E-1 Bonsoir, mes amis. Je suis content d'être encore ici ce soir de vous saluer au Nom du Seigneur. Je suis arrivé bien à temps, n'est-ce pas ? J'aimerais être un peu plus rapide que ça en allant au Ciel (Voyez ?), juste un peu plus à temps la dernière… Nous avons eu un peu à nous dépêcher, à passer un bon moment à parquer.
Tout le monde se sent-il bien ? Bien, c'est très bien. Maintenant, aujourd'hui, ça a été un grand jour pour moi. J'ai juste… On dirait qu'aujourd'hui les bénédictions du Seigneur semblent se déverser. Et si seulement je pouvais disposer d'assez de temps pour aller là, à tous les lieux d'où proviennent les appels, c'est l'unique chose… Je pense qu'environ quatre cents ou plus sont constamment là, venant des villes, des cités. Et des pauvres sont nécessiteux, et je prie que Dieu use d'assez de bienveillance envers moi pour-pour m'inspirer, me faire savoir où aller, quoi faire exactement.
E-2 Et ce soir, j'ai à cœur quelque chose que je… Ce matin, Billy Paul est arrivé et il me parlait de la réunion d'hier soir. Il m'a remis une lettre de la part de sœur Cauble. Et c'était au sujet d'un–d’un petit enfant pour qui j'avais prié à Chicago. Et j'avais bien cela à cœur toute la journée de trouver le problème ; la mère et le père… Peut-être qu'un soir, j'aimerais lui demander, ou à quelqu'un d'autre, de lire cette lettre-là à l'assistance : juste une lettre normale, des gens dans le besoin. Mais le pauvre petit enfant, je ne le connaissais pas ; évidemment, il est simplement passé par la ligne, et la mère a dit que le Saint-Esprit s'était mis-s'était mis à révéler et à tout décrire, voire le cas ; Il est remonté jusqu'en ce moment et puis, Il s'est arrêté. Je ne savais quoi dire à partir de là. Elle était agitée… Le petit enfant, je pense, a-t-il-dit, souffrait du cancer et avait une partie de sa langue arrachée ainsi que sa gorge ici à l'intérieur. Il est l'un des pasteurs à l'Institut biblique Moody à–à Chicago. C'est un missionnaire, il vient de rentrer de l'Afrique. Je pense que c'est l'Afrique francophone, l'Afrique occidentale francophone.
Et il y a quelques jours, il a reçu une lettre de tous les deux, disant que c'en est pratiquement fini de leur petite église, que le communiste balaie par là, détruisant cela, et… Oh ! Pensez simplement au dilemme. Eh bien, leur petit enfant est couché là à l'article de la mort, on s'attendait à ce qu'il meure à tout moment. Et là, la petite église avait été détruite ; le communisme récupère tout. Je-je n'arrivais simplement pas à m'empêcher de pleurer un peu. Je–j'ai dit : « Ô Dieu, si seulement Tu… Je ne sais pas ce que Tu vas faire, mais si seulement Tu épargnes la vie de cet enfant, je Te promets que ça sera une porte ouverte pour moi vers l'Afrique de l'Ouest, là où le communisme récupère les églises, là-bas, il récupère leur église. » Et j'aimerais que vous priiez avec moi afin que Dieu fasse quelque chose et apporte du secours. Evidemment, nous voulons que Sa volonté soit faite dans chaque cas.
E-3 Je pense que je témoignais l'autre soir au sujet de George Wright. Il m'est arrivé de le voir assis ici tout à l'heure. Je dois… un… Voici un homme qui avait été abandonné à la mort. Et j'ai eu une vision, la même fille de madame Baker… Le voici… qu'il n'avait jamais… qu'il ne se levait plus, et il est estropié ; ses jambes étaient recroquevillées comme ceci. Et il est ici ce soir grâce à la puissance de Dieu. La même soirée où la vision est apparue pour madame Baker, sa fille… Etes-êtes-vous ici, mademoiselle Baker ? Est-ce que la jeune fille est aussi ici ? Est-ce votre fille ? [Madame Baker donne un témoignage. – N.D.E.] C'est juste… Gloire au Seigneur ! C'est merveilleux. Certainement. Eh bien, au même moment que sa fille, pendant que j'étais à l'hôpital, qu'on… elle est… qu'on appelait. On ne pensait pas que la jeune dame vivrait. Et quand je l'ai regardée, je ne le pensais pas non plus. Ainsi donc, nous sommes entrés, et pendant que j'étais là en train de prier, j'ai vu cette Lumière-là venir au-dessus de son lit. C'est alors que Cela-Cela lui a dit ce qui arriverait, juste exactement comme cela, et le moment où elle serait renvoyée chez elle à la maison. Et elle l'y a été.
E-4 Et la nuit même, je suis allé à Lexington, dans le Kentucky, je suis revenu, je suis arrivé à la maison vers l'aube ; et je suis allé au lit. J'ai dormi jusqu'à neuf heures ; et je me suis réveillé. Je m'engageais dans le couloir, et alors, il y avait une jeune fille là debout et elle parlait. Et je me suis dit : « Eh bien, que fait-elle debout ici ? »
Elle a dit : « Maman, c'est ce que frère Branham a dit. » J'ai regardé et j'ai vu sa maman parler au téléphone, chez elle à la maison, et j'ai su que c'était alors une vision. Ensuite, j'ai entendu quelque chose comme des mottes de terre qui tombaient. Je venais de quitter frère Wright deux jours avant cela, là, j'avais dit à son fils et à tous les autres que, peut-être, il allait mourir. J'avais fait là quatre ou cinq jours à prier pour lui. Et il allait mourir. Et les médecins l'avaient déjà abandonné et tout. Et alors, j'ai entendu ces mottes de terre tomber. Il y avait eu là des gens qui ne croyaient pas dans la guérison divine, l'église dont ils étaient membres. Pas de critique… l'Eglise de Christ, et ils ne croient pas dans cela. Ainsi, ils avaient été là, se moquant de lui parce qu'il m'avait fait venir là-bas afin de prier pour lui après que le médecin avait dit qu'il allait mourir. Et quand j'ai regardé, ces mottes de terre tombaient sous le saule. Je n'avais jamais su que cet homme était un fossoyeur. Et Il a dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, il creusera la tombe de ceux qui se moquent de lui. » Il est ici… ?...
E-5 J'ai téléphoné à madame Wright et je lui ai parlé sans tarder de ce qui était arrivé. Et j'ai dit que l'un de ces jours, quand j'entrerais dans la salle, il parcourrait droit le tabernacle, il ferait un détour à gauche et s'avancerait me serrer la main, et dirait : « Frère Bill… » Et puis, le dimanche, la première fois que j'ai été là depuis quelque temps, je ne savais même pas que l'homme était… où il était. Il est sorti du tabernacle, sans qu'il sache cela, il a pris juste la voie même. Et je me suis simplement arrêté, j'ai attendu et j'ai observé. Il a contourné dans la même direction, tel que cela avait été dit, il s'est avancé et il m'a saisi la main, tout à fait comme Cela avait dit.
Eh bien, quand moi, je dis n'importe quoi, cela peut être faux. Mais quand vous L'entendez dire quelque chose, c'est exactement comme cela. Il est le Seigneur. Et n'êtes-vous pas si heureux pour ces choses ?
E-6 Je pensais juste aujourd'hui à ce que notre Seigneur a fait pour nous. Ma femme, je l'ai trouvée en train de pleurer aujourd'hui. Et je-je suis sorti du bureau et j'étais… et elle pleurait. J'ai dit : « Qu'y a-t-il ? » C'était juste un petit quelque chose. Ceci est ma patrie. (Vous savez, c'est difficile ici ; c'est l'endroit le plus difficile au monde.) Et si vous pouvez constater une différence, c'était quelque chose au sujet des écoliers. Vous savez comment sont les femmes ; elles sont très ennuyeuses au sujet de ces choses. Et il y avait des gens qui fréquentent une petite église meilleure que notre tabernacle… Les gens n'ont rien contre moi là. Ils m'aiment ; et ils aiment… Mais ils préféreraient que leurs enfants ne s'associent pas à nos enfants dès lors qu'ils pouvaient être avec les enfants qui fréquentent leur propre église, ou quelque chose de ce genre. Vous savez ? Eh bien, cela a plutôt affecté un peu ma femme. Et elle a dit : « Eh bien, je garde les enfants purs et nous essayons… »
J'ai dit : « Ce n'est pas ça, chérie. » J'ai dit : « Ce n'est pas là le problème. Ces pasteurs, ils parlent, disent… » Tenez, l'autre jour, un-un prédicateur, un ami à moi, il reste dans le… On ne savait pas qu'il était assis juste là dans l'assemblée parmi ces gens, et mon nom a été mentionné. On a dit : « C'est un bon garçon. Nous l'aimons tous et nous l'apprécions, mais il est plutôt du genre illettré. Et il ne parle pas bien… » Eh bien, je… C'est la vérité, vous le savez. En fait, c'est la vérité. Et un…
Mais il m'est juste arrivé de penser que ce sont les mêmes propos qu'on tenait sur notre Seigneur, la même chose. Voyez ? Des groupes disaient qu'Il voyageait avec des gens ordinaires. La Bible déclare : « Une grande foule L'écoutait avec plaisir », juste les gens ordinaires, les illettrés et autres. Il n'avait jamais obtenu un doctorat ni quoi que ce fût, à ce que je sache. Il n'est point rapporté qu'Il ait jamais fréquenté l'école, là, mais Il était malgré tout le Fils de Dieu ; c'est ça l'essentiel.
E-7 Ainsi donc, nous aimerions parler juste quelques instants. Il y a quelque temps, il y avait une urgence terrible. Nous ne recevons pas des appels téléphoniques durant les réunions parce qu'on devient simplement… Mais une dame, qui était poussée à bout, a appelé. Et ma femme est entrée dans la chambre et a dit : « Chéri, je regrette de te retirer de ton bureau, mais, a-t-elle dit, ceci est juste une très grande urgence. » Elle a dit : « La femme est sur le point de commettre un suicide. » Et alors, je suis allé au téléphone ; et pendant que j'étais au téléphone, le Saint-Esprit lui a dit exactement qui elle était, ce qu'elle faisait, comment elle était habillée, et ce qu'était son problème, et ce qui était à la base de cela ; et Il l'a guéri là même pendant que j'étais au téléphone. Oh ! lala ! Je vous assure…. J'ai entendu des cris : Sa mère poussait des cris, la retenait et tout jusqu'à ce que je… Et elle ne faisait que louer le Seigneur. Elle…
Il est donc bon partout. Si seulement vous pensez comment… Comparez cela avec l'Eglise primitive dans le Nouveau Testament. Comparez simplement cela et voyez comment cela-cela-cela… co-… cela concorde avec l'église du Nouveau Testament : les apôtres, comment les visions apparaissaient, comment tout … comment le Seigneur opérait.
E-8 Tenez, j'allais en Afrique. J'étais censé être en Inde ce mois-ci. J'avais des rendez-vous fixés et tout. Quelqu'un a été envoyé et il a fixé le temps du dîner avec monsieur Nehru avant d'arriver là, le Premier Ministre, et… C'était William Branham qui faisait ça. J'avais tout arrangé et j'avais apprêté mon visa. Je priais pour des gens dans la maison, je suis entré dans ma maison, je suis allé dans une autre chambre, en revenant vers le… je répondais au téléphone, je traversais un petit couloir, j'entrais dans une autre chambre. Il y avait d'autres voitures qui étaient arrivées depuis que j'étais dans la chambre, répondant à ce coup de téléphone, une urgence de loin. Et quand je traversais la chambre, il y avait un Homme qui se tenait là. Et il avait une serviette, on dirait, sur la tête comme ceci, ça pendait. C'était un Homme au teint plutôt sombre. On dirait que Son nez était un peu ressorti au bout ou comme si cela était remonté comme cela. Il se tenait là, regardant droit vers moi. Je me suis dit que c'était un patient qui venait d'entrer. Et j'ai dit : « Bonjour, monsieur. » Et je… Il se tenait juste sur mon passage, alors j'ai dit : « Bonjour, monsieur. » Et Il a dit, Il a levé les yeux comme cela et a dit : « Frère Branham, ne va pas outre-mer avant septembre. »
Eh bien, j'ai dit : « Ce que… » Eh bien, j'ai regardé, et l'Homme avait disparu. Eh bien, si ce n'était pas là juste comme l'appel pour la Macédoine, qui allait à… ?... C'est le même Ange du Seigneur. Voyez ?
E-9 Qu'est-ce ? C'est le Seigneur Jésus qui nous aime tous. Il vous aime tous. Il est ici même ce soir. Voyez ? Il ne peut pas… Il peut traiter avec vous d'une autre façon, mais c'est le même Seigneur. Il peut traiter avec vous dans un cœur aimable. C'est le même Seigneur. Il peut vous donner la-la passion pour des âmes perdues. C'est le même Seigneur. Voyez ? Mais Il place certains dans l'Eglise : des docteurs, des apôtres, des prophètes, des dons de guérison, l'opération des miracles, et toutes ces choses sont placées dans l'Eglise. Croyez-vous cela ? Je n'ai jamais dit qu'ils seraient établis hors de l'Eglise. Il les a placés dans l'Eglise pour le perfectionnement de l'Eglise et pour que ça soit dans l'Eglise jusqu'à ce qu'Il revienne. Maintenant, concernant ces choses…
Eh bien, souvent, évidemment, je connais des amis chrétiens, nous avons beaucoup d'imitations de ces choses. On doit s'y attendre. Il y en a toujours. Nous disions l'autre soir dans l'une de nos leçons que, quand Israël montait, une foule de gens de toute espèce allèrent avec eux. C'est vrai. Mais maintenant, ce que vous êtes, vous l'êtes par la grâce de Dieu, ce que Dieu a. Vous êtes un chrétien, non pas parce que vous avez cherché Dieu, mais parce que Dieu vous a cherché. C'est vrai. Voyez ?
L'homme ne peut pas chercher Dieu. Il ne peut simplement pas. C'est-c'est sa nature d'être un pécheur. Ainsi, il… C'est juste comme le cochon ; dites-lui qu'il fait mal en mangeant la pâtée, vous ne pouvez pas le faire. Il est un cochon pour commencer. Vous ne pouvez donc pas changer cela. Il est juste le commencement… Mais Dieu cherche l'homme. Et c'est l'homme qui vient à Dieu. Et quand il vient à Dieu, Il lui donne la Vie Eternelle.
E-10 Nous aimerions lire une portion de la Parole, juste dans un instant. Maintenant, ce soir, si possible, j'aimerais donc parler quelques instants et peut-être appeler certaines de ces cartes de prière qui ont été laissées la semaine passée, ou le dimanche passé. Nous en avons plus ou moins, des réunions de… prêchant cette semaine, parce que nous attendions l'assistance. Ceci est une-une toison placée devant le Seigneur. Maintenant, inclinons la tête juste un instant pour parler à l'Auteur avant que nous lisions Sa Parole.
Notre Bienveillant et Tendre Père céleste, nous nous approchons de Toi ce soir dans le beau Nom de Ton Fils Jésus-Christ. Nous L'aimons parce qu'Il nous a aimés le premier et a donné Sa Vie pour nous. Nous qui autrefois étions étrangers pour Dieu, privés de miséricorde, sans espoir dans le monde, pécheurs de nature, mourant dans la disgrâce, allant en enfer et à une éternité sans fin… Pendant que nous étions dans cette condition, ennemis de Dieu, Dieu a envoyé Son propre Fils, fait à l'image de la chair pécheresse, Il s'est revêtu de la forme d'un homme, Il a souffert, Il a saigné et Il est mort pour nous racheter et nous ramener au Père. Et maintenant, nous sommes fils et filles de Dieu par Sa grâce. Oh ! Combien nous Te remercions pour cela !
Et, Toi Grand par Ta Majesté, ce soir, nous Te prions de bénir notre rassemblement. Nous ne sommes pas dignes d'avoir ces bénédictions, mais nous les demandons parce que Tu les as promises. Et ce que Tu promets, Tu le fais.
Ô Dieu, au cours de ces années de service, nous avons trouvé que Tu es très exactement ce que Tu as promis. Et ce soir, nous prions maintenant que le Saint-Esprit soit ici, le Seigneur Jésus ressuscité, qu'Il déverse Sa grande puissance sur cette assemblée. Sauve les perdus, ramène les rétrogrades à la maison. Guéris les malades. Réjouis-Toi avec Tes saints ; car nous le demandons en Son Nom. Amen.
E-11 Dans Luc, chapitre 8, à partir du verset 50, voici ce que nous lisons :
Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée.
Lorsqu'il fut arrivé à la maison, il ne permit à personne d'entrer avec lui, si ce n'est à Pierre, à Jean et à Jacques, et au père et à la mère de l'enfant.
Tous pleuraient et se lamentaient sur elle. Alors Jésus dit : Ne pleurez pas; elle n'est pas morte, mais elle dort.
Et ils se moquaient de lui, sachant qu'elle était morte.
Mais il la saisit par la main, et dit d'une voix forte : Enfant, lève-toi.
Et son esprit revint en elle, et à l'instant elle se leva ; et Jésus ordonna qu'on lui donnât à manger.
Les parents de la jeune fille furent dans l'étonnement, et il leur recommanda de ne dire à personne ce qui était arrivé.
E-12 Maintenant, juste pendant quelques instants, si je parlais un peu de la Parole écrite de Dieu, eh bien, la réunion aura connu un succès, même en lisant Sa Parole. Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions.
Nous parlons maintenant de Jésus en ce glorieux moment de la résurrection. Il y a eu trois personnes qu'Il a ressuscitées pendant qu'Il était sur terre. Il a dit avant d'aller à la tombe de Lazare : « Je suis la Résurrection et la Vie ; celui qui croit en Moi vivra, quand bien même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra point. » Il avait en Lui la puissance de la résurrection. Il a dit : « Détruisez ce temple, et dans trois jours, Je le relèverai. » Or, s'Il était la Résurrection et la Vie…
Mais durant tout le temps de Son ministère, Il n'avait ressuscité d'entre les morts que trois personnes. Eh bien, sans doute qu'Il avait beaucoup de critiqueurs en ce jour-là, qui disaient : « Pourquoi n'a-t-Il pas ressuscité ceux-ci, et pourquoi n'a-t-Il pas ressuscité celui-là ? Et ce sacrificateur qui venait de mourir, tel saint homme qui venait de mourir, pourquoi ne les a-t-Il pas ressuscités ? »
Jésus a clairement déclaré qu'Il ne faisait que ce que le Père Lui ordonnait, ce que le Père Lui montrait en vision. Jésus avait des visions, et Il ne travaillait que d'après ce que le Père Lui montrait en visions, uniquement. Saint Jean 5.19, Il a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu'Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. » Juste ce que le Père Lui montrait et rien d'autre, Il ne pouvait rien faire d'autre à moins que le Père le lui ait révélé premièrement. Donc, trois, c'est un témoignage ; en effet, il est écrit dans la loi que la confirmation se fait par trois : « Toute parole sera établie sur la déposition de trois… de deux ou de trois témoins. »
E-13 Il n'y a pas longtemps, un Juif m'a dit, il a dit : « Je peux prouver que Jésus était un-était un voleur. »
Et j'ai dit : « Comment ? »
Il a dit : « Il traversait les champs des maïs le jour de sabbat, et Il a mangé le maïs qui ne Lui appartenait pas, c'est la preuve qu'Il était un voleur. »
J'ai dit : « Vous essayez de comparer l'ordre de ce jour-là avec celui d'aujourd'hui ? » J'ai dit : « Il a dit qu'Il était le Maître de ce… de la moisson, et Il l'était. Et autre chose, ai-je dit, n'est-il pas écrit dans votre loi que si un homme traverse un champ et qu'il a faim, il peut manger ce qu'il veut manger, mais qu'il ne lui est pas permis d'emporter quoi que ce soit ? Il était donc conforme à la loi. » C'est exact, même à leur propre loi. Oh ! Leurs cœurs étaient simplement aveuglés afin que nous puissions avoir un jour de grâce (C'est tout.), nous les Gentils. Et je suis très reconnaissant pour cela et je suis sûr que vous tous aussi.
E-14 Eh bien, le Fils de Dieu a passé beaucoup de temps dans la prière avant la croix et la guérison des gens. C'était juste avant notre message de ce soir, Il avait traversé la mer d'un bout à l'autre, Il est allé sur une montagne, un soir après avoir rompu le pain et nourri cinq mille personnes. Je me demande où Il a eu des atomes, ou plutôt quel atome Il a brisé, quand Il avait nourri cinq mille personnes avec deux petits poissons et cinq morceaux de pains… cinq petits pains, et… ce qu'un petit garçon avait. Non seulement c'était du poisson, poisson, mais c'était du poisson préparé et du pain cuit. Il a fait quelque chose : personne ne le sait jusque-là. Mais Il l'a fait parce qu'Il était le Maître de la création.
Et Il s'est tenu là sur la montagne, surveillant les disciples alors qu'Il traversait la mer. La petite barque était ballottée et elle était pratiquement sur le point de sombrer, on dirait. Et ils ont vu quelqu'un venir, et voici, Il venait là, marchant sur la mer. Environ…
E-15 C'est ainsi qu'Il s'y prend, juste pratiquement au moment le plus sombre, alors Jésus vint. Nous nous agitons et nous nous inquiétons, nous les chrétiens. Que l'enfant tombe malade, ou que quelque chose arrive, ou que quelqu'un ne se présente pas, nous devenons très nerveux et bouleversés. Nous devrions nous tenir bien tranquilles. C'est Lui qui a ordonné cela. Nous vivons sous Sa dispensation, nous vivons sous Sa grâce. Restez simplement tranquille. Il sera là d'ici peu. Ne vous inquiétez pas. Il commencera un service de guérison quelque part, ou vous serez conduit vers quelqu'un qui prie pour les malades quand vous tomberez malade. Sinon, Il placera simplement cela sur votre cœur, au point que vous vous agenouillerez dans votre chambre et vous le Lui demanderez vous-même. C'est vrai. Rappelez-vous donc, Il fait concourir toutes choses pour le bien.
E-16 Il est monté à bord de la barque ; la tempête s'est calmée. Il a traversé cette mer houleuse cette nuit-là pour répondre à l'appel d'une seule âme nécessiteuse. Un fou, là à Gadara, là-bas, était si méchant qu'il se faisait des entailles avec des pierres ; on le liait avec des chaînes et il les brisait. Eh bien, c'est cela la puissance démoniaque. Avez-vous déjà passé du temps à côté d'un fou ? Si jamais vous avez vu quelqu'un avoir deux fois sa force, c'est un fou ; en effet, il est complètement oint par Satan. Et la puissance satanique lui donne deux fois sa force.
Eh bien, si le fait pour quelqu'un de se livrer complètement au diable lui donne deux fois sa force, qu'arrivera-t-il à un homme complètement livré à Dieu ? Voyez ? Cela vous rendra très faible. Peut-être que vous êtes estropié et que vous ne pouvez pas vous lever, mais abandonnez-vous à Dieu, et qu'une nouvelle vie, une nouvelle force entre, alors mettez-vous à marcher.
J'ai vu des petits enfants, alors que leurs petits membres étaient à peine gros comme ça, des hommes et des femmes qui avaient grandi, rongés par le cancer, se lever du sol ; ils ne s'étaient pas levés pendant des mois, ils étaient tellement faibles qu'ils ne pouvaient se lever autrement que sous la puissance de Dieu. Ils se levaient et parcouraient la maison en louant Dieu et ils étaient rétablis. Qu'est-ce ? Le fait de se livrer pleinement à Dieu. Amen. C'est ce qu'il faut : un abandon complet.
E-17 Et remarquez, comme cet homme, ce fou s'était si-si complètement livré à Satan, Satan s'est servi de sa langue. Et il dit : « Nous sommes légion. »
Jésus lui demanda : « Qui êtes-vous ? »
L'homme ne pouvait même pas parler lui-même ; Satan a parlé au travers de lui, disant : « Nous sommes légion, car nous sommes plusieurs. »
Jésus leur a dit : « Taisez-vous, mais sortez de lui. »
Et quand ce fou fut guéri, ces démons, étant sortis, entrèrent dans des pourceaux, environ deux mille pourceaux. Alors, les gens sortirent, car cela allait leur coûter un petit quelque chose pour avoir un réveil ; ils demandèrent à Jésus de quitter le territoire. Ils se sentaient plus à l'aise avec le diable et les pourceaux plutôt qu'avec l'Aimable Jésus. C'est vrai. Et ils ont dit… Eh bien, ils ont dit : « Oh ! Quitte notre territoire. Oh ! lala ! Tu es trop spirite pour nous. Nous-nous-nous ne pouvons pas supporter cela maintenant. Si vous allez amener les gens à être guéris par ici, et une telle histoire comme cela, quitte notre territoire. » Eh bien, Il ne reste jamais là où Il n'est pas le bienvenu, Il s'en est donc retourné.
Mais il y avait une âme dans le besoin, Il a traversé la mer houleuse pour l'atteindre. Et Il est le même Jésus ce soir. Il quitterait la Gloire pour venir vers une âme nécessiteuse qui est assise dans cette modeste église ce soir. Le même : Il viendra chaque fois qu'on a besoin de Lui, mais Il ne vient jamais là où on doute de Lui. Si vous doutez donc de Lui, souvenez-vous bien, Il ne viendra jamais à votre porte. Voyez ? Mais si vous L'aimez et que vous avez besoin de Lui, Il viendra n'importe quand que vous L'appelez. Il est prêt à venir.
E-18 Maintenant, nous constatons... nous considérons ce petit homme Jaïrus. Beaucoup de gens critiquent plutôt Jaïrus, mais c'était sa fille qui était morte. Il était sacrificateur au temple, ou l'un des grands hommes, des chefs au temple. Mais je pense qu'il était plutôt un croyant en secret. Je pense qu'au fond de son cœur, il croyait effectivement Jésus, mais il avait juste… Il s'était mêlé à une mauvaise foule.
Et vous savez quoi ? Je trouve cela partout ce soir. Parfois, parmi les gens de la haute classe, il y a des gens qui croient en secret, là-haut, de grands multimillionnaires, et pourtant ce sont des croyants en secret, mais ils ont plutôt peur de s'associer à cette classe de gens. Ils essaient de venir la nuit frapper à la porte, mais… Très bien.
Nicodème était de ce genre-là, il est venu, il a dit : « Eh bien, Maître, je sais que Tu n'es pas très populaire. Oh ! Il y a une bande de ces saints exaltés qui Te suivent, ou quelque chose comme cela, ce sont des hommes ordinaires. C'est à eux, dit-on, que Tu T'es associé, des gens ordinaires et de basse classe, mais nous au temple, nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu ; car nul ne peut faire les œuvres que Tu as faites si Dieu n'est avec lui. » Voilà une vraie confession. Voyez ? Mais il-il s'était associé à une mauvaise classe. Et il y en a beaucoup de ce genre à Louisville, dans le Kentucky, ce soir, peut-être que beaucoup sont assis ici même. C'est vrai. Vous vous engouffrez simplement dans une grande église quelque part, vous jouissez de la plus grande réputation dans l'Etat ; vous pensez que cela vous amène quelque part. Cela vous amènera à perdre votre âme. C'est ce qui vous arrivera.
Humiliez-vous simplement. Rappelez-vous toujours, pour monter il faut descendre, avec Dieu. Voyez ? « Celui qui s'humilie, Dieu l'élèvera. Celui qui s'élève sera abaissé », a dit Jésus. Humiliez-vous donc simplement, descendez. Recevez cela comme les autres.
E-19 Un soir, je faisais un appel à l'autel au tabernacle, il y a de cela plusieurs années. Et il y avait un brave jeune homme qui était un enseignant de la Bible à une classe là-bas dans une certaine église. Il y avait une dame à genou à l'autel en train de pleurer et tout. Il a dit : « Oh ! lala ! a-t-il dit, voulez-vous dire qu'elle doit faire cela ? »
Et j'ai dit : « Je n'ai pas dit qu'elle avait à faire cela. » Mais elle le faisait.
Il a dit : « Eh bien, je ne recevrai jamais cela si c'est cela qu'il faut. »
J'ai dit : « Ne vous en faites pas. Vous ne le recevrez pas. » C'est…
Naaman avait dit : « Les eaux d'ici dans mon pays ne sont-elles pas de loin meilleure que les eaux qu'il y a là-bas ? » Mais c'était la Parole du Seigneur. Il est allé… Il n'était pas obligé d'aller se plonger, sinon il serait retourné avec sa lèpre. C'est vrai. Alors… Quand il a obéi à la Parole de Dieu, il fut débarrassé de sa lèpre. Parfois, Dieu nous fait donc faire des choses que nous n'aimons pas faire parfois. C'était très difficile pour moi aussi, certaines choses, mais cela, il a eu à me débarrasser de la raideur. Il sait comment s'y prendre aussi, d'une façon véritable.
E-20 Ainsi donc, je peux voir que Jaïrus jouissait d'un standing social parmi les gens, et il est sorti ce jour-là, et sans doute qu'il a fait l'objet de conversation dans la contrée. « Ce Fanatique-là, qui prêche la guérison divine, ce Jésus de Nazareth… C'est du non-sens. Les jours des miracles sont passés. Depuis que nos pères étaient dans le désert, pareille chose n'est pas arrivée. Cet Homme est un spirite. C'est un liseur des pensées. Regardez-Le se tenir là, regarder l'assistance, dire à différentes personnes diverses choses auxquelles elles pensent. Ah ! Arrêtez cette histoire ! » C'est ce qu'ils disent.
Là où il était en retrait, le petit Jaïrus se disait : « Je crois en Lui, mais, oui, je ne peux rien dire. Vous savez, je jouis d'un prestige que je dois conserver. » Très bien. Et la chose suivante, vous savez, il se promenait un jour, et chaque fois que quelqu'un se mettait à parler de Jésus, il gardait plutôt silence. Il ne voulait pas dire trop à ce sujet parce qu'il était un croyant en secret. Puis, un jour, sa fillette tomba malade. Vous savez, Dieu sait bien comment agir sur vous parfois. Hum.
E-21 Sa fillette tomba malade. Eh bien alors, je pense que c'est une chose raisonnable à faire, il a probablement fait venir le médecin. Et le médecin a dit : « Eh bien, nous allons lui donner quelques-uns de ces médicaments homéopathiques (ou je ne sais quoi ils utilisaient pour ce cas-là), et elle se rétablira dans quelques jours. » Il lui a donc administré ses médicaments et son état a empiré. On a fait venir le médecin, peut-être à deux ou trois reprises, son état empirait sans cesse. Puis, alors, ça a explosé. Le médecin franchit la porte, en sortant avec Jaïrus, et dit : « Je suis désolé de vous le dire ici, mon ami, mais votre fillette est à l'article de la mort. Elle va mourir. Il n'y a rien au monde qui puisse l'aider. Toute la connaissance médicale que j'ai, j'ai tout mis à votre service, et pourtant, la fillette se meurt. Il n'y a rien qui puisse être fait. Elle va simplement être ramenée à la maison par Jéhovah. Vous feriez donc tout aussi mieux de vous préparer et d'apprêter la tombe, le linceul et tout, car elle va mourir. »
Oh ! Je peux m'imaginer voir le cœur du petit Jaïrus être secoué comme cela. Là, tout au fin fond, surgit une petite pensée : « Je me demande où est Jésus. » Il faut parfois qu'on en arrive là, chez vous, pour vous amener à vous demander où est Jésus, pour arrêter des sottises que vous faites, arriver à savoir où Il est.
E-22 Très bien. Aussitôt que le médecin avait quitté, je peux l'entendre aller vers sa femme et dire : « Chérie, tu sais, euh, depuis toujours, du fond de mon cœur, euh, euh… »
Elle a dit : « Je sais de quoi tu veux parler, chéri. Tu te demandes : 'Où est cet Homme qui prie pour les malades, Celui qu'on appelle Jésus de Nazareth ? Oui, ce… Tu sais, chéri, à vrai dire, je-je vous ai vu sonder les Ecritures chaque soir. Je-je pense que tu croyais plutôt en Lui. Tu sais quoi, moi aussi, je croyais en Lui. »
« Eh bien, ma femme, que ton cœur soit béni. Allons Le chercher. »
Quelqu'un a dû venir lui dire que Jésus venait. Il traversait alors la mer, ramant Sa petite barque, vous savez, traversant la rivière, la mer, le petit lac. Là, pendant qu'Il traversait, vous savez, on lui a dit que Jésus venait. La foi vient de ce qu'on entend (Est-ce vrai ?), ce qu'on entend de la Parole. Alors, quelqu'un lui a dit que Jésus venait tenir une campagne d'un jour, peut-être, dans son territoire.
E-23 Alors, très vite, je peux le voir porter son manteau et mettre son petit turban sur la tête et se mettre en route. J'entends quelques membres de son église qui se tenaient là dire : « Où vas-tu, Jaïrus ? » Et je peux les entendre dire : « Tu sais quoi ? On me dit que ce Saint Exalté passe par là, Celui qui prie pour les malades. Je parie qu'Il descend là. »
Je peux entendre les diacres s'avancer et dire : « Eh bien, juste un instant, Jaïrus. Eh bien, tu sais, chaque fois, nous tenons une conférence, nous élisons un nouveau pasteur si nous le désirons. Or, nous ne voulons pas que la disgrâce soit jetée sur notre église. Eh bien, si tu vas avoir quoi que ce soit de cette histoire de la guérison divine par ici, j'aimerais te faire savoir maintenant même que nous n'allons pas supporter cela. »
Frère, le temps de passer à l'action était arrivé. Jaïrus devait poser une action. Le temps de passer à l'action est peut-être arrivé pour vous. Et si vous voulez savoir, je pense que le temps de passer à l'action est arrivé pour Louisville. C'est vrai. Le temps de passer à l'action est arrivé pour l'église. Ils avaient joué par-là, ils avaient rejeté ceci au coin, ils avaient repoussé cela, et ils avaient taxé cela de ceci, de cela ; agissons. Amen. Louisville, tiens-toi sur tes pieds. Réclame tes privilèges que Dieu t'a donnés. Et il est temps d'agir. Non pas : « Je… Eh bien, je vais vous dire ; je vais m'asseoir derrière pour sortir discrètement. Je vais aller ce soir. » Comme Nicodème qui vint de nuit, mais Jésus avait un besoin juste… je veux dire Jaïrus avait un besoin en ce moment-là. Et, frère, nous avons un dr-… nous avons un besoin maintenant même ; allons vers Lui. N'attendez pas la réunion suivante ; attendre voir si quelqu'un d'autre viendra prêcher la même chose. Nous avons un besoin maintenant ; hâtons-nous vers Lui. Minuit sonne ici.
E-24 La fillette était à l'article de la mort. Les médecins avaient échoué. Et je peux les entendre lui tenir un bon discours tranchant, et le conseil d'administrateurs et tous s'en prendre à lui, mais il avait un besoin ; une bien-aimée était à l'article de la mort, il devait donc arriver auprès de Jésus. Le voici s'en aller.
Et à ce moment-là, la petite barque accosta là-bas. Jésus en sortit. Un groupe de spectateurs se tenait sur le rivage, les sacrificateurs se tenaient là en retrait et disaient : « Hum. Le voilà. Regardez quel genre de foule Il a maintenant. Voilà venir cette bande d'illettrés, des gens sans instruction, grossiers, passant là, quittant le rivage, là-bas, ces pêcheurs qui s'en vont. Voyez-vous à quel genre de foule il s'associe ? Qui se ressemble… » C'est ça. Ils se tenaient là, critiquant.
E-25 Là loin sur la colline, je peux voir une petite femme tricotant. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et ceux-ci n'ont pas pu lui faire aucun bien. Elle souffrait d'une perte de sang depuis plusieurs années. Elle a regardé en bas. Elle a dit : « N'est-ce pas étrange ? Je L'ai vu en songe hier soir, peut-être. Et je pense que si seulement je peux arriver auprès de cet Homme-là et toucher Ses vêtements, je n'aurais pas à entrer dans la ligne de prière. Il se retournerait simplement et me dirait que c'est terminé, si seulement je peux m'approcher assez de Lui. » C'est ainsi qu'il faut s'y prendre. C'est ce qu'elle a fait. « Si seulement je peux m'approcher assez de Lui, c'est tout ce qu'il me faut. »
Eh bien, je la vois descendre là. Son pasteur se tient là. Elle lève les yeux : « Eh bien, où vas-tu ? Et je suppose donc que tu descends là-bas à cette réunion-là. Eh bien, j'aimerais te faire savoir ceci, tu sais ce que sont les instructions par ici. Quiconque s'associe à cette tribu-là, on lui rendra sa lettre d'adhésion. »
Elle a dit : « Vous pouvez bien l'établir. »
La voilà continuer, jusque-là en bas. Il lui fallait arriver auprès de Jésus. Et aussitôt qu'elle est arrivée là, je peux la voir là debout devant un grand groupe.
Il a regardé là en bas, il a dit : « Eh bien, vous m'avez surpris. Une femme que les médecins ont abandonnée et pour laquelle ils ne peuvent rien faire, et alors vous… une femme qui jouit d'une bonne réputation comme vous, d'une bonne femme, la réputation et-et le prestige que vous avez parmi les gens et vous vous associez à une bande de saints exaltés. Là… Je n'ai jamais vu pareille chose. En voilà l'audace même. Hein. Les jours des miracles sont passés. »
Je peux la voir se retourner et dire : « C'est peut-être le cas pour vous, mais pas pour moi. Laissez-moi simplement m'approcher un peu plus de Lui. » Elle se hâte. Il lui fallait arriver là.
E-26 Et peu après, un homme dit : « Je vais bien te le dire maintenant même, tante Lydie ; je-je… je ne vais simplement pas te laisser faire ça. Nous allons simplement nous tenir ici et ne pas te permettre de le faire. » Je peux la voir s'incliner bien en bas et passer entre ses jambes, continuer jusqu'à la fin. Voyez ? Elle est déterminée à arriver auprès de Lui, quel qu'en soit le prix, quel qu'en soit le coût. C'est ainsi que nous devrions l'être. Peu importe qui dit quoi ou de quel côté se trouve cela, Dieu l'a dit dans Sa Parole et c'est donc réglé pour moi. Dieu l'a dit, c'est juste… c'est tout ce qu'il en est. Je le crois.
Alors, elle s'avance là. Elle s'incline là, et elle a vu tous les gens là debout, et tout autour, L'entourant de leurs bras. Elle s'est faufilée simplement derrière Lui, et elle a touché Son vêtement comme ça. Elle se disait : « Ô Seigneur, je–je… cela me satisfait simplement. Je vais à la réunion, c'est donc bien assez pour moi. »
Et il y eut tout d'un coup quelque chose, et Il avait un certain moyen de connaître les choses. Il s'est retourné et a demandé : « Qui M'a touché ? » Il a promené le regard sur l'assistance jusqu'à repérer où elle était, Il a dit : « Ta foi t'a sauvée. Ta perte de sang s'est arrêtée maintenant. »
Eh bien, Il est le même ce soir, juste le même Jésus, s'Il est ressuscité d'entre les morts. Il a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. » Est-ce exact ? Et Il a dit : « Si vous croyez… » C'est tout ce que vous avez à faire. Très bien. Et elle a été guérie.
E-27 Et puis, vers ce moment-là, je vois ce petit sacrificateur se frayant un chemin dans la foule. Et quelques-uns d'entre eux disaient : « Eh bien, regardez là. Eh bien, voilà Jaïrus, celui qui venait de décrocher son diplôme l'année passée. Eh bien, voulez-vous me dire qu'il vient d'obtenir son baccalauréat ? Et le voici, il perd son temps par ici avec ce groupe-là. » Pourquoi était-il là ? Il avait un besoin. C'est vrai. Son cœur était affamé ; et Dieu allait lui montrer tout au sujet de ces choses.
Il se faufile droit vers là où était Jésus, et il a dit : « Seigneur, ma fillette est à l'article de la mort. Viens lui imposer les mains et elle sera guérie. » Oh ! lala ! J'aime vraiment ça ! Oh ! Quand Il a vu qu'il s'était assez approché de Lui pour attirer Son attention, s'il pouvait attirer l'attention de l'Homme… Dieu traitait déjà avec son cœur. Si donc il pouvait attirer l'attention de l'Homme, il aurait ce qu'il voulait ; en effet, il savait que Dieu était dans Son Fils.
E-28 J'apprécie la femme sunamite pour ça, là : quand elle… son enfant était mort et couché dans la chambre du prophète, elle a dit : « Selle l'ânesse et va de l'avant. Ne t'arrête pas à moins que je te l'ordonne. » Et quand elle est arrivée… Dieu ne révèle pas toujours à Ses serviteurs tout ce qui se passe : seulement ce qu'Il veut révéler.
Et alors, la femme s'est très vite approchée (laissons un instant notre histoire ici), la femme s'est très vite levée, et Elie s'est levé, il a regardé, il est sorti de sa cave, il a regardé là ; et il a dit à Guéhazi, il a dit : « Voici venir cette Sunamite, a-t-il dit, son cœur est troublé, et je ne sais même pas ce qui cloche chez elle. » Il s'est donc avancé. Toutefois, Dieu ne lui avait pas révélé ce qui clochait. Il a dit : « Te portes-tu bien ? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien ? Ton enfant se porte-t-il bien ? »
J'aime ça. Elle a dit : « Tout va bien pour moi, tout va bien pour mon mari, tout va bien pour l'enfant », alors que l'enfant était étendu mort. Eh bien, quoi ? Elle était arrivée auprès de l'homme de Dieu. C'était le même homme de Dieu qui lui avait donné cet enfant par une promesse. Elle savait que Dieu était dans Son prophète, et si jamais elle pouvait arriver auprès du prophète, le prophète pouvait lui faire savoir pourquoi Dieu avait repris l'enfant. Elle a dit : « Tout va bien maintenant. » Alors, elle est tombée, elle s'est mise à lui parler de l'enfant. Et vous connaissez l'histoire, comment il est allé, il s'est étendu sur l'enfant… revenu à la vie.
E-29 Le petit Jaïrus s'est frayé une voie dans la foule jusqu'à arriver là-bas, et il a dit : « Maintenant, tout va bien. Je suis finalement arrivé auprès de Lui. Je me suis éloigné du pasteur, je me suis éloigné de l'évêque ; je me suis éloigné du pape ; je me suis éloigné d'eux tous. Et maintenant, j'ai quitté tous les membres d'église, j'ai dépassé toutes les associations, et tout le reste maintenant. Maintenant, je suis arrivé là où je peux vraiment L'adorer. » Il a dit : « Seigneur, je suis très content d'être ici. Et ma fillette est couchée à l'article de la mort. Veux-Tu venir lui imposer les mains ? » Maintenant, suivez. Sa foi était dans l'imposition des mains.
Mais pour Pierre, ce n'était pas comme cela. Quand il était sur la mer houleuse, la nuit précédente, et-et que Jésus se tenait là-bas, Il a dit : « Seigneur, si c'est Toi, ordonne que je vienne vers Toi sur l'eau. Ordonne que je vienne simplement-simplement-simplement. »
Jésus a dit : « Viens. » Vous savez, c'est : « Cherchez et vous trouverez. Demandez et cela vous sera accordé. » Pierre est donc sorti de la barque et il est parti.
E-30 Le sacrificateur, quand Josué a donné l'ordre de traverser la mer, la rivière plutôt, leur foi était… quand leurs pieds ont touché l'eau, aussitôt que la plante de leurs pieds a touché l'eau, ils savaient que la mer se dessécherait. C'est là qu'était leur foi.
Quant au centenier romain, celui-ci a dit : « Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit. Dis seulement un mot. » J'aime ça. Regardez ça. Il a dit : « Je suis soumis à des supérieurs. Et je dis à l'un de faire ceci, et il le fait. Je dis à l'autre : 'Va', et il va. A un autre : 'Viens', et il vient. Je sais ce que j'ai, oh ! ceux que j'ai sous mes ordres, ils doivent m'obéir. » Maintenant, suivez. Il reconnaissait que Jésus-Christ avait la maladie sous Son contrôle. Il a dit : « Prononce seulement un mot ; c'est tout ce que Tu as à faire ; et la maladie de mon serviteur obéira à ce que Tu ordonneras. » Donne-nous ce genre de foi ici ce soir. Et vous verrez quelque chose arriver. C'est vrai. Prononce simplement la Parole ; tout ce que Tu dis, ça arrivera ainsi. Prononce simplement la Parole. Et Il a dit : « Ton fils vit. » Et alors, le lendemain, quand il est arrivé là vers onze heures, il s'approchait de la maison. Il avait voyagé toute la journée et cette nuit-là, et le lendemain, il est rentré. Certains de ses serviteurs l'ont rencontré, ils ont dit : « Ton fils vit. »
Il a dit : « A quelle heure a-t-il commencé à se rétablir ? »
Ils lui ont dit : « Hier, vers onze heures, la fièvre l'a quitté. »
Cet homme a dit : « C'était exactement au moment où Il m'a parlé. » C'est exact. L'état du fils a commencé à s'améliorer à ce moment-là.
E-31 Or, Jaïrus voulait l'imposition des mains. Il a dit : « Viens imposer les mains à ma fille et elle se rétablira. »
Jésus a dit : « J'irai. » Il s'est mis à descendre là, car Il savait que si la foi de l'homme, qu'il ait eu une vision ou pas… Jésus avait déjà dit qu'Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré. Peut-être qu'Il n'y avait pas une vision pour cela. Mais cependant, Il savait que la foi de l'homme était suffisante pour accomplir l'œuvre. A la femme qui L'avait touché là derrière, Il n'avait jamais dit : « Je t'ai guérie », Il a dit : « Ta foi t'a sauvée. »
Il a mis Ses doigts… Deux aveugles Le suivaient un jour dans la rue. Ils disaient : « Seigneur, aie pitié de nous. " Il n'avait pas eu de vision sur ces hommes-là. Il a simplement continué, Il les a laissés tranquilles. Eux criaient après Lui jusqu'au moment où Il est entré dans une maison. Ils sont entrés dans la maison et ils ont dit : « Aie pitié de nous, Seigneur. »
Maintenant, suivez. Il leur a touché les yeux et a dit : « Maintenant, qu'il vous soit fait selon votre foi. » Voyez ? Ils ont eu cela ; leurs yeux s'étaient ouverts. Voyez ? « Selon votre foi… »
Mais maintenant, ce qu'Il faisait Lui-même, c'est ce que le Père Lui montrait de faire. Mais Il avait touché leurs yeux ; les gens ont touché Ses vêtements, ils ont tout fait, comme ça. C'était leur propre foi. « Ta foi t'a sauvé. »
E-32 Voici donc venir cet homme maintenant. Jésus va avec le petit Jaïrus auprès de sa–sa fille malade. Eh bien, ils cheminent. Je peux voir Jaïrus marcher maintenant, tous les sacrificateurs le regardent et disent : « Ah ! C'est donc ça que tu as choisi. Oui, c'est ça. » Ils cheminent tout droit… Il arrive près de Jésus ; son cœur avait changé. Et tout celui qui s'approche réellement de Jésus ne peut plus jamais rester le même. Non, non. Vous ne pouvez plus vous associer à ces vieilles religions sèches et formalistes. Vous avez en vous quelque chose qui vous change et qui vous rend différent, si jamais vous vous approchez. Eh bien, vous pouvez vous approcher de l'église et faire n'importe quoi, mais vous ne pouvez pas vous approcher de Jésus et rester le même.
E-33 Alors, Jaïrus cheminait droit, son petit torse bombé, vous savez, comme ça. « Oui, oui. Je suis content de marcher à Ses côtés. Oui, oui. Ceci est mon-mon… Ceci est mon salut maintenant. Oui, oui. »
Alors, le coup dur fut asséné. Voici venir un homme, la tête couverte de cendres, comme le faisaient les Orientaux en cas de deuil, et il a dit : « Ne Le dérange plus. Ta fille est déjà morte. » C'était le coup de minuit. Je peux voir le petit Jaïrus alors que les larmes lui coulent dans les yeux et que son petit cœur commence à trembler.
Il s'est retourné. Je peux voir Jésus avec ces yeux sacrés, regarder et dire : « N'aie pas peur. Crois seulement. » C'est assez.
Un petit sourire s'est dessiné sur ses lèvres et il a continué. « Oui, je-je sais ce qu'Il dit. Il est le Dieu oint ; je-je sais que ce qu'Il dit est vrai, alors… » Il continue… Il savait que ça marcherait. Voyez ? Il savait que quelque chose… Très bien. Quand ils sont arrivés à la maison, les gens poussaient des cris, et ils allaient dans la cour : « Oh ! Elle est morte, elle est partie. Nous avons embaumé son corps. Elle est couchée là sur le lit, elle est morte. Et elle est morte, la pauvre petite créature. »
Jésus se dirigeait vers l'entrée ; malgré tous ces comportements, comme cela, Il a dit : « Silence. Tenez-vous un peu tranquilles. » Il a dit : « La jeune fille n'est pas morte ; elle dort seulement. » Et ils se sont moqués de Lui. Savez-vous ce qu'Il a fait ? Quand ils se sont moqués de la Parole de Dieu, Il les a boutés dehors. C'est une bonne chose à faire. Ne croyez-vous pas cela ? C'est vrai. Il les a boutés dehors.
E-34 Comment pouvait-Il accomplir des miracles avec de telles personnes tout autour ? Eh bien, une fois, Il a dû prendre un homme et le faire sortir directement de la ville afin qu'Il puisse le guérir, à cause de beaucoup d'incrédulité. Il est allé dans Son propre territoire, là où Il avait grandi ; Il n'a pu rien faire, aucune œuvre. Ils ont dit : « Nous avons appris qu'Il a accompli des miracles là-bas. Laissez-moi le faire maintenant. » Et tous ceux qui Le connaissaient quand Il grandissait comme un jeune Garçon disaient : « C'est le Fils du charpentier, nous connaissions Son papa. Et nous les connaissions tous. Nous connaissions Ses frères et Ses sœurs. Nous savons que c'est un groupe de gens très pauvres par là. Cela… Où a-t-Il eu cette sagesse ? De quelle école est-Il sorti ? » Et Jésus était étonné de leur incrédulité. Il n'est resté là qu'un peu de temps ; Il a continué Son voyage.
Puis, Il a dit : « Un prophète n'est pas sans honneur, si ce n'est dans son pays et dans sa maison. » C'est vrai. Et c'est comme ça depuis lors. Eh bien… En effet, c'est la Parole de Dieu. Il doit en être ainsi.
E-35 Mais ils… Il… ils se moquèrent de Lui. Et ce qu'Il a dit était la Parole de Dieu. Et après donc qu'Il eut prononcé ces Paroles, Il les bouta tous dehors. Considérez qui Il a pris avec Lui : Pierre, Jacques et Jean. L'amour, la foi et la charité. Je veux dire : La foi, l'espérance et la charité ; Pierre, Jacques et Jean, ces trois-là. C'est ce qu'il vous faut emmener avec vous : L'espérance, la foi et la charité, en entrant dans la chambre des malades.
Et remarquez, Il a pris le père et la mère, Il a fait sortir tous les autres. Eh bien, Il est resté seulement avec ceux qui avaient le cœur brisé, la femme du petit Jaïrus qui croyait en Lui de tout son cœur. Il a dit : « Je vous ai dit de ne pas avoir peur : vous verrez la gloire de Dieu. » Très bien. Puis, quand Il est entré dans la maison, Il a regardé sur le lit, la pauvre jeune fille gisait là, morte, étendue sur le lit, elle avait environ douze ans. Jésus s'est approché de là où elle était, Il lui a pris la main, Il lui a parlé en langues : « Tabitha », Il l'a fait venir là.
E-36 Et tout autour, vous regardez là dehors, tous doutaient, disant : « Eh bien, à l'idée même que cet homme nous fait sortir de la maison. Oh ! Attendez que nous nous emparions de Jaïrus. Hum. Attendez simplement que nous l'ayons. Oh ! lala ! Le médecin a dit que l'enfant allait mourir et cela s'est fait exactement comme le médecin l'avait dit. L'enfant est morte, et le voici maintenant jeter la disgrâce sur notre église. Hum. Attendez qu'il sorte de cette maison-là. Nous allons le soumettre à la discipline de l'église maintenant même. Attendez la réunion de l'assemblée générale, nous allons assurément lui montrer quoi faire. Nous allons lui régler son compte. Attendez simplement qu'on tienne la prochaine conférence, nous n'allons certainement plus avoir ce gars-là par ici. »
Jésus, malgré tout ce tas d'incrédulité dehors, Il était revêtu de la puissance de l'Esprit au point qu'Il a pu parler dans un autre pays, dans une autre langue. Et Il a appelé l'esprit de celle qui était morte depuis le pays, là, Il a dit : « Reviens. » Et la jeune fille qui était couchée, morte, est ressuscitée, par le toucher de Sa main. Il a dit : « Maintenant, donnez-lui à manger, elle est faible. Elle va se rétablir. » Il a dit : « N'en parlez à personne donc. » Cela n'a pas à être publié dans toutes sortes de journaux et être annoncé partout. Très bien. Il était l'Homme du moment. Il l'était. Mais Il le savait Lui-même. Dieu le savait et c'était suffisant. Très bien.
E-37 Et Il avait dit : « N'aie pas peur. Crois seulement. » Or, ce même Seigneur Jésus qui était là-bas, à cette scène, est ici ce soir à cette scène-ci. Quand Il était ici sur terre, nous voyons Sa miséricorde. A la résurrection de cette jeune fille, le Père Lui avait montré en vision, quand Il est allé pour un temps. Il a dit qu'Il ne faisait rien… Quand Il a regardé tout autour, Jaïrus, peut-être qu'Il avait déjà vu ce qui allait arriver ; en effet, Il a dit de Ses propres lèvres, alors qu'Il passait à côté de la piscine de Béthesda, là où étaient couchés les boiteux, des estropiés et des aveugles, Il est passé par là, Il a trouvé un homme couché sur un grabat, car le Père Lui avait montré où était cet homme-là. Il souffrait d'une maladie depuis trente-huit ans. Cela n'allait pas le tuer. Il s'est donc avancé là, Il a guéri cet homme-là, et Il est allé s'occuper de Ses affaires. Et il y avait là au moins deux ou trois mille personnes, ou plus, couchées près de cette piscine-là, attendant le mouvement de l'eau : des estropiés, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, attendant là.
Et pourtant un Tendre et Compatissant Père passait juste à côté de cela. Mais, parfois, les gens ne savent pas ce qu'est l'amour ; vous confondez l'amour et la sympathie. Voyez ? L'amour, c'est l'obéissance. Dieu parle ; c'est l'obéissance, peu importe ce qu'est la sympathie ou n'importe quoi d'autre.
Il n'est pas étonnant qu'Il ait exprimé, là dans le jardin de Gethsémané, Sa sympathie en abandonnant Ses amis et tout, mais Il a dit : « Que Ta volonté soit faite. » C'est exact. C'est l'amour ; c'est le vrai amour, l'obéissance. Il est passé là. Certainement, Son cœur saignait pour telle pauvre petite mère, là debout avec un enfant hydrocéphale, et tel pauvre vieux papa aveugle, paralysé par l'arthrite, qui avait fait là des années et des années, cherchant à entrer dans cette piscine-là après que l'Ange était descendu, mais ils ne pouvaient pas y arriver.
E-38 Un grand nombre, et il faut deux mille pour faire un grand nombre. De grands nombres, au pluriel, étaient étendus là jour et nuit. L'Ange descendait, agitait l'eau ; la première personne à y entrer avec foi était guérie. Et ils devaient attendre que l'eau soit encore agitée. Ainsi donc, ils restaient couchés là année après année, et leurs bien-aimés leur apportaient à manger. Et les mendiants étaient là, essayant peut-être d'entrer une fois dans la piscine pour être guéris, éprouver leur foi contre l'Ange, ou avec l'Ange, quand Il descendait. Et là, ce grand nombre était couché là…?... La Bible dit que des impotents étaient couchés là, des boiteux, des aveugles, des estropiés, des paralytiques, attendant, et Il les a dépassés tous, Il n'a adressé mot à aucun d'eux. Il est allé vers cet homme, Il a dit : « Veux-tu être guéri ? »
Il a dit : « Eh bien, je–je–je… Quelqu'un peut me dépasser. » Il a dit : « Quand je me dirige vers la piscine, quelqu'un d'autre peut courir plus vite que moi, il descend vite et y entre avant moi, et c'est comme ça que ça se passe. »
Il a dit : « Très bien. Prends ton lit et rentre chez toi. » Les Juifs L'interrogèrent. Eh bien, Il a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu'Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. »
E-39 Quand Il était ici sur terre, Il connaissait les péchés cachés des gens. Il savait ce qu'ils avaient fait, là où ils avaient été. Quand Philippe est arrivé auprès de Lui, après qu'il eut trouvé Nathanaël, il s'est simplement approché et Il a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n'y a point de fraude. » C'était le commencement de Son ministère.
Eh bien, Philippe se tenait dans la ligne de prière, il a dit : « Eh bien, comment m'as-Tu connu, Rabbi ? (Ou révérend, n'importe quel titre que vous voulez donner. Maître, je pense, ou Docteur, c'est la bonne traduction.) Comment m'as-Tu connu ? »
Il a dit : « Avant que Philippe t'appelât, quand tu étais sous l'arbre, Je t'ai vu. » Il n'a pas dit…
Eh bien, vous savez ce que les gens qui étaient dehors et qui se tenaient là disaient : « Cet homme est un spirite. Il est Béelzébul. C'est le prince de tous les démons. » En d'autres termes, Il était le meilleur liseur des pensées qu'il y a eu. « C'est le prince des démons. » Mais vous savez quoi, Philippe a dit : « Tu es le-le Fils de Dieu, le Roi d'Israël. » Et il a reçu la Vie Eternelle.
E-40 Or, Jésus a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m'en vais au Père. Vous en ferez davantage. » Si donc Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement, Il est donc ici ce soir. Il n'a jamais quitté la terre, pas plus qu'Il est monté et Il est revenu sous forme du Saint-Esprit le jour de la Pentecôte. Il a donné la puissance aux disciples et Il leur a donné la puissance. Et cela devait aller jusque quand ? Se limiter aux disciples seulement ? Ecoutez Sa dernière commission : « Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. » Est-ce vrai ? C'est dans le monde entier et à toute la création dans le monde. Et cela ne s'est pas encore fait là. Et jusqu'à quand était…?... durait ? « Jusque dans le monde entier… » Prêchez l'Evangile. L'Evangile ne vient pas en parole seulement, la… C'est la Parole rendue manifeste. Paul a dit : « L'Evangile ne vient pas en parole seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit. » Voyez ?
Maintenant, regardez et voyez si cela coïncide avec ce qu'Il a dit : « Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création ; celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. » Or, aujourd'hui…?... le prédicateur va jusque-là. C'est vrai. « Celui qui croira, qui sera baptisé, sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné, et (conjonction, qui relie cela) voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Oh ! On ne vous enseigne pas cela, n'est-ce pas ? « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues. Ils saisiront des serpents, ou s'ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » C'est vrai. Observez là où ces choses arrivent et vous verrez la Colonne de Feu suivre l'église, Dieu confirmant cela.
E-41 Un jour, Paul longeait le rivage, il avait fait naufrage. Il ramassait des morceaux de bois et les jetait simplement au feu ; et un gros serpent l'a saisi à la main. Il l'a regardé, il a dit : « Eh bien, Dieu m'a déjà dit que je dois comparaître à Rome. Cette bestiole ne me fera jamais de mal. » Il l'a simplement envoyée au feu d'une secousse.
Tous les indigènes ont dit : « Attendez voir cet homme tomber mort maintenant. » Il s'est retourné, il a ramassé d'autres morceaux de bois, il s'est retourné, il s'est mis à se réchauffer. Et ils ont dit : « Non, c'est Dieu. » C'est vrai. Pourquoi ? Il était tellement rempli et chargé du Saint-Esprit que le poison de cette bestiole ne lui a même pas fait mal. Il est le même Jésus ce soir. Il ne faillit jamais. Il est toujours le même Seigneur Jésus. Croyez-vous en Lui ?
E-42 Je pense qu'Il veut que je prie pour les malades. Maintenant, rappelez-vous, représentons-nous ce que Jésus est maintenant. Prenons… Combien ici croient qu'il y avait eu la résurrection des morts et que Jésus-Christ est les prémices de ceux qui dormaient ? Eh bien, je vous remercie pour votre foi. Maintenant, la Bible enseigne dans Hébreux 13.8, il est dit : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement. » Est-ce vrai ? Jésus a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. » Est-ce vrai ? Et quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur ; Il ne prétendait pas être autre chose que le Fils de Dieu. Il disait : « Je ne peux rien faire avant que le Père Me le montre. » Mais cependant, Il pouvait se tenir à côté de quelqu'un, lui parler un peu et lui dire ce que–ce qu'était son problème. Est-ce vrai ? Donc, le Père Lui donnait une vision, Lui disait d'aller faire une certaine chose ; Il le faisait.
E-43 Il Lui avait montré en vision la résurrection de Lazare. Est-ce vrai ? Il avait quitté la maison et s'en était allé. Le premier jour, on L'a envoyé chercher, Il n'est pas venu. Le deuxième jour, on L'a envoyé chercher, Il a simplement poursuivi Son chemin. Le troisième jour, Il a alors fait demi-tour et a dit : « Notre ami Lazare dort, et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n'étais pas là. Mais Je vais le réveiller. » C'est vrai: « Je vais le réveiller. » Maintenant, remarquez, quand Il est arrivé à la tombe, Il a dit : « Père, Je Te loue de ce que Tu m'as déjà exaucé. Mais à cause de ceux qui se tiennent ici, Je dis ceci. » Voyez ? Il savait ce qui allait arriver. Puisque les paroles ne se contredisent pas dans la Bible, ne contredisent pas une partie des Ecritures, Il a dit : « Je ne fais que ce que le Père Me montre. » C'est vrai. « Si tu peux croire, a-t-Il dit, tout est possible. » Donc, croyez ce soir, et demandons à notre Seigneur Jésus de bien vouloir monter sur la scène ce soir, d'avoir le contrôle sur nos corps par la foi et la puissance, et si… de nous couvrir ensemble maintenant. Nous avons fait des appels à l'autel, les gens ont été sauvés, et–et ils sont venus à Dieu. Maintenant, demandons-Lui de guérir les malades ce soir. Inclinons la tête pendant que nous Lui parlons.
E-44 Maintenant, Bien-Aimé Père céleste, nous sommes reconnaissants pour Ta Parole écrite. Et maintenant, je prie, alors que je me tiens ici Te représentant devant ces chers amis chrétiens ici ce soir dans l'église, je Te demande, Dieu bien-aimé, de venir prendre le contrôle du corps de ce misérable homme que je suis, juste pour Ta gloire. Et à cause de Ton élection, à cause de Ton appel, parle et laisse que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, entre dans le corps de Ton serviteur, et parle à Tes autres serviteurs. Et que le même Jésus entre dans leurs corps et réponde à la croix. Et que de grands signes et de grands prodiges s'accomplissent ce soir. Accorde-le, Père, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.
E-45 Maintenant, je pense que dimanche soir nous avons distribué les cartes de prière de la série Y. Et puis, nous n'avons plus distribué de cartes de prière après. Je pense donc que nous les avons prises depuis le–le début à partir de la première jusqu'aux 50 premières, là-bas. Maintenant, ce soir, prenons la dernière partie de cette centaine de cartes. Voyons, Y. Prenons environ… Nous avions 25, je pense, hier soir. Voyons, la dernière… Prenons environ quinze ce soir et essayons cela. Disons de 85 ; Y-85 à 100. Qui a Y-85. Voyons. Levez la main. La dame assise ici. Très bien, voudriez-vous venir juste ici même, madame ? Très bien, 85. Qui a 86 ? Quelqu'un a-t-il la carte de prière 86, Y-86 ? Voudriez-vous venir ? Avez-vous cela, madame ? 86 ? Très bien, 87 ? 88 ? 88 ? Qui a la carte de prière 88 ? Quoi ? Pardon, 88, 89, qui a la carte de prière Y-89 ? N'y en a-t-il pas dans… Que quelqu'un regarde tout autour. Peut-être qu'il s'agit d'un sourd ? Ou, ici, je vois un jeune homme assis dans un fauteuil roulant. Est-ce votre carte de prière, Monsieur ? Non, en a-t-il ? Très bien. 8… 80… Maintenant, est-ce… Excusez-moi. 89. 90 ? Qui a 90 ? Les cartes de prière 90 ? 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100. Alignez-les simplement maintenant. Voyez, si nous pouvons prendre ces premières, peut-être, retourner carrément pour en prendre d'autres.
E-46 Que l'organiste, à l'orgue, veuille jouer pour moi, qu'il veuille nous donner un accord… Combien connaissent cet ancien cantique : Reste avec moi ? J'aspire après un grand matin de résurrection, quand toute la vie sera terminée, que notre œuvre sur la terre aura été accomplie, nous aurons été à la maison pour le Souper des Noces, et nous reviendrons pour le Millénium… J'imagine simplement une douce musique angélique parcourir l'air. Les anges de Dieu chanteront à la résurrection, quand nous reviendrons. J'aimerais qu'Il reste avec moi ; alors, pas vous ? Pendant qu'elle joue cela doucement...
Maintenant, je vais vous poser une question. Je vais vous demander combien ici présents sont nécessiteux, n'ont pas de cartes de prière, ne seront pas ici ce soir, et disent : « Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière. J'aimerais que Dieu aie pitié de moi, qu'Il me guérisse ce soir. » Voudriez-vous lever les mains partout ? Ceux qui veulent que Dieu les guérissent ce soir. Très bien, juste pour avoir une idée générale de là où vous êtes. Eh bien, vous n'avez pas besoin de carte de prière, mes amis. Une carte de prière, c'est juste pour entrer dans la ligne ; c'est l'unique moyen légitime par lequel nous pouvons obtenir cela.
E-47 Maintenant, si je parcours cette ligne, je pense, quinze ou vingt personnes… Sont-ils tous là ? D'accord. Je ne pense pas qu'il y ait une personne dans cette ligne-là que je connaisse, à moins que ça soit cette petite dame qui vient de quitter l'estrade ici, il y a juste quelques minutes. Je ne connais même pas son nom. Je sais qu'elle–qu'elle chante ici. C'est tout ce que je sais, ou-ou plutôt qu'elle fréquente votre église ou quelque chose comme cela. Je-je ne la connais pas. Et je pense que c'est l'unique personne que je connais tout au long de cette ligne-là.
Maintenant, comme je suis ici chez moi, c'est un peu difficile. Il y en a que je connais : Monsieur Wood et sa femme, ici, je les connais. Et puis je connais cet homme qui est assis ici même ; j'ai… Est-ce Garrett ? Est-ce votre nom, frère ? Quoi ? Bryan. Je vous connais, comme c'est vous qui avez mis ce grand écriteau là dehors à New Albany, là, avec cette–cette épée perçant le monde ou quelque chose qui est dans la Parole de Dieu. C'est vous l'homme qui a fait cela, n'est-ce pas ? C'est ce que je me disais. Puis… Maintenant, cette femme assise ici même, je ne la connais pas ; mais je-je… Elle a été quelque part dans une réunion avec moi, quelque part ou quelque chose comme cela. Je… Ne vous ai-je pas vue quelque part, madame ? A Phœnix, en Arizona. Je… Très bien… à Phœnix, en Arizona, au tabernacle à Carlsbad. Je me souviens d'avoir vu votre visage et je… elle me semblait familière.
E-48 Et si je ne me trompe pas, je pense que celui-ci, c'est un ministre avec sa femme, ils sont assis là même. Je …?... dire votre nom, mais ça a une résonance juive. N'est-ce pas vrai ? N'a-t-il pas été chez moi et n'a-t-on pas prié pour votre femme ou quelque chose comme cela il y a quelque temps ? Je me souviens d'eux.
Très bien. Je pense que c'est juste… S'il m'arrive de ne pas vous reconnaître, excusez mon ignorance, mais je-je pense… Et je vois l'homme du… le frère, le même matin où madame Sheen de l'Eglise méthodiste a été guérie. Il souffrait d'un cancer de foie ou quelque chose comme cela, il est de l'Eglise baptiste par ici, lui et sa femme, ils sont assis là même, ils étaient… Je me souviens de lui. Levez la main, frère, là. C'est le frère là même. Oui.
E-49 Et c'est juste pratiquement la limite, à ce que je sache maintenant, sauf ces deux jeunes filles là, la fille de frère Cauble. La jeune fille ici, elle venait d'être guérie des tumeurs de cerveau. Je pense que vous avez entendu son témoignage. Son père est un célèbre médecin ici. Et les tumeurs de cerveau… Elle est directement passée à l'estrade. Dieu sait que je ne savais rien à ce sujet. Mais je savais qu'elle souffrait de la nervosité.
Eh bien, c'est tout ce qu'ils m'ont dit. Je ne peux pas dire… Je dois simplement suivre ce qu'ils disent. Ils ont dit que je lui ai parlé, lui disant que je la connaissais et je savais qu'elle était nerveuse ; mais après, j'ai vu son papa l'examiner et trouver des tumeurs au cerveau, et c'était vrai. Et puis, il lui a été dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, l'intervention chirurgicale ne sera plus nécessaire, car Dieu les ôtera. » Et maintenant, elle a été examinée par deux médecins, ou plus, de la ville. Elle est directement retournée auprès de son père et celui-ci l'a examinée… Il n'y a aucune trace de cela, nulle part. Voyez ? Tout a disparu. Tout a disparu. Maintenant, c'est simplement notre Tendre Seigneur.
E-50 Maintenant, il y en a d'autres, peut-être ici présents, qui ont été guéris de toutes sortes de maladies et autres, mais je n'ai jamais guéri personne. Et personne d'autre n'a donc guéri quelqu'un, à part Dieu : « Je suis l'Eternel qui guérit toutes tes maladies. » Je suis juste Son serviteur, né dans ce monde. Tout comme frère Cauble est né ici pour prêcher ; Dieu l'a envoyé comme prédicateur. Il m'a envoyé comme un voyant. Et j'ai simplement des visions. C'est tout.
Et je suis né comme cela. Il n'y a rien là… La première chose que je peux me rappeler, c'était une vision que j'ai eue quand j'étais un enfant. Ce n'est pas seulement comme ceci ; Cela prédit des événements des mois, des semaines, voire des années à venir. Et je demande à n'importe qui dans cette salle, ici, à n'importe quel moment, ou n'importe où que vous voulez, si une fois…Je suis… Excusez-moi, je vois ma chère vieille mère assise ici. Je regardais juste par-dessus elle, elle et frè-… frère et sœur Sims.
Et à aucun moment Cela n'a jamais parlé sans que la chose s'accomplisse absolument, exactement comme cela avait dit que ça s'accomplirait. Sauf cette unique chose qui est encore à venir, quand j'arriverai outre-mer ; c'est écrit ici dans ma Bible. Je peux vous en donner une copie si vous voulez. Observez et voyez si on ne voit pas cela dans les journaux, les journaux religieux et tout, au moins juste exactement ce que cela dit ici.
E-51 Très bien. Maintenant, faites venir votre… Oh ! C'est celui-ci le patient. Maintenant, j'aimerais… Rappelez-vous, à vous les chrétiens, ces choses sont terribles et ce n'est pas une pratique de quelque chose. Il s'agit absolument du Seigneur Jésus-Christ dans Sa puissance de résurrection. Comme une puissance qui a été donnée aux gens, non pas pour guérir, mais pour prêcher, enseigner… Tout cela, c'est sous l'inspiration. Aucun prédicateur parmi vous assis ici ne voudrait se dire donc : « L'inspiration n'existe pas. » Vous n'aimeriez pas dire que vous avez prêché votre sermon de vous-même. Vous demandez à Dieu de vous aider. C'est l'inspiration. Pourquoi votre frère, ou quelqu'un à côté de vous, ne peut-il pas prêcher juste comme vous le pouvez ? Il n'a pas été appelé pour cela ; c'est vous seul qui avez été appelé. Cela ne fait pas de vous meilleur que lui, s'il est chrétien. Mais Dieu vous place comme un prédicateur, peut-être lui comme un membre laïc. Voyez ? « Dieu place dans l'église… »
Et maintenant, concernant ces choses, je dis ceci maintenant à cause de la loi de l'Etat, dans la plupart des Etats, que je ne répondrai pas des critiqueurs ou des incroyants à partir de cette partie de la réunion jusqu'à la fin. Que le Seigneur vous bénisse. Je sais que Sa Présence est ici, l'Ange du Seigneur est près ; Il est ici maintenant. Et vous tous qui avez Sa photo, vous savez, vous verrez au jour du Jugement, Il ne se tient pas à cinq pieds [1,5 m] de là où je suis maintenant même. C'est exact. Ce n'est pas moi. Il entre simplement ; je me perds, et Il parle. Que le Seigneur vous bénisse.
E-52 Et maintenant, si vous êtes un critiqueur, et que n'importe quoi arrive, je ne suis pas responsable. Mais je le suis vis-à-vis d'un chrétien. En effet, par la grâce de Dieu, nous pouvons faire partir cela d'un chrétien, mais nous ne le pouvons pas sur un critiqueur. Très bien. En effet, c'est un châtiment. Vous devez vous repentir. Ainsi donc, que le Seigneur vous bénisse maintenant. Et puissiez-vous tous… Ne vous déplacez pas. Mais quoi que vous fassiez, ne quittez pas votre siège. Restez juste là où vous êtes pendant les quelques prochaines minutes et croyez.
Et si le Seigneur Jésus-Christ vient ici à l'estrade ce soir, maintenant, et qu'Il accomplit les mêmes œuvres qu'Il accomplissait en Galilée et là dans les alentours, allez-vous L'accepter pour votre guérison et comme votre Sauveur et tout ? Allez-vous le faire ? Levez la main et dites : « Je le ferai. Je croirai cela de tout mon cœur. » Que Dieu vous bénisse. Maintenant, face à ça, puisse-t-Il le faire.
Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Très bien, maintenant, que la dame vienne.
Maintenant, juste… j'aimerais que l'assistance soit respectueuse [Espace vide sur la bande – N.DE.] Et écoutez simplement. Et j'aimerais que les patients regardent de ce côté-ci, qu'ils croient simplement et juste… répètent ce que je dis. Et j'aimerais que vous, dans l'assistance, vous soyez tout aussi respectueux que possible. Et obéissez simplement à ce qui vous est dit de faire ou écoutez attentivement ce qu'Il dit.
E-53 Et maintenant, j'aimerais parler à la dame. Je pense que cette dame m'est inconnue. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu nous connaît tous deux, n'est-ce pas ? Et est-ce notre première rencontre ? D'accord. Oui. Vous étiez… ? Madame ? Oui. Excusez-moi. Très bien, elle était ici hier soir, mais hier soir, je prêchais simplement, à ce que je sache. On m'a dit juste à la fin là, cela s'est mis à appeler les gens là dans l'assistance, pour différentes maladies, et à les guérir. Maintenant, puisque nous sommes inconnus, peut-être, nous avons peut-être le même âge, nous avons peut-être grandi quelque part à des lieux différents du pays, c'est notre toute première rencontre de notre vie… S'il y a quelque chose à votre sujet ou n'importe quoi que je puisse savoir, cela devrait venir par Dieu, par un moyen. Est-ce vrai ? Ou peut-être-peut-être un péché secret dans votre vie, peut-être que vous êtes ici, je… avec un besoin d'argent. Peut-être que vous êtes ici pour demander à Dieu pour un autre, un bien-aimé, ou–ou un fardeau, ou-ou quelque chose de ce genre. C'est sur votre–c'est sur votre cœur, ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas, mais quoi que ce soit, eh bien, Il… Vous venez simplement vers moi pour que j'intercède pour vous, comme un-comme un intercesseur, pour vous aider à recevoir Christ. En effet, j'ai vu que vous êtes une chrétienne quand vous montiez ici. Vous êtes une croyante.
E-54 Eh bien alors, si Jésus de Nazareth était ici et qu'Il se tenait ici, Il vous parlerait peut-être comme je vous parle. Il a parlé à la femme au puits un jour, Il a dit : « Apporte-Moi à boire. »
Elle a dit : « Le puits est profond. Tu n'as rien pour puiser. » Et-et ainsi de suite. Et la conversation s'est poursuivie. Il est allé tout droit à son problème. Elle avait un problème, et ce problème-là, c'était qu'elle avait cinq maris. Il a dit… Et elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète. » Et elle est entrée dans la ville en courant, elle a dit : « Venez voir un Homme qui m'a dit tout ce que j'aie jamais fait. »
Ce n'est pas ce qu'Il avait fait. Il lui avait dit juste une seule chose. Mais Il avait découvert son problème. Et quand Il a découvert son problème, Il le lui avait dit, c'était le remède. Eh bien, s'Il est ressuscité d'entre les morts, et je soutiens qu'Il m'a envoyé Le représenter, tout comme Il… frère Cauble L'a représenté d'une autre façon, alors Il peut faire la même chose pour vous. Et s'Il vous disait la même chose, seriez-vous heureuse et-et prête à aller dire aux gens que Jésus-Christ est ressuscité d'entre les morts ? Le feriez-vous ? Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, ma sœur, et vous aide.
E-55 Maintenant, regardez-moi comme serviteur de Dieu. Vous êtes consciente qu'il se passe quelque chose. Vous ne savez pas exactement ce que c'est, mais c'est quelque chose que vous savez. Afin que l'assistance… Parfois, je suis sous cette onction ; je ne… vous savez, je ne me rends pas compte de là où je suis. Mais depuis l'assis-… Afin que cette assistance sache que cette femme sait absolument qu'il se passe quelque chose maintenant même, si c'est vrai, levez la main, madame. Maintenant, ce qu'il y a, c'est cet Ange ; cette onction, Il se meut entre elle et moi. Et maintenant, dans cette dimension qui est donc là, Cela continue à apparaître comme un souffle. Je vois Cela devenir très laiteux devant moi. Maintenant, cela vient de disparaître. Et voici, on dirait, Cela disparaît, apparaît. C'est ainsi que vous pouvez sentir cela, juste comme des vagues. Maintenant, Cela apparaît de nouveau, comme cela, Cela retourne. Ça y est. Je vois quelque chose s'ouvrir. C'est vous qui entrez dans une maison. C'est un–c'est un hôpital. Et vous–vous avez subi une intervention chirurgicale ; ça a été… Je vois quelqu'un debout là, levant deux doigts. Il y a de cela deux ans depuis cette intervention chirurgicale. Vous êtes… Il y a un Etre angélique qui se tient près d'une porte. Eh bien, il s'agit-il s'agit de quelque chose dans votre flanc. C'est une maladie dans votre flanc, dans vos côtes. Est-ce vrai ? Vous allez vous rétablir, sœur. Je vous vois plus tard dans un… Ô Dieu Tout-Puissant, je proclame des bénédictions sur ma sœur. Et qu'elle aille recevoir cette bénédiction, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Madame ? Oui. Oh ! Il est tout…. Maintenant, ce qu'Il a dit que c'était, dans votre vie passée, était-ce vrai ? Eh bien, ce qu'Il dit pour le futur arrivera, tout aussi vrai que ça sera. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Maintenant, vous pouvez partir et être rétablie. Jésus-Christ vous a guérie. Vous êtes consciente qu'il vous est arrivé quelque chose aussi, n'est-ce pas, madame ? Oui. Si c'est vrai, afin… Voudriez-vous lever la main, juste dire que vous êtes… C'est vrai. Que Dieu vous bénisse. Merveilleux.
E-56 Croyez-vous en Lui ? Tout ce que vous avez à faire, c'est avoir foi. Jésus a dit : « Si tu peux croire, tout est possible. » Maintenant, soyez simplement respectueux. C'est la même chose que notre…
Où est partie cette dame qui venait d'être guérie ? Oh ! C'est la dame assise à côté de vous, en train de prier. Croyez-vous que je suis Son serviteur, madame ? De tout votre cœur ? Vous souffrez de… quelque chose cloche dans le sang. N'est-ce pas vrai ? C'est une hypotension. Est-ce vrai ? Tenez-vous debout si c'est vrai. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vous guérit, sœur. Rentrez chez vous à la maison et croyez. Amen.
Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez seulement ; vous verrez la gloire de Dieu. Amen.
E-57 Très bien. Venez ou… Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici pour vous rétablir, vous guérir ? Eh bien, si vous êtes consciente de Sa Présence, vous savez qu'il y a quelque chose d'autre que votre frère, n'est-ce pas ?
Je ne suis pas en train de lire ses pensées maintenant. Arrêtez de telles pensées. Ce n'est pas ce que je fais. Rappelez-vous, vos pensées sont ici malgré tout. Eh bien, vous dites que c'est la raison pour laquelle votre esprit… Eh bien, Jésus a fait la même chose : Il connaissait leurs pensées. Croyez-vous cela, monsieur, de tout votre cœur ? Si vous croyiez, et que vous voulez croire de tout votre cœur, vous guéririez de cette hernie dont vous souffrez. Croyez-vous cela ? Eh bien alors, levez-vous et soyez guéris, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Allez. Amen.
Oh ! Vous avez une espèce de crise. C'est un–c'est un… Non, ce n'est pas l'épilepsie. C'est une espèce d'évanouissement ou de perte de connaissance. Oh! Vous avez connu un accident, un accident d'automobile qui a causé des crises d'évanouissement, vous languissez simplement et vous vous évanouissez. N'est-ce pas vrai ? Venez ici.
Ô Jésus, Fils de Dieu, aie pitié d'elle maintenant alors que j'impose les mains, que l'onction du Saint-Esprit est ici dans la salle. Et maintenant, puisse Cela aller vers cette femme et lui donner la foi. Et qu'elle n'ait plus cette maladie, quoi que ça soit. Je condamne cela au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez maintenant en paix. Que les bénédictions de Dieu reposent sur vous. Très bien, ayez foi.
E-58 Venez. Bonsoir, monsieur. Je suppose, peut-être, oh ! nous sommes inconnus dans cette vie, mais Dieu nous connaît tous deux. Il nous a nourris, Il est avec nous. Et tout ce que nous avons vient de Lui. J'essaie simplement de contacter votre esprit, mon bien-aimé frère, juste afin que les bénédictions de Dieu puissent reposer.
Maintenant, juste un instant, cela… A... Cela m'a quitté et Cela se dirige dans cette direction-ci. Il s'agit-il s'agit d'un homme qui est assis ici en train de prier, et il regarde droit vers moi. Oh ! C'est pour cet enfant-là. Il va devenir aveugle, ses yeux. Est-ce vrai ? Imposez la main à ce petit enfant là et je vais solliciter des bénédictions de Dieu.
Père, je Te prie de guérir cet enfant et qu'il ne soit plus dérangé au Nom de Jésus. Guéris ses yeux. Amen. Ayez foi, frère. Il va se rétablir.
E-59 Maintenant, j'aimerais vous parler juste un instant. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Je le crois. Et vous êtes conscient que quelque chose se meut entre vous et moi maintenant. Maintenant, vous souffrez des nerfs. Vous en êtes arrivé, on dirait, à perdre votre esprit.
Dites donc, vous êtes aussi prédicateur. Oui, monsieur. Vous êtes un prédicateur. Vous venez d'entreprendre une nouvelle œuvre dans une ville, une œuvre missionnaire. Et cette ville-là est dans l'Indiana : Muncie, Indiana. Vous êtes… Et autre chose, vous voulez que je vous impose les mains pour que votre ministère soit puissamment béni. Et je vous vois prendre une lettre qui porte un nom. C'est votre nom. En effet, il est écrit : Révérend George G. B-u-t-z, ou quelque chose comme cela. Est-ce vrai ? Rentrez, monsieur. Jésus-Christ va vous accorder le désir de votre cœur par Sa bénédiction. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Disons : « Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. » Ayez simplement foi, là au fond dans l'assistance. Croyez de tout votre cœur et vous verrez la gloire de Dieu. Le Seigneur Jésus qui est ressuscité d'entre les morts se tient ici dans cette assistance maintenant. Son glorieux magnifique Etre, l'Oint d'En Haut, de Gloire, Lui qui a soufflé des mondes depuis Ses mains, pour ainsi dire ; Lui qui a créé toutes choses par Jésus-Christ. Il est ressuscité d'entre les morts, et Il a répandu ce que vous faites maintenant, vous voyez et entendez. Ce n'est pas votre frère. C'est le fait de se soumettre au Saint-Esprit. Croyez-vous cela ?
E-60 Vous souffrez du cou, vous, assise là, n'est-ce pas, madame, assise là avec cette petite écharpe jaune ? Vous avez… N'est-ce pas vrai ? Vous étiez en train de prier tout à l'heure. Vous aviez la tête inclinée et vous demandiez à Dieu : « Si Tu permets à frère Branham de se retourner me parler, j'accepterai ma guérison. » N'est-ce pas ce que vous étiez en train de dire dans la prière ? Ne sont-ce pas les paroles que vous prononciez ? Si c'est vrai, levez la main. Levez-vous maintenant. Jésus-Christ guérit donc votre cou et vous pouvez rentrer chez vous. Comment ai-je entendu votre prière ? Vous ne vous rendez simplement pas compte de là où vous êtes maintenant même. Vous êtes sous Sa puissance ; toute l'assistance est sous la domination du Saint-Esprit. Gloire soit rendue à Dieu !
E-61 Très bien, où est… Excusez-moi, madame, je-je pense que je vous reconnais. C'est vous la dame qui avez chanté ici l'autre soir. Mais quant à savoir quelque chose sur vous autrement, vous en êtes juge : Je ne sais rien à votre sujet, pas plus que le fait que je vous ai vue chanter ici quand moi… l'une ou l'autre chose. Mais Dieu sait tout à votre sujet, sœur. Il vous connaissait depuis votre naissance. Et je sais que vous êtes une croyante. Et me croyez-vous comme votre frère ? Vous croyez. Votre maladie… Vous souffrez de la sinusite, ou quelque chose comme ça, qui vous dérange. Vous souffrez des hémorroïdes ; c'est une affection de rectum. N'est-ce pas la vérité ? C'est votre mari qui est assis ici. Voici une espèce de quelque chose qui se meut entre vous tous. Regardez ici, jeune homme, juste un instant. Oh ! Je vois une personne qui est-qui est ici debout. C'est un… C'est juste… c'est votre–c'est votre belle-mère. Elle habite une ville où il y a beaucoup de lacs, ou quelque chose comme cela ; c'est Michigan ; elle est estropiée. Est-ce vrai ?
Dieu Tout-Puissant, que Tes miséricordes viennent maintenant et bénissent celle-ci, Seigneur. Nous demandons cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ ; que cela soit pour Ta gloire. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que la paix de Dieu repose sur vous. Je vous impose les mains pour la bénédiction pendant que l'onction est ici. Amen, amen.
E-62 Ayez foi en Dieu. Très bien. Est-ce le patient ? Croyez-vous ? Si donc un homme dit quelque chose, en tant qu'un homme, vous avez le droit de douter de cet homme. Mais quand Dieu témoigne que c'est la vérité, alors vous n'avez pas le droit de douter de Dieu, mais de dire que c'est la vérité. Et je vous ai témoigné que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité d'entre les morts, Il avait promis que les mêmes choses qu'Il avait faites s'accompliraient aussi ; et Il est ici ce soir, accomplissant les mêmes œuvres qu'Il avait faites quand Il était ici.
Voudriez-vous guérir de cette maladie dont vous souffrez dans la chevelure ou à la tête ? Croyez-vous que Dieu vous en guérira ? Vous croyez, vous pouvez avoir cela. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous ; soyez rétabli. Et vous qui souffrez de l'arthrite, assis là même, Il vous a aussi guéri il y a quelques minutes. Ayez simplement foi et ne doutez pas.
E-63 Amenez la… Est-ce votre patiente ? Est-ce que docteur Cauble est venu ? Excusez-moi, je me sens faible maintenant. Je suis…?... Approchez-vous. Croyez-vous ? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Eh bien, je vous suis inconnu, ou vous m'êtes inconnue. Je suppose que nous sommes inconnus, n'est-ce pas ? Vous avez assisté à plusieurs réunions. Je veux dire, quant à vous connaître, je ne vous connais pas. Je ne sais pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Très bien. Si donc je pouvais faire quelque chose pour vous et que je ne le faisais pas, je serais une brute. Mais si je pouvais faire quelque chose pour vous, et que je pouvais vous accorder votre désir, je le ferais. Mais je ne le peux pas. Mais étant né dans le monde pour avoir des visions, et, dans Sa Présence, dans laquelle vous êtes sûre maintenant de vous tenir… En effet, je crois que vous, sous cette onction, vous pourrez probablement passer dans l'Eternité. Me croyez-vous donc ? De tout votre cœur ?
Vous n'êtes même pas de cette ville. Vous venez d'un autre Etat, et c'est un Etat voisin, au nord ; c'est l'Ohio. Est-ce vrai ? Et vous avez des ennuis. Vous avez eu… Vous avez eu de sérieux ennuis depuis que vous êtes ici. Vous avez eu une attaque cardiaque. On vous a amenée dans un hôpital depuis que vous êtes ici. Vous souffrez de l'affection de vésicule biliaire. Est-ce vrai ?
Ô Seigneur, Créateur des cieux et de la terre, je condamne cette maladie et j'ordonne que cela la quitte afin qu'elle puisse retourner chez elle à la maison, normale et rétablie. Et pendant que Ta Présence ointe est ici, et que tous deux nous en sommes conscients, nous savons qu'un jour nous aurons à nous tenir dans Ta Présence. Maintenant, que ceci la quitte et qu'elle soit bien portante ; je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Rentrez, en étant heureuse, en bonne santé, et aimez Dieu toute votre vie. Très bien.
E-64 Oh ! Comme Dieu pourrait guérir toute cette assistance de gens en ce moment même, si vous croyez de tout votre cœur. Si seulement vous avez foi et que vous ne doutez pas. C'est tout ce que je vous demande de faire, c'est croire en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Maintenant, peu importe que vous soyez ici sur l'estrade ou que vous soyez là dans l'assistance… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Croyez-vous de tout votre cœur ? Vous ? Devant Dieu, vous dites cela ? Comprenez-vous cela ? Et il y a une vibration ou un mouvement dans un canal qui a parcouru l'assistance il y a quelques instants, cela a quitté maintenant ; mais on pensait que c'était de la télépathie mentale qui consiste à lire la pensée. Mais ce n'est pas ça. Je n'ai point regardé la femme. J'aimerais que vous posiez votre main sur mon épaule, madame. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu et que je vous dis la vérité ? Si je demande à Dieu et qu'Il me dise ce qu'est votre problème, allez-vous accepter Jésus comme votre Guérisseur ? Allez-vous le faire ? Vous souffrez du cœur. Si c'est vrai, levez la main maintenant. Maintenant, allez et soyez rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Vous aurez ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Très bien.
E-65 D'accord, madame. Croyez-vous de tout votre cœur ? Aimeriez-vous être rétablie ? La vie n'a pas été un lit fleuri pour vous de toute façon, n'est-ce pas ? Vous avez eu beaucoup d'épreuves, des hauts et des bas. Vous avez été extrêmement nerveuse toute votre vie, surtout en ce temps-ci, c'est pratiquement l'âge que vous atteignez maintenant, d'être–d'être nerveuse et bouleversée. Ça s'aggrave plus que jamais, car vous atteignez la ménopause, une étape de la vie. Mais dans votre vie, vous avez toujours désiré une marche plus intime avec Dieu. Vous avez encore ce désir aujourd'hui, vous cherchez cela tout le temps. Maintenant, entre vous et moi, il coule du sang, et cela change on dirait en une couleur blanche. Vous êtes anémique. Est-ce vrai ? Maintenant, allons juste au Calvaire maintenant, par la foi, pour une transfusion sanguine.
Dieu Tout-Puissant, que le Sang de Jésus-Christ ramène la vie au sang de ma sœur, qu'elle parte d'ici rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez, et que la paix de Dieu repose sur vous et vous rétablisse.
E-66 Très bien. Est-ce ce petit garçon ? Viens ici, fiston. Très bien, c'est un très bon petit garçon. Il est juste un peu excité, évidemment, à la manière des enfants, et cette onction touche ce petit garçon maintenant. Regarde, chéri, quand notre Seigneur Jésus était ici sur terre, Il prenait les petits garçons comme toi, Il s'asseyait et leur imposait les mains, les bénissait et ils étaient rétablis. Aimes-tu donc entendre ta monitrice de l'école du dimanche parler de cela, quand Jésus était ici, comment Il avait béni les petits enfants et les petites filles ? Eh bien alors, maintenant, Il est monté au Ciel et Il est revenu sous forme du Saint-Esprit. Maintenant, s'Il était ici, Il te dirait ce qui cloche chez toi. Est-ce vrai ? Et alors, tu serais rétabli. Tu crois cela, n'est-ce pas, chéri ? Crois-tu que ces reins vont se rétablir ? C'est ce qui clochait chez toi, n'est-ce pas ? L'affection rénale. Si c'est vrai, lève ta petite main afin que le… Eh bien, viens ici juste une minute.
Père céleste, je bénis cet enfant et je condamne cette maladie dans son corps, et j'ordonne qu'elle quitte ; au Nom de Jésus-Christ, que cela parte. Amen. Que Dieu te bénisse, chéri. Tu peux retourner auprès de tes parents et leur dire que tu vas te rétablir maintenant. N'ayez pas peur, sœur ; il va maintenant se rétablir. Tout cela quittera et il va–il va se rétablir.
E-67 Très bien, voudriez-vous venir, madame ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Et sachant que l'un de ces jours, vous et moi, nous aurons à nous tenir dans Sa Présence et à rendre compte de nos vies, il nous convient donc de vivre comme des chrétiens, n'est-ce pas ? De vivre fidèlement et de vivre avec droiture devant Dieu ? Savez-vous que vous avez quelque chose qui cloche chez vous maintenant qui pourrait vous ôter la vie, si c'est… va un peu plus loin, cette maladie dans les glandes féminines. Mais croyez-vous que Dieu vous guérira maintenant et vous rétablira ? Acceptez-vous cela comme ça ? Que Dieu vous bénisse, cela vous a quittée maintenant. Vous pouvez partir…?...
Maintenant, la raison pour laquelle j'ai fait cela, en attendant cette femme, c'est que je savais qu'elle était guérie pendant qu'elle se tenait ici. Dieu l'a guérie pendant qu'elle se tenait ici pour être rétablie.
E-68 Et je sais que dans cette salle maintenant même, vous ne saurez jamais combien cela affaiblit… Regardez ici la sueur sur ma main. Voyez ? Je suis pratiquement sur le point de m'écrouler ici à l'estrade. Tout devient laiteux partout dans la salle, et tout. Rappelez-vous, le Seigneur s'est retourné et a dit : « La force m'a quitté. » Or, je ne suis pas Lui, mais c'est Lui, c'est Lui qui fait le… Si cela faisait… Si Dieu, dans le Seigneur Jésus-Christ, dans ce corps né d'une vierge, Lui a fait sentir cela quand quelqu'un L'a touché avec foi, que pensez-vous que cela ferait à un pécheur comme moi, qui a été simplement converti et introduit dans la voie ?
Chacun de vous, croyez-vous de tout votre cœur ? Ecoutez-moi maintenant, en tant que serviteur de Dieu. Je vous dis la vérité. Chaque personne ici présente, d'après la Parole de Dieu, est guérie maintenant même. Croyez-vous cela ?
J'aimerais que vous fassiez quelque chose. Nous pourrons faire passer ligne après ligne, mais j'aimerais que vous vous imposiez les mains les uns aux autres et que vous me laissiez prier, juste avant que j'aille plus loin. Imposez-vous les mains les uns aux autres, ceux qui aimeraient être guéris. Oh ! lala ! Si vous pouvez vous tenir ici et voir combien le Saint-Esprit se réjouit de cela, avec vos mains posées les uns sur les autres.
E-69 Bienveillant Tendre Père, alors que ma force me quitte si vite, et que mes jambes me soutiennent à peine davantage, je comprends vraiment pourquoi Tu pouvais Te reposer à la poupe après un service de guérison, et même les vagues ne T'ont pas réveillé.
Maintenant, j'implore la miséricorde. Il y a beaucoup de mères, de papas, de sœurs et de frères, assis ici ce soir qui ont vraiment besoin de Toi. Au début, on a essayé d'apporter un petit sermon, et maintenant, Tu es entré en scène et Tu as effectivement confirmé que c'était la vérité. Maintenant, exauce ma prière, Dieu bien-aimé, dans la simplicité de mon cœur ; je Te l'offre avec une foi sincère. Ecoute-moi, mon Seigneur. Et que l'Aimable Saint-Esprit s'établisse maintenant même sur chacun de ces gens, et que tout doute soit ôté. Et que Dieu Lui-même touche simplement, avec une petite bénédiction spéciale, chaque cœur et lui accorde la foi afin qu'ils sachent que Ta Présence est proche. Ô Eternel, accorde-le, par Jésus, Ton Fils.
Frère Cauble, termine cette prière.
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