année vous dites simplement: «Eh bien, je vais prendre mes engagements pour la nouvelle année. Je vais les écrire tous.» Et en moins de deux jours, vous en aurez déjà brisé la moitié. Voyez, vous n’y arriverez pas.
Vous jetez votre paquet de cigarettes et vous surveillez là où il tombe. Vous jetez votre bouteille quelque part en vous assurant que vous ne l’avez pas cassée. Vous la pesez sur une étagère et vous dites à votre femme : «Je ne vais plus le faire.» Vous dites à votre mari : «Je ne boirai plus jamais.»
Mais vous surveillez ce que vous en faites, car vous y retournez directement, comme un cochon à son bourbier et un chien à ses vomissures. Il faut prendre quelque chose de différent. Vous devez mourir à cette créature que vous êtes. Voyez? Oui, oui.

100 Cela a commencé alors qu’on était un garçon innocent, peut-être issu d’une bonne famille chrétienne. Mais quelqu’un est venu. Un petit coquin est venu vous détourner du droit chemin. Vous pouvez marquer le temps où cela a commencé, la toute première fois que vous vous êtes mis à mentir, la toute première fois que vous vous êtes mis à voler, la toute première fois que vous vous êtes mis à boire, la toute première fois que vous avez fait quelque chose de mal.

101 Avant que vous puissiez jamais accepter le mal, vous devez renier le bien. Vous devez renier le bien avant que vous... Vous devez renier la vérité de Dieu avant de pouvoir accepter quelque chose de faux. C’est tout à fait vrai. Remarquez. Eh bien, le jour de nouvel an, vous changez et vous dites : «Maintenant, c’est... Je vais tourner une nouvelle page.» Vous avez de bonnes intentions. Certainement. Je crois que la nation a de bonnes intentions.

102 Je me rappelle à peine quand j’étais un petit garçon d’environ cinq ans, quand la Première Guerre mondiale a éclaté. Je revois mon père remontant la rue, conduisant une calèche suspendue, tirée par deux chevaux, et il avait un sac de haricots et un peu de farine (il avait été chez l’épicier) posés sur un siège. Et je l’ai entendu descendre de la calèche et entrer.
Et maman a dit, elle a dit : «J’ai entendu (très loin à ses kilomètres, en aval de la ville) tous les sifflets retentir.»

103 Il a dit (elle s’appelait Ella), il a dit : «Ella, ils ont déclaré la guerre.» Et il avait environ vingt-deux ans, il a dit : «Sais-tu ce que ça signifie? Je vais partir.»
Et j’ai soulevé ce sac de haricots. J’ai dit : «S’ils viennent chercher mon papa, je vais les frapper avec ce sac de haricots.» J’étais – j’étais si petit, mais je...

104 Il a dit : «Eh bien, ils nous disent que si nous allons outre-mer et que nous combattions dans cette guerre, il n’y aura plus jamais de guerres.» Et il a dit : «Voici Billy, peut-être qu’il sera forcé de partir un jour. Voilà Edouard, il se peut qu’il soit forcé de partir. Voilà Melvin, il se peut qu’il soit forcé de partir.» Et il a dit : «Si je pars et que je participe au combat, et que j’obtienne qu’ils recouvrent leur liberté, a-t-il dit, ils nous disent qu’il n’y aura plus jamais de guerres. Et cela va arrêter les guerres après qu’on aura eu cette grande guerre mondiale.»
Ils avaient de bonnes intentions quand ils disaient cela, mais ils en sont arrivés du coup à une autre encore. Oui, monsieur.

105 Quelque temps après, ils ont formé ce qu’ils ont appelé la Société des Nations, une police. Ils ont dit : «Nous avons trouvé une idée maintenant (de bonnes intentions). Nous avons la Société des Nations. Et alors, nous allons faire la police du monde entier avec cela.» Vous ne pouvez pas le faire. Cela a complètement échoué.

106 Ils ont l’O.N.U maintenant. Elle ne vaut pas la charte qui la régis. C’est vrai. Certainement. Tant qu’ils n’accepteront pas la prière et qu’ils suivront toute autre voie sauf celle de Dieu, eh bien, jusqu’à – jusqu’à quand cela va-t-il durer?
Ils ont de bonnes intentions, mais cela ne dure tout simplement pas. Ça ne dure certainement pas. Cela s’effondrera et entrera dans l’histoire, à la poussière. Eh bien, vous voyez où cela en est maintenant. Le monde entier s’écroule, et quel bien fait l’O.N.U.? C’est juste un nom. C’est vrai.

107 Jamais une nation n’a été fondée pour diriger une autre. Dieu a crée l’homme, et l’homme a fait des esclaves. Nous ne devons pas être des esclaves; nous devons être des frères. C’est ce que l’Evangile nous enseigne: être des frères.

108 L’église est venue avec de bonnes intentions. Ils se sont dit : «Nous formerons la – cette grande dénomination. Nous allons instruire nos prédicateurs. Nous les rendrons très raffinés et tout, et ils vont enseigner les gens, et il n’y aura plus d’illettrés dans notre pays.»

109 Et qu’avons-nous fait? Nous avons obtenu une bande des païens instruits, on a de nouveau fait des incroyants à la Parole de Dieu. Tout ce que... L’homme a toujours essayé d’accomplir quelque chose par lui-même. Il n’a jamais été capable de le faire. Nimrod a essayé de construire une tour afin de pouvoir monter jusqu’au ciel. Cela a été réduit en poussière. Nebucadnetsar a construit une ville. Il se disait qu’elle était immortelle, éternelle. Elle a été réduite en poussière.

110 Les Américains, jaloux de l’Angleterre leur soeur, ont construit un bateau dénommé «le Titanic» qui ne pouvait pas sombrer. Dieu par Sa main puissante a montré au monde que ça ne pouvait pas subsister.

111 Les Français pensaient qu’ils pouvaient vivre dans le péché et construire la ligne Siegfried. A quoi cela a-t-il servi? Les Allemands sont carrément passé par derrière en faisant un détour et l’ont prise.

112 Les Allemands ont construit la ligne Maginot, ils ont dit : «Nous avons un lieu où personne ne peut entrer.» Et les Américains l’ont fait sauter avec des bombes de gros calibres. C’est vrai. Cela prouve que la réalisation de l’homme n’aboutit à rien, car il est corrompu dans sa pensée et il ne peut pas subsister. Qu’est-ce tout cela? Quelque chose là montre qu’il y a malgré tout une ville éternelle. C’est vrai.

113 Un jeune couple, quand ils se sont mariés, j’en ai reçu à la confession. Plusieurs fois je les attrape dans la ligne de prière et ils disent : «Eh bien, Frère Branham, John et moi, nous nous sommes mariés. Nous allions former un foyer. Et tout marchait bien, jusqu’à ce qu’un jour un percepteur d’assurances (ou un – un vendeur des livres) est venu à la porte, et – et il a demandé si je pouvais entrer juste – s’il pouvait entrer juste quelques minutes. Je l’ai laissé entrer.» Et dès ce moment (Voyez?), c’est là que la chose a commencé.
Un homme peut dire : «Frère Branham, j’avais une bonne femme. Je – j’avais une bonne famille. Et un jour, nous avons engagé une nouvelle fille de bureau.»
«J’étais là au parc. J’ai rencontré une petite dame, elle était en shorts. Elle s’est avancée vers moi...» Dès ce moment. Voyez?
Il y a un moment où vous commencez. Oui. Il y a eu un moment où toute cette affaire a commencé. Il y a eu un moment où la mort a commencé. C’est quand Eve, qui se promenait un jour là dans le jardin d’Eden, a rencontré Satan. Et Satan... Quand Dieu avait Son – Son église...

114 Quand les hommes vont à la guerre, ils examinent l’équipement militaire. Quand pour la première fois on a fait porter le casque à la recrue, elle a pensé que c’était la chose la plus horrible qu’elle ait jamais reçue, et qu’elle a transporté quelque chose pesant quatre vingt-dix livres [40,8 kg –N.D.T.] – elle portait un sac au dos. Mais arrivée là sur le champ de bataille, elle a besoin de tout cet équipement.
Quand elle a porté le casque, cela signifie qu’elle allait avoir – qu’elle aurait besoin de ce casque parce qu’il y aurait des éclats d’obus. Il n’avait jamais reçu cela avant, mais il devait l’avoir à ce moment-là, parce que cela était nécessaire. Ils ont étudié cela.

115 Chaque année ils étudient quelque chose d’autre, ils ont quelque chose de plus perfectionné parce que les anciens deviennent dépassés. Nos avions performants que nous avions à la dernière guerre mondiale sont devenus des vieilleries, cela valait des milliards de dollars. Le vieux moteur à vapeur est dépassé. Certainement. Les fusils que nous utilisions au début, les vieux «Krag Jorgensen» et ensuite le – le «Springfield», et de là au «Garand» moderne. Et maintenant, ce sont des missiles atomiques. Tout cela est dépassé. Nous essayons de découvrir, on continue à découvrir quelque chose de meilleur.

116 Mais quand Dieu commence à fortifier Son homme, Il lui donne la meilleure chose, et Il n’a plus jamais à changer. Il lui donne Sa Parole. Amen. Voilà Sa forteresse : la Parole éternelle de Dieu.
Et quand l’ennemi s’approche, des espions... Nous avons des espions anglais ici, et – et nous avons des espions en Angleterre. Nous avons des espions partout au monde, et on a ici des espions venus du monde entier. Qu’essayent-ils de faire? De découvrir ce que nous avons essayé d’accomplir.

117 Et le diable agit de la même façon. Il vient pour essayer de découvrir quelque chose, ce que Dieu a fait, et ensuite chercher à trouver quelque chose pour contrecarrer cela. Mais Dieu n’a jamais eu à changer Sa façon, en effet, dès le début Il a donné Sa Parole aux gens. Il est infini. Il ne peut pas changer. Et c’est encore Sa Parole aujourd’hui : Il ne change jamais Sa Parole. Le voici dans Sa Parole. Son église est fortifiée par la Parole. La première personne qu’il avait fortifiée, c’était Eve. Mais quand elle s’est arrêtée juste une minute pour écouter les tactiques de Satan...

118 Quelles sont les tactiques de Satan? Le raisonnement. «C’est simplement raisonnable.» Et quand vous entendez quelque chose raisonner contre la Parole, éloignez-vous-en. C’est le diable. Peu m’importe combien c’est démodé, combien cela paraît bizarre, du moment que c’est Dieu qui a dit cela, la chose est réglée éternellement. Eloignez-vous de tout ce qui raisonne contre la Parole.
«Oh, il est raisonnable aujourd’hui, que nous n’ayons pas besoin de la guérison divine, parce que nous avons de bons médecins». Eloignez-vous-en.

119 «C’est...» «Oh, c’était seulement les douze apôtres qui avaient reçu le Saint-Esprit. Cela...» Eh bien, pourquoi Pierre a-t-il dit : «C’est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera»?

120 Quelqu’un disait que ce n’était que pour ce temps-là. J’ai dit : «Vous venez trop en retard. Je l’ai déjà eu ici.» Ainsi – ainsi nous – ainsi nous savons que c’est vrai. Voyez? Tout ce qui raisonne contre la Parole de Dieu... Il a dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Comment... «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira…(dans le monde entier, en tout temps), voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Jusque quand?

121 Je peux vous montrer où Dieu a placé la guérison divine dans l’église. Maintenant vous, montrez-moi par la Parole où Il a repris cela. Voyez? Les miracles et les signes, et le Saint-Esprit, Il est le même Jésus hier, aujourd’hui et éternellement. Certainement.

122 Eh bien, remarquez. Si – si Satan a pu jamais amener Eve juste à raisonner comme quoi cette Parole était... Il a dit : «Eh bien, vous ne mourrez certainement pas. Oh, certainement, Dieu a dit... C’est tout à fait correct. Mais certainement...»
C’est cela la première chose par laquelle il a gagné, et c’est avec cette chose qu’il a continué à terrasser la race humaine : le raisonnement. Il tue la race humaine par le raisonnement contre la Parole de Dieu.

123 Et de grands séminaires et autres se lèvent, ils se concertent et raisonnent et des choses pareilles. Peu m’importe combien de gens se sont concertés, que toute parole d’homme soit reconnue comme mensonge et celle de Dieu pour la vérité. C’est vrai.

124 Remarquez bien. Dieu traite avec un individu. Et remarquez, mais chaque fois, il y a une certaine chose qui est arrivé; dès ce moment. Dès le moment où Eve a suivi le raisonnement de Satan, la mort est entrée dans le monde et a régné depuis lors. Rappelez-vous, n’oubliez pas ce point où Eve...

125 Il y eut un temps où la mort n’existait pas sur la terre. Il y eut un temps où les hommes n’avaient pas à mourir. Mais du fait que Eve avait raisonné, avait suivi le raisonnement de Satan contre la Parole de Dieu, la mort a commencé à régner depuis lors. Et elle règne encore aujourd’hui. Mais permettez-moi de dire ceci : malgré tout cela, il y a un moment où il peut se passer une chose, qui ne changera jamais. Elle est éternelle.

126 Quelque chose peut se passer dans la vie d’un humain, qui ne peut jamais changer, c’est ce qui est éternel. C’est quand un homme rencontre Dieu. C’est éternellement réglé, quand un homme rencontre Dieu, et qu’il est né de nouveau de l’Esprit de Dieu, il a la Vie Eternelle. Eh bien, nous croyons cela de tout notre coeur.

127 Et souvenez-vous, si jamais cet homme, un autre humain, ou cette femme, ce garçon, ou cette fille rencontre une fois Dieu et qu’il est changé, il ne demeure plus jamais le même. Il est changé à partir de ce moment-là. C’est vrai. Il ne sera plus jamais le même. Peu importe s’il s’éloigne de Dieu, mais Dieu ne s’éloignera jamais de lui. Où que vous alliez, vous serez hanté nuit et jour si jamais vous avez rencontré Dieu, jusqu’à ce que vous reveniez. C’est vrai.

128 Un rétrograde, c’est la vie la plus misérable qui soit. Et ainsi, cela vous hantera nuit et jour. Combien de fois avons-nous entendu les confessions des gens et d’autres choses, combien c’est misérable, combien c’est malheureux, tout cela. S’ils avaient... Ils savent qu’ils doivent récolter exactement ce qu’ils ont semé. Et rappelez-vous, vous plantez un grain et vous en récoltez un épi tout plein. Voyez? Nous savons donc qu’il y aura une grande moisson de ce que l’on a semé. Et... Mais l’homme qui a déjà rencontré Dieu, n’est plus jamais le même. Prenons quelques hommes maintenant, avant d’atteindre le point que nous voulons atteindre.

129 Prenons par exemple Abraham. Il n’était qu’un homme ordinaire. Il est venu de Babylone avec son père, et il a habité – a demeuré dans le pays des Chaldéens, dans la ville d’Ur, il était probablement un fermier, un homme ordinaire. Il n’était pas un homme spécial. Il n’était qu’un homme, et il a trouvé grâce aux yeux de Dieu.

130 Et Dieu lui a dit, quand il avait soixante-quinze ans, qu’Il allait faire de lui le père des nations, qu’Il allait lui donner un enfant par sa femme Sara, qui avait soixante-cinq ans à ce moment-là. Et Abraham a cru Dieu, et cela lui fut imputé à justice.

131 Abraham était changé. Et écoutez, quand un homme rencontre Dieu... Dieu a appelé Abraham, et lui a dit qu’Il voulait qu’il se sépare de toute sa famille qui ne croyait pas. Et quand Dieu appelle un homme à Son service, Il exige que vous rompiez totalement avec toutes les choses du monde et avec les péchés de la terre : la séparation.

132 Dieu n’a jamais béni Abraham jusqu’à ce qu’il Lui ait totalement obéi. Il a amené son père. Le vieil homme était toujours un – un cheveu dans la soupe ou... Excusez-moi cette expression. Mais il était toujours dans l’erreur, et Abraham... Et puis, il a amené Lot. Et alors il est finalement descendu là. Et après que Lot s’était séparé, alors Dieu a dit à Abraham : «Lève-toi et parcours le pays. Je te le donne entièrement. Tout t’appartient.» Voyez? Il n’a jamais pleinement béni Abraham jusqu’à ce qu’il avait totalement obéi.

133 Et vous ne pourrez jamais recevoir quelque chose de Dieu, et trouver grâce devant Dieu, mes frères et soeurs, où que vous soyez, jusqu’à ce que nous obéissions totalement à la Parole de Dieu. Vous vous rendez vous-même misérable en vous approchant de cela sans conviction. Oui.

134 Mais quand Abraham a rencontré Dieu, il fut un homme changé. Il le fut depuis ce jour-là. Il agissait un peu drôlement, il était vagabond... Je peux m’imaginer Sara, elle avait près de soixante-cinq ans, elle tricotait de petits chaussons, et – se procurait des couches, et des tas d’épingles, et elle a dit : «Eh bien, nous allons avoir un enfant.»
Et alors, quand le temps normal est venu, je peux entendre Abraham dire : «Chérie, comment te sens-tu? C’est à peu près le temps.»
«Pas de changement.»
«Gloire à Dieu. Nous allons de toute façon avoir un enfant.» Deux mois s’écoulèrent : «Chérie, y a-t-il un changement?»
«Non, pas de changement.»
«Gloire à Dieu. C’est un plus grand miracle que ça aurait été le mois passé. Nous aurons un enfant de toute façon.»
Cinq ans sont écoulés. «Comment te sens-tu maintenant, chérie?»
«Pas de changement.»
«Alléluia. Nous aurons même cet enfant. Avec ces cinq ans, ce sera davantage un miracle. Gloire à Dieu.»
Vingt-cinq ans ont passé. «Comment te sens-tu, Sara?»
«Pas de différence.»
«Gloire à Dieu. Nous l’aurons de toute façon.»
«Comment le sais-tu?»
«Dieu l’a dit.»

135 Il avait rencontré Dieu et il a été un homme changé. «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.» Eh bien, nous sommes censés être la semence d’Abraham si nous avons ce genre de foi. Ce que Dieu dit est la vérité. Quand un homme rencontre Dieu, Sa Parole est toujours la vérité. Si un homme dit qu’il croit en Dieu, et renie cette Parole, il y a quelque chose qui cloche ; car, le Saint-Esprit est Dieu, et c’est le Saint-Esprit qui a écrit la Bible. Et comment le Saint-Esprit peut-Il être ici, Lui qui a écrit la Bible, et puis faire volte-face et renier Cela? Quelque chose cloche quelque part.

136 Je vous assure, une expérience authentique du Saint-Esprit ponctuera chaque phrase de cette Bible d’un amen. C’est vrai. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, Cela le fera certainement, parce qu’Il est l’Esprit de Dieu, l’Ecrivain de la Bible. Et l’Esprit – l’Esprit de la Parole, c’est le Saint-Esprit. C’est Ce qui La vivifie. La lettre tue, l’Esprit lui donne la Vie (Voyez?), donne la Vie à la lettre, rien que la lettre imprimée, la Vie, la rend manifeste, l’amène à s’accomplir exactement comme Dieu l’a promis.

137 Abraham fut un homme changé, fort, il donnait tout le temps gloire à Dieu. Peu importe combien de choses il a faites, il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu. Pourquoi? Il avait rencontré Dieu. Il fut un homme changé.

138 Une fois, un prophète fugitif, selon sa conception intellectuelle de ce qu’était Dieu, sachant qu’il était un homme appelé, il avait tout... Il pouvait même enseigner la sagesse de – de l’Egypte, il pouvait enseigner la sagesse à leurs enseignants. Mais, il s’est enfui, il a épousé une belle petite éthiopienne, il habitait là derrière le désert, parfaitement installé, le fardeau pour le peuple était parti.

139 C’est ce qui ne va pas dans les églises du monde aujourd’hui. Nous avons perdu le fardeau. Il n’y a plus de réunions de prière. Il n’y a plus... On dirait que la chose est morte. Je ne gronde pas. Je fais simplement une déclaration véridique, frère. Et vous le savez tous. Vous voyez cela dans vos églises. Nous... Il s’est passé quelque chose. Il n’y a simplement plus d’intérêt. Quelque chose cloche. Le feu s’est éteint. Dans le vieux temple romain de Vesta, quand le feu s’éteignait, les gens rentraient à la maison ; il n’y avait plus rien à faire. Oh, rallumez le feu, le feu sur l’autel de notre coeur. Oui. Oh, ramenons Dieu parmi nous, «ramenons Dieu», c’est ça notre cri.

140 Or, Moïse avait déjà perdu le fardeau pour son peuple. Il avait failli avec sa conception intellectuelle de la Parole. Et un jour, qu’il se promenait derrière le désert, et voici qu’il y avait un Feu dans un buisson. Cette Lumière qui l’avait accompagné était dans le – qui allait l’accompagner était dans le buisson. Il s’est approché de ce buisson, a ôté ses souliers, puis une Voix a dit : «J’ai vu la souffrance de Mon peuple.» Quelqu’un était toujours intéressé. C’est Dieu.

141 Il a dit : «J’ai vu la souffrance de Mon peuple. J’ai entendu les gémissements que lui font pousser ses oppresseurs, et Je suis descendu. Je me souviens de Ma promesse.» Alléluia! Il ne peut faire une promesse sans qu’Il ne s’en souvienne. Amen. Il… toujours... Dieu se souvient continuellement de Sa promesse. Si Dieu fait une promesse, Il se souvient toujours de Sa promesse. Il a dit : «Je me souviens de Ma promesse envers Mon peuple, et Je suis descendu pour les délivrer. Et Je t’envoie.» Amen.
Moïse a dit : «Qui suis-je?»
Il a dit : «Tu vas partir.»
Il a dit : «Mais, je ne sais pas parler.»
Il a dit : «Qui fait qu’un homme soit muet ou qu’il parle?» Amen. Ne raisonnez pas avec Dieu. Recevez simplement Sa Parole.
Laissez-moi vous dire, un jour, là, Il a dit : «Certainement, Je serai avec toi.»
Il a dit : «Montre-moi Ta gloire.»
Il lui a montré la guérison divine, Il lui a montré comment accomplir un miracle. Il était prêt à partir. Oui, monsieur.

142 Maintenant, voyez quel changement. Un jour, c’était un géant intellectuel vaincu derrière le désert avec un – avec un travail à la maison: paître les brebis de son beau-père, et le lendemain nous... Je vous assure; quand vous rencontrez Dieu, cela vous fait quelque chose. Cela vous fait agir comme un fou pour le monde. Regardez-le le lendemain. Il prend sa femme, Séphora, la met à califourchon sur un mulet avec un gosse sur la hanche, et sa barbe pendait comme ceci, et sa tête chauve brillait, il avait un bâton crochu à la main, les favoris qui flottaient au vent, et il criait : «Gloire à Dieu! Gloire à Dieu!» Un vieil homme de quatre-vingts ans...
«Où vas-tu?»
«Je descends en Egypte pour envahir.»
«Quoi?»
«Je descends en Egypte pour envahir.» L’invasion par un seul homme... Pourquoi? Il avait rencontré Dieu. Et ce qui est étrange, c’est qu’il l’a fait. Il a fait l’invasion.

143 Dieu veut seulement un homme qu’Il peut complètement avoir sous Son contrôle (c’est vrai), un homme qui se soumettra totalement à Lui. (Je descends pour envahir.) Quelle chose ridicule! Une armée, comme il y en avait en ce jour-là, qui avait conquis le monde entier. Une armée plus grande qu’il y en a aujourd’hui, comme allant affronter la Russie. Il avait un vieux bâton crochu à la main.
«Que vas-tu faire avec cela?»
«Ce bâton et la puissance de Dieu. Je m’en vais», la barbe flottant au vent, un vieil homme de quatre-vingts ans.

144 Pourquoi ne l’avait-il pas fait quand il était un jeune guerrier? Voyez, Dieu devait ôter de lui tout cet intellectualisme. Il a dû l’amener là derrière le désert, l’écraser, le broyer, le reconstituer, et lui apparaître, et lui montrer ce qu’Il était, et Il était... Quand il a rencontré Dieu, il fut un homme changé. Cela fait qu’aujourd’hui les gens agissent de façon un peu drôle aussi, quand ils rencontrent réellement Dieu. Mais ils connaissent leur position.

145 Cela me rappelle quand nous marquions les veaux. Ma mère avait l’habitude de dire... Quand nous faisions le rassemblement à cheval, nous marquions ces veaux. Elle disait : «Oh, Bill, comment y arrives-tu?»
Je chauffais le fer plusieurs fois, je portais le fer. Je n’avais pas le courage de l’appliquer sur le veau, mais... Il a dit : «Pourquoi fais-tu cela?» J’ai dit, j’ai dit : «C’est horrible.» Il a dit : «Que fais-tu?»

146 J’ai dit : «Eh bien, nous lui lions tout simplement les quatre pattes, on le maintient là, et nous appliquons le fer à marquer sur lui.» Et j’ai dit : «Ça lui brûle juste la peau, et on met un peu de goudron sur lui, puis on le lâche.» J’ai dit... «Il attrape presque une crise qui le pousse à courir. Il rue, crie et mugit, et détale. Mais, frères, il sait à qui il appartient à partir de ce moment-là.» C’est tout à fait vrai.
C’est comme ça que ça se passe avec le Saint-Esprit. Si Dieu peut vous garder tranquille assez longtemps pour vous marquer (Alléluia!), vous sceller dans le Corps de Christ par le Saint-Esprit, vous connaissez votre place.

147 Nous vivons dans un grand jour de l’hybridation. Je lisais un article dans le Reader’s Digest, il n’y a pas longtemps, ces histoires d’hybrides. J’ai parcouru, j’ai vu qu’il était dit : «Du maïs hybride.» Un très gros maïs, de beaux épis. Ce n’est pas bon. Cela ne vaut rien. Cela est nuisible pour vous. Du boeuf hybride, hybride; tout est hybride, hybride, hybride. Ce n’est pas bon. Prenez votre maïs hybride, essayez de le replanter, et voyez ce que vous allez obtenir. Ce n’est pas bon.

148 Aujourd’hui aussi, on a même aussi une religion hybride. C’est exact. C’est vrai. Ils ont reçu cela à partir d’une confession dénominationnelle plutôt que d’une expérience du Saint-Esprit, l’hybridation.
Que fait l’hybride? Ça donne un épi beau à voir, mais qui n’a pas de vie. C’est comme ça que ça donne une église belle à voir, mais sans vie : l’hybride. C’est vrai.

149 La science infirme sa propre, ou plutôt confirme sa propre théologie, selon laquelle l’homme est venu d’une cellule unique, en faisant cela. Il ne peut évoluer de lui-même et aller de plus en plus loin parce qu’aussitôt qu’il a une fois hybridé son espèce, c’en est fini de lui là même.

150 Par exemple un mulet. Un mulet est la chose la plus stupide qui soit. J’en ai toujours eu pitié. Le voilà. Et regardez, il – il ne connaît pas qui était son papa, qui était sa maman. Sa maman était une jument, et son papa était un âne. Il ne sait donc pas qui il était. Il ne sait pas s’il est un cheval ou un âne. Il ne sait pas. Il est une espèce croisée. Il ne peut jamais se reproduire. C’en est fini de lui.

151 C’est comme cette religion des mulets que nous avons aujourd’hui. Un mulet, c’est la – la chose la plus basse. Il va se tenir là, et si vous lui dites quelque chose comme cela, il redresse alors ses oreilles et fait : «Hi-han, hi-han, hi-han.» Voyez? Il ne sait même pas ce que... Il n’a pas de douceur. C’est juste un mulet.
Vous pouvez vous asseoir et parler des grands signes de Dieu et du Saint-Esprit, ces vieux mulets assis là disent : «Hi-han. Les jours des miracles sont passés. Le Saint-Esprit n’existe pas.» Vous intellectuels hybrides... Je ne suis pas fâché, mais je vous dis simplement ce qu’il y a. Oh, il ne sait pas qui était son papa ou qui était sa maman.

152 Mais oh, j’aime un vrai cheval pur-sang. Oh, il est doux. Vous pouvez lui enseigner le bon sens. Ce... J’aime un vrai chrétien pur-sang, qui est né de nouveau du Saint-Esprit, pas un qui était méthodiste hier, baptiste le lendemain et presbytérien le surlendemain, et quelque chose d’autre un autre jour, chaque fois que quelque chose ne va pas dans l’église. Mais un vrai chrétien né de nouveau du Saint-Esprit, il sait qui étaient ses ancêtres, il sait qui était son papa et qui était sa maman, il sait d’où il vient. Il est né de l’Esprit de Dieu. Alléluia! Vous pouvez faire briller la Parole de Dieu sur lui, et aussitôt il La voit. Oui, monsieur. «Amen.» dit-il. Maintenant, quelle merveilleuse créature il est, un spécimen! Mais toute cette hybridation par ici...
Oui. Moïse, un chrétien pur-sang, un croyant, il descend en Egypte, agit d’une manière étrange, très étrange. Mais il sait ce qui est arrivé, en effet il y a eu un moment où il a rencontré Dieu. Oui monsieur.

153 Il y a eu aussi un temps où... Je pense à un – à quelqu’un d’autre qui avait rencontré Dieu : c’était une petite vierge. Elle avait quelque chose à croire : Marie. Jamais au monde un enfant n’était né sans père ni mère. Nous savons cela. Ainsi nous trouvons que Marie, la petite vierge, un jour sur son chemin vers le puits, une grande lumière a brillé devant elle. Elle a regardé, là dans la lumière se tenait Gabriel, l’Archange, qui a dit : «Je te salue, Marie. Tu es bénie d’entre les femmes,» et Il lui a dit exactement ce qui allait arriver.

154 Quelques jours auparavant, là, Il avait rencontré un sacrificateur, Zacharie, le mari de sa cousine à elle. Et il se tenait à l’autel, agitant l’encens, et Gabriel est apparu et lui a dit qu’il rentrerait à la maison pour rester avec sa femme et qu’il aurait un enfant à qui il donnerait le nom de Jean.
Ce sacrificateur a dit : «Comment cela est-ce possible? Je suis trop vieux. Cela ne peut pas arriver. Non, cela ne peut pas arriver.»

155 Il a dit : «Je suis Gabriel, je suis envoyé de la Présence de Dieu. Ma parole sera accomplie en son jour. Tu seras muet jusqu’à ce que l’enfant naisse.» Mais ici, Il vient auprès de cette petite vierge.

156 Or, Zacharie pouvait avoir eu un... pouvait avoir eu beaucoup de – d’exemples, en effet il pouvait voir qu’il y avait eu Anne. Elle avait eu un enfant alors qu’elle était vieille. Sara avait eu un enfant alors qu’elle était vieille. Il y avait beaucoup d’exemples dans la Bible, mais il y était toujours insensible. Mais Marie a dû croire quelque chose qui n’était jamais arrivé, mais elle avait rencontré Dieu. Elle a dit : «Comment cela va-t-il se faire?»
Il a dit : «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre et cet Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.»

157 Elle a dit : «Je suis la servante du Seigneur.» Quoi? Elle avait rencontré Dieu. Elle ne pouvait pas se tenir tranquille. Je m’imagine qu’elle a ramené cette cruche à la maison, et elle est allée témoigner partout, et ses petites joues rougissaient, elle disait : «Je vais avoir un enfant. Je vais avoir un enfant», en gravissant les collines de Judée.

158 Elle a entendu parler de sa cousine Elisabeth qui allait avoir un enfant là. Et ainsi, je peux m’imaginer... Vous savez, celle-ci s’était donc enfermée pendant un bon moment. Elle était environ vers son sixième mois, Elisabeth. Il y a un écart de six mois entre Jean et Jésus. Et elle s’est donc enfermée pendant environ six mois, elle était restée à la maison, non pas comme certaines de ces femmes d’aujourd’hui.

159 Excusez-moi. Vous écouteriez votre médecin, et moi, je suis votre frère. Mais, voyez, ces femmes, ces futures mamans d’ici qui portent ces petites culottes et... C’est une disgrâce pour l’humanité. Franchement, je ne crois pas qu’une chienne ferait cela. Et là, ces femmes-ci qui agissent comme ce... C’est – c’est la chose la plus pitoyable que j’aie jamais vue de ma vie, la chose la plus ridicule.
Et alors, un garçon voit vos filles dehors comme cela... et puis, qu’il les insulte, et alors, vous cherchez à l’envoyer en prison. Vous en êtes la cause, pour l’avoir envoyée dehors comme cela.
Et vous les hommes qui laissez vos femmes sortir comme cela. Honte à vous. Le problème : N’avez-vous plus de respect pour votre femme que cela? Eh bien, non, je ne vais pas aborder cela.
Remarquez. C’est une mauvaise chose pour moi. Maintenant... Je perds beaucoup d’amis. Mais je sais que mes relations d’amitié avec Christ persistent, parce que c’est écrit ici même. C’est tout à fait vrai.

160 Et là, Elisabeth s’est cachée. Et alors quand la petite Marie... Je peux la voir remonter le sentier de toutes ses forces, vous savez. Et Elisabeth était là-derrière, tricotant des chaussons et pleurant, en effet le petit Jean, vous savez, avait – avait six mois, et il était mort. Il n’avait pas encore bougé dans le sein.

161 Voici venir la petite Marie, et elle entre en courant. Et Elisabeth tire les rideaux à une petite fenêtre d’adobe, là, et elle voit venir Marie. Elles étaient donc des cousines. Elle est sortie, en courant, à sa rencontre, et elle l’a entourée de ses bras, et a dit : «Oh, chérie, je suis si contente de te voir.»
«Oh, je vois bien sûr que tu vas devenir mère.»
«Oui, je vais devenir mère.» Elle a dit : «Mais je – j’ai un peu peur.» Elle a dit : «Ça fait six mois que je suis enceinte, et il n’y a pas encore de vie, et je suis un tout petit peu inquiète.»
Marie, ses petits yeux brillants, une jeune fille de seize ou dix-huit ans, elle a dit : «Moi aussi je vais avoir un enfant.»
«Oh, Joseph et toi, vous êtes déjà mariés? Je suis contente de l’apprendre.»
«Non, nous ne le sommes pas. Nous sommes simplement fiancés. Nous ne sommes pas encore mariés.»
«Et tu vas avoir un enfant? Qu’est-ce qui se passe? Qu’en est-il?»

162 Elle a dit : «Oui, j’ai rencontré l’Ange Gabriel. J’ai rencontré Dieu. Et Il m’a dit que le Saint Enfant sera appelé Fils de Dieu. Et Il a dit que je Lui donnerai le Nom de Jésus.»

163 Et juste aussitôt que... La toute première fois que ce Nom «Jésus-Christ» a été prononcé par des lèvres d’un mortel, un petit enfant dans le sein de – d’Elisabeth a reçu la vie et a commencé à tressauter et à tressaillir de joie. C’est vrai.

164 Et sa foi... Il a dit... Elle était remplie du Saint-Esprit, et elle a dit : «Comment se fait-il que la mère de mon Seigneur...? Car aussitôt que mes oreilles ont entendu ta salutation, mon enfant a tressailli de joie dans le sein.»

165 Et si la – si la première fois que «Jésus-Christ» a été prononcé par les lèvres d’un mortel a fait qu’un enfant mort vienne à la vie, qu’est-ce que cela devrait faire à une église qui affirme être née de nouveau du Saint-Esprit? Amen...?... Pourquoi? Ils avaient rencontré Dieu. Quelque chose s’était passé.

166 Oh, certainement que c’était Simon Pierre... Cet homme avait appris de son père que lorsque le Messie viendrait, celui-ci serait un prophète. Et Simon était un pêcheur. Mais un jour, quand il est entré dans la Présence de Jésus-Christ, Jésus-Christ lui a dit : «Ton nom est Simon et tu es fils de Jonas. Et Je t’appellerai désormais Pierre», il a su que c’était le Messie. Il fut un homme changé à partir de ce jour-là. Il allait attraper les hommes au lieu des poissons : Il a fait de lui un pêcheur d’hommes. Parce qu’il avait rencontré Dieu, il a reconnu que c’était la vérité. Il L’avait rencontré.

167 Il y eut Paul, Saul de Tarse, qui était en route : un membre du clergé, enseigné aux pieds de Gamaliel, le grand Docteur. Il connaissait la religion des Pharisiens dans les moindres détails, et tout. Il était en route, arrêtant tous ces saints exaltés qui faisaient des histoires comme cela, il avait des documents en poche pour arrêter tous ceux qui étaient là à Damas.

168 Et tout à coup, la grande Colonne de Feu a tourné autour de lui et il est tombé par terre. Oh, il s’est relevé une personne changée. Pourquoi? Il avait rencontré Dieu. Quelque chose l’avait changé là-même, quand il L’a entendu dire : «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il a dit : «Qui es-tu Seigneur?»
Il a dit : «Je suis Jésus, et il te serait dur de regimber contre les aiguillons.»

169 Il y eut un jour un homme aveugle, à côté de la route en train de mendier. Mais il avait rencontré Dieu. Il était assis là pensant à... Là où le vieil aveugle Bartimée était assis, il était en train de se dire que là au fleuve, il y a plusieurs centaines d’années, Josué, ce vaillant guerrier, a traversé avec les enfants d’Israël là à sec, au mois d’avril, quand Dieu a de Sa main puissante arrêté les eaux. «Oh, si seulement j’avais vécu en ce temps-là, je serais descendu là et aurais dit : ‘Josué, prie pour moi.’ Mais hélas, le sacrificateur me dit que les jours des miracles sont passés.»

170 «Oh, pensez-y. Juste sur cette route, une route pavée là où je me tiens, sont passés Elie et Elisée bras dessus bras dessous, se dirigeant vers le Jourdain pour le séparer. Si seulement j’avais vécu là en ce temps-là, je me serais avancé et j’aurais dis : «Ô prophètes de l’Eternel Dieu, priez pour moi.» Mais hélas, les jours des miracles sont passés, dit le sacrificateur.»

171 «Et pensez-y, quand Josué se préparait à camper, à encercler ces murs tout autour de Jérusalem, sur l’une de ces pierres où je suis assis... Un jour, quand il était là regardant tout autour, regardant les murs partout, eh bien, là est venu... Il a vu un homme debout avec son épée nue. Josué le guerrier, le grand général, a tiré son épée, a couru vers Lui et a dit : ‘Es-Tu des nôtres ou de l’ennemi?»

172 «Il a dit : ‘Je suis le Chef de l’armée de l’Eternel.’ Josué a jeté son épée par terre, il a enlevé son casque et a adoré à Ses pieds.»
Oh, si seulement je pouvais voir ce Grand Chef! J’aurais dit : ‘Grand Chef de l’Armée de l’Eternel, je suis un homme aveugle. Aie pitié de moi.’ Oh, comme Il aurait fait cela si c’était... Mais hélas, les jours des miracles sont passés.»

173 Il ne se doutait pas qu’à moins de cent yards [90 mètres – N.D.T.] de là où il était Se trouvait le même Capitaine de l’Armée de l’Eternel, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a entendu un bruit. Il y a quelque chose d’étrange partout où Il est, il y a du bruit.

174 Les gens disaient : «Vous faites trop de bruit.» Ceci est l’endroit le plus calme où vous pouvez vivre. Si vous allez au ciel, même les Anges chantent nuit et jour : «Saint, saint, saint à l’Eternel.» Si vous allez en enfer, il y a des pleurs, des gémissements et des grincements des dents. Ceci est l’endroit le plus calme où vous pouvez vivre.
Et là, au passage de Jésus, quelqu’un a bousculé Bartimée et tout, et l’a renversé. Il est passé.

175 Et je peux entendre l’association des ministres, se tenant tous là, dire: «Hé, on m’a dit que Tu es un prophète. On dit que Tu as ressuscité un mort. Nous en avons tout un cimetière plein par ici. Viens en ressusciter un pour nous, nous croirons en Toi.» Voyez, Dieu ne fait pas le clown pour qui que ce soit. Non, non. Il pouvait avoir... Mais Sa précieuse tête dirigée vers Jérusalem et le Calvaire; Il portait les péchés du monde, Il a continué à marcher – on Lui jetait des fruits trop mûrs et tout le reste.
Et quelqu’un l’a repoussé là. Je m’imagine qu’une jeune femme s’est approchée là et a dit : «Monsieur, qu’est-ce qui se passe, vous pauvre mendiant en lambeaux?»
Il a dit : «Madame, je suis aveugle. Et quelqu’un vient de passer par ici, et les gens étaient en train de crier les uns une chose et les autres une autre. «De quoi s’agissait-il?»
«Monsieur, je suis l’une de Ses disciples. N’avez-vous jamais entendu parler du jeune prophète de Galilée?»
«Non. Quel jeune prophète?»
«Eh bien, vous savez que notre loi promet que quand... qu’un jour, le Messie viendra et que le Fils de David viendra. Et alors, vous savez, le Grand prophète...»
«Oh, est-ce Lui? C’est Lui? Alors, Il a été suscité?»
Il ne pouvait pas L’avoir entendu avec tout ce bruit, des milliers de gens. Si vous allez là à Jéricho et que vous voyez l’endroit où il était assis, et l’endroit où Jésus était quand Il s’est arrêté, c’est impossible que Jésus l’ait entendu.

176 Mais sa foi L’avait arrêté. «Oh, Jésus, Toi Fils de David, aie pitié de moi.»
Avec tous ces cris, l’un disant une chose et l’autre une autre : «Salut, prophète. Salut Fils de Dieu.»
Et un autre disait : «Qu’il s’en aille, cet imposteur, Béelzébul, diseur des bonnes aventures,» et ainsi de suite, toute cette foule de gens de toutes espèces.

177 Mais sa foi... Et la Bible dit : «Jésus s’arrêta.» Oh, avant de quitter ici j’espère prêcher sur : «Jésus S’arrêta.» Oh! la la! Un jour, le temps va s’arrêter. Et Il S’arrêta. Sa foi à lui, un pauvre petit mendiant aveugle L’avait touché. Il s’est retourné et Il lui a demandé ce qu’il voulait. Et il a dit : «Que je recouvre la vue.»

178 Il a dit : «Ta foi t’a sauvé.» Alléluia! Dès ce moment, il a pu voir. Pourquoi? Il avait rencontré Dieu.

179 Un jour un fou là à Gadara se faisait des entailles. Et on l’avait lié avec des chaînes, et avec sa force de dix fois la force d’un homme ordinaire, il pouvait briser ces solides chaînes. Je me suis toujours dit que s’il a été si totalement soumis à l’influence du diable... Quand le diable s’empare d’un fou, il faut des hommes et des hommes pour le retenir. Il brise les chaînes, il est complètement soumis au diable. S’il est capable de briser les chaînes, combien nous pouvons briser une chose plus dure si nous sommes complètement soumis à Dieu? Combien la puissance de Dieu est plus grande que celle du diable?
Il était là, ce pauvre fou. Et il vivait toujours là au cimetière, se faisant des entailles avec des morceaux de pierre, et il attaquait tout le monde. Mais un jour, il a rencontré Dieu. Les choses ont changé pour lui. Après cela, il a porté des habits et était dans son bon sens. Pourquoi? Il avait rencontré Dieu.

180 Un lépreux se tenait au portail en train de mendier. Un jour, Jésus de Nazareth est passé, et il a dit : «Si tu veux, Tu peux me rendre pur.»

181 Il a dit : «Je le veux. Sois pur.»Et dès ce moment, il était pur.

182 Il y eut une petite femme immorale, comme nous en avons parlé hier soir, qui s’est glissée vers la porte – par la porte et est allée au puits de la ville pour puiser de l’eau, un jour. Au fin fond de son âme se trouvait une – une Ecriture qui disait ce que ce Messie serait quand Il viendrait. Et elle était une prostituée. Elle était une femme horrible. Elle avait eu des maris, et vivait avec un autre à ce moment-là, à qui elle n’était pas mariée. Vous savez donc qu’elle était une femme de mauvaise réputation. Et quand elle a vu Jésus et L’a entendu dire : «Va chercher ton mari,» elle a dit : «Je n’en ai point.»

183 Il a dit : «Tu as eu raison de le dire, car tu en as eu cinq. Et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

184 Elle a dit : «Seigneur, je vois que Tu es prophète. Et nous savons que quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses.»

185 Qu’a-t-Il dit? Il a dit : «Je le suis Moi qui te parle.»
Elle fut une femme changée. Regardez. Quand elle est entrée dans la ville... C’était absolument malséant pour une femme de ce genre... Ou un homme de l’écouter. Mais elle avait rencontré Dieu. On devait l’écouter. C’est vrai. Elle était entrée en contact avec Dieu. On devait écouter.

186 Quand un homme rencontre réellement Dieu... Je m’imagine que nous pouvons voir certaines personnes qui étaient sur ces civières hier soir, et dans des fauteuils roulants par ici, posez-leur la question aujourd’hui. Ils sont entrés en contact avec Dieu. Ils seront changés, dès ce moment-là. Quelque chose s’est passé. Dès que Dieu parle, quelque chose arrive. Tout ce qui entre en contact avec Dieu, change dès lors.

187 Maintenant, une minute. Une fois, la mort est entrée en contact avec Lui. C’est vrai. Maintenant, nous terminons. La mort est entrée en contact avec Lui. Vous savez, le diable n’avait jamais cru que c’était Dieu. Il pensait toujours que c’était juste un prophète ordinaire. Mais il ne se rendait pas compte de ce que c’était. Il ne savait pas que c’était Emmanuel, que – que c’était la chair et le corps de Dieu, qu’Il a été fait chair et a habité parmi nous.

188 Quand il L’a eu là sur la montagne ce jour-là, il a dit : «Si Tu es le Fils de Dieu, transforme ces pierres en pains.» Voyez, ce même vieux démon vit encore aujourd’hui. On L’avait amené là dans la cour cette fois, là ils savaient qu’Il pouvait connaître les pensées des gens, ils lui ont donc mis un chiffon sur le visage et ils ont pris un bâton et L’ont frappé à la tête et ont dit : «Eh bien, si Tu es prophète, dis-nous qui T’a frappé.» Il n’a jamais ouvert la bouche. Il ne fait pas le clown pour le diable.
Là sur la croix... Il a dit : «Si Tu es le Fils de Dieu, descends et nous croirons en Toi.»
Ce même vieux démon vit dans les gens aujourd’hui : la même chose. «Si tu le fais, fais-moi voir telle chose. Fais-moi voir telle autre chose.»

189 Il a dit : «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»

190 Alors un jour, quand on L’avait... considérons une petite scène pendant que nous terminons. C’est un jour terrible. Le soleil a l’air bizarre. Il n’y avait jamais eu un jour pareil, il n’y en aura jamais. Oh, c’est une chose horrible. La dette de l’Eden devait être payée : un jour horrible. Et nous commençons à remarquer tôt le matin… Nous sommes à l’étage. J’entends un bruit. Allons tirer les rideaux pour regarder. J’entends quelque chose descendre la rue en faisant : «Pan, pan, pan.» Qu’est-ce? C’est une vieille croix rugueuse.

191 Je vois une petite femme accourir devant les gens et dire : «Qu’a-t-Il fait? Qu’a-t-Il fait sinon prêcher l’Evangile? Qu’a-t-Il fait, sinon guérir les malades?»
Je vois une main rugueuse la gifler à la bouche et dire : «Tiens-toi calme.» Vous, allez-vous croire cette femme prostituée plutôt que de croire votre sacrificateur?»
Elle ne pouvait pas dire ce qu’elle avait sur le coeur. Son temps pour autre chose a dû arriver. La croix traînait. Il avait un manteau sur les épaules.

192 Comme Il commence à gravir la colline, je vois des toutes petites taches rouges sur tout son manteau. Je me demande ce que c’est. Son petit corps frêle, une couronne d’épines posée sur Sa tête, des crachats des moqueurs sur tout Son visage, qu’a-t-Il fait pour mériter cela? C’est le prix qu’Il payait pour moi, pour vous.
Regardez ces petites taches. Observons cela une minute. Alors qu’Il monte en tirant cela, Son petit corps est frêle, et on Lui donnait des coups de fouet pour Le faire avancer, Il tire cette grande et vieille croix là sur la colline. Peu après, je remarque que toutes ces petites taches commencent à devenir de plus en plus grosses. Peu après, toutes forment une énorme tache. J’entends cela tomber sur Sa jambe. Il va là. Il devient de plus en plus faible.
Je vois le tout. Ses disciples sont partis ; qui se tient à côté de Lui? Personne, abandonné de Dieu et des hommes. Le voici qui gravit la colline.
Puis, je vois la mort s’approcher et dire : «Ah! ah! je L’ai eu. J’ai prouvé qu’Il n’est pas Dieu. Je L’ai tenté. J’ai pris là... S’Il était Dieu, Il aurait transformé ces pierres en pains. Comment pouvait-Il se tenir là dans cette cour, et laisser ces soldats Lui cracher au visage, et mettre un chiffon tout autour de Son visage et Lui demander de dire qui L’avait frappé? Eh bien, s’Il était Dieu, Il aurait su cela. Je suis sûr qu’Il n’est pas Dieu.» Il n’avait jamais cru cela.
Alors qu’Il gravit la colline, je vois apparaître l’abeille de la mort; elle se met à bourdonner autour de Lui, pour Le piquer – pour Le piquer, bourdonnant autour de Lui. La première chose vous savez, elle s’est mise à se poser des questions. Qu’était-ce? La mort venait là, bourdonnant comme un insecte, une abeille.

193 Mais vous savez quoi? Si jamais l’abeille ancre profondément son aiguillon, elle le perd. Elle ne peut plus piquer. Elle a ancré cela dans plusieurs prophètes; elle a ancré dans plusieurs hommes justes. Mais cette fois-là, quand elle l’a ancré en Dieu, elle a perdu son aiguillon. La mort a perdu son aiguillon.

194 Ce n’est pas étonnant que quelqu’un soit venu plus tard, et ait dit : «Oh, mort, où est ton aiguillon? Oh, mort, où est ta victoire? Grâces soient rendues à Dieu.» Quand il a ancré cet aiguillon de la mort dans le corps d’Emmanuel, elle a perdu cet aiguillon.

195 Et aujourd’hui nous pouvons affronter la mort. Et l’abeille peut bourdonner et faire du bruit, mais elle ne peut plus jamais nous effrayer. Non non. Elle n’a plus d’aiguillon. L’aiguillon a été arraché. Pourquoi? La mort a rencontré Dieu. Et quand elle a rencontré Dieu, la mort a perdu son aiguillon. Je suis heureux de Le rencontrer. N’êtes-vous pas heureux? Prions.

196 Père céleste, quand je pense à ce Sang qui coule à flots des veines d’Emmanuel, à la vieille croix rugueuse qui, en se traînant, efface les empreintes des pas de Celui qui la portait alors qu’Il montait au Calvaire... Satan, voyant les crachats de ces vieux moqueurs, couvrant Son visage, a dit: «Ça ne peut pas être Dieu. Ça ne peut pas être Emmanuel. Je vais donc Lui enfoncer mon aiguillon. Je vais très bientôt L’avoir.»
Mais oh, comme il l’a alors perdu! Quand l’aiguillon de la mort est entré en contact avec Dieu, elle a perdu son aiguillon. Je suis si heureux aujourd’hui, Seigneur, sachant aussi que je dois descendre sur ce chemin. Mais la mort va perdre – a déjà perdu son aiguillon.
Je suis libre ce soir. Alléluia! Je suis si heureux d’être libre. L’aiguillon de la mort n’est plus. La mort peut venir et bourdonner ; elle peut venir me menacer; elle peut venir pour m’emporter. Mais comme un écrivain a dit : «Dieu l’a attelée à une voiture. Elle peut simplement m’amener dans Sa Présence, là où je désire ardemment être», là où chaque croyant désire ardemment être.

197 La mort n’a donc plus d’aiguillon. C’est devenu une victoire. Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par Jésus-Christ.
Alors que nous avons la tête inclinée, tout le monde en prière, combien ici savent, s’ils mouraient ce soir, qu’ils ne sont jamais entrés en contact avec Dieu, de façon si sûre qu’ils peuvent prendre chaque Parole comme étant Sa Parole et qu’ils obéissent à chaque Parole, et qui savent que s’ils agissent mal, ils savent que la mort a un aiguillon pour eux, en effet, ils se demanderont s’ils sont vraiment sauvés ou pas?
Je ne vais pas vous inviter à l’autel. Je vais simplement vous demander, là où vous êtes, si vous le voulez, et si vous croyez ce soir que Dieu va ôter de vous cet aiguillon de la mort par Jésus-Christ, et si vous voulez ainsi accepter cela, de lever la main pour dire : «Je veux rencontrer Dieu.»
Que Dieu vous bénisse là derrière, fiston. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là-haut au balcon. Que Dieu vous bénisse ici en bas. Là aux balcons, que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, là au fond. Il voit vos mains. Tout le monde prie. Ça, c’est un appel à l’autel. Que Dieu vous bénisse, monsieur assis ici. Il se peut que vous ayez fait beaucoup de bonnes choses dans votre vie, mais ça, c’est la plus grande chose que vous ayez jamais faite.
Souvenez-vous, quand vous avez levé la main, vous avez enfreint chaque loi de la science. La science dit que la pesanteur oblige votre main à rester baissée. Mais vous avez levé la main, montrant qu’il y a en vous une puissance pour prendre une décision. Et c’est ce que vous avez fait, vous avez levé la main. Soyez sincère là-dessus dans votre coeur, et quelque chose arrivera.
Quelqu’un d’autre, levez la main et dites : «Souvenez-vous de moi.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. De nouveau là au balcon, allons là-haut au fond. Combien y en a-t-il là-haut? Oh, âme, membre d’église qui ne connaît pas Dieu... Que Dieu vous bénisse, jeune homme ici devant.
Quelqu’un d’autre? Levez la main et dites : «Oh, tout ce que je sais, c’est que je suis membre d’église. Tout ce que je sais, c’est que j’ai crié. Tout ce que je sais, c’est que j’ai parlé en langues.» Oh, frère, j’ai entendu le diable danser en esprit, et parler en langues, et crier, et cela – cela ne... «Vous les reconnaîtrez à leurs fruits.» Certainement.

198 La pluie tombe à la fois sur le blé et l’ivraie. Certainement. Tous les deux se réjouissent quand il y a la pluie (C’est vrai.), cela les rend tous les deux heureux. Et cela tombe en bloc sur les hypocrites et sur les chrétiens aussi. Mais si votre vie ne s’accorde pas avec la Bible de Dieu, alors vous ferez mieux de lever la main et de dire : «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, et fais de moi ce que je devrais être. Sa grâce peut faire de moi ce que je devrais être.» Que Dieu vous bénisse, jeune homme ; que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. Que Dieu vous bénisse.

199 Je ne voudrais pas blesser vos sentiments, mais comment pouvez-vous faire cela, vous les femmes, qui vous tenez ici, et qui savez que la Bible vous dit que c’est mal pour vous même de couper vos cheveux, que vous déshonorez votre mari quand vous faites cela? Vous montrez vous-même que vous êtes une prostituée quand vous faites pareille chose. Et à cause de l’Ange, vous devrez avoir de longs cheveux. Quel Ange? L’Ange de l’alliance, l’Ange, le Messager du jour, le Septième Ange qui sonne de la trompette aujourd’hui.

200 Vous savez quand même que vous êtes en erreur? Votre Adam peut vous avoir laissé aller de l’avant et mal agir, Eve, et dire que cela ne change rien. Cela change certainement quelque chose. Vous... Chaque commandement de Dieu est juste. Eve a seulement tourné son – s’est simplement détournée pendant une minute. Si vous avez tort, admettez que vous avez tort. Votre propre vie montre que vous avez tort.

201 Quelqu’un s’en est pris à moi il n’y a pas longtemps, il a dit : «Frère Branham, pourquoi dites-vous cela aux femmes, concernant leur habillement?» Un grand homme. Il a dit : «Je veux vous imposer les mains et prier pour vous.»
J’ai dit : «Si vous me laissez vous imposer les mains et prier pour vous...» J’ai dit : «Ecoutez...»
Il a dit : «Pourquoi ne laissez-vous pas ces femmes tranquilles? Les gens vous considèrent comme un prophète.»
J’ai dit : «Je ne suis pas un prophète.»
Il a dit : «Les gens vous considèrent comme tel. Pourquoi ne leur enseignez-vous pas comment recevoir de grands dons spirituels et autres?»

202 J’ai dit : «S’ils n’ont pas le bon sens pour apprendre leur ABC, comment vont-ils – vont-ils apprendre leur algèbre s’ils ne connaissent même pas leur ABC?»

203 ABC signifie : «Always Believe Christ.»[Croire toujours Christ – N.D.T.] Prenez d’abord Sa Parole. Qu’elle vienne en premier lieu dans votre vie. Si vous ne pouvez pas faire cela, comment allez-vous apprendre autre chose? Comment l’Eglise pentecôtiste va-t-elle jamais se lever au-dessus des choses qu’elle connaît, qui seront sur votre chemin tant que vous vivez? Eh bien, notez cela et voyez si ce n’est pas le cas.
Souvenez-vous, si cela ne vous hante pas tant que vous vivez... Et si un seul péché a gardé Eve, ou a amené tout ce... Chaque maladie, la mort, et le chagrin proviennent d’une seule femme qui avait pensé que c’était bien.

204 C’est votre privilège en tant qu’Américain, dites-vous. Oh, oui. Si vous êtes un agneau, un agneau abandonne ses droits. Il n’a qu’une seule chose : la laine, et il abandonne cela. Si vous êtes un agneau, vous abandonnerez vos droits en tant qu’Américain pour servir Dieu.
Vous dites : «Je peux m’habiller comme je veux. Ce n’est pas votre affaire.»

205 Ce n’est pas moi, frère, soeur. C’est la Bible. Dieu a créé l’homme, et l’a habillé comme un homme, Il a créé une femme pour qu’elle s’habille comme une femme, et Il leur a donné des comportements différents, et Il a fait deux alliances avec eux, et tout. Cela a toujours été le cas.

206 La lumière est venue. Votre Adam peut vous laisser vous en tirer avec ça. Mais, frère, Dieu ne le fera pas, parce que c’est Sa Parole. Maintenant, vous les hommes qui êtes assis là et qui faites de pareilles choses, n’avez-vous pas honte, frères, diacres? Des hommes qui se disent des hommes de Dieu et qui agissent comme cela, quand... C’est – c’est vraiment la toute première leçon élémentaire sur cela. Comment pouvez-vous entrer dans les choses profondes telles que le discernement de l’Esprit et des choses comme cela, si vous ne recevez même pas les choses élémentaires?
Rencontrez Dieu, et voyez la différence. Voyez la différence. Cela vous fera agir correctement. Cela vous fera quelque chose. Cela vous changera. Eh bien, c’est ce que la Bible dit.

207 Vous les femmes, pour rien au monde vous ne mettrez la manucure ou plutôt le maquillage, peu importe comment vous appelez cela. La Bible ne dit rien à ce sujet. Mais voyez ce que vous faites maintenant, quelque chose que la Bible dit de ne pas faire. Voyez?

208 Vous... Probablement que vous les hommes, vous ne vous enivrerez pour rien au monde, et alors avoir deux ou trois femmes distinctes en vie, et être diacre dans l’église.

209 Vous faites des prosélytes : «Vous courez les mers», a dit Jésus, pour faire un prosélyte...»
Vous dites : «Ça, c’est une façon terrible de faire un appel à l’autel.» Frère, si les gens ne viennent pas par la Parole de Dieu, à quoi servent ces histoires pathétiques? Vous devez venir en reconnaissant que vous avez tort.

210 Maintenant, voudriez-vous, étant sous la puissance de Dieu, sous votre propre condamnation, venir dire : «J’ai tort ; je lève la main. Je considère ma propre vie et je vois que j’ai tort. Je suis un membre d’église. Je vais à l’église. J’essaie d’être loyal, mais je vois que j’ai fait... je suis loin de la vérité. Je suis prêt à m’abandonner et à dire que je reviens au fondement biblique pour cette chose. Je lève la main.» Levez la main. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Ça exige le bon sens.
Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Ça exige d’être vraiment un homme. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, mon frère. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Il y a au moins trois cents personnes ici qui devaient faire cela. Il en faut beaucoup. Mais que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est ça la sincérité.
Dites : «Je prends simplement ma décision. Je dis maintenant même : ‘Dès ce moment, ô Dieu, je vais être marqué dedans et dehors. Je vais être un véritable chrétien. Je vais croire toute cette Parole. Ou alors je ne vais rien croire. Je vais retourner au monde.»
Ça sera mieux pour vous. C’est vrai.

211 Vous ne pouvez pas distinguer les chrétiens des autres. Ils sont presque tous pareils. Ce qui est censé être l’église, devient pire. Venez. Dieu doit préparer une Epouse (c’est vrai), L’apprêter. «L’heure de la... est arrivée. Et l’Epouse s’est préparée elle-même.» Etes-vous prêt? Etes-vous prêt? Je demande cela une fois de plus. Au Nom de Jésus, êtes-vous prêt? Merci, monsieur. Que Dieu vous bénisse.
Notre Père céleste, que ceux qui ont levé la main, quelques deux douzaines ou plus, qu’ils aient la paix. Qu’ils sachent que Tu es prêt à enlever toute la culpabilité causée par l’aiguillon, et à les rendre libres ce soir par le Saint-Esprit. Ô Dieu, bénis ces églises.
Voici un groupe de braves gens, ô Dieu. Ils sont assis ici depuis si longtemps, écoutant, attendant. Alors pourquoi Satan vient-il obscurcir leur entendement, juste quand c’est le temps pour eux d’accepter? Et Tu T’es manifesté de façon très sûre ici. Comment est-ce possible?

112 Mais, ô Dieu, que le sang d’aucune personne ne soit sur mes mains. J’en suis quitte. Je Te prie, Père, d’accorder la miséricorde de Dieu à ces gens. Je Te les donne comme des semences sincères sur lesquelles la lumière de Dieu a brillé. Aussitôt que la vie a frappé, ils ont levé la main, et ont dit : «J’ai tort. Je reconnais cela. Je suis prêt à agir correctement. J’ai mal agi, et je suis prêt à m’amender maintenant même et à venir à Dieu.» Accorde, Père, qu’ils grandissent jusqu’à devenir des chrétiens de plus grande stature.

213 Nous entendons parler ce soir de beaucoup de décisions. A quoi servent les pierres sans un tailleur de pierres? Les gens veulent plus de membres dans leur église. Allez-vous prendre une décision, rouler une pierre? Ça, c’est une confession. Certainement. Mais à quoi sert cette pierre, s’il n’y a pas un tailleur de pierres là avec la Parole de Dieu à deux tranchants pour la tailler en un fils ou une fille de Dieu, pour qu’elle s’ajuste dans le bâtiment? Nous avons besoin des tailleurs de pierres, ceux qui coupent les pierres par la Parole de Dieu, pour tailler les confessions et les transformer en de vraies et authentiques colonnes de l’Eglise de Dieu. Accorde-le, Seigneur.

214 Puisse le couteau tranchant de Dieu ôter par la circoncision toute mondanité de chacun de nous et faire de nous de nouvelles créatures en Jésus-Christ. L’heure est venue. Les gens ne se doutent pas que ces heures sont là, que de grandes choses sont en train de se passer. Et maintenant, les gens ont…
Juste comme les gens, il y a longtemps, Seigneur, ils ont laissé passer cela sans le savoir.
Accorde que chacun de ceux-ci soit sauvé. Puissent-ils trouver certaines de ces bonnes églises ici, ces ministres. Peut-être que s’ils sont membres de l’une d’elles, puissent-ils aller auprès de leurs pasteurs et dire : «Pasteur, j’ai tort. Je mets ma vie en ordre Je viens maintenant pour être un véritable membre de votre église. Je viens maintenant pour être une lumière. Je ne vais pas en laisser échapper beaucoup par le sifflet, mais je vais mettre cela à l’oeuvre. Je vais aller de maison en maison, de lieu en lieu. Je vais amener d’autres à cette grande communion avec Christ. Je vais aller aux coins des rues. Je distribuerai des tracts. Je ferai tout ce que je peux.
Je parlerai à mon voisin, à mon laitier, à mon petit vendeur des journaux. A tous ceux que je peux, je parlerai avec la tendresse et la douceur du Saint-Esprit. Je serai si salé que je leur donnerai la soif d’être comme moi.» Ô Dieu, accorde-le. Oh, non pas comme le reste du monde, mais être différent, changé, être comme les filles de Dieu, les fils de Dieu. Accorde-le.
Je Te les donne au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, puisse le Dieu du ciel baisser les regards sur vous.

215 Une fois… Je voudrais vous raconter une petite histoire avant de partir, parce que j’ai été obligé d’être très tranchant. On vendait des esclaves dans le Sud. Et les gens venaient en acheter juste comme vous achetez une voiture d’occasion dans un parking. Vous recevez un acte de vente pour cela juste comme vous le voudrez. Les êtres humains… Cela n’a jamais été correct. Dieu n’a jamais destiné les hommes à être des esclaves.
Et des négociants passaient par-là, et ils achetaient des esclaves de forte carrure et en bonne santé pour les croiser à des femmes plus corpulentes, et des choses pareilles, pour avoir des meilleurs esclaves.

216 Une fois, il y avait dans une grande plantation, m’a-t-on raconté, beaucoup d’esclaves. Et un négociant est passé par-là, il a dit : «J’aimerais voir vos esclaves.»
Il a dit : «J’en ai environ une centaine ici. Regardez-les.»
Et il les a tous vus. Ils étaient tristes. Ils avaient été déportés de l’Afrique. Ils n’y retourneraient jamais. On les frappait et on les faisait travailler, en effet, ils ne voulaient pas travailler. Ils étaient tristes. Ils étaient loin de papa, de maman, du mari, des enfants et tout. Ils ne les reverraient plus jamais. Ils étaient dans un pays étranger. Ils ne reverraient plus jamais leurs bien-aimés.
Mais il se fait qu’ils ont remarqué un jeune homme là. Oh! la la! Il avait le torse bombé, le menton relevé. On n’avait pas à le frapper. Il était tout le temps prêt. Ce négociant a dit : «Je voudrais acheter cet esclave-là.»
Il a dit : «Il n’est pas à vendre.»
Il a dit : «Qu’est-ce qui le rend si différent?» Il a dit : «Est-il le chef des autres?»
Il a dit : «Non, c’est juste un esclave.»
Il a dit : «Peut-être que vous le nourrissez mieux que les autres?»
Il a dit : «Non. Il mange là à la cantine avec les autres. C’est juste un esclave.»
Il a dit : «Qu’est-ce qui le rend si différent des autres?»

217 Il a dit : «Autrefois, je me suis posé moi-même cette question. Mais j’ai fini par découvrir que là dans son pays, son père est le chef, le roi de la tribu. Et il sait qu’il est fils de roi. Il se conduit en conséquence.»

218 Mes amis, nous sommes dans un monde impie. Femmes, vous êtes les filles du Roi. Frères, vous êtes les fils du Roi. Conduisons-nous comme des fils et des filles du Roi, dans ce monde. Ne soyez pas comme les autres, ne les imitez pas. Nous sommes différents. Nous venons… Nous venons d’un autre… Nous sommes des étrangers ici. Nous sommes des pèlerins. Conduisons-nous, agissons différemment, soyons différents, soyons comme là au ciel.
Il y a quelques jours, ma femme et moi avant que nous venions ici, nous sommes allés dans un supermarché. Nous avons vu une femme en robe. Meda a dit : «C’est étrange n’est -ce pas, cette femme?» Elle a dit : «Billy, je voudrais te poser une question.» Elle a dit : «Je connais certaines de ces femmes. Elles chantent dans des chorales ici, dans ces églises dénominationnelles.» Elle a dit : «Pourquoi est-ce que nos gens…»

219 J’ai dit : «Chérie, regarde, regarde. Nous ne sommes pas du monde. Voyez? Quand je vais en Allemagne, l’Allemagne a ses habitudes. Quand Je vais en Finlande, elle a ses habitudes. Je vais dans d’autres pays, ils ont leurs habitudes.» Et j’ai dit : «L’Amérique a ses habitudes.»
Mais j’ai dit… Elle a dit : «Eh bien, ne sommes-nous pas Américains?»
J’ai dit : «Non, chérie. Nous ne sommes pas des Américains; nous sommes des chrétiens. Nous vivons ici, certainement. En tant que nation, elle est nôtre.» Mais ai-je dit : «Nous sommes d’en haut. Alors, nos femmes doivent agir comme là-haut. Nous devons nous conduire comme là-haut. C’est pourquoi nous n’agissons pas comme les gens du monde. Nous sommes différents.»
Nous devons l’être, mes amis. Nous devons être différents. Vous le savez. Je n’ai pas l’intention de vous blesser, et je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments. Je veux seulement être sincère en tant que serviteur de Christ.

220 Vous ne pouvez pas mâcher les mots. Vous ne pouvez pas être une – une marionnette des gens, et au même moment être un serviteur de Dieu. Vous devez être soit sincère avec Dieu, soit – soit vendre vos droits d’aînesse aux – aux gens. Et le mien n’est pas à vendre, et je sais que le vôtre non plus.
Prêchons donc la Parole, croyons la Parole, tenons-nous sur la Parole, vivons par la Parole (C’est vrai.), et soyons de véritables chrétiens.
Le Saint-Esprit est ici. Croyez-vous cela? Combien parmi vous ont des cartes de prière? Levez la main. C’est trop tard pour avoir une ligne de prière. Vous qui n’avez pas de carte de prière et qui êtes malades, qui avez besoin de quelque chose, levez la main, vous qui n’avez pas de carte de prière? Ayez foi. Maintenant, croyez.
Maintenant, regardez ici. Maintenant, s’il m’arrive d’appeler quelqu’un qui a une carte de prière, je voudrais que vous me le signaliez, parce que vous allez entrer dans la ligne de prière. Ceux qui n’ont pas des cartes de prière n’y entreront pas. Je voudrais que vous soyez respectueux juste pendant deux minutes ou trois minutes. Tout ce que je peux dire ne vaudrait rien. Un seul Mot de Sa part vaudrait plus que tout ce que je pourrais dire pendant un million d’années : un seul Mot de Sa part.
Maintenant, croyez-vous que ce que je prêche est la vérité, au sujet des gens qui sont revenus à la Bible, revenus à Dieu, et que la Parole a été faite chair en nous, qu’Elle a habité parmi nous ici, et que l’église est en train de prendre forme et de recevoir maintenant son dernier signe?

221 Nous avons eu des miracles et des signes, le parler en langues, et ça allait ainsi tout le temps, tout le temps. Mais rappelez-vous, la Bible dit, les prophètes ont dit : «Il y aura un jour qui ne sera appelé ni jour ni nuit. Mais au temps du soir la lumière paraîtra.» Combien connaissent cette Ecriture? Certainement. Très bien. Observez.

222 La civilisation est venue de l’est et a suivi le soleil à l’ouest. Est-ce vrai? C’est à la Côte Ouest maintenant. Si elle se déplace encore, elle retournera à l’est. J’aimerais prêcher sur cela : Quand l’Est et l’Ouest se rencontrent. Regardez.
Le s-o-l-e-i-l se lève à l’est, et il poursuit sa course à l’horizon et se couche à l’ouest. Le même soleil qui se lève à l’est se couche à l’ouest. Est-ce vrai?

223 Maintenant, le prophète a dit qu’il y aura un jour qui ne pourra être appelé ni jour ni nuit. C’est un jour brumeux, un jour nuageux. Nous avons eu un jour pareil. L’homme avait assez de connaissance pour se joindre à une église, accepter Christ comme Sauveur et se joindre à une dénomination. C’est tout ce qu’il avait comme lumière.

224 Mais rappelez-vous, c’est le temps du soir maintenant. La civilisation est sur la Côte Ouest, et le même Fils, F-i-l-s, qui a brillé à l’est au commencement brille maintenant à l’ouest à la fin: Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voyez? Il y aura la lumière au temps du soir : Christ apparaissant, perfectionnant Son église.

225 Combien savent qu’il y a une différence entre l’apparition de Christ et la venue de Christ? C’est deux mots différents. Maintenant, c’est l’apparition, la venue sera pour bientôt. Il apparaît au milieu de nous, accomplissant dans Son église les oeuvres qu’Il a autrefois faites. Maintenant, vous êtes une partie de cette église, et par la grâce vous croyez. Je suis un membre de cette église.

226 Eh bien, je ne suis pas un prédicateur. Vous savez que je ne le suis pas. Je n’ai pas d’instruction pour l’être. Parfois, j’hésite de me tenir ici près des hommes de Dieu, qui sont appelés pour cet office. Il y a des apôtres, des prophètes, des docteurs, des pasteurs et des évangélistes. Tous ne sont pas apôtres, tous ne sont pas prophètes, tous ne sont pas docteurs, tous ne sont pas évangélistes. Je me tiens ici…

227 Mais mon ministère est différent de celui d’un pasteur ou d’un docteur. Je suis – je ne le suis pas. Et si je dis mal les choses, frère, pardonnez-moi. Ce n’est pas mon intention. Mais voici mon ministère (Voyez?) c’est de déclarer qu’Il est ici.

228 Maintenant, certains d’entre vous ici… Comme un don du Saint-Esprit, c’est juste quelque chose… Je ne peux pas me détendre moi-même. C’est juste comme enclencher un mouvement. Mais dès qu’Il fait cela, alors chaque esprit est soumis. Et j’observe, et je ne peux dire que ce que je vois. Et tout lecteur de la Bible sait que c’est exactement ce qui est promis, que c’était venu en Christ, et cela a été promis pour les derniers jours, et tout ce que nous avons dit à ce sujet. Et oh! la la! j’ai cinq cents et quelques bandes de différents sermons sur cela, voyez, mais je n’ai fait qu’effleurer cela. Mais c’est la vérité.
Peu importe où vous êtes, croyez, et laissez-les parler. Et si je parle, je peux dire ce qui est faux parce que je suis un homme. Mais si Dieu vient ici et confirme ce que j’ai dit, alors c’est la vérité.

229 Dieu a dit : «S’il y a un prophète parmi vous, et s’il dit – ce qu’il dit arrive, alors écoutez cela,» parce que la Parole du Seigneur vient au prophète. Et s’il y a… Et si cela n’arrive pas, alors n’y croyez pas.

230 Maintenant, si je viens ici et que je dise : «Maintenant, je vais vous guérir,» alors j’ai menti là même, parce que…
Vous êtes… Chacun de vous est malade. Quoi que ce soit, ou des pécheurs, quoi que vous soyez, vous êtes déjà pardonné. Vous êtes déjà guéri. Si Jésus se tenait ici portant ce costume qu’Il m’a donné, Il ne pourrait pas vous guérir ni vous sauver. Il l’a déjà fait. Combien savent que c’est la vérité? Le prix a été payé au Calvaire. Croyez simplement.
Quelqu’un… Maintenant appelons, pour ainsi dire par section. Que quelqu’un de ce côté-ci qui n’a pas de carte de prière, prie simplement et dise : «Seigneur Dieu, je ne peux pas croire que cet homme se tient là pour me dire quelque chose de faux. J’ai lu la Bible, et je sais que ce qu’il dit est la vérité. Il m’est si difficile de recevoir cela, Seigneur. Mais franchement, je crois cela. Je – je crois. Et aide-moi maintenant.»
Et il dit que Tu es le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités, et j’ai des infirmités.» Ou quelqu’un : «Je suis… Mon mari est assis ici, ma femme…»
J’ai remarqué hier soir, quand un mari s’est levé de la civière, la femme courait vers lui, la femme relevait l’homme… le voir là dans la cour en train de louer Dieu. Combien c’était doux, voyez, voyez, priant pour quelqu’un.

231 Dites : «Je prie, Seigneur Dieu. Aide-moi à connaître. Aide-moi. Laisse-moi toucher Ton vêtement. Alors si cet homme… Cet homme ne me connaît pas, et je ne le connais pas. S’il parle en retour, et me dit, comme Tu l’as fait en ce temps-là, Tu as parlé aux gens, alors je saurai que Tu es vivant. Et ce n’est pas ce prédicateur; c’est Toi.»
Maintenant, s’il vous plaît, juste pour deux ou trois minutes, soyez tranquilles et priez. Restez tranquilles. Ne vous déplacez pas. Priez simplement.

232 Maintenant, voilà une femme; elle est… Vous pouvez relever la tête si vous le voulez. Si vous voulez regarder, regardez juste ici, juste dans ce petit couloir, voyez-vous cette Lumière jaune, ambre tournoyer? Elle est juste au-dessus d’une femme. Le voilà, juste à la porte. Maintenant, Elle S’approche d’elle, Elle S’approche d’elle. Elle en est consciente. Elle priait. Elle s’approche.

233 Cette femme peut certainement reconnaître à l’instant que quelque chose est en train de se passer. Elle prie pour un bien-aimé, un parent qui a le cancer, et elle prie aussi pour une mère, et la mère a des troubles cardiaques. Elle sait maintenant que le Saint-Esprit est près d’elle. Elle n’est même pas d’ici. Elle n’est même pas une Américaine. Elle est Canadienne. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Nous sommes parfaitement étrangers. Est-ce vrai? Mais vous vous tenez là en train de prier, et tout à coup, quelque chose de vraiment doux a commencé à arriver, comme quelque chose qui vient sur vous. Et est-ce vrai? Est-ce que ce qu’on a dit est vrai? Levez la main si tout cela est vrai. Maintenant, allez demander à la femme.
Maintenant soeur, cela vous a quitté. Je crois que vous avez reçu la réponse à votre requête. Quoi que ce fut, Dieu vous l’accorde.

234 Maintenant, je voudrais vous poser une question. Comment… Représentez-vous tout simplement cela. Voilà un parfait miracle. Voilà une femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie; elle ne m’a jamais vu. Nous sommes étrangers. Et le Saint-Esprit descend ici, et elle touche Jésus-Christ. Et par un don divin, elle se tient là, ou plutôt, elle est assise là en train de prier, Elle vient et lui révèle exactement la chose. Voilà Elle… Elle est à trente ou quarante pieds [9 ou 12 mètres – N.D.T.] de moi. Elle ne pouvait pas me toucher, elle L’a touché, Lui.

235 Que quelqu’un de ce côté-ci croit. Ceux qui n’ont pas de carte de prière… Vous qui n’avez pas une carte de prière, levez la main pour que je… Vous qui n’avez pas de cartes de prière, levez la main. Certains d’entre vous qui êtes dans ces brancards par ici, ou quelque chose comme cela, levez la main. Très bien.
Considérons cet homme-ci. Vous n’avez pas de carte de prière, monsieur? Vous m’êtes étranger. Je ne vous connais pas. Que pensez-vous de ce que j’ai prêché? Croyez-vous que Christ est le Fils de Dieu? Croyez-vous qu’Il l’est? Eh bien, comme vous êtes un homme que je n’ai jamais rencontré de ma vie… Mais croyez-vous que – que quand Jésus était ici sur terre, Il (la Bible dit que la Parole est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, et qu’Elle discerne même les pensées du coeur.), pouvait voir ce qui ne va pas?

236 Si le Saint-Esprit peut me dire quelque chose sur vous (Vous êtes juste un homme, assis là.), s’Il peut me dire quelque chose à votre sujet – ce que vous voulez, ce qui cloche en vous, quelque chose que vous avez fait ou quelque chose de pareil – vous saurez que cela devrait venir d’une puissance quelque part, n’est-ce pas? Allez-vous croire que c’est Christ? Vous le croirez. Allez-vous accepter cela ainsi? Vous devez le croire sinon mourir, parce que vous êtes couvert par l’ombre de la mort. Il s’agit d’un cancer.
Mais si vous croyez de tout votre coeur, de tout votre être, en effet, vous ne pouvez pas vivre… Vous ne pouvez pas retourner. Les médecins ne peuvent rien faire de bon pour vous maintenant. Vous avez dépassé ce stade. Mais si vous croyez Dieu de tout votre coeur, vous pouvez vous rétablir. Croyez-vous cela? Vous croyez? Alors, levez-vous de votre lit. Ne doutez pas dans votre coeur. Et n’en doutez pas du tout. Rentrez chez vous. Prenez votre lit et rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérira, si vous croyez cela. Que Dieu vous bénisse.

237 Qu’était-ce? Avez-vous une carte de prière, là? Bon, vous serez dans la ligne de prière alors. Qu’en est-il de vous? Avez-vous une carte de prière? Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous croyez? Je ne vous connais pas, mais vous êtes… Qu’est-ce qui se passe? Vous êtes tout abattu, c’est comme une dépression nerveuse, des complications. Tout va mal pour vous. N’est-ce pas vrai? Et réellement, maintenant même vous vous sentez bien. C’est le Saint-Esprit qui est sur vous. Croyez-vous que je suis Son prophète? Allez-vous m’obéir en tant que Son prophète? Alors, levez-vous et quittez ce brancard au Nom de Jésus-Christ, rentrez chez vous et soyez guéri.
Attendez, je voudrais vous poser une question. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’en avez pas besoin. Vous êtes bien portant. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant en vous réjouissant.
Combien parmi vous croient de tout leur coeur? Alors, que tout celui qui croit se lève et accepte sa guérison. Levez-vous au Nom de Jésus-Christ et croyez que vous êtes guéri. Je vous confie à Dieu pour votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous accorde cela. Amen. Très bien…

E-1 Thank you. Let us remain standing just a moment while we bow our heads for prayer. If there's a request tonight, let it be known as a lifted hand to God for request. Our heavenly Father, Thou seest the hands and knows what's in their heart, knows what we have need of, and Thou has promised that You'd be a very present Help in the time of trouble. And we pray that You'll deliver them from every trouble. Grant it, Lord.
We thank You for what You are doing in the land today. Around the world the great mystery of the Gospel is being unfolded to the thousands of people believing that You're getting a church ready to receive at Your coming. I pray, Father, that there'll be many out of this city that will go in that great rapture that we're looking for at any time. Grant it.
Bless us together now, as we've assembled in Jesus' Name, asking God in His Name to be with us. We're in Your hands, Lord. Do with us as You see fit. Amen.

E-2 I certainly deem this a grand privilege again tonight to be standing here with the peoples and believing that God will undertake for us again tonight. And may His rich grace ever rest upon us. A marvelous thing last evening, when we seen Him heal the people along the way. And we gave that night over for prayer for the sick. We usually try not to take too much time for the sick. We pray each night. All's included. The main thing that we try to do is to let people see that Christ is not dead, that He is alive. And if we can just see, the One Who made us all these grand promises is here to confirm those promises...
Now, what you see here in the meeting, when we have those nights like that, it's really... There's no way to explain it. I was just standing out there when a couple sisters came up, three of them, I believe. And one sister looked down, said, "Brother Branham, I want to thank God for His mercy to my children tonight, loved ones. Coming up, a car turned out and they turned over, and everything, but never even had a scratch. They're right here now, setting on the front steps trying to hear the message from the outside. Amazing grace. Sometimes, as it was, as I said last night... coming from Emmaus... He walks with us daily, and helps us. And yet, maybe we don't recognize it till just at times.

E-3 Now, visions is something beyond anything that anyone can explain. It's the infinite God Who knows the end from the beginning, and predict the end, and tell what the end will be; because He knowed every thing and still knows everything. There's nothing that He doesn't know. And He--He doesn't know any more now than He did at the beginning, because He's infinite. Do you believe God is infinite? If He isn't, He isn't God.
So then, just think. Here's just... You can't break down infinity. It's just like... To be infinite it's just like to be, what I--would I say, eternal. Eternal never did begin, so it never ends. Did you ever think of that? And everything begins has an end. See? And things that has no end is things had no beginning.
And that's the reason that we have to have Eternal Life. We are part of God's Life, which the word Eternal... Brethren knowing that it comes from the Greek word of "zoe," which means "God's own Life." That's why we become His own children. See? It's Eternal Life in us. The Life that's in us never did begin; it never can end. It can no more die than God can die, because It's eternal. There's only one thing eternal, and that's God. And we become a part of Him because we come sons and daughters of God. How wonderful to know that God has promised.

E-4 We just need more time in revivals. Someday I hope to get a tent that I've been wanting to get for so long. And I... and so we can stay a little longer, so we can get all the funny feelings away. People don't want to be like that, but they just actually are that way. See? We do. We gather together as a group of people just wherever we come from, different denominations catch us, whatever.
Then, when we come into congregations like this, then you see something mysterious happen. It's absolutely kind of shocks us. And so it... mainly with ministers. Not with these, but with ministers most. They're shepherds; they're guarding their sheep (See?), and so they're watching every little thing. You don't--can't blame the man (See?), because he's got to understand first.
But the thing... If a man just firmly criticizes and turns it down, then there's something wrong there. If a man won't give a consideration to--to look it through the Bible and search it out... Look, that's the way the Pharisees done our Lord.

E-5 Did you know every prophet that ever raised on the earth was never received by the people? Every messenger God ever sent was never received, and they didn't know who the messenger was until he was dead and gone. Now, that is right.
You Catholic people here, how that you failed to know Joan of Arc? Many of you school children remember it. That woman was a woman of God. She prophesied; she was a spiritual woman. And you know what your church done? Burned her as a witch. That's right. 'Course, two hundred years later you done some repentance. You dug up those priests' bodies and throwed them in the river when you realized she was a saint. See?
Always the past. They never knowed Patrick. And the people think Saint Patrick was a Catholic? About as much as I am. Watch where his schools are up in Ireland. No crosses and crucifixes with him. He firmly denounced the pope. But 'course, they try to make him with the church, but it's wrong.
I come from a Catholic family. I know what I speak of. I've got "Facts of Our Faith," and all those books that I've studied, as much as you could study. And so... But those things (See?), they go by. They never knew Elijah, they never knew John, they never knew Jesus till after His death, burial, and resurrection. And now, the Holy Spirit falling, and they won't know it (just like in the days of Noah) until the flood comes and takes them away (That's right.), the great flood comes in.

E-6 But if those Pharisees would've just set down, and reasoned... Jesus said to them, "You stoned the prophets. You--you whitened the--their walls of their--polished their sepulchers, and you're the one that put them in there." See? "But how... Which one of the prophets that God sent that your fathers didn't stone?" See? And those... So forth. We've got to set down and think it over.

E-7 There was them kind of like Nicodemus, the secret believer, come by night, slip around, said, "Rabbi, we know You're a teacher comes from God. No man can do the things that You do except God be with him."
Look at little Jairus. He maybe acted like he didn't believe in Divine healing, till his little daughter was laying at the point of death. God has a way of pulling that out and making you show your color. See? And then come right down to the spot, he was a believer. And it just had to come to a spot to make him see it. God is so good to us, and we're thankful for men and women, like setting here tonight (I am), that believes the Gospel, believes in Divine healing, watching.

E-8 I've always said about our organizations. I believe in them, and I believe that they're fine; they serve a purpose. But you see, when we make an organization, ninety percent of us when we make one, we put down, "This is what we believe," period. If you'd say, "This is what we believe (comma), plus as much as God will add to us," that's all right then. That--that's fine. See? That's exactly.

E-9 When the Pillar of Fire moved, Israel moved with It. And in the New Testament, when It begin to move, just exactly like It did in the Old Testament, moved the same way... Israel had to follow that Pillar of Fire, and set the tent up under It. And when It begin to move in this last, at the reformation, Martin Luther saw It.
And then, as soon as Luther was over, they built an organization around Luther's work. God moved right out from under it. And Wesley saw It, and away he went. After Wesley, and Asbury, and many of the others, when... after their time, then what happened? They built an organization under It. God moved right out from under it, went right on. See?
And now, we Pentecostals are doing the same thing. You can't organize the Holy Spirit. You can't do it. We believe in organizations to keep brotherhood and so forth. It serves a good purpose. But always stretch the blanket out to get the other brother (See?), and hold your heart open to get what God is ready to send down upon us. That's the way to do it. That's real brotherhood. And so I like that. When... If I could ever see a time that the Pentecostal church...
Now, Pentecost is not an organization, Pentecost is an experience. I know almost as many Lutheran and Baptist and Presbyterian that's got the Pentecostal experience as Pentecostal people who call themselves Pentecostal. So Pentecost is a--an experience.

E-10 Some time ago... I'll start there, and then get away from my message, or... Just give me time to say this. Will you? Bear with me. It's good.
I was in Minneapolis, Minnesota. That's a great Norwegian country. And I was having a meeting, and we were at the--some great building, and I was there right in the wintertime, or springtime. And I stayed at a little cheap hotel down... I believe that Christians shouldn't have everything just so swanky. Jesus didn't have a place to lay His head (See?), and we try to have to have the best, and so much security and everything else. Shame on us. See? But a little hotel...
And that... one night when I come in from the church... The next morning I went out, had breakfast, and when I come back there was a--a twenty-two page letter in a little pigeonhole to me. How the man ever knew I was there, I don't know. So I read it. And oh, you talk about good criticism; it was good. And I appreciate that. I certainly do. Any man that's really got a point, and wants to criticize, that checks us up. You know, a criticism makes a good product (See?), when we're willing to receive it, test it.

E-11 So this man had give me the awfullest bawling out. He was a dean of a college, and he said, "You was talking last night about being in the ministry twenty-five years (it's thirty-one now)." But he said, "Twenty-five years." Said, "I was in the ministry before you were born." And he said, "And some... I've seen some mighty strange things." And said, "I drove last night fifteen miles through a blinding snowstorm, thought I would see a servant of Christ. And what did I find but a polished-up soothsayer."
And he said... And he wouldn't call me "brother"; he just said, "Branham." That was all right. So he said, "And the very idea. The theology, the rottenest I ever heard in my life." And he said, "For instance, you said this, that Satan could not heal." Said, "A man that stands before as many people as you do and make such a mistake as that." Said, "Why, it's terrible."
He said, "Now, let me tell you something, young man." He said, "Over behind our seminary here," or place, said, "there's a woman's got a familiar spirit." And said, "She has a big apron on." And said, "People come there for divine healing." And said, "They... And she goes, and feels all over them, like that with her hands." And said, "Then the first thing you know, they drop money down in this apron."

E-12 Now, you could see right there, it's unscriptural, and not right to begin with. Anybody with any--any knowledge of God... See? And said, "Then she takes, and pulls some hair out of the back of her neck, plucks some blood from their veins, and wraps this hair in it, walks down to a little creek behind the place, throws it over her head into the creek."
And said, "Then she starts walking towards the people. And if she's constrained to look back," said, "the people, the disease comes back on the people. If she doesn't," said, "then, why, the disease doesn't come back."
And said, "We have watched that." And said, "A certain percent of them get well." And said, "The very idea of you saying that Satan could not heal." Well, he went on with a whole lot.

E-13 And I thought, "Well, if he took enough time to write me twenty-two pages, I ought to write him at least two pages back as an answer. So I set down the best that I could. I can't even read my own writing, so... And I scribbled him off a little something. And I said, "Precious brother..." I had to call him that. Any man that had been preaching for fifty years ought to be regarded as brother, preaching the Gospel, no matter how it's been. And I--I--I regard him as my brother.
And I said, "I certainly appreciate and esteem highly your long years of ministry for our Lord." And I said, "I--I certainly am thankful to God to let you live at this good ripe age, and the things that you've done," and so forth. And there was another brother with them. So then... of this college.
Then first thing you know, I--I--I said, "But the... What strange thing is to me," I said, "that you criticize me so much upon saying that Satan could not heal." I said, "Now, you said Satan could heal. Jesus said if Satan can cast out Satan, then his kingdom's divided." I said, "Now, who am I going to believe? You, or what Christ said? Satan cannot heal. Christ said so. He's working against himself. He cannot heal."
But I said, and I... "To try to explain, if you'll forgive me," I said, "to a dean of a college, or a great man like you, that I would like to tell you; being a missionary, I've seen people come to idols and get healed. Alsace Lorraine, France, there's an idol of a woman. And down in Paris I seen where they had a--a woman, dead woman there, and they'd rubbed a whole stone off behind her to keep plagues off the city. I've seen all those things."
"And I've seen people in America, who call themselves divine healers, and say, 'I got healing here, and healing this way, and healing in this...'" I said, "It's the same thing. See? Healing is in Christ." Exactly.
But I said, "The people... I don't doubt but what those people got well. But here's what happens. The--Divine healing is based upon the--upon faith. And those people coming to that witch that you're talking about, of course they get it. They think they're approaching God through that witch, and upon the basis of their faith God heals them." See? They--they... Certainly. You... If you've got faith enough to believe it, it'll take place. That's exactly right.
But I said, "The strange thing to me, that a dean of a Lutheran college would base his faith upon an experience in the stead of the Word of God when Christ said that Satan could not heal. It's their approach, believing they're approaching God through the witch, and through the idol, and so forth. It's innocent people that's believing, that God heals."

E-14 Well, about a year after that I was back there for the Christian Business Men in a meeting. And another precious brother, Dr. Aegery of the Bethany College wrote me a letter, and said he'd like to have me over there. I was afraid to go, 'cause I knowed those intellectual giants. I had my little grammar school education could not stand with theirs. And he invited me, and I said to Brother Moore, "If you'll go with me now and gets me past my education, I'll bump you on the knee with mine and you take over from there." And so, he agreed to go.
So we set at the table. They set us a nice table down in the gymnasium room. Lovely little Lutheran women served our fine dinner, very fine. And when... Dr. Aegery set next to me, and he said, "Now, Mr. Branham..." When we got through, he said, "I want to say this one thing. I apologize," what the man said. Said, "Now, but I..."
I said, "That was forgiven at the beginning."
And he said, "We are hungry here at Bethany." Said, "We are... there's a great..." The students, if they can't pay their way, they've got hundreds of acres of corn and stuff they raise, and work their way through college: very fine school. And he said, "We are hungry. We're studying about God." And said, "We found in there a couple of years ago about the Holy Ghost and how It worked."

E-15 And said, "We went to the Pentecostals that claimed to have It." And said, "We seen them kick over the chairs, and knock out the windows, and so forth." He said, "What have they got?"
I said, "The Holy Ghost."
And he said, "That?"
I said, "Sure. They got so much steam they have to blow it out the whistle. They won't put it to action, let it go to working." I said, "That's all. There's so much steam blow--builds up, they have to get it some way." And I said, "They just... If you'd put that same power, that same thing in action, in faith, with God's Word, and go to moving it (See?), instead of just blowing it out. See? It's the Holy Spirit builds it up in there."
And he said, "Well, then what do you think we Lutherans has got?"
I said, "The Holy Spirit." And then he stopped and looked at me. I thought, "Lord, if You ever helped me, You do it now, 'cause I sure got myself..."
He said, "Well..."

E-16 I thought, "If You'll just help me, Lord..." He's always did it, amongst witch doctors and devils, and around the world in tight places.
And he said... I said, "Well, listen, sir."
He said, "We went to--flew over to Los Angeles to a man that wrote a book on all the gifts." And said, "When we got there, he said, 'I don't--I ain't got any of them.' Said, 'I--I just wrote about them.'"
He said, "Well, we could do the same thing here, 'cause... He took it right out of Scripture. We want to see it. That night when we come down there and seeing that, we'd done made up our mind it was wrong. And that's the reason we called you a polished-up soothsayer."
I said, "Well, I forgive you for that as I said." But I said...

E-17 He said, "What--what have we Lutherans got?"
I said, "I said, The Holy Spirit. Now, listen." I thought I'd keep--talk in his own line so he would know. I said, "One time a man got a great field ready, and he planted a crop of corn. He kept watching it day after day, until one morning he went out, and there was two little blades growing up." You know what corn is when it comes up. I said, "The man stood up on his porch and said, 'Praise God for a crop of corn.'" I said, "Now, did he have it?"
He said, "Well, he had the starting of it."
I said, "Then, we'd say potentially he had it. By and by those... That was you Lutherans at the beginning." And I said, "By and by those leaves growed up, and a tassel come out of them. That was the Methodists."
And I said, "Then the Methodists looked back down to the Lutherans and said, 'I have no need of you. I'm a tassel. You're not into it.' But you see, it had to use back the leaf also because for the pollen to drop in. And out come a ear, Pentecost, with the original... Like it was at the beginning, the grain that went in the ground, it was producing a grain." I said, "Now, we got a lot of fungus on the ear, but we got grains too." That's right. I said, "Like it was at the beginning."
I said, "That's why I'm among the people. They're God's people." And I said, "You see, the Pentecostal church is the advanced Lutheran church, because the same life that was in the leaf made the corn." And that's right. And he caught it.

E-18 He scooted back his plate and got up. He said... looked down to his associates, all the students, and so forth, and the deans. and the body, and he said, "We here at Bethany are hungry for the Holy Ghost." Said, "Brother Branham, what shall we do to receive it?"
I said, "Turn your face from the table, go over against the wall, and kneel down against the wall, and be real sincere."
Went down and laid hands on them. Forty some-odd received the Holy Ghost right then. And now they got better than four hundred in that school doing all kinds of signs, miracles. What is it? That's Lutheran Pentecost. See? Everywhere, everywhere the Holy Ghost... We cannot bind this down and say, "We Pentecostals has got it." God's broke that boundary and went on out in there, and got everything that there was. "Whosoever will, let him come." See? It's for the people.
Pentecost is an experience. Roman Catholic, Jewish orthodox, whatever they might be, Chinese, Buddha, everything: the Gospel is for whosoever will, he may come.

E-19 Oh, I just love it, and just love it. Oh, how I love it. And I know that God is able at the last day to raise up that which He has said that He would do. I believe that. I believe in the general resurrection, that those who died back there in the Lutheran faith at the beginning will not... these... will not prevent these... The trumpet of God shall sound, and the entire dead in Christ shall rise. That's right.
I believe the church comes to Its perfection constantly, coming up. And as the enemy comes in like a flood, the Spirit of God raises a standard against it, greater, and greater, and greater building up. Now, it's right down to that last thing, what I was talking about last night. Oh, I believe that He will come. And I believe that these old frail bodies of ours will be changed and made like unto His own glorious body.

E-20 Preaching on how He turned Abraham and Sarah back there to a young man and woman to have that baby... Saying that, some time ago, I was combing these two or three hairs I have left. My wife said to me; she said, "Billy, you're almost bald-headed."
I said, "But I haven't lost a one of them."
She said, "Then, I pray you tell me where they're at."
I said, "Honey, tell me where they were before I got them. Ever where they were then, they're back there now waiting for me to come to them." Amen. That's right. That's... Even the hairs of your head is numbered. Not one of them shall perish. That's exactly right. What are we made out of? We're made out of sixteen elements. That's potash, and petroleum, and cosmic light, and so forth. And that's just what God's got right...

E-21 He's a great Contractor. Before He ever had a human being on earth, He laid out the material, like a contractor building a subdivision. He was going to make man in His own image and give them the earth to stay. And they were lesser gods than He was.
Jesus said, "Your law says that ye are gods." That's dominion, king's dominion over the earth. He could do anything he wanted to. And sin come in, and now woman brings child. And when it does, that child must die. See? It's exactly. It's a perverted birth. But then when the new birth comes in, it corrects that perverted birth and gives it Eternal Life through the Father, Jesus Christ.
Oh, brother. Jesus said, "He that heareth My Word... He that eateth My flesh, and drinketh My Blood has Eternal Life, and I will raise him up again at the last day." Amen. "All the Father has given Me will come to Me," and nothing is lost. Amen. He will raise it up again at the last day. Death or nothing else can separate us. We're always in the Presence of God. How I love that.

E-22 A little quotation... I very seldom... Don't say very much. I just talk a lot, and don't say nothing. But sometimes... I'm not like the brother preachers here who are scholars and knows how to set those things in order. But sometimes I say something, and it--it helps me a whole lot, anyhow. And not long ago I said something that's very profound to me.
I was thinking of the assurance of our going over. And then... We notice that one time God's children were slaves down in Egypt. They throwed them bread, molded, rotten. Whatever it was, they had to eat it. They ravished their girls; they killed their sons; anything they would... And them was the people of God. That's right. Now, and so they were slaves, and they could not help it.
But one day coming down out of the wilderness come a prophet with a--with a Pillar of Fire over him. And he told them the Word of God: that there was a land flowing with milk and honey that God had promised Abraham he'd take his children to. And this prophet was a vindicated of being of God by the signs and wonders that he did while he was in Egypt. And the people believed this man.
And he come out of Egypt, the children of Israel did, and came to the place of Kadesh-barnea, which any scholar knows that Kadesh-barnea, one time, was the judgment seat of the world. There's where Israel met her judgment, when she failed to believe the sign that they'd brought back of the grapes and things from the land.

E-23 Now, remember. Nobody had ever been in this land in their group. They'd heard of it. Faith cometh by hearing, and God made the promise. You get it? God made the promise, and here come Moses, the runaway prophet, in there with vindicated signs, and proving that it was God taking them to this land that they'd never seen. What a perfect type of today. None of us has ever been over. Notice. When they come to Kadesh-barnea, the judgment seat, they had a great warrior among them named Joshua, which means Jehovah-Saviour, Joshua. Now, he crossed over Jordan into that promised land, and returned back with the evidence that it was a good land. He had grapes, two men packed a bunch. They could taste the heavenly things from over in the promised land, the good land flowing with milk and honey. They come back to prove that the land was truth, that God's Word was exactly what Moses had said it was through the inspiration of God. It was there.

E-24 They could have their own homes. The occupants... 'Course, they had to fight every inch of the road they took. God told Joshua in Joshua 1, that "everywhere the soles of your feet sets, that's possession." That's the way it is today. Everywhere the soles of our feet sets, it's possession. Just keep walking. Footprints means possession. Just take it.
Now, remember, they had to fight every inch of the way. Some people can just take the two-handed sword and fight just a little bit of shadow away. Some can cut through to Divine healing, every promise of God with it. That's right. The Word is a Sword, and takes faith to yield that sword (That's right.), faith in the promised Word.
Now, we notice that when... They come back, and they said they could have their homes and so forth. Israel crossed over into the promised land, built homes, raised their children, lived in peace. All the rest of the nations respected them. What a wonderful thing. But finally, up on the hillside... become dotted with graves. They got old, died, buried.

E-25 Then one day came another great Warrior, the greatest of all of them--Immanuel. He come down, and He said, "This is not the land. But in My Father's house is many mansions. If it wasn't so I would've told you. And I'll go and prepare a place for you, and return again to receive you unto Myself." Notice. He came to His Kadesh-barnea, Calvary, where He stood the sin-judgment for all of us. The penalty of God's judgment was met in justice when Christ died at Calvary, paying the price of sin for all of us. And He crossed over in a Jordan, as we know it, the Jordan of death, over into the land, and returned back on the third day, like Joshua did, bringing the evidence that after a man dies he can live again. There's life beyond death. He proved it.
And now... He said, "For the earnest of this, the down... (You know what the earnest of anything is--the down payment), go up there to the city of Jerusalem and wait. I'm going to send you the earnest of your salvation." Amen. Now, I begin to feel religious. And they waited until they received the earnest.

E-26 Now, even to this day, that same Holy Spirit that has lifted us up from a life of sin where we once live... And we've already dead in Christ, buried, and raised with Him in His resurrection, and setting now in heavenly places with Him (Amen.), watching Him work among us. Why? Why ain't I out yonder amongst the denominations? Because it's those that are dead and buried in Him, and raised with Him in His resurrection... And now, not we will be, we are now in heavenly places in Christ Jesus, looking back to where we once come from: a direct evidence that we received part of it because we are dead, and our life is hid in God through Christ, and already raised again in the resurrection with Him. Amen. Oh, my.
Like an old colored sister said... Excuse me, my colored friend. I'm going to put it the way she did. She was very southern. She said, "Wells, I wants to make a testimony tonight, doctor."
"All right. Go ahead, sister."
She said, "I want to say this. I hain't what I ought to be," and she said, "I hain't what I want to be. But there's one thing sure. I ain't what I used to be." Yes, sir. She knowed that she had raised up somewhere. Amen.

E-27 What is it? The evidence that we are now dead. Our life is hid in God through Christ, sealed by the Holy Ghost, and raised with Him, and setting in heavenly places watching Him. Think of it. No power, but authority. We don't have power; we have authority. Christ has the power. He is the power, but we have the authority.
Don't have to be very much. Take a little old cop, standing out here on the street, and his pistol packing way down on the side, bending him sideways, and his--his cap setting down, pulling his ears down, and cars going down the street, doing sixty miles an hour. He hasn't got power to stop one of them. No, sir. Why, some of them three or four hundred horsepower, whizzing through there...
But just let him walk out there, that star shining, raised up that glove, whistle. You hear brakes scream and everything else. He ain't got no power, but he's got authority. Amen. Hallelujah. That's where the church is tonight. It's got the authority because It's raised in Christ: authority.
Now, if the cop say, "I'm afraid to get out there. I don't know. My office might not back me up," they'll keep on whizzing by. And I tell you; even death itself squeaks its brakes when that authority raises up in the Name of the Lord Jesus. "In My Name they shall cast out devils, speak with new tongues, take up serpents or drink deadly things. Lay hands on the sick, and they shall recover."
I love Him, I love Him,
Because He first loved me,
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

E-28 Father God, we give these testimonies just to help the people. Now, settle our minds, Lord, as we approach Thy Word. Grant, Lord, that the Holy Spirit will take the next few words now, and sink them into the hearts of the people, and there may come forth the joy bells of heaven ringing in every heart. We ask it in Jesus' Name. Amen.

E-29 In the Gospel of Saint Matthew the 4th chapter, and I want to read the 17th verse.
And from that time Jesus begin to preach, saying, Repent: for the Kingdom of heaven is at hand.
Now, for about twenty or thirty minutes of your time... "From That Time," I want to use that for a text: "From That Time," three words. Now, there is times, and things that happen that changes the whole course of our life. We know that. We're all aware. Certain things take place along life's journey that changes the whole course of life for us.

E-30 Now, like as a child. You might've said when you were a child that certain things happened. I had a man at home... These visions that you see here at the platform are merely... They're really...
They are visions, but not the real vision. They are... That's you doing that. It's not--It's not me; it's you. You're doing it yourself. You're not conscious of it, but you're doing it. You can't explain God. Anybody... You have to believe God by faith. When you can explain God, it's no more by faith. No one can explain Him. But it's like when... Jesus was God's gift to the earth.

E-31 But when... one day Lazarus taken sick. Before he took sick, God told His Son, "Leave," and told Him all that was going to happen, for He said in Saint John 5:19, "The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing." Now, that has to be truth or He--He lied. And you can't make Him lie because He's God. See? So the Father sent Him away. They sent to Him to get help for Lazarus, but instead of coming, He just ignored it. He knowed what was going to happen, so He went on. They sent again, and He ignored it again. Finally He said, "Lazarus is asleep."
And they said, "He doeth well."
And then He told them in their language, "Lazarus is dead, and for your sake--for your sake, I'm glad I wasn't there. But I go wake him."
Now, He met Martha, and Martha said, "Lord, if You'd have been here my brother had not died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You."

E-32 And at the grave, look. Father had already showed Him. He said, "Father, I thank Thee. Thou has already done these things. (But He prayed for an example.) I say it for these that stands by. Lazarus, come forth." And a man that'd been dead four days raised again out of the grave. We believe that; it's the Gospel. He never said nothing about being weak. But a little woman touched the border of His garment, and He said He got weak.
What was it? That was the Father using His gift. And that took Him up, and showed Him what was going to happen, and what was coming to pass, and so forth. And then that was it. He went ahead and just acted out His drama.
But this woman, she and her faith was using God's gift. She said, "If I can just but touch Him." See? And it was the woman... Jesus didn't know who it was that did it. He said, "Thy faith, (not, "I have" but), "Your faith has saved you, see, thy faith," not His faith, her faith. And that's the reason it made Him weak.

E-33 Now, in the meetings and those who go out and follow around, and know just how the Holy Spirit... These things here, it might make you be suspicious. But--but if you'd get out one time and watch what happens, and just to see how It foretells exactly...
And I ask anybody anything that I ever said in all my life, but what exactly happened just the way it said it would. That's right. I tell it months and months ahead, just exactly. How many was here when I first come through Washington years ago? You remember, I'd have to take the people by my hand, and stand there and hold them just to know what it was. And I told you all then that He told me if I'd be sincere, that I'd know the very secret of their heart. How many know me predicting that? There it is. See? Did it happen? Just exactly. See?
And I'm waiting right now. Why am I holding these meetings like this? I'm stalling, waiting to see what the next move is. That's exactly. I don't know which way to move. I'm going to the mission fields after this, just wondering, 'cause I know we're right at the end. See? How close, I don't know, but I believe we're at the end.

E-34 Certain things happened. When I was a little boy He spoke to me, He said, "Don't never smoke or drink, or defile your body. There's a work for you to do when I get--when you get older." It's in the book back there. You may read it. And my mother and them, they thought I was just nervous.
And then It went ahead, and two days--three days after that told how that bridge would cross the river just below our place now. Sixteen men would lose their life on it. And they wrote it down. And twenty-two years from then it happened just exactly, and sixteen men lost their life. It's never been, out of the thousands of things, but what it's been perfectly right. See? That's right. See, things happen when you're a child, that impresses.

E-35 Now, time, as time goes on, from time to time things happen that leaves an impression on our life. For instance, like we say, the immoral woman. I've had them in confession. I had one not long ago. It was the most pathetic case. In a home we set there, and they...
People call in, come in from all over the world. A trustee of our church... And some of them are in this building tonight. They know it's true. There's about three hundred on the waiting list, and they come in from Africa, from Asia, from Europe, from everywhere I've been--waiting, watching. They write back and forth until they get the time. And we set right there until the Holy Spirit reveals everything, and then tells them just what to do and how to do it. And never one time has it ever failed. See?
That person comes in and waits. Maybe it's something in their life. They know the plan of salvation and things, but there's something they don't know what to move or do. And they wait there months, waiting for it to happen. See?

E-36 And I had a woman came one time. It wasn't at the home; it was at a meeting. And the woman... I went into the ward where they had the insane in jackets, and that was... Walked in there. And they couldn't be out in the public. They were in straitjackets, and--and some of them had to have guards over them.
And then, when I walked in, a lovely young woman was setting there, pretty young girl. And I said, "How do you do?"
She said, "How do. Are you Brother Branham?"
I said, "I am." And I said, "Well, I just don't know where to start."
She said, "I wish you would start with me."
And I said, "You?" I said, "Are you a patient?"
She said, "Yes, sir."
I said, "This is just for the insane."
She said, "That's what I am." I said... She said, "Would you listen to my story?"
And I said, "Certainly, ma'am."

E-37 And what that woman told me. Young, about twenty-five years old, twenty-two or twenty-five, something like that I judge, a very pretty woman, and looked like would make any man a lovely, beautiful little queen. And she told me that when...
She was raised up in a Christian home. And when she did, she started going with a boy that smoked and drank. And one night there was a spiked drink given to her, not exactly with something to knock her out, but with something that she didn't... Well, she... It was something, a immoral act. She thought she'd throw her life away.
She become an alcoholic; she become a prostitute; she was picked up, and sent to the Good Shepherd's Home when she was only about fifteen years old, Catholic institution, changed her religion from what she was unto a Catholic. Come back out, thought she'd be all right, said the same thing happened.
Then she was picked up. She was getting of age then. She was picked up and spent two years in a woman's penitentiary. And there they thought they had fixed it all right then.
Said when she come out, she said, same thing again started right over again.

E-38 And I said, "Well, now, lady, it's... You're just trying to turn a new leaf. That--that won't work." And I said, "It may sound old fashion..." I said, "I want to ask you something." I said, "Don't you never expect to be married, and a pretty woman like you, and have a husband, and babies like any ord--normal woman?"
She said, "Yes, but who in the world would have me?" And she said, "What could I promise a man?" Said, "I get temper fits that I'd--I'd fight, and--and swear, and drink." And said, "I'd get on a drunk and wouldn't come home for a month." Said, "What would a man want with a woman like me?"
And I said, "He wouldn't." But I said, "did you ever think that instead of it being just something, as a school, or turning over a new leaf, or something could help you, that it's a devil?"
And she said, "Mr. Branham, I've always believed that." She said, "Now, they say I'm a delinquent person."
I said, "I don't believe it. I believe the devil has got a hold of you."
And she said, "I've always believed that."
I said, "Now, the only way to get rid of a devil is in prayer." And I said, "Now, let's get down and pray."
And she prayed. And she prayed there awhile. I prayed with her, and she looked back up, and she said, "Oh, Mr. Branham, I--I believe I'm going out of here to be a different girl."
I said, "No. You're going to go out the same way you come in. See? You're just simply taking it on a mental conception." I said, "You've got to get down to business, sister, with God."

E-39 And we got down there, and started praying. After while she struck something. Then she turned, and the tears running down them cheeks out of them big brown eyes, she said, "Brother Branham, I'll never do that again." Oh, she'd found something then.
She's married now and got two or three children. She's never drank from that day since. She's never smoked. See, something happened.
But you see, it started when she was just a girl, a wrong act. A little boy, maybe a little modern Elvis with a block haircut, and--and out there thinking he's so cute, or something like that. And the first thing you know, get him a girl wound around him like that, and then do a trick like that. That's a modern Judas. That's right. Now, she didn't aim to, but it started as a child.

E-40 The drunk, I've met many of those that said, "Brother Branham..." down the skid rows and so forth.
When I was in New York not long ago... I won't have time to tell it, but how that I picked up a drunk. He was the president of a bank that I could look at from where he was. Said, "I come home one night. I found a 'Dear John' letter. I thought I'd drink it away. Here I am. Could you give me a quarter to get a drink?" And there you are. They didn't aim to do it.
The cigarette smoker, that woman that smoked her first cigarette, she didn't mean to become a tobacco worm. That boy, the first time you smoked that little corn-silk cigarette, you didn't mean to become a cigarette fiend. The first little sociable drink you taken, you didn't mean to become a drunkard. See, you don't mean to, but it started because somebody influenced you to do it. That's it.

E-41 Oh, of the stories of these thirty-one years around the world, and around, and around, hearing the confessions, and things, that'd raise the--the hair on your head. To think of--of the things that, hear them confess of what they've started, how innocent they was, and how beautiful sin looks, and how attractive it looks to be. But it's--it's a way of death. Don't go in it. Whatever you do, shun the very appearance of evil.

E-42 The liar, he never... He thought he'd tell a little lie to his mother. He went and eat some coffee, and--and went and blowed his breath in his mother's face.
"See, I--I never... I--I never smoked, mama." But you lied.
A red light flashes, "Don't do this, little boy." It's not easy to go to hell. You have to fight your way to hell. Every time you do wrong, there's a little red light drops down in you, and the countdown comes. "Little boy, don't do this. Little girl, don't do that." See, it's something happens in you. But you fight right over it.

E-43 You pass by the church, and you hear the people singing the Gospel songs. You really want to go in. But oh, my, you light up another cigarette and shake your head. What are you trying to do? You're fighting your way right through every barricade.
God don't send you to hell, you send yourself to hell. Break every barricade, run every stop light trying to make yourself go to hell. And then say God's good and won't send you to hell? You're sending yourself to hell. That's right. God sends nobody to hell. It was created for the devil and his angels, not for you. But you fight your way right into it, men and women do.

E-44 You see them wonders of God. Some people would do that. And just because of theology, some church creed or something, you'll walk away and shun God to keep from receiving the Holy Ghost. You see people down at the altar praying, see them women get up, and men, and their faces washed with tears, and screaming, and walking up and down the building, some of your friends on the outside laughing.
You say, "If that's new birth, I don't want nothing to do with it. Our church believes in new birth, and we just put our name on the book." You're afraid of It.
Let me tell you this. I don't care what kind of a birth it is; it's a mess. If it's in a pigpen, or in a hospital room pink decorated, it's a mess. And the new birth is nothing less, but it takes that to bring Life. You've got to die in order to be borned again. It's true.

E-45 Notice how that God's warns, "Don't lie." Then every New Year you'll sign a pledge, "I'll not do it any more." Oh, you got good intentions. Certainly. hell's paved with that, with good intentions. You don't think that... You think that's the way to do it, just presume that that's the way you should do it. Every New Year just say, "Well, I'm going to make my New Year vows. I'll write them all out." And before two days is up, you done broke half of them. See, you can't do it.
Throw away your pack of cigarettes and watch where they light. Throw your bottle out somewhere and be sure you don't break it. Set it up on a shelf and say to wife, "I ain't going to do it no more." Say to husband, "I'll never drink no more."
But you watch what you do with it, 'cause you go right back to it, like a hog to its wallow and a dog to its vomit. It's got to take something different. You got to die out to the creature that you are. See? Yes, sir.

E-46 It starts off as an innocent child, maybe in a good Christian home. But there was somebody who come along. Some little sneaker come along and twisted you off of the right road. You can mark the time when it started, when you first started lying, when you first started stealing, when you first started drinking, when you first started doing anything was wrong.
Before you can ever accept wrong, you've got to deny the right. You've got to deny right before you... You've got to deny God's truth before you can ever accept anything wrong. That's exactly right. Notice. Now, in New Year's, you change and you say, "Now, it's... I'm going to turn a new page." You have good intentions. Certainly. I believe the nation has good intentions.

E-47 I can just barely remember as a little boy about five years old, when the First World War broke out. I know my father came up the road driving two horses in a spring wagon, and he had a sack of beans and some flour (he'd been to the grocery) setting on the seat. And I heard him, got off the wagon, and come in.
And mother said (way down in the city miles below), said, "I heard the whistles all blowing."
He said (her name was Ella), said, "Ella, they've declared war." And he was about twenty-two years old; said, "You know what that means? I'm going."
And I picked up that sack of beans. I said, "They come after my daddy, I'll hit them with this sack of beans." I was--I was so little, but I...
He said, "Now, they tell us, if we'll go on overseas and fight this war, there'll never be no more wars." And said, "Here's Billy. He may have to go someday. There's Edward. He might have to go. There's Melvin. He might have to go." And said, "If I go and help fight and get them get free again," said, "they tell us there'll never be no more wars. And it'll settle wars when they have this great World War."

E-48 They had good intentions when they were saying that, but they come right along again with another one. Yes, sir.
They formed what they call the League of Nations after while, a police. They said, "We've got the idea now (good intentions). We got the League of Nations. And when we do, we'll police all the world by that." You can't do it. It fell right through.
They've got the U.N. now. It ain't worth the charter it's wrote on. That's right. Certainly. When they won't accept prayer, and take every other way out but the way of God, well, how--how long can it last?
They got good intentions, but it just don't last. It certainly does not. It'll fall to its bottom, and go into history to dust. Well, you see where it is right now. The whole world's a shaking, and what good's the U.N. doing? It's just a name. That's right.
No nation was ever made to rule over another. God made man, and man made slaves. We're not to be slaves; we're to be brothers. That's what the Gospel teaches us: to be brothers.

E-49 Here come along the church with good intentions. They thought, "We'll make the--this great denomination. We'll educate our preachers. We'll have them very polished and everything, and they'll learn the people, and there'll not no more be illiteracy in our country."
And what did we do? We got a bunch of educated heathens, unbelievers again to the Word of God. Everything that... Man has always tried to achieve something by himself. He's never been able to do it. Nimrod tried to make a tower that he could climb into heaven. It fell into dust. Nebuchadnezzar built a city. Immortal, eternal, he thought. It went to dust.
The Americans, jealous of their sister England, built a ship called the Titanic that couldn't be sunk. God with His mighty hand showed the world it cannot stand.
The French thought they could live in sin and make the Siegfried line. What good did it do? Germans walked right around behind it and took it.
Germans built a Maginot line, said, "We've got something that nobody can get into." And the Americans blowed it out with bomb-busters. Right. It goes to show that man's achievement amounts to nothing, because he's corrupt in his thinking, and he cannot stand. What is it all? There's something in there shows there is an eternal city though. That's right.

E-50 Young married couple, when they got married, I've had them on confession. Many times catch them in the prayer line, and they say, "Well, Brother Branham, John and I got married. We was going to make a home. And it was all right, till one day an insurance collector (or a--or a book salesman) come to the door, and--and he asked if I could come in just a--if he could come in for a few minutes. I just let him." And from that time (See?), there it started.
A man can say, "Brother Branham, I had a good wife. I--I had a good family. And one day we hired a new office girl."
"I was down in the park. I met a little lady, she had on shorts. She walked up to me..." From that time. See?
There's a time where you start. Yes. There was a time when all this stuff started. There was a time when death started. That's when Eve, strolling one day down through the garden of Eden met Satan. And Satan... When God had His--His church...

E-51 When men go to war they study things to--to combat. When they first put the helmet on a rookie, he thought that was the awfullest thing he ever had, and pack a ninety-pound back--a pack on his back. But when he got out there in battle, he needed every implement.
When he put a helmet on him, that mean he was going to have--need that helmet, because there's going to be shrapnel. He never had it before, but he had to have it then, because it was needed. They'd studied it.
Each year they study something different, get something greater, because the old becomes obsolete. Our fine planes that we had in the last world war are junk, billions of dollars worth of them. The old steam engine's obsolete. Certainly. The guns that we used, first, the old Krag Jorgensen, and then the--the Springfield, and then up to the modern Garand. And now it's an atomic missile. They're all obsolete. We're trying to find, keep finding something better.
But when God begin to fortify his man, He gave him the best thing, and he never has to change no more. He give him His Word. Amen. There's his fortress: God's eternal Word.

E-52 And when the enemy come around, spies... We got English spies here, and--and we've got spies in England. All over the world we got spies, and they got spies from all over the world in here. What are they trying to do? Find what we've tried to achieve.
And the devil works the same way. He comes in to try to find something, what God has did, and then try to find something to counteract it. But God never has to change His, because He give them His Word at the beginning. He's infinite. He cannot change. And It's still His Word today: never changes from His Word. There He is in His Word. His church is fortified by the Word. His first person was fortified, Eve. But when she stopped just for a minute to listen to Satan's tactics...

E-53 What is the tactics of Satan? Reasoning. "It's just reasonable." And when you hear anything that reasons against the Word, get away from it. It's the devil. I don't care how old fashion it is, how strange it looks, when God said so, that settles it eternally. Get away from anything that reasons against the Word.
"Oh, it's reasonable today we don't need Divine healing, because we got fine doctors." Get away from that.
"It's... "Oh, just the twelve apostles received the Holy Ghost. It..." Well, why did Peter say "It's for you, and for your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call?"
A fellow said it was just for back there. I said, "You're too late. I done got it down here," so--so we--so we know it's right. See? Anything that reasons against the Word of God... Said, "These signs shall follow them that believe." How... "Go ye into all the world, preach the Gospel to every creature. He that believeth (in all the world at all times), these signs shall follow them that believe." How far?
I can show you where God put Divine healing in the church. Now, you show me where He took it out by the Word. See? The miracles and signs, and the Holy Ghost, He's the same Jesus yesterday, today, and forever. Certainly.

E-54 Now, notice. If--if Satan could ever get Eve just to reason that that Word was... Said, "Now, surely you'll not die. Oh, sure, God has said... That's exactly right. But surely..."
That's the first thing that he won by, and that's the thing he still knocked the human race down by: reasoning. He kills the human race by reasoning against His Word.
And great seminaries and things raise up, and they put their minds together and reason, and things like that. I don't care how many minds there is, let every man's word be a lie and God's be the truth. Right.

E-55 Notice. God deals with an individual. And notice, but every time there's a certain thing, from that time. From the time that Eve listened to the reasoning of Satan, death came into the world and has reigned ever since. Remember, don't forget that spot that Eve...
There was a time when there was no death on earth. There was a time when men didn't have to die. But because that Eve reasoned, listened to Satan's reasoning against God's Word, death begin to reign from that time on. And it reigns yet today. But let me say this: in the face of all of it, there is a time, and a thing that can happen that will never change. It's eternal.
There is something that can happen in a human life that can never change, that is eternal. That's when a man meets God. That is eternally settled, when a man meets God, and's borned again of the Spirit of God, he has Eternal Life. Now, we believe that with all of our heart.
And remember, when that man, a human being, or that woman, that boy, or that girl, ever meets God and is changed, he's never the same. He's changed from that time on. That's right. He will never be the same. No matter, he might get away from God, but God will never get away from him. Everywhere you go, you'll be haunted day and night if you ever meet God, till you come back again. That's right.

E-56 A backslider is the most miserable life there is. And so, it'll haunt you day and night. How many times have we heard their confessions and things, how miserable, how wretched, all that. If they did... They know they have to reap exactly what they sowed. And remember, you plant one grain and get a whole ear full of them. See? So we know that there is going to be plenty of reaping for what sowing you done. And... But the man that ever meets God is never the same. Let's take a few men now, before we come to the spot we want to.

E-57 Let's take, for instance, Abraham. He was just an ordinary man. He come down from Babylon with his father, and he lived--dwelt in the land of the Chaldeans, in the city of Ur, probably a farmer, an ordinary man. He was no special man. He was just a man, and he found grace in the sight of God.
And God told him when he was seventy-five years old, that He was going to make him to be a father of nations, and that He was going to give him a child by his wife Sarah, who was sixty-five years old at that time. And Abraham believed God, and it was imputed unto him for righteousness.

E-58 Abraham was changed. And look, when a man meets God... God called Abraham, and He told him He wanted him to separate himself from all of his unbelieving kindred. And when God calls a man to work for Him, He calls you from total annihilation from all the things of the world, and the sins of the earth: separation.
God never did bless Abraham till he fully obeyed Him. He took his father. The old man was always a--a hair in the soup or... excuse that expression. But he was always wrong, and Abraham... And then he got Lot. And then he finally went down there. And after Lot separated himself, then God said to Abraham, "Rise and walk through the land. I've give it all to you. It's all yours." See? He never fully blessed him till Abraham fully obeyed.
And you'll never be able to get anything from God, and have favor with God, my brothers and sisters, wherever you are, until we fully obey the Word of God. You make yourself miserable by just half-heartedly approaching it. Yes.

E-59 But when Abraham met God, he was a changed man. He was from that day on. He acted kind of funny, run around... I can imagine Sarah, going around sixty-five years old, made some little booties, and--and got some of the Birdeye, and a bunch of pins, and said, "Well, we're going to have the baby."
And then when the regular time come around. I can hear Abraham say, "Darling, how are you feeling? It's about that time."
"No different."
"Glory to God. We're going to have the baby anyhow." Two months passed, "Darling, any different?"
"No, not no different."
"Glory to God. It's a greater miracle than it was last month. We're going to have the baby anyhow."
Five years passed. "How you feeling now, dear?"
"No different."
"Hallelujah. We're going to have the baby. It's five years more miracle. Glory to God."
Twenty-five years passed. "How you feeling, Sarah?"
"No different."
"Glory to God. We'll have it anyhow."
"How do you know?"
"God said so."
He met God and was a changed man. "He staggered not at the promise of God through unbelief, but was strong, giving praise to God." Now, we're supposed to be Abraham's seed if we have that kind of faith. What God says is the truth. When a man meets God, always His Word is the truth. If a man that says that he believes God, and denies this Word, there's something wrong; 'cause the Holy Spirit is God, and the Holy Spirit wrote the Bible. And how could the Holy Spirit be in here, and wrote the Bible, and then turn around and deny It? Something wrong somewhere.

E-60 I'll tell you, a genuine Holy Spirit experience will punctuate every sentence of that Bible with a "Amen." Right. Regardless of what anybody else says, it'll certainly do it, because It's the Spirit of God, the Writer of the Bible. And the Spirit--the Spirit of the Word is the Holy Spirit. That's what quickens It. The letter killeth, the Spirit giveth It Life (See?), gives the letter, just the printed letter, Life, makes It manifest, brings It to pass exactly what God promised.
Abraham was a changed man, strong, all the time giving praise to God. No matter how much he did, he staggered not at the promise of God through unbelief. Why? He met God. He was a changed person.

E-61 One time a runaway prophet in his intellectual conception of what God was, knowing that he was a called man, had all... He could even teach the wisdom of--of Egypt, he could teach their teachers wisdom. But run away, married a beautiful little Ethiopian girl, living out there behind the desert, all settled down, the burden of the people was gone.
That's what's the matter with the churches in the world today. We've lost the burden. There's no more prayer meetings. There's no more... Seems like it's dead. I am not scolding. I'm just making a true statement, brethren. And you all know that. You see it in your churches. We... It's something's happened. There's just no interest no more. Something's wrong. The fire's went out. In the old Roman temple of Vesta when the fires went out, the people went home; business was over. Oh, kindle the fires again, the fire on the altar of our heart. Yes. Oh, get God back in our midst. "Get God back," is our cry.

E-62 Now, Moses done lost the burden of his people. He'd failed with his intellectual conception of the Word. And he's walking around on the backside of the desert one day, and there was a Fire in a bush. That Light that had followed him was in the--was going to follow him was in the bush. He walked up to the side of that bush took off his shoes, and a voice said, "I have seen the affliction of My people." There's somebody still interested. That's God.
He said, "I've seen the affliction of My people. I've heard the groaning, the reasons of the taskmaster, and I'm come down. I remember My promise." Hallelujah. He can't make a promise unless He remembers it. Amen. He always... God eternally remembers His promise. God makes a promise, God always remembers His promise. He said, "I remember My promise to My people, and I've come down to deliver them. And I'm sending you." Amen.
Moses said, "Who am I?"
He said, "You're going."
Said, "But I can't speak."
He said, "Who makes man to be dumb or speak?" Amen. Don't reason with God. Just take His Word.
Let me tell you, one day there He said, "Surely I'll be with you."
He said, "Show me Your glory."
He showed him Divine healing, showed him how to perform a miracle. He was ready to go. Yes, sir.

E-63 Now, look what a difference. One day a defeated intellectual giant on the backside of the desert with a--with a domestic job of feeding his father-in-law's sheep. And the next day we... I tell you; when you meet God, it does something to you. It makes you act crazy to the world. Look at him the next day. He takes his wife, Zipporah, sets her a-straddle of a mule, and a young'n on her hip, and his beard hanging down about like this, and his bald head shining, a crooked stick in his hand, the whiskers blowing, hollering, "Glory to God. Glory to God." Old man eighty years...
"Where you going?"
"Going down to Egypt to take over."
"What?"
"Going down to Egypt to take over." A one-man invasion... Why? He'd met God. And the strange thing of it, he did it. He took over.

E-64 God only wants one man that He can fully get in His complete control (That's right.), one man that'll fully surrender to Him. "I'm going down to take over." What a ridiculous thing. An army, like in them days, had the whole world conquered. A bigger army than it would be today, like going to meet Russia. Had an old crooked stick in his hand.
"What are you going to do it with?"
"This stick and the power of God. Here I go," the whiskers a blowing back and forth, and an old man eighty years old.
Why didn't he do it when he was a young warrior? See, God had to knock all that intellectual out of him. He had to take him on the backside of the desert, and mash him down, and crush him down, and bring him back, and appear to him, and show him what He was, and He was... When he met God he was a changed man. Kind of makes people today act kind of funny too, when they really meet God. But they know where they're standing.

E-65 Reminds me of when we used to brand calves. My mother used to say... When we used to ride the round up, we'd brand them calves. She'd say, "Oh, Bill, how can you."
I'd heat the irons a lot of times, pack the irons. I couldn't have nerve to put it on the calf, but... He said, "Why are you doing that?" Said, said, "That's horrible." Said, "What do you do?"
I said, "Well, we just hog-tie him, hold him down there, and slap the branding iron on him." And I said, "Just burns right into his skin, and put a little tar on it, and turn him loose." I said... "He has a running fit almost. He just kicks, and hollers, and bellows, and goes on. But brother, he knows who he belongs to from then on." That's exactly right.
That's the way it is by the Holy Ghost. If God can ever get you still long enough to put a brand on you (Hallelujah.), seal you into the Body of Christ by the Holy Ghost, you know where you belong.

E-66 We're living in a great day of hybreeding. I was reading a piece in "Reader's Digest" not long ago, this hybrid stuff. I was coming down, I seen it said, "Hybrid corn," great big corn, fine ears. It's no good. It ain't worth nothing. It's a damage to you. Hybrid beef, hybrid; everything's hybrid, hybrid, hybrid. It's no good. Take your hybrid corn, try to plant it over again, see what you get. It's no good.
Even they got hybrid religion today too. That's right. That's true. They took it at a denominational confession instead of a Holy Ghost experience: hybreeding.
What does hybrid does? Makes a better looking ear, but it ain't got no life in it. That's the way it makes a better looking church, but no life in it: hybrid. That's right.

E-67 Science disprove their own, or prove their own theology, that man came from a single cell, by doing it. He can't evolute hisself up higher and higher, because as soon as he once crossed his breed he's done right there.
You take a mule. A mule is the most ignorant thing there is. I always felt sorry for him. There he stands. And look, he--he don't know who his papa, mama was. His mama was a horse, and his daddy was a jack. So he don't know who he was. He don't know whether he's either a horse or a jack. He don't know. He's a cross breed. He can never breed himself back. He's finished.
Like some of this mule religion we got today. A mule is a--a lowest down thing. He will set and you say something or another, to him like that, and he will stick his ears out and "Haw, haw, haw." See? He don't even know what... There's no gentleness to him. He's just a mule.
You can set and talk about God's great signs and the Holy Ghost. Them old mules setting out there say, "Haw. Days of miracles is past. No such thing as the Holy Ghost." You cross-breeded intellectual... I'm not getting mean, but I'm just telling you what it is. Oh, he don't know who papa or mama was.

E-68 But oh, I like a real thoroughbreded horse. Oh, he's gentle. You can teach him some sense. That... I like a real thoroughbreded Christian, that's borned again of the Holy Ghost, not one was Methodist yesterday, Baptist the next day, and Presbyterian the next day, and something else this day, every time something goes wrong in the church. But a genuine Holy Ghost borned again, he knows who his ancestors was, he knows who his papa and mama was, he knows where he come from. He's borned of the Spirit of God. Hallelujah. You can flash the Word of God upon him and quickly he sees it. Yes, sir. "Amen." he says. Now, what a fine thing he is, a specimen. But all this here hybreeding...
Yes. Moses, being a thoroughbred Christian now, a believer, goes down into Egypt, acts strange, very strange. But he knows what happened, because there was a time where he met God. Yes, sir.

E-69 There was a time also when... I'm thinking of a--of somebody else that met God: was a little virgin. She had something to believe: Mary. Never been a baby born in the world without a father and mother. We know that. So we find out that Mary, a little virgin, on her road down to the well one day, a great Light shined before her. She looked, standing there in the Light, and there stood Gabriel, the Archangel. Said, "Hail, Mary. Blessed art thou amongst women," and told her just exactly what was going to happen.
A few days before there, He had met a priest, and her cousin's husband, Zacharias. And he was standing at the altar waving incense, and Gabriel appeared and told him that he was going home to be with his wife and have a child, and was going to call his name John.
That priest said, "How can this be? I'm too old. It can't happen. No, it can't happen."
He said, "I'm Gabriel, that's sent from the Presence of God. My Word will be fulfilled in their day. You'll be dumb till the baby's born." But here He comes to this little virgin.

E-70 Now, Zacharias would've had a... would've had plenty of--of examples, for he'd found out that there was Hannah. She had a baby when she was old. Sarah had a baby when she was old. Plenty of examples in the Bible, but still he was callous from it. But Mary had to believe something that'd never happened, but she had met God. Said, "How will it be?"
He said, "The Holy Ghost will overshadow you. And that Thing that will be born in you will be called the Son of God."
She said, "Behold the handmaid of the Lord." What? She had met God. She couldn't hold her peace. I imagine she took that jug back to the house, and took out testifying everywhere, and her little cheeks flushing, saying, "I'm going to have a baby. I'm going to have a baby," up into the hills of Judaea.
She heard about her cousin, Elisabeth, was going to have a baby up there. And so, I can imagine... You know, she'd kept herself penned up now for quite awhile. She was about six months with Elisabeth. There's six months difference between John and Jesus. And so, she'd been penned up for about six months, stayed in, not like some of these women today.

E-71 Excuse me. You'd listen to your doctor, and I'm your brother. But see, these women that's to be mothers out here with these little shorts on, and... It's a disgrace to humanity. Honest, I don't believe a dog would do that. And there, these women out here acting like that... It's--it's the most pitiful thing I ever seen in my life, most ridiculous thing.
And then some boy see your girls out like that... And then let them insult them. And then you want to send them to penitentiary. You're the cause of it by sending her out like that.
And you men let your wife go out like that. Shame on you. The matter, ain't you got no more respect for your wife than that? Now, no, I don't want to get on that.
Notice. That's a bad thing for me. Now... I lose too many friends. But I know I'm staying in friendship with Christ, because it's written right here. That's exactly right.

E-72 And here, Elisabeth had hid herself. And then when little Mary... I can see her coming up the path, hard as she can, you know. And Elisabeth was back there making little booties and crying, because little John, you know, is--is six months, and he was dead. He hadn't never moved in the womb yet.
Here come little Mary up, and she runs in. And Elisabeth pulls back the curtains in the little adobe window up there and sees Mary coming. So they were cousins. She run out to meet her, and throwed her arms around her, and said, "Oh, honey, I'm so glad to see you."
"Oh, I see of course you're to be mother."
"Yes, I'm to be mother." Said, "But I--I'm a little scared." She said, "It's six months with me as a mother, and there's been no life yet, and I'm just a little bit worried."
Mary, with her little eyes a sparkling, little sixteen or eighteen-year-old girl, said, "I'm going to have a baby too."
"Oh, you and Joseph is already married? I'm glad to hear it."
"No, we ain't. We're just engaged. We never been married yet."
"And you're going to have a baby? What's the matter? What about this?"
She said, "Yes, I met Gabriel, the Angel. I met God. And He told me that this holy Thing will be called the Son of God. And said I should call His Name Jesus."
And just as soon as... The first time that that word "Jesus Christ" was ever spoke out of a mortal lip, a little baby in the womb of--of Elisabeth become alive, and begin to leap and jump for joy. That's right.
And her faith... Said... She was filled with the Holy Ghost, and she said, "Whence cometh the mother of my Lord? for as soon as thy salutation come into my ears, my baby leaped in the womb for joy."
And if the--if the first time that "Jesus Christ" was ever spoke by mortal lip made a dead baby come to life, what ought it to do by a church that claims to be borned again of the Holy Ghost? Amen...?... Why? They'd met God. Something had happened.

E-73 Oh, sure was that Simon Peter... That man had been taught by his father that when Messiah cometh, He will be a prophet. And Simon was a fisherman. But one day when he walked in the Presence of Jesus Christ, and He said, "Your name is Simon, and you are the son of Jonas. And I'll call you Peter from now on," he knowed that was the Messiah. He was a changed man from that day on. He was going to catch men instead of fish: make him fishers of men. Because he had met God, he recognized It to be the truth. He met Him.

E-74 It was Paul, Saul of Tarsus, who was on his road down: ecclesiastical, taught under Gamaliel, the great teacher; knowed all the ins-and-outs of the Pharisee religion, and so forth. He was on his road down, arresting all those holy-rollers that was carrying on like that, had papers in his pocket to arrest all those that was down at Damascus.
And all at once the great Pillar of Fire swung around him, and he fell to his feet. Oh, he got up a different person. Why? He had met God. Something had changed him right there, when he heard Him say, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?"
Said, "Who are You, Lord?"
He said, "I'm Jesus, and it's hard for you to kick against the pricks."

E-75 There was a blind man one day, setting by the roadside begging. But he met God. He was setting there thinking about... Where old blind Bartimaeus was setting, he was thinking, down there at the river several hundred years ago, Joshua, that great warrior, crossed with Israel there on dry ground in the month of April, when God took His mighty hand and held the waters up. "Oh, if I could only lived in that time, I would've walked down there, and said, 'Joshua, pray for me.' But alas, the priest tells me days of miracles is past."
"Oh, just think. Right down this road, this cobblestone road where I'm at, there come Elijah and Elisha, arm-in-arm, walking down to the Jordan to clear the Jordan up. If I'd only been living here in that day, I'd have walked out and said, 'Prophets of the Lord God, pray for me.' But alas, the days of miracles is past, the priest says."

E-76 "And think, when Joshua was fixing to encamp, encircle these walls around Jerusalem, on one of the stones that I'm now setting on... One day when he was out looking around, watching the walls around, why there come... He seen a Man standing with His sword drawed. Joshua, the warrior, great general, pulled his sword, run towards Him, and said, 'Are You with us, are You with the enemy?'
"He said, 'I'm the Captain of the host of the Lord.' Joshua threw down his sword, took off his helmet, and worshipped at His feet.
"Oh, if I could've only seen that great captain. I would've said, 'Great Captain of the host of the Lord, I'm a blind man. Have mercy on me.' Oh, how He would've done it if it had been... But alas, the days of miracles is past."

E-77 How little did he know, that not a hundred yards from him stood that same Captain of the host of the Lord, for He is the same yesterday, today, and forever. He heard a noise. Something strange everywhere He's at, there's noise goes on.
People said, "You make too much noise." This is the quietest place you'll ever live in. If you go to heaven, even the Angels are singing day and night, "Holy, holy, holy unto the Lord." If you go to hell, it's weeping, and wailing, and gnashing of teeth. This is the quietest place you'll ever live.
And there, when Jesus come by, somebody pushed him down and so forth, and run over him. He went by.
And I can hear the ministerial association, all standing out there say, "Hey, they tell me you're a prophet. They say you raised a dead man. We got a graveyard full of them up here. Come raise one for us, we'll believe you." See, God don't clown for nobody. No, no. He could've... But His precious head set towards Jerusalem and Calvary; bearing the sins of the world, He walked on--overripe fruit throwed at Him and everything else.

E-78 And somebody pushed him right out. I imagine it was a young lady come up, said, "Sir, what's the matter, poor, ragged beggar?"
He said, "Lady, I'm blind. And there's somebody just passed by here, and they were screaming one thing and another. What was it?"
"Sir, I'm one of His disciples. Have you never heard of the young prophet of Galilee?"
"No. What young prophet?"
"Well, you know our law promises that when... There will come one day a Messiah, and the Son of David is coming. And when He does, you know, the great prophet..."
"Oh, is that Him? That's Him? Then He's raised up?"

E-79 He couldn't have heard him with all that noise, thousands. If you go there at Jericho and see where he was setting, and where Jesus was when He stopped, it's impossible for Him to hear him.
But his faith stopped Him. "Oh, Jesus, thou Son of David, have mercy on me."
With all the screaming one thing, and another one, "Hail the prophet. Hail the Son of God."
And the other one saying, "Away with the impostor, Beelzebub, fortuneteller," so forth, all that mixed crowd.
But his faith...
And the Bible said, "Jesus stood still." Oh, I hope to preach before I leave here on "Jesus stood still." Oh, my. Someday time will stand still. And He stood still. His faith touched Him, one little old blind beggar. He turned around, and He asked, request what he wanted. And he said, "That I might receive my sight."
He said, "Your faith has saved you." Hallelujah. From that time on he could see. Why? He met God.

E-80 There was a maniac one day up in Gadara, who was cutting himself. And they bound him in chains, and his power of ten times an ordinary man could break the powers of them chains. I always thought, if he was so perfectly under the influence of the devil... When the devil takes a hold of a person insane, it takes men and men to hold him. He breaks them chains, completely surrendered to the devil. If he could break chains, how much more could we break, completely surrendered to God? How much more powerful is God's power than the devil's?
There he was, this poor maniac. And he was always out there in the graveyard, cutting himself with stones, and attacked everybody. But one day he met God. Things changed for him. After that he was clothed in his right mind. Why? He had met God.
A leper stood by the gate begging. One day Jesus of Nazareth passed by, and he said, "If Thou will, Thou can make me clean."
He said, "I will. Be thou clean." And from then on he was clean.

E-81 There's a little old immoral woman, as we talked of last night, slipped out to the gate--out across the gate, and out to the city well to get some water one day. Down in her soul laid a--a Scripture that when that Messiah come what He would be. And she was a prostitute; she was an awful woman. She'd had husbands, and living with one then, not married to him. So you know she was a woman of ill-fame. And when she saw Jesus and heard Him say, "Go get your husband," she said, "I have none."
Said, "You've said well, for you've have five. And the one you're living with now is not yours."
She said, "Sir, I perceive that You are a prophet. And we know when Messiah cometh He will tell us these things."
What did He say? He said, "I am He that speaks to you."
She was a changed woman. Look. When she went into the city... It's absolutely unethical for a woman of that type... Or a man to listen to her. But she had met God. Something had to listen to her. That's right. She'd come in contact with God. Something had to listen.
When a man really meets God... I imagine we could see some of them people here was on these cots last night, and wheelchair setting around here. Ask them today. They come in contact with God. They'll be changed from that time on. Something happened. From the time that God speaks, something happens. Anything that comes in contact with God, from then on it's changed.

E-82 Now, a minute. Death come in contact with Him one time. Right. Now, we're closing. Death contacted Him. You know, the devil never did believe that was God. He always thought It was some just ordinary prophet. But he didn't realize what It was. He didn't know that was Emmanuel, that That was the flesh and body of God, that He was made flesh and dwelt among us.
When he had Him up there on the mountain that day, he said, "If thou be the Son of God, turn these stones into bread." See, that same old devil still lives today. They had Him down there in the courtyard that time. They knowed He could perceive the thoughts of the people, so they put a rag around His face, and took a stick, and hit Him on the head, said, "Now, if you're a prophet tell us who hit you." He never opened His mouth. He doesn't clown for the devil.
Up on the cross... Said, "If thou he the Son of God, come down and we'll believe you."
That same old devil lives in people today: same thing. "If you do, let me see you do this. Let me see you do that."
He said, "I do only what the Father shows Me."

E-83 So one day when they had Him... Let's take a little drama as we close. It's a terrible day. The sun looks funny. There never was a day like that, never will be. Oh, it's a horrible thing. The debt from Eden has to be paid: horrible day. And we begin to notice early in the morning. We're standing upstairs. I hear a noise. Let's go raise the shade and look. Coming down the street I hear something going, "bump, bump, bump." What is it? It's an old rugged cross.
I see a little woman run out in front of them, saying, "What has He done? What has He done but preach the Gospel? What has He done but heal the sick?"
I see a rough hand smack her in the mouth and say, "Set down. Would you people believe that woman prostitute before you'd believe your priest?"
She couldn't speak her piece. His time had to come for something else, the cross dragging up. He had a robe over His shoulders.

E-84 As He starts up the hill, I notice little bitty red spots all over His coat. Wonder what they are? His little weak body, a crown of thorns on His head, mockery spit hanging all over His face, what had He done to deserve that? That's the penalty He was paying for me, for you.
Look at them little spots. Let's watch them a minute. As He drags on up, His little body's frailly, and them whipping Him, and making Him go on, He's pulling this big old cross up the hill. After while I notice all these little bitty spots begin to get bigger, bigger. After while they all run into one great big spot. I hear it splashing against His leg. He's going down. He's getting weaker and weaker.
I can see everything. His disciples gone; who's standing by Him? Nobody, forsaken by God and man. Here He goes up the hill.

E-85 Then I see death walk up and say, "Ah-ha. I got Him. I've proved that He isn't God. I've tempted Him. I took out there... If He'd have been God, He'd have turned them stones to bread. How could He stood there in that yard, and let them soldiers spit in His face, and put a rag around His face, and tell Him to tell who hit Him. Why, if He'd have been God, He'd have knowed that. I know He isn't God." He never did believe it.
As He goes up the hill, I see that bee of death come out, go to buzzing around Him, sting Him--to sting Him, humming around Him. The first thing you know, it begins to wonder. What was it? Death was coming around, a buzzer, like an insect, a bee.
But you know what? If a bee ever anchors his stinger deep, he pulls his stinger out. He can't sting no more. He had anchored it in many a prophet; he'd anchored it in many a righteous man. But that time, when he anchored it in God, he pulled his stinger out. Death lost its stinger.
No wonder one coming later, said, "Oh, death, where is your stinger? Grave, where is your victory? Thanks be to God." When he anchored that stinger of death in Emmanuel's body, it pulled the stinger out.
And today we can walk in the face of death. And the bee can buzz and make a noise, but it never will fright us. No, sir. He has no stinger. The sting has been gone. Why? Death met God. And when it met God, it took the sting out of death. I'm glad to meet Him. Aren't you glad? Let us pray.

E-86 Heavenly Father, when I think of that Blood pouring out of Emmanuel's veins, the old rugged cross dragging out the footprints of the bearer as It goes up Calvary... Satan, seeing that old mockery, gobbish spit hanging on His face, he said, "That can't be God. That can't be Emmanuel. So I'll stick my stinger in Him. I'll have Him pretty soon."
But oh, how he lost then. When the sting of death contacted God, it lost its stinger. I'm so glad today, Lord, knowing too, that I've got to come down to that road. But death will lose, done lost its stinger.
I'm free tonight. Hallelujah. I'm so glad that I'm free. The sting of death is gone. Death may come and buzz; it may come and threaten me; it may come to pull me away. But like one writer said, "God harnessed it to a buggy. It can only pull me in His Presence where I long to be," where every believer longs to be.
So death has no stinger. It become a victory. Thanks be to God Who gives us the victory through Jesus Christ.

E-87 While we have our heads bowed, everyone in prayer, how many in here that knows if you were dying tonight that you've never come in contact with God so definitely till you could take every word for being His Word, and that you're obeying every Word, and you know that if you're doing wrong, you know that death would have a sting for you, 'cause you'd wonder whether you'd really be saved or not?
I'm not going to call you up to the altar. I'm just going to ask you where you are. If you will, and believe tonight, that God will take away that sting of death from you through Jesus Christ, and you want to accept it that way, raise up your hand; say, "I want to meet God."
God bless you back there, sonny boy. God bless you. God bless you up in the balcony. God bless you down here. Up in the balconies, God bless you, young man. God bless you way back there. He sees your hands. Everybody praying. That's an altar call. God bless you, setting here, sir. You might've done a many good thing in life, but that's the greatest thing you ever done.
Remember, when you raised your hand you broke every scientific rule. Science says that gravitation has to hold your hand down. But you raised up your hand, showing that there's a power in you to make a decision. And that you did, raised up your hand. Mean that from your heart, and something will happen.

E-88 Someone else raise up your hand, say, "Remember me." God bless you, sister. God bless you, sister. God bless you, brother. God bless you. That's good. Up in the balcony again, let's get way up there. How many up there? Oh, soul, church member that don't know God... God bless you, little man out here in front.
Somebody else? Raise up your hand and say, "Oh, all I know, I belong to church. All I know, I've shouted. All I know, I've spoke with tongues." Oh, brother, I've heard devils dance in the spirit, and speak in tongues, and shout, and that--that don't. "By their fruits you shall know them." Certainly.
The rain falls on the wheat and the weeds together. Certainly. They both rejoice at the rain (That's right.), makes them both happy. And it falls right in a bunch on the hypocrite and on the Christian too. But if your life doesn't come up with God's Bible, then you'd better put your hand up and say, "God, be merciful to me, and make me what I ought to be. His grace can make me what I ought to be." God bless you, young man, God bless you, lady. That's good. God bless you.

E-89 Don't want to hurt your feelings, but how can you women set here and know that the Bible tells you that it's wrong for even you to cut your hair, that you dishonor your husband when you do it? You prove yourself as a woman of the street when you do such a thing. And because of the Angel, you should have long hair. What Angel? The Angel of the covenant, the Angel, the messenger of the day, the seventh Angel which is sounding today. Then still know that you're wrong? Your Adam might've let you go ahead and act wrong, Eve, and say it don't make a difference. It certainly does make a difference. You... Every commandment of God is right. Eve only turned her--just aside for a minute. If you're wrong, admit you're wrong. Your own life proves you're wrong.

E-90 Someone got after me, not long ago, said, "Brother Branham, why do you say that to them women, about their dressing?" A great man. Said, "I'll lay my hands on you, and pray for you."
I said, "If you let me lay my hands on you and pray for you..." I said, "Listen..."
He said, "Why don't you leave them women alone? People regard you as a prophet."
I said, "I'm no prophet."
He said, "People regard you as that. Why don't you teach them how to get great spiritual gifts and things?"
I said, "If they haven't got the common decency to learn their ABC's, how do they--will know how to learn algebra if they don't even take their ABC's?"
ABC is "Always Believe Christ." Take His Word first. Let it be first in your life. If you can't do that, how are you going to learn anything else? How's the Pentecostal church ever going to rise above things that it knows, that'll lay in your way as long as you live? Now, you mark it and find out if it doesn't.
Remember, if that don't haunt you as long as you live... And if one sin kept Eve, or made all this... Every sickness, death, and sorrow come from one woman just reasoning it was all right.

E-91 It's your American privilege, you say. Oh, yeah. If you're a lamb, a lamb forfeits his rights. He don't have but one thing: wool, and he forfeits that. If you're a lamb you'll forfeit your American rights to serve God.
Say, "I can dress the way I want to. It's none of your business."
It's not me, brother, sister. It's the Bible. God made a man, and made him dress like a man, made a woman to dress like a woman, made them act different, and made two covenants with them, and everything else. It's always been.
The light has come. Your Adam might let you get by with it. But brother, God won't, 'cause that's His Word. Now, you men set around and do such things as that. Aren't you ashamed, brother, deacons? Men who say they're men of God act like that, when... That's--that's just the very first primer lesson of it. How can you go into deep things of discerning the Spirit and things like that, if you don't even take the first things?
Meet God, and find out what's different. Find the difference. It'll make you act right. It'll do something to you. It'll change you. Now, the Bible says that.
You women wouldn't put on manicure, or makeup, whatever you call it, for nothing. The Bible says nothing about that. But look what you're doing now, something the Bible does say not to do. See?
You... Probably you men wouldn't get drunk for nothing in the world, then have two or three different wives living, be deacon in the church.
Proselyting, "Compass seas," Jesus said, "to make one proselyte..."

E-92 You say, "That's an awful way to make an altar call." Brother, if people don't come by the Word of God, what's these pathetic stories? You got to come recognizing you're wrong.
Now, are you willing under the power of God, under your own condemnation, to say that "I'm wrong; I raise up my hand. Look at my own life and see that I'm wrong. I'm a church member. I go to church. I try to be loyal, but I see I've made... I missed the mark. I'm ready to surrender and say that I'm coming back to the Bible grounds of this thing. I raise my hand." Raise up your hand. God bless you, sir. That takes decency.
God bless you, lady. God bless you. God bless you, sir. That takes real men. Someone else? God bless you, my brother. That's right. God bless you. There's at least three hundred people here should do that. That takes a whole lot of them. But God bless you, sir. That's honesty.

E-93 Say, "I'm just making my decision. I'm saying right now, 'From now on, God, I'm going to be branded inside and out. I'm going to be a real Christian. I'm going to believe all this Word. Or, I ain't going to believe any. I'm going back in the world."
You'd be better off. That's right.
You can't tell Christians from the rest of them. They're all just about alike. What's supposed to be the church is getting such a bad shape. Come on. God's got to get a Bride ready (exactly), making Her ready. "The hour of the... has come, and the Bride has made Herself ready." Are you ready? Are you ready? I ask one more time. In Jesus' Name, are you ready? Thank you, sir. God bless you.

E-94 Our heavenly Father, these who have raised their hands, some two dozen or more, let them have peace. Let them know that You're ready to pull all the guilt of sting out of it, and to set them free tonight with the Holy Ghost. God, bless these churches.
Here's a fine group of people, God. They set here for so long, listening, waiting. Then why does Satan come right around and blacken their mind, just when the time comes for them to accept? And You've proved Yourself so definitely here. How can it be?
But God, let no man's blood be upon my hands. I am free. I pray, Father, that You'll grant the mercy of God upon these. I give them to You as sincere seed that the light of God has shined upon. Life struck quickly, and they raised their hands, and said, "I'm wrong. I recognize it. I'm ready to do right. I've done wrong, and I'm ready to mend my ways right now, and come to God." Grant, Father, that they'll grow into great statues of Christians.

E-95 We hear tonight about so much decisions. What good is stones without a stonemason? People wants more members in their church. Will you make a decision, roll up a stone? That's a confession. Certainly. But what good is that stone, if there isn't a stonemason there with a sharp two-edged Word of God to shape it into a son or daughter of God, to make it fit into the building? We need stonemasons, stonecutters by the Word of God, to cut the confessions into real genuine pillars of the church of God. Grant it, Lord.
May the sharp knife of God circumcise all the world away from every one of us, and make us new creatures in Christ Jesus. The hour's coming. Little do people know that these hours are here, great things are going on. And now, the people has...
Just like people of long ago, Lord, they've passed them, and they didn't know it.
Grant that every one of these will be saved. May they find some of these fine churches here, these ministers. Maybe if they belong to one of them, may they go to their pastor, and say, "Pastor, I've been wrong. I'm straightening my life up. I'm coming now to be a real member of your church. I'm coming now to be a light. I'm not going to blow so much out the whistle, but I'm going to put it to work. I'm going from house to house, from place to place. I'm going to bring others into this great fellowship of Christ. I'm going to go on the street corners. I'll pass tracts. I'll do anything that I can do.
"I'll talk to my neighbor, my milkman, my paper boy. Everybody that I can, I'll speak to them in a tender, sweetness of the Holy Spirit. I'll be so salty, till I'll make them thirst to be like me." God, grant it. Oh, not like the rest of the world, but be different, changed, made like daughters of God, sons of God. Grant it.
I give them to you in the Name of Jesus Christ. Amen. Now, may the God of heaven look upon you.

E-96 One time... Want to tell you a little story 'fore leaving, because I had to cut so hard. In the south they used to sell slaves. And they'd come by and buy them just like you do a used car on the lot. You get a bill of sale for it, just like you would. Human beings... It never was right. God never intended men to be slaves.
And there'd be brokers come by, and buy big healthy slaves, and breed them to heavier women, and things like that, make better slaves.

E-97 One time there was a great plantation, it was told me, that they had many slaves. And a broker come by, said, "I'd like to look over your slaves."
Said, "I've got about a hundred here. Look them over."
And he noticed them all. They were sad. They'd been brought from Africa. They'd never go back. They whipped them and make them work, because they didn't want to work. They were sad. They were away from papa, and mama, husband, babies, and all. They never would see them no more. They was in a strange land. They never would see their loved ones no more.
But they happened to notice one young fellow there. My, his chest was out, his chin up. They didn't have to whip him around. He was right on the mark every time. That broker said, "I'd like to buy that slave."
He said, "He's not for sale."
He said, "What makes him so much different?" Said, "Is he the boss over the rest of them?"
Said, "No, he's just a slave."
He said, "Perhaps you feed him better than you do the rest of them?"
Said, "No. He eats out in the galley with the rest of them. He's just a slave."
Said, "What makes him so different from the rest of them?"
Said, "I once wondered myself. But I come to find out that over in the homeland his father is the chief, the king of the tribe. And he knows that he's a king's son. He conducts himself like one."
Friends, we're in a sinful world. Women, you're daughters of a King. Brothers, you're sons of the King. Let's conduct ourselves as sons and daughters of the King, right in this world. Don't be like them, fashion after them. We're different. We come... We're from another... We're aliens here. We're pilgrims. Let's conduct ourselves, act different, be different, be like up there in heaven.

E-98 Some few days ago wife and I, 'fore we come out here, went to a supermarket. We found a woman had a dress on. Meda said, "Isn't that strange, that lady?" She said, "Billy, I want to ask you." Said, "I know some of them women. They sing in choirs here in these denominational churches." Said, "Why is it our people..."
I said, "Honey. Look, look. We are not of the world. See? When I go to Germany, Germany has its way of doing. I go to Finland, it has its way of doing. I go to other nations, they have their way." And I said, "America, it has its way."
But I said... She said, "Well, aren't we Americans?"
I said, "No, honey. We're not Americans; we're Christians. We're living here, certainly. As a nation, this is ours." But I said, "We're from above. Then our women must act like up there. We must conduct ourselves like up there. That's the reason we don't act like the people of the world. We're different."

E-99 We should be, friends. We should be different. You know that. I don't mean to hurt you, and I don't mean to hurt your feelings. I mean to only be honest as a servant of Christ.
You can't pull punches. You can't be a--a public puppet, and then be a servant of God. You've got to be either honest with God, or--or sell your birthrights to--to people. And mine's not for sale, and I know yours is not neither.
So let's preach the Word, believe the Word, stand on the Word, live by the Word (That's right.), and be real Christians.

E-100 The Holy Spirit's here. Do you believe that? How many of you has got prayer cards? Raise your hands. It's too late to have a prayer line. You without prayer cards that's sick, needing something, raise your hands, without prayer cards? Have faith. Now, you believe.
Now, looky here. Now, if I happen to call somebody that's got a prayer card, I want you to tell me so, 'cause you'll get in the prayer line. These without prayer cards won't. I want your reverence just two minutes, three minutes. All I could say would mean nothing. One Word from Him would mean more than all I could say in a million years: one Word from Him.
Now, do you believe what I'm preaching is the truth, about men back to the Bible, back to God, and the Word is made flesh in us, dwelt among us here, and the church is shaping Itself and receiving now Its last sign?
We've had miracles and signs, and speaking in tongues, and on up through, on up through. But you remember, the Bible said, the prophets said, "There will be a day that won't be called day nor night. But in the evening time it shall be light." How many knows that Scripture? Sure. All right. Watch.

E-101 Civilization has come from the east and followed the sun west. Is that right? It's at the west coast now. If it makes another move, it's back east again. I'd like to preach on that: When east and west meets. Notice.
The s-u-n dawns in the east, and it travels across the horizon, and sets in the west. The same sun that rises in the east sets in the west. Is that right?
Now, the prophet said there'll be a day that couldn't be called day nor night. It's a dismal day, foggy day. We've had a day of that. Man's knowed enough to join church, accept Christ as Saviour, and to join a denomination. That's just as much light as he had.
But remember, it's evening time now. Civilization's on the west coast, and the same Son, S-o-n, that shone in the east at the beginning is now shining in the west at the end: Jesus Christ the same, yesterday, today, and forever. See? It shall be light in the evening time: Christ coming out, perfecting His church.

E-102 How many knows there's a difference between the appearing of Christ and the coming of Christ? It's two different words. Now's the appearing, the coming will soon be. He's appearing in the midst of us, doing the works that He once did, in His church. Now, you're a part of that church, and by grace you believe. I am a member of that church.
Now, I'm not a preacher. You know I'm not. I have not the education to do it. Sometimes I feel reluctant standing here by men of God, who's called to that office. There are apostles, prophets, teachers, pastors, and evangelists. Not all are apostles, not all are prophets, not all are teachers, not all evangelists. I'm standing here...
But my ministry is a different ministry from a pastor or teacher. I'm--I'm not. And if I say things wrong, brethren, forgive me. I don't mean it. But this is my ministry (See?) to declare Him, that He's here.

E-103 Now, some of you here... As a gift of the Holy Spirit, it's just something... I can't make myself relax. It's just like pulling into a gear. But when He does it, then every spirit is subject. And I watch, and I can only tell what I see. And any Bible reader knows that that's exactly what's promised, and did come in Christ, and promised in the last days, and all we've said about it. And oh, my, I've got five hundred and something tapes on different sermons on it (See?), just touching the edge of it here. But it's true.
No matter where you are, believe, and let Him speak. And if I speak, I can say wrong, 'cause I'm a man. But if God comes around, and confirms what I've said, then that's truth.
God said, "If there be a prophet among you, and if he says--what he says comes to pass, then you hear it," 'cause the Word of the Lord came to the prophets. And if there... And if it doesn't come to pass, then don't believe it.
Now, if I come here and say, "Now, I'm going to heal you," then I've lied right there, because...
You're... Every one of you are sick. Whatever it is, or sinners, or whatever you are, you're already forgiven. You're already healed. If Jesus was standing here with this suit on that He gave me, He could not heal you or save you. He's already done it. How many knows that's the truth? At Calvary the price was paid. You just believe.

E-104 Somebody... Now, let's call out, kind of in sections. Somebody over in this way without a prayer card, just pray, say, "Lord God, I can't believe that that man stand there and tell me something wrong. I've read the Bible, and I know what he's saying's the truth. It's so hard for me to receive it, Lord. But honestly, I believe it. I--I believe. And help me now."
"And he says that You're a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities, and I have infirmities." Or someone, "I'm... My husband setting here, my wife..."
I noticed last night, when a husband would get up off the cot, the wife would run to him, the wife get off the husband... See him out in the yard there praising God. How sweet it was (See, see?), praying for someone.
Say, "I'm praying, Lord God. Help me to know. Help me. Let me touch Your garment. Then if that man... That man don't know me, and I don't know him. If he speaks back, and tells me, like You did in them days, told the people, then I know that You're living. It ain't that preacher; it's You."
Now, please, just for two or three minutes be quiet and pray. Set still; don't move. Just pray.

E-105 Now, there's a woman; she's... You can raise your head, if you wish. And if you'll look, look standing right here, right inside this little hallway, see that yellow, amber-looking Light circling around? It's right over a woman. There He is, right through the door. Now, It's coming near her, near her. She's realized. She was praying. It's coming near.
The woman surely this time can recognize that something's going on. She's praying for a loved one, a relative that has cancer, also a mother, and the mother's got heart trouble. She realizes now the Holy Spirit's near her. She's not even from here. She's not even an American; she's a Canadian. Have you a prayer card? You do not. We're perfectly strange. Is that right? But you was standing there praying, and all at once something real sweet begins to happen, like something coming over you. Is that right? And what was said true? Raise up your hand, if all that's true. Now, go question the woman.
Now, sister, it's left from around you. I trust that you have your request. Whatever it was, God grant it to you.
Now, I want to ask you something. How... Just figure it out. There's a perfect miracle. There's a woman. I have never seen her in my life; she's never seen me. We're strangers. And here the Holy Spirit comes down, and she touches Jesus Christ. And by a Divine gift, standing there, or setting there praying, and it comes right around and reveals to her just exactly. There it... She's thirty or forty feet from me. She couldn't touch me, she touched Him.

E-106 Somebody this a way believe. Without a prayer card... You without a prayer card, raise your hand so I'll... You that haven't got a prayer card, raise your hands. Some of you in these stretchers here, or something, raise your hand. All right.
Let's look at this man here. You don't have a prayer card, sir? You're a stranger to me. I do not know you. What do you think about what I've preached about? You believe Christ the Son of God? You believe He is? Now, you being a man that I've never met before in my life... But do you believe that--that when Jesus was here on earth, He (The Bible said that the Word is sharper than a two-edged sword, and even a discerner of the thoughts of the heart.) could perceive what's wrong?
If the Holy Spirit can tell me something about you (You're just a man that set down there.), and can tell me something about you--what you're wanting, what's wrong with you, something you've done or something like that--you'd know it'd have to come from a power somewhere, wouldn't it? Would you believe it to be Christ? You would. Would you accept it that way? You must or die, because you're shadowed to death. It's a cancer.
But if you'll believe with all your heart, with all that's in you, because you can't live... You can't return. The doctor can do you no good now. You're past that. But if you'll believe God with all your heart, you can get well. Do you believe it? You do? Then rise up from your bed. Don't doubt in your heart. And don't doubt it at all. Go home; take your bed and go home. Jesus Christ will make you well, if you'll believe it. God bless you.

E-107 What was it? You have a prayer card there? Well, you'll be in the prayer line then. What about you? Have you got a prayer card? You believe me to be His prophet? You do? I don't know you, but you're... What's the matter? You're all broke down, like a nervous breakdown, complications. Everything's wrong with you. Isn't that right? And truly, right now you feel fine. It's the Holy Spirit over you. Do you believe me to be His prophet? Will you obey me as His prophet? Then stand out of that stretcher on your feet in the Name of Jesus Christ, and go home, and be well.
Wait, I want to ask you something. You don't have a prayer card, do you? You don't need it. You're well. You can go home now and rejoice.
How many of you believe with all your heart? Then, everybody believes stand up on your feet and accept your healing. Stand up in the Name of Jesus Christ and believe that you're healed. I commit you to God for your healing in the Name of Jesus Christ. May God grant it for you. Amen. All right...

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