E-1 Notre Bienveillant Père céleste, nous voulons Te rendre grâce du plus profond de notre coeur pour tout ce que Tu as fait pour nous. Nous sommes indignes des bénédictions que Tu nous as accordées, mais nous en sommes reconnaissants. Et maintenant, nous Te prions de nous gratifier continuellement de Tes bénédictions, et surtout ce soir, comme nous venons de nous souvenir que c’est celui où il nous faut prier pour un très grand nombre de gens. Accorde-nous une grande foi. Que de grands miracles s’accomplissent pour la gloire de Dieu. Nous l’avons demandé au Nom de Jésus. Amen. Asseyez-vous.
Je venais de me rappeler que c’est ce soir qu’il nous faudrait prier pour tout le monde. Et il a oublié de me dire qu’il venait distribuer les cartes de prière pour tout celui qui désirait bien passer par la ligne. J’avais oublié, jusqu’à mon arrivée à l’estrade, qu’il nous fallait le faire. Et je ne m’en suis plutôt souvenu qu’en quittant ma résidence. Je me suis donc dit que je changerais mon texte et que je parlerais sur autre chose; que j’allais parler sur quelque chose, mais je vais donc changer cela.
E-2 Nous aimerions vous remercier vous tous les prédicateurs pour cette matinée, vous qui avez pris part au petit-déjeuner. Nous avons vraiment eu un véritable jubilé ce matin. Le Seigneur a béni d’une manière merveilleuse dans une magnifique communion que nous avons eue avec les enfants de Dieu ce matin.
Et maintenant, ce soir, je pense que les jeunes gens qui enregistrent... Celle-ci sera la dernière soirée pour les livres et les photos. Ils seront exposés au kiosque, ou je ne sais où. Nous ne vendons pas le dimanche. Je ne l’ai jamais fait et je... Les–les livres et ces choses ne sont pas de marchandises dont nous tirons un quelconque profit. Je les achète auprès de monsieur Lindsay. Et puis, je vais engager quelqu’un pour les vendre pour moi; et ce sont les réunions qui financent en principe ces livres. Eh bien, ils... vous êtes... Eh bien, si c’était moi-même qui les imprimais et les vendais, ou si je pouvais les faire imprimer à un prix très bas et les vendre... Mais ce n’est pas... ce n’est pas ça l’objectif; ce n’est pas pour en tirer un quelconque profit, non. C’est le... pour faire parvenir le Message aux gens. Ainsi donc, on vous invite, si vous envisagez d’acheter un de ces livres ou des photos, cela... de vous en procurer ce soir.
En outre, demain après-midi, il y aura un service ici sur place, le Seigneur voulant. Et puis, demain soir, ce sera la fin de cette campagne. Je sais qu’il y aura d’autres campagnes dans la ville de... Phoenix semble en tenir beaucoup. Et c’est bien. Je suis content que vous en ayez tant.
E-3 Il y a quelques instants, je parlais à un prédicateur, un prédicateur bien connu ici dans la ville. Il me disait: «Frère Branham, les gens de Phoenix vous aiment.»
Et j’ai dit: «C’est certainement réciproque.»
Je souhaiterais avoir le temps, en arrivant dans cette ville, d’aller chez chacun de vous prendre un dîner. Je sais que vous avez de bons cuisiniers. Et je–j’aimerais certainement le faire.
Mais on dirait que pour ce genre de réunions, il me faut constamment rester dans le champ, jusqu’à ce que je sois si épuisé que je ne peux partir.
Frère Moore, je cherchais à le persuader de prêcher pour moi. Il a dit: «Je vous assure, à moins que vous prêchiez, vous tombiez à l’estrade, qu’ensuite nous fassions venir un médecin qui déclare que c’est à cause de la prédication que vous êtes mal en point, a-t-il dit, alors la fois suivante, moi, j’essayerai cela.»
J’ai dit: «Eh bien, Frère Moore...» Mais nous sommes heureux d’être assemblés avec vous ce soir.
E-4 Et maintenant, même en ce–en ce jour où nous vivons... Et ce matin, au petit-déjeuner, je parlais sur Joël, là où celui... là où il a vu les vers, divers insectes, dévorer l’arbre, l’héritage de Dieu. Et nous avons essayé de donner les noms de ces vers et de démontrer que tous ces vers, c’est un même ver, qui ne fait que mourir et venir comme un autre insecte. Et c’est le diable tout le long du chemin. Et il a brisé la fraternité et les choses qu’on avait dans la première Eglise avec la fausse unité de l’église. Pendant que nous nous débattons d’unir les gens dans des organisations, les organisations s’unissent.
E-5 Mais Christ est mort pour le Corps entier. Voyez? Ce n’est absolument pas pour s’unir dans une organisation, c’est pour l’unité du Corps entier de Christ. Et ces vieux vers ont simplement... Chaque fois que le... ce petit arbre qui a été coupé, et il ne reste qu’une souche... et chaque fois qu’une vie recommence, la chose suivante, vous savez, nous formons une petite organisation autour, les vers s’y infiltrent et le dévorent. J’ai dit: «L’un de ces jours, Dieu va amener un insecticide et Il va pulvériser ces vers, ils cesseront désormais de dévorer.»
Lorsqu’un homme peut être si éloigné de ces choses, par l’amour de Dieu et le Saint-Esprit, que cela ne le touchera jamais... Nous connaissons des gens qui ont trouvé ce lieu. J’ai connu des hommes qui ne faisaient pas de distinction suivant l’organisation dont vous étiez membre ou ce que vous croyez, vous êtes de toute façon un frère. Ils ne traceraient pas de lignes de démarcation. C’est... Si cela peut marcher pour un ou deux, cela peut marcher pour le reste d’entre nous. C’est vrai. Nous pouvons tous être les mêmes.
E-6 Vous savez, je méditais sur Job, chapitre 14, où il est dit qu’un arbre a de l’espérance quand il meurt. Et c’est... Même si la tige vieillit, les racines vieillissent dans la terre, à l’approche de la pluie, de l’eau, il pousse encore des branches.
Maintenant, cette souche de l’Evangile, qui est dans la terre, la bénédiction de la Pentecôte, tout ce dont elle a besoin, c’est de l’Eau de la Pentecôte. Et l’Eau de la Pentecôte, c’est la Parole. En effet, nous sommes purifiés par le lavage d’eau de la Parole. Et juste un bon enseignement de l’Evangile du Saint-Esprit à l’ancienne mode va certainement remettre cette chose directement en place et le faire repousser. C’est vrai.
E-7 Eh bien, cet après-midi, j’ai dit à frère Moore que si je prêchais plus de vingt ou trente minutes ce soir, qu’il me tapote au dos. Et ainsi, juste je...
Quant à parler, je suis loin d’être un prédicateur ou un théologien. Mais ce que je connais de Jésus, j’aime le dire aux autres. Et j’y mets tout ce qu’il y a en moi, parce que c’est la Parole de mon Seigneur.
Si je travaillais pour vous, ici dehors, à casser du béton, je ferais mon travail de tout mon mieux, à combien plus forte raison pour le Seigneur? J’aimerais faire de mon mieux lorsque je monte en chaire, faire tout mon possible pour gagner des âmes à Christ, parce que je sais, vous aussi, que nous n’en avons pas pour longtemps.
E-8 Eh bien, comme nous allons avoir le genre de réunion que nous tiendrons ce soir, j’aimerais exhorter la foi. Les gens qui passeront par la ligne comme cela doivent avoir la foi. J’aimerais donc lire juste un verset dans... le verset 14 du chapitre 22 de la Genèse:
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
E-9 Dieu, dans l’Ancien Testament, avait sept Noms composés de la rédemption. Et lorsqu’on avait pris cette photo, celle de la Colonne de Feu, que vous voyez là, en la regardant comme ça... Et le soir où elle fut prise, frère Bosworth avait lors d’un débat à Houston, Texas, posé une question à un prédicateur baptiste, disant: «Veuillez me répondre par oui ou non à cette seule question, je descendrai de l’estrade.» Il a demandé: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-Ils à Jésus, oui ou non?» C’était réglé.
Si les Noms rédempteurs de Jéhovah ne s’appliquaient pas à Jésus, c’est qu’Il n’était pas Jéhovah-Jiré ni Jéhovah-Rapha: «Le Seigneur a...» ou Jéhovah-Jiré: «Le Seigneur s’est pourvu d’un sacrifice.» Et s’Il était Jéhovah-Jiré, Il est aussi Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui guérit toutes nos maladies»; ils sont inséparables. Vous ne pouvez absolument pas les séparer.
Vous ne pouvez pas séparer Dieu de Sa nature et de Ses motifs. Et s’Il est Jéhovah-Jiré ce soir, «l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice»; s’Il ne l’était pas, alors Il n’était pas le Sacrifice du Seigneur et Il n’était pas le Sauveur. Et s’Il est Jéhovah-Jiré, Il est aussi Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» C’est réglé. Il n’y a donc pas moyen d’y répondre; dis simplement si c’est oui ou non. Renier cela, c’est renier Christ comme le Sauveur. Accepter cela, c’est L’accepter comme votre Guérisseur. Il n’y a donc pas d’échappatoire là. J’en suis très content.
E-10 Maintenant, ce soir, nous allons parler d’un seul Nom composé de la rédemption: Jéhovah-Jiré.
Et maintenant, pour avoir une toile de fond à notre récit... Tout... Pour établir quelque chose, vous ne devez pas prendre juste une seule petite Ecriture. Cela doit apparaître dans toute la Bible. C’est ce que nous aimerions faire. Le sujet doit absolument aller de la Genèse à l’Apocalypse; il doit bien se rattacher au reste de la Bible, au passage approprié.
Et Abraham... Il nous faudra remonter avant de prendre ce sacrifice... Il nous faudra remonter voir qui était Abraham. Et je crois vraiment que l’Esprit de Dieu qui était dans Abraham était une partie de Christ. Je crois que pour... la portion du Saint-Esprit que nous avons aujourd’hui est une partie de Christ.
E-11 Compte tenu de ce que j’ai dit ce matin, j’aimerais expliquer ceci: C’est quoi ces grands dons et autres? Christ était en Joseph. Croyez-vous cela? Voyez comment Joseph a été vendu à trente pièces d’argent, environ trente; il était haï de ses frères, aimé de son père, tout à fait comme Christ. Comment il était haï parce qu’il était spirituel et pouvait avoir des visions et interpréter des songes; spirituel, tout comme Christ. Il fut jeté dans une citerne, il était censé être mort, tout comme Christ. Il est sorti de la citerne et s’est assis à la droite de Pharaon. Et lorsque Joseph s’avançait, on sonnait la trompette et on disait: «Fléchissez les genoux devant Joseph.» Il pouvait voir les princes de Pharaon quand il le voulait; et personne ne pouvait venir à Pharaon sans passer par Joseph: une image parfaite de Christ.
Lorsque David fut détrôné à Jérusalem et chassé sur le mont des oliviers par son propre peuple, ses propres enfants, pendant que David gravissait la montagne, il a regardé en arrière vers Jérusalem et a pleuré. Huit cents ans plus tard, le Fils de David, rejeté à Jérusalem, s’est tenu sur la montagne des oliviers et s’est écrié: «Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-je voulu te rassembler comme une poule rassemble ses poussins?» C’était l’Esprit de Dieu dans ces hommes-là!
E-12 Eh bien, Dieu est comme un très gros Diamant. Et ce Diamant a été taillé ou coupé d’une certaine manière... Un diamant bien taillé a plusieurs éclats. Et lorsque nous voyons dans l’église divers dons de l’Esprit, c’est seulement le reflet du véritable Diamant. L’un peut paraître un peu particulier par rapport à l’autre, mais c’est ainsi que le Diamant reflète la lumière. Dieu fait aussi de même en reflétant un don de la Bible. L’un a le don de connaissance; l’autre a le don de langues, un autre a le don d’autre chose. C’est Dieu reflétant Ses lumières. Et ce sont des lumières rassemblées en une seule Personne, le Dieu Tout-Puissant.
Eh bien, Abraham était une partie de Dieu. Jésus a dit, quand Il était ici sur terre, Il a dit: «N’est-il pas écrit dans votre loi: Vous êtes des dieux?» Si elle a appelé des dieux ceux à qui la Parole de Dieu était venue, que dire de Lui comme étant Dieu? Ce sont des dieux avec mesure. Lui était la plénitude de la Divinité. Dieu était en Lui, réconciliant le monde avec Lui-même.
E-13 Bon, Abraham... Examinons un peu sa vie. Qui était-il? D’où venait-il? Etait-il un enfant né d’une naissance spéciale? Un septième fils du septième fils? Non, non. Il était juste un homme ordinaire. Il descendait de son père, de Babylone, et peut-être qu’il avait grandi dans l’idolâtrie. Mais Dieu, par élection, a choisi Abraham, non pas parce qu’il était un homme bon, mais c’est parce que Dieu l’avait élu.
C’est ainsi que vous venez à Dieu. C’est l’élection de Dieu. C’est Dieu qui fait le choix. Vous n’avez rien à faire avec. Personne n’a cherché Dieu, à aucun moment. Vous ne pouvez pas chercher Dieu; c’est Dieu qui vous cherche. Il y a en vous quelque chose qui suscite ce désir-là. Et c’est pourquoi il y a la guérison divine même si la Bible ne le disait pas. C’est ce quelque chose qui se crée dans les enfants de Dieu, qui a soif de cette fontaine ouverte. Mais ce qui est étrange, c’est qu’on voit...?... la fontaine, comme les disciples, cette nuit-là, criant au secours. Et ils ont eu peur du Secours même qui venait vers eux.
E-14 Eh bien, remarquez ce que Dieu a fait. Eh bien, Abraham, dans la Bible, représente l’élection; Isaac, la justification; Jacob, la grâce; Joseph, la perfection. Puis, c’est la fin. La perfection... Joseph était un homme parfait; il n’y a rien contre lui dans la Bible.
Mais pour cette élection, Dieu a choisi Abraham, non pas parce qu’il était instruit; non pas parce qu’il était intelligent, mais parce que Dieu avait vu quelque chose en lui avant la fondation du monde. Et c’est pourquoi vous êtes un chrétien ce soir, c’est parce que Dieu avait vu quelque chose en vous avant la fondation du monde et Il a inscrit votre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau, avant la fondation du monde. Comment allez-vous vous perdre? Comment est-ce possible? La Bible dit...
La plus grosse erreur que je peux trouver dans toutes ces églises, particulièrement les véritables églises de nés de nouveau, c’est qu’elles ne savent pas ce qu’elles sont. Vous ne vous rendez pas compte du privilège que Dieu vous a accordé; vous attendez quelque chose là loin dans une espèce de millénium. Mais c’est le diable qui vous a dupé. «Nous sommes maintenant des fils de Dieu.» Nous ne le deviendrons pas, nous le sommes maintenant. Et chaque bénédiction de la rédemption pour laquelle le Seigneur Jésus est mort, est notre propriété personnelle maintenant même, tout ce pour quoi Il est mort; ce n’est pas que nous le deviendrons; nous le sommes maintenant.
E-15 Eh bien, observons Abraham et voyons quelle promesse Dieu lui avait donnée. Dieu avait donné la promesse à Abraham et Il avait conclu avec lui une alliance inconditionnelle. Ce n’est pas «Si tu fais ceci, si tu fais cela...» Il n’avait rien à faire avec cela. Dieu a dit: «Je l’ai déjà sauvé et il viendra à Moi à l’âge avancé.» C’est réglé.
Chaque fois que l’homme conclut une alliance avec Dieu, il la brise. Lorsque l’homme et Dieu avaient conclu une alliance dans le jardin d’Eden, c’est l’homme qui avait brisé son alliance. Puis, Il a conclu avec lui une alliance par la loi; l’homme ne pouvait même pas la garder. Mais Dieu était déterminé à sauver l’homme, Il a donc donné une alliance inconditionnelle à Abraham et à sa postérité... Abraham et sa postérité. Ce n’est pas parce que tu fais ceci, parce que tu fais cela, ou parce que tu as ceci ou tu as cela, mais c’est parce que Dieu a conclu une alliance inconditionnelle. C’est ce que dit la Bible.
E-16 Maintenant, vous direz: «Eh bien, je souhaiterais être un Juif.» Eh bien, le Juif, ce n’est pas celui qui en a les dehors, mais c’est celui qui l’est intérieurement, c’est ce que dit la Bible. «Et nous, étant morts en Christ...» La Bible dit que nous devenons la postérité d’Abraham, et nous sommes héritiers avec lui, selon la promesse.
Tout homme rempli du Saint-Esprit a la semence d’Abraham en lui, parce qu’il a la foi d’Abraham en lui. Et Abraham crut en Dieu avant la circoncision ou n’importe quoi d’autre, et cela lui fut imputé à justice. Comprenez-vous cela? Cela vous ôte la peur. Ce n’est pas: «Oh! si je peux juste continuer à me cramponner. Oh!...» Ce n’est pas ça l’idée. Je n’ai jamais cherché à me cramponner. C’est Lui qui était suspendu; et, par la grâce, Il m’a sauvé. Ce n’est pas ce que je fais, c’est ce que Lui a fait qui compte. Ce que je fais ne représente rien. C’est ce que Lui a fait pour moi. Eh bien, si je L’aime, je ferai tout ce que je peux faire de bien pour Lui.
E-17 Maintenant, si un homme dit: «Eh bien, je... je vais juste... (la conception presbytérienne) je vais juste m’avancer serrer la main et dire: ‘Je L’ai reçu. C’est en ordre. J’ai la sécurité éternelle.’» Frère, vous êtes sur la mauvaise piste.
Ma femme, je l’aime. J’ai conclu un accord avec elle pour être son mari. Et si je me trouvais loin de chez moi et qu’une autre femme s’adressait à moi, disant: «Je t’aime», et que je voulais... j’avais envie de faire l’amour avec cette femme-là, Meda me pardonnerait pour cela à mon retour chez moi; cependant, je ne le ferais pas. Même si je savais qu’elle me pardonnerait, je ne la blesserais pas comme cela.
Et un homme qui aime Dieu... Vous n’arrêtez pas de boire, de fumer juste parce que vous pensez que vous allez... vous empêcher d’aller en enfer. Si vous aimez le Seigneur, vous ferez cela parce que vous ne voudriez pas Le blesser.
J’ai vu la mode, les habits, et...?... les gens pour porter leur... Elles portaient d’habitude de longues robes, de longues manches, de longs cheveux. C’est très bien. On doit les porter, mais ce n’est pas cela qui vous amène au Ciel. Vous pouvez porter de longs cheveux, de longues robes et avoir assez de tempérament colérique pour affronter une scie circulaire, haïr votre voisin et tout le reste. Mais la raison pour laquelle vous vous gardez comme il faut, c’est que vous aimez le Seigneur et vous voulez garder Ses commandements, si vous êtes des filles d’Abraham, des fils d’Abraham. C’est ça.
E-18 Eh bien, Abraham crut en Dieu, lorsque Dieu l’a rencontré et lui a parlé, disant: «Maintenant, Abraham, Je t’ai appelé; Je fais Mon alliance avec toi; et Je vais te donner un fils.»
Eh bien, Abraham avait soixante-quinze ans, et Sara, soixante-cinq. Abraham l’avait épousée lorsqu’elle était juste une petite fille; en effet, elle était sa demi-soeur. Eh bien, ils ont vécu ensemble depuis qu’ils étaient jeunes, ils ont vécu comme mari et femme pendant tous les jours où Sara était en bonne santé. Elle avait soixante-cinq ans, environ vingt-cinq ans ou plus depuis la ménopause. Et il lui était impossible d’avoir cet enfant; et néanmoins, Dieu avait demandé à Abraham de croire à l’impossible. Et Il vous demande à vous, la postérité d’Abraham, de croire à l’impossible, parce que Sa Parole crée.
E-19 Abraham s’en est bien tenu à la Parole de Dieu, il a cru en Dieu. C’est tout ce qu’il avait à faire. Eh bien, il n’a pas considéré combien c’était impossible, il a simplement accepté, Il a pris Dieu au Mot et s’est mis à s’en réjouir. Dieu a aimé ça.
Eh bien, Abraham n’a pas dit: «Un instant donc, Seigneur. Lorsque je commencerai à voir quelque chose se produire, lorsque je commencerai à voir et à reconnaître par tous les signes naturels que nous allons avoir cet enfant, alors j’en parlerai aux gens. Mais Tu ne peux pas T’attendre à ce que j’aille dire au médecin (en apprêtant tout) que nous aurons un enfant. Il se moquerait de moi. J’ai soixante-quinze ans et elle, soixante-cinq.»
E-20 Qu’arriverait-il, à votre avis, si aujourd’hui un vieil homme et une vieille femme, celle-ci soixante-cinq ans et celui-là, soixante-quinze ans, entraient au cabinet du médecin et disaient: «Docteur, nous voulons prendre des dispositions pour un nouveau-né.» Le docteur demanderait: «Dites donc, est-ce celle-ci votre femme?»
«Oui.»
«J’aimerais l’examiner. Eh bien, c’est impossible. La nature a-t-elle évolué en conformité avec le temps?»
«Oui.»
«Eh bien, c’est impossible qu’elle ait un enfant.»
Alors, vous diriez: «Eh bien, docteur, je pense que vous avez raison.» Et vous retourneriez; cela n’arriverait pas.
Mais Abraham n’a pas considéré ce que le médecin avait dit. Abraham a considéré ce que Dieu avait dit. Et la postérité d’Abraham fait de même. Elle ne considère pas ce que dit la science, elle considère ce que Dieu dit. Oh! Je suis si content de ce qu’Il a toujours une postérité sur la terre. Ils considèrent ce que Dieu a dit. Ils acceptent la Parole de Dieu Telle quelle.
E-21 Maintenant, pouvez-vous imaginer Sara allant au magasin le plus garni qu’elle pouvait trouver, une vieille femme de soixante-cinq ans, un petit châle de grand-mère sur la tête, allant au magasin acheter les couches, des épingles et tout pour s’apprêter? Pourriez-vous vous imaginer ce que diraient les gens? «Cette vieille dame s’est bien enfoncée.» Mais savez-vous pourquoi? Elle avait la Parole de Dieu pour ça.
Pouvez-vous vous imaginer Abraham allant partout témoigner à tout le monde, disant: «Gloire à Dieu, nous allons bientôt avoir un enfant.»
Je peux m’imaginer un homme le plaindre: «Pauvre vieil homme!» Voyez?
Vous voyez, chaque fois que quelqu’un prend Dieu au Mot, il est considéré comme un fanatique.
Et Dieu vous demande de croire l’impossible, parce qu’Il est capable d’accomplir ce qui est impossible. «Abraham ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.» Dieu veut que vous accomplissiez le miracle. Il veut que vous croyiez au miracle. Et en acceptant cela par la foi, vous prouvez ce que vous croyez qu’Il est. Voyez-vous cela? Dieu veut que vous receviez Sa Parole Telle quelle. Il La prononce, et si c’est Dieu qui L’a proclamée, tous les cieux et la terre passeront, mais cette Parole ne passera point.
E-22 Eh bien, autre chose que Dieu fait... Il ordonna à Abraham et à Sara de se séparer de leur compagnie. Dieu exige une séparation. Combien c’est différent de nous quand nous choisissons quelque chose! Nous choisi... Nous choisissons ceux qui mélangent. Oh! Oui! «Je vous assure, ce petit gars-là est le type de socialiste que vous ayez jamais vu. Eh bien, il n’est pas un fanatique. Il ne prêchera pas quelque chose contre la télévision et tout ce genre d’histoires semblables, au sujet des femmes qui se coupent les cheveux et toutes ces choses semblables. Vous n’entendez jamais cela être prêché dans notre église.» C’est parce que le prédicateur n’a vraiment pas de courage, il n’a pas de baptême du Saint-Esprit pour soutenir cela. C’est tout.
Ce dont nous avons besoin, ce sont des prédicateurs qui craignent Dieu, qui disent la vérité. C’est vrai. Eh bien, c’est ce qui sépare.
S’il me fallait choisir un pasteur, que j’étais dans le comité, qu’il me fallait choisir un pasteur parmi l’un de ces pasteurs mous, une espèce de gars efféminés comme cela, certainement que je ne voterais pas pour lui dans mon église. Je... tout. Je ne voterais pas pour lui, mais je choisirais un homme qui a cru la Parole de Dieu, qui a reçu la Parole de Dieu, qui L’a prêchée et qui L’a comme fondement. J’aimerais là un fils d’Abraham, un fils de Dieu.
E-23 Maintenant, observez. Abraham devait se séparer. Et tant que les membres de sa famille lui étaient attachés et qu’il n’avait pas exécuté ce que Dieu Lui avait ordonné, la bénédiction n’avait jamais été rendue manifeste. Et tant que vous continuez à vous accrocher à un petit quelque chose d’insignifiant, un petit quelque chose ici, un petit quelque chose là, Dieu ne peut jamais vous bénir pleinement, tant que vous cherchez à prendre Dieu pour un mât totémique. «Vous savez, frère Roberts est dans la ville. Alléluia! Je lui ai demandé de m’oindre et de prier pour moi. Gloire à Dieu! Si ceci ne marche pas, Paul Cain viendra (Alléluia!), je lui ferai faire un tour. Et lorsque frère Branham viendra, je lui demanderai aussi de me faire faire un tour et je verrai le résultat que j’obtiendrai.» Vous resterez le même vieux gars avec la même vieille maladie. Lorsqu’on les laisse...?... Il n’y a rien de bon en nous. Mais lorsque vous oubliez les prédicateurs, les personnalités, et que vous regardez au Seigneur Jésus-Christ, alors vous aboutirez quelque part. Prenez Dieu au Mot. Voyez?
C’est la Parole de Dieu qui crée. La Parole de Dieu est une Semence. Et une semence qui est semée, dont on a pris soin, si elle a le germe de vie et qu’elle est une bonne semence, elle se reproduira selon son espèce. Ainsi, si vous avez besoin de guérison, demandez s’il y a une promesse ici à l’intérieur, chaque promesse est vôtre.
E-24 Eh bien, nous voyons donc qu’un peu plus tard, alors qu’il s’est mis à avancer, le temps de séparation était alors arrivé, il devait se séparer des membres de sa famille. Son père mourut. Tant que le vieil homme était là, Dieu n’avait pas béni Abraham. Mais après que celui-ci s’était séparé de tout, Dieu lui est apparu.
Lot avait fait son choix, il était descendu à Sodome. Tant que Lot s’y accrochait, son argument... Et tant que vous vous accrochez aux incroyants, vous aurez des ennuis.
Mais lorsqu’Abraham avait quatre-vingt-dix-neuf ans, quatre-vingt-dix-neuf, et que Sara, quatre-vingt-huit ans... Pouvez-vous vous représenter Abraham? Pouvez-vous imaginer lorsqu’Abraham est allé parler à Sara, sa femme, disant: «Chérie, sais-tu que nous avons toujours désiré avoir des enfants?»
«Oh! Oui, Abraham.»
«Eh bien, que Dieu soit béni, nous allons avoir un enfant.»
Ecoutez Sara dire: «Abraham, je–je–je ne comprends pas.»
«Moi non plus.»
«Eh bien, comment sais-tu que nous allons avoir un enfant?»
«Dieu l’a dit. C’est réglé. Dieu l’a dit; c’est Lui qui le fera.»
E-25 Eh bien, le... après les quelques premiers jours, eh bien, peut-être le premier mois, eh bien, il s’adresse à Sara, disant: «Sara, comment te sens-tu, chérie?»
«Pas le moindre changement. Abraham, es-tu sûr?»
Il a dit: «Gloire à Dieu! Nous allons de toute façon l’avoir.» C’est certain. «Comment le sais-tu, Abraham?» «Dieu l’a dit.» Le deuxième mois passa. «Sara, comment te sens-tu? Se passe-t-il quelque chose?»
«Pas le moindre changement.»
«Gloire à Dieu! Nous allons de toute façon l’avoir.»
«Comment le sais-tu?»
«Dieu l’a dit.» La première année s’écoula: «Sara, vas-tu toujours apprêter ces couches et autres?»
«Oui.»
«As-tu senti un quelconque changement?»
«Pas du tout.»
«Mais, alléluia! Nous allons de toute façon l’avoir. Dieu l’a dit.» Je garde mes pensées fixées là-dessus, tout marchera très bien. Voyez?
Très bien, vingt-cinq ans après, vingt-cinq ans après: «Sara, comment te sens-tu?»
«Pas de changement.»
«Gloire à Dieu! Nous allons de toute façon l’avoir!»
Vous y êtes. Il n’a pas regardé aux circonstances; il a regardé à ce que Dieu avait dit. Il regardait à la Parole.
E-26 Il n’y a pas longtemps, je suis allé prier pour un garçon qui souffrait de la diphtérie à la gorge, et il suffoquait à mort. Le cher vieux papa est venu avec la maman... avait oint le garçon... Pour commencer, on ne voulait pas me laisser entrer. Et le médecin, là, le médecin en chef, était... J’avais appris qu’il était catholique. Et je lui ai dit: «Eh bien, vous laisserez entrer le prêtre!»
Il a dit: «C’est différent; vous êtes marié et vous avez des enfants.»
J’ai dit: «Je suis pour ce garçon ce qu’un prêtre est pour un garçon catholique.» J’ai dit: «Le père ici m’a envoyé chercher afin de prier pour le garçon.»
Il a dit: «Mais vous, vous avez des enfants, Révérend.»
J’ai dit: «Je le sais, mais j’ai aussi un Sauveur.»
Il a dit: «Savez-vous que vous pouvez contaminer votre enfant?»
J’ai dit: «Docteur, j’apprécie votre déonthologie et tout ce que vous faites, mais il y a une chose que vous ne comprenez pas.» J’ai dit: «Mon Dieu peut me protéger contre cela. Il l’a fait plusieurs fois contre la lèpre et tout le reste. Je prends Sa Parole Telle quelle.»
E-27 Et lorsque nous sommes entrés, il m’avait habillé en Ku Klux Klan. Et lorsque nous y sommes entrés, je me suis agenouillé afin de prier pour le garçon, juste une petite prière ordinaire... Je me suis relevé. La maman était d’un côté et le papa de l’autre. Ça faisait deux jours que le garçon était inconscient. Et son coeur battait si lentement que le cardiogramme indiquait... J’oublie ce que c’était. Je ne comprends pas son fonctionnement, mais l’infirmière a dit qu’il ne remonterait plus jamais; c’était impossible; on n’avait jamais connu un cas où il était remonté... son coeur battait.
E-28 Et puis, quand j’ai terminé la prière, juste une petite prière, je me suis relevé, le vieux père a tendu le bras à la maman et a dit: «Maman, c’est merveilleux, n’est-ce pas?» Il a dit: «Oh! Gloire à Dieu pour la guérison de notre garçon!»
Le garçon était toujours inconscient. Je l’ai regardé et, sincèrement, mon coeur l’a apprécié. Et la maman a dit: «Oui, papa, c’est vraiment merveilleux. Combien nous rendons grâce au Seigneur!»
Et le vieux frère a levé les mains en l’air et a chanté: «Ô Dieu! Combien je Te rends grâce pour la guérison de mon garçon!» Le garçon était étendu là, mourant.
Et la petite infirmière se tenait là. Elle s’est avancée vers lui et lui a dit: «Monsieur, je ne comprends pas.» Elle a dit: «Comment pouvez-vous prendre cela si à la légère, alors que votre garçon est mourant?»
«Oh! a-t-il dit, il n’est pas mourant.» Il a dit: «Il est vivant, et il va se rétablir.»
«Oh! a-t-elle dit, je peux apprécier votre foi, a-t-elle dit, mais il vous faut comprendre une chose, monsieur; cet appareil est scientifique, et si cette aiguille descend si bas, ici, elle ne peut plus jamais remonter. Cela ne s’est jamais fait et ça ne se fera jamais.»
Le vieux patriarche entoura la jeune fille de son bras et lui dit: «Regarde, jeune fille...Tu vois, tu regardes à cet appareil-là; tu as appris à le consulter. C’est tout ce que tu sais. Mais, a-t-il dit, moi, je regarde à une promesse divine de Dieu, qu’Il le relèvera.»
Le garçon est maintenant marié et il a une famille!
E-29 Quoi? Cela dépend de ce à quoi vous regardez. Si c’est Dieu qui a fait la promesse, Dieu est obligé de tenir cette promesse, peu importe les circonstances.
E-30 Alors, Dieu a dit à Abraham... Il lui est apparu sous le Nom d’El-Shaddaï, «le sein», et Il a dit: «Abraham, Je suis le Dieu Tout-Puissant. Marche devant Ma face, et sois intègre.»
Et Il avait... Il a dit: «Je suis El-Shaddaï, le Dieu porteur des seins.» El-Shaddaï veut dire porteur des seins, comme une femme. Non, pas les seins, mais porteur des seins. «Je suis le Dieu porteur des seins. Je suis Celui qui donne la force.»
Comme un petit enfant, lorsqu’il est malade, il s’agite, crie, donne des coups de pied, braille; la mère le prend et le fait reposer sur son sein, et il se met à téter, se ressourçant auprès de la maman. Et comme le petit enfant commence à téter, à la toute première gorgée de force, il cesse de crier. Et la maman la tapote un peu, et il est satisfait pendant qu’il tète. Il ne s’agite plus, il se ressource tout le temps.
E-31 Eh bien, c’est ce que Dieu est pour le croyant. Il est le Dieu porteur des seins. Il était blessé pour nos péchés; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Et le croyant s’empare bien du Sein de Dieu, de la Parole de Dieu, le Nouveau et l’Ancien Testaments; il s’empare juste de cette promesse divine. Il tète, bénit Dieu et tire sur le croyant... sur une foi de la part de Dieu, jusqu’à se ressourcer. Et, tout le temps qu’il tète, il est satisfait. Oh! la la! J’aime ça!
Il ne va pas vers son... «Ai-je grandi d’un pouce [2,5 cm] il y a quelque temps?» Qu’il ait grandi d’un pouce ou pas, il n’en fait pas cas, il tète simplement.
C’est là que le croyant se repose. Si la Bible leur explique que Dieu guérit les malades, le croyant prend simplement Dieu au Mot et c’est réglé; c’est tout.
Il ne dit pas: «Est-ce que je vais mieux? Puis-je bouger mon doigt un peu plus? Puis-je bouger mon pied?» Cela n’a rien à voir avec la chose, pas du tout. C’est ce qui est arrivé ici! Ce n’est pas ce qui est arrivé ici dehors; c’est ce qui est arrivé ici dans le coeur.
E-32 L’homme croit Dieu dans le coeur. Et tant que cette promesse divine peut trouver un endroit où s’ancrer dans le coeur humain, tous les démons de l’enfer ne peuvent pas le lui arracher. C’est là. Il croit cela. Il pourrait–il pourrait en mourir, car il a cru en cela. Et pendant qu’il s’accroche à cette promesse-là, il continue après tout à s’y accrocher et à y croire, et le doigt commence à bouger. Puis, la main commence à bouger. Vous voyez, il se ressource auprès de Dieu dans son propre corps.
E-33 Et alors, Dieu a dit à Abraham, Il a dit: «Maintenant que tu t’es séparé de Lot...» Il a fait un mauvais choix. A Sodome, tous les champs étaient arrosés. Il y avait de grandes villes bien construites, pleines de péchés. Et, n’est-ce pas étrange que Lot, ce croyant tiède, soit allé au meilleur endroit qu’il pouvait trouver, le meilleur endroit possible qu’il pût trouver, qu’il ait pris la voie de facilité? Et, n’est-ce pas étrange que, parfois, les gens qui prétendent croire en Dieu veuillent suivre la voie de luxe? Ils veulent suivre la voie dépourvue d’épreuves. Ils veulent suivre la voie la plus facile. Ils veulent suivre la voie dépourvue de persécutions. Ils veulent suivre la voie de facilité. Ce ne sont que des croyants tièdes.
Mais Abraham, l’homme de Dieu, a donné à Lot ce qu’il avait choisi et il a pris le reste. Oh! J’aime vraiment cela. Un vrai croyant vous accordera votre choix, il est disposé à prendre le reste. Un vrai croyant n’est pas égoïste, pas du tout.
E-34 Maintenant, remarquez encore. Après que Lot se fut séparé et qu’il eut occupé sa place, Dieu apparut à Abraham et lui dit: «Abraham, lève-toi. Regarde tout autour, regarde à l’orient; regarde à l’occident, regarde au nord et au sud.» Il a dit: «Tout cela t’appartient; tout est à toi; je te le donne. C’est ta...» Eh bien, Abraham allait hériter tout cela. Alors, Dieu a dit: «Lève-toi, parcours le pays et explore ce qui t’appartient.» Je pense que Dieu invite les enfants d’Abraham à faire cela.
Si seulement ce petit groupe de gens rassemblés ici ce soir veut se lever, si simplement les gens à Phoenix veulent sonder la Parole pour voir ce qui leur appartient, ils possèdent tout. Tout nous a été donné par Jésus-Christ, si nous sommes des croyants.
E-35 Vous savez, si j’achetais une maison et qu’elle m’appartenait, je la visiterais pour voir ce qui m’appartient. Je suis bien un genre de prospecteur; j’aime creuser et découvrir ce que j’ai. Je suis héritier du salut. Je suis héritier de la guérison divine. Je suis héritier du Ciel. Je suis héritier de la terre. Je suis héritier, co-hériter de tout avec Christ en tout. Alors, j’aimerais parcourir Son Livre pour prospecter et voir tout ce dont je suis héritier.
Vous savez, c’est juste comme une grande galerie, un très grand bâtiment. Si on m’annonçait que je suis devenu propriétaire de cette galerie, j’y circulerais partout pour voir ce qui m’appartient. J’aimerais tirer tel tiroir, regarder à l’intérieur pour voir ce que j’y possède. Ou j’irais ici, ouvrir tel endroit pour voir ce que j’y possède. Ou je pourrais aller ailleurs pour regarder. Et si un endroit me paraissait un peu élevé, je prendrais un escabeau; je monterais directement, je le ferais descendre, je le regarderais pour voir ce qui m’appartient. Tout m’appartient.
Eh bien, c’est comme ça dans la Bible. Si quelque chose paraît trop éloigné, trop grand, trop élevé, agenouillez-vous tout simplement, c’est ça votre escabeau: «Seigneur, accorde-moi de comprendre ça.» Continuez simplement à monter jusqu’à toucher cela. Examinez cela; ça vous appartient. Tout cela est à vous. C’est pour chaque croyant.
E-36 Il y a quelque temps, je parlais à un homme du nom de John Sproule. C’est un bon ami à moi. Il parcourait le pays, il y a plusieurs années, avec la vieille écurie grise. Je ne sais pas s’il a été ici ou pas. Il était parti en Orient. Et beaucoup parmi vous les originaires de l’Est se souviendront de John Sproule. Il était l’un des convertis de frère Bosworth. Il a été guéri d’un mal de la gorge grave alors qu’il avait le gaz... il avait aspiré du gaz moutarde par le nez, c’est passé par la gorge et c’est allé au cerveau. Toute sa voix était partie, frère Bosworth pria pour lui, et il fut guéri. Il a appelé sa femme et elle s’est évanouie. Il était allé oindre les malades et prier pour eux.
Il avait pris un peu de vacances, il est allé en France, il est allé à Alsace Lorraine en France. Il se promenait dans un grand jardin et il a vu une statue du Seigneur Jésus. Alors, il s’est tenu là avec sa femme, il a dit, étonné, il a dit: «Regarde ça. Qu’est-ce qu’on voulait montrer par cette statue? Eh bien, cette chose n’a que... c’est une forme taillée. On n’arrive pas à y voir les souffrances de Christ.»
Et un guide s’est approché de lui et lui a dit: «Monsieur Sproule, je pense que vous critiquez cela.»
Il a répondu: «Oui.»
Il a dit: «Maintenant, venez par ici un instant.» Il l’a amené là et il y avait là un autel bâti là auprès de la statue. Et alors, il a dit: «Agenouillez-vous.» Et il s’est agenouillé. Le guide lui a dit: «Maintenant, levez les yeux.»
«Oh!» Il dit qu’il a senti comme si son coeur allait s’arrêter. Toutes les souffrances de Christ apparaissaient là. Toute l’agonie qu’Il avait connue. Le sculpteur, on dirait, avait reproduit cela dans les traits de Son visage.
E-37 Il s’est alors retourné et a regardé de nouveau au–au guide. Celui-ci lui a dit: «Monsieur Sproule, a-t-il dit, vous voyez, le sculpteur avait à l’esprit une seule chose.» Il a dit: «C’est qu’en taillant sa statue, il ne l’a pas fait pour que les gens se tiennent à l’écart et la regardent comme ceci. Il l’a taillée afin que les gens s’agenouillent et la regardent en levant les yeux comme ceci.»
Et c’est pareil pour chaque promesse de la Bible. Il ne vous appartient pas de chercher à la mélanger avec votre sagesse mondaine, de chercher à comprendre: «Comment Dieu peut-Il faire ceci? Comment Dieu peut-Il faire cela?» La Bible n’a pas été écrite pour ça. Les promesses de la Bible furent écrites pour que vous vous agenouilliez et que vous leviez les yeux vers elles. Elles vous paraissent alors différentes lorsque vous lèverez les yeux vers elles comme cela.
E-38 Dieu a tenu Sa promesse envers Abraham. Il lui a donné l’enfant. Et après que le petit enfant fut né, qu’il eut grandi et atteint environ douze, quatorze ans. Vous savez comment il a dû être un enfant bien-aimé de cette famille.
Eh bien, avec une mère d’environ cent dix ans, cent quinze, un père d’environ cent vingt-cinq ans ou cent trente... Si nous avons le temps... j’ai prêché là-dessus une fois auparavant, comment Dieu les a changés en un jeune homme et en une jeune femme (Et j’ai fait publier cela dans des magazines et autres), et Il les avait changés; c’est ce qu’Il fera un jour, à la résurrection, pour chaque enfant d’Abraham né de nouveau.
E-39 Et puis, un jour, Dieu voulait rendre cela très clair pour les habitants de Phoenix. Comment Il allait donc s’y prendre. Il allait soumettre Abraham à un double test. Il a donc dit: «Abraham, prends ton fils, ton unique fils, et amène-le à telle montagne, que Je te montrerai, et sacrifie-le là.»
Eh bien, et si Abraham avait hésité, disant: «Comment deviendrai-je le père des nations, alors que je suis ici avancé en âge, et Tu me demandes de tuer et de détruire l’unique évidence qui me rassure que Tu garderas Ta Parole et que Tu feras de moi un père des nations?»
Oh! combien Dieu aime soumettre Son peuple à l’épreuve! Chaque enfant qui vient à Dieu doit être mis à l’épreuve; c’est la formation de l’enfant, tout le monde sans exception.
Et peut-être que, ce soir, vous êtes malade, c’est juste pour former un peu l’enfant, juste un petit test. Ne soyez pas découragé. Dieu est sur le Trône. Il connaît tout. Si nous sommes réellement nés de l’Esprit de Dieu, toutes choses concourent à notre bien. Il arrangera tout. Il a promis de le faire. Il a juré de le faire. Et Il doit tenir cette Parole-là. Il l’a tenue, ça fait maintenant, oh! des milliers d’années pour chaque croyant. Voulez-vous faire exception? Non, non. Nous ne faisons pas exception. Observez-Le donc maintenant.
E-40 Voyez comment cette belle scène se produit. Eh bien, Abraham ne voulait pas en parler à Sara. En effet, combien il aurait été difficile d’amener là ce jeune homme aux cheveux frisés d’environ douze ans et d’en parler à Sara. La maman n’aurait pas compris. «Comment vais-je l’informer... amener ce jeune garçon là pour aller le tuer? Eh bien, elle ne le comprendrait pas.»
Souvent, il nous faut aller de l’avant, faire des choses et prêcher des choses que nous ne voulons réellement pas faire, mais nous ne comprenons simplement pas cela. Mais Dieu fait concourir toutes choses. Voyez? Toutes choses concourent au bien.
Parfois, vous ne pouvez pas le dire à votre assemblée, vous ne pouvez pas le dire au public. Vous ne pouvez pas dire le pourquoi à votre propre église. Mais il vous faut de toute façon le faire.
E-41 Maintenant, remarquez. Un matin, il se lève, il coupe du bois, le place sur un petit mulet, appelle quelques serviteurs, prend le petit garçon et lui dit: «Nous allons adorer.» Et ils ont effectué un voyage de trois jours.
Eh bien, je peux marcher à tout moment, vingt-cinq à trente miles [40 à 48 km] par jour. Je roule beaucoup en voiture. J’ai... J’ai patrouillé pendant sept ans en moyenne sur une distance de vingt-six à vingt-huit miles [41 à 45 km] par jour dans le désert. Et les gens de l’époque pouvaient marcher mieux que nous aujourd’hui; en effet, nous sommes habitués à rouler en voiture et autres.
Mais alors, s’il marchait trois jours, faisant vingt-cinq miles[40 km] le jour, il avait fait soixante-quinze miles [120,7 km] loin de la civilisation. Et puis, il a levé les yeux et a vu la montagne au loin, celle que Dieu lui avait montrée en vision. Lorsqu’il est donc arrivé sur la colline (J’aime vraiment cette partie-ci), il a dit aux serviteurs: «Vous, restez ici. Le jeune garçon et moi, nous irons jusque-là adorer et, lui et moi, nous allons revenir.» Avez-vous saisi cela? «Le jeune homme et moi, nous allons revenir.»
E-42 Comment allez-vous vous y prendre, Abraham? Expliquez-moi. Du moment que vous avez le couteau, la gaine et une vision de Dieu vous disant d’aller tuer ce garçon, comment allez-vous revenir vous deux? Mais Dieu crut à Abraham... ou plutôt Abraham crut en Dieu. Il n’a pas hésité. Tout ce qu’il savait, c’était que Dieu avait fait la promesse. Et si Abraham avait reçu Isaac «comme l’un venant d’entre des morts», il était sûr que Dieu pouvait de nouveau le ressusciter des morts. Et si vous, étant mort dans le péché et les offenses, n’ayant aucune disposition à servir Dieu et Dieu, par élection, vous a appelé et vous a donné Son Esprit sans que vous ayez fait un choix... «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» Et si Dieu a fait cela par vous, sans que vous ayez à faire un choix, à combien plus forte raison vous guérira-t-Il et vous gardera-t-Il après que vous avez un choix à faire par Son effort sous serment. Quelle chose merveilleuse, ce que Dieu a promis! Abraham n’avait pas hésité. Il a dit: «Eh bien, Dieu a été bon. Il a tenu Sa Promesse. Je ne sais comment Il le fera, mais Il le fera.»
Je ne peux pas vous dire comment Dieu s’y prend, comment Il peut guérir un homme qui se meurt du cancer, que les médecins ont abandonné, qui est complètement rongé, mais si c’était nécessaire, je crois que ce soir, je peux produire cinq cents cas. Certainement.
E-43 Aujourd’hui, alors que j’entrais au restaurant pour prendre un petit-déjeuner, un petit homme qui se tenait derrière moi... Et il a dit: «Vous souvenez-vous de moi?» Je ne me souvenais pas; mais quelqu’un m’a dit que cet homme avait été amené à la réunion, souffrant de la tuberculose au point qu’il ne pouvait même pas murmurer. Et je pense qu’il est l’un des pasteurs qui parrainent ce soir. Ou plutôt il est un prédicateur de l’Evangile, il a prêché avec une voix d’un lion rugissant. Comment Dieu peut-Il s’y prendre? Je ne peux pas l’expliquer, mais Dieu a dit qu’Il le ferait. C’est réglé. Recevez Sa Parole. Ne cherchez pas à La comprendre. Vous ne pouvez pas La comprendre.
Bien des fois, j’ai vu des gens dire: «Nous avons compris cela. Je dois–je dois comprendre cela.» Alors, ce n’est plus la foi. La foi, ce n’est pas ce que vous comprenez; la foi, c’est ce que vous acceptez et que vous ne pouvez pas expliquer. C’est un acte de foi.
E-44 Eh bien, lorsqu’il eut pris le jeune homme, du feu, du bois et qu’ils eurent gravi la colline, le petit Isaac devint curieux. Si vous observez, c’est un tableau parfait de Dieu conduisant Son Fils sur le mont Calvaire, certainement: le Père et le Fils, le fils unique, un tableau parfait. Lorsqu’ils atteignirent le sommet de la montagne, le petit Isaac demanda: «Papa, a-t-il dit, voici l’autel, voici le bois, voici le feu, mais où est l’agneau pour l’holocauste?» Il n’arrivait pas à comprendre.
Ecoutez Abraham. Sans que sa voix ait tremblé, il a dit: «Mon fils, Dieu se pourvoira Lui-même de l’agneau pour le sacrifice.» Il ne savait pas encore ce qui allait se passer. Il avançait comme les enfants hébreux droit dans la fournaise ardente. «Il... Notre Dieu peut nous délivrer, sinon nous ne nous prosternerons pas devant votre statue.»
E-45 Une fois arrivé là donc, il a pris le petit Isaac, lui a lié les mains derrière le dos, lui a lié les pieds et l’a placé sur l’autel; il a renvoyé sa petite chevelure en arrière, dégageant son visage. Pouvez-vous vous imaginer ce que ressentait ce père? Il a dégainé le couteau. Le petit Isaac n’a point protesté, il n’a point négocié; il a fait confiance à son père.
Oh! Combien ces heures vraiment sombres peuvent venir, cependant un véritable croyant fera confiance à son Père. Il Lui fera confiance. Comme l’a dit Job: «Même s’Il me tue, je Lui fais toujours confiance.» Et lorsqu’il a dégainé le couteau pour trancher la gorge de son propre fils, il a soulevé le couteau avec sa main, sans doute qu’une petite larme a dégouliné de son visage jusqu’à sa barbe. Mais, alors qu’il levait le couteau pour trancher la gorge de son propre fils, au même moment quelque chose a saisi sa main. Et le Saint-Esprit a parlé depuis le Ciel, disant: «Abraham, arrête ta main.» Et au même moment, un–un petit bélier a bêlé derrière lui. Un bélier, un mouton, dont les cornes était attachés aux mauvaises herbes, dans les plantes grimpantes. Abraham a très vite délié son fils, il est allé prendre cet agneau, ce bélier, l’a placé sur l’autel et l’a immolé à la place de son fils.
E-46 J’aimerais vous poser une question sérieuse maintenant. D’où venait ce bélier? Pensez-y, c’était pratiquement à une distance de soixante-quinze à cent miles [120 à 160 km] de la civilisation, dans la région des loups, des lions et autres. Et en plus, il était là au sommet d’une montagne, là où il n’y a pas d’eau, et le bélier ne pouvait pas subsister là. Et pourquoi Abraham n’avait-il pas vu le bélier pendant qu’il rassemblait les pierres tout autour de lui pour bâtir l’autel? Il n’était pas là. C’était impossible pour lui d’être là. Il aurait été... Si un bélier restait là loin, il aurait été tué. Il ne pouvait pas se retrouver au sommet de la montagne, car, vous le savez vous-même, ce n’est pas là que restent les brebis. Les brebis restent dans les prairies, dans la brousse.
Mais ce bélier était là-haut. D’où venait-il? C’est Dieu qui l’a créé. Et c’est pourquoi Abraham appela ce lieu Jéhovah-Jiré, «l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice.»
Eh bien, il n’avait pas eu une vision. Une vision ne produit pas du sang. Le bélier avait un corps physique. Et il avait un sang physique, littéral. Il a tué ce bélier et l’a offert à la place de son fils. Pourquoi? Abraham a pris Dieu au Mot sur toute la ligne. Et Dieu est capable de faire la même chose ici ce soir pour la postérité d’Abraham, qui va Le prendre au Mot.
E-47 Peu importe combien vous êtes malade, ce qu’est votre état, si seulement vous vous avancez et prenez Dieu au Mot, Dieu pourvoira. Vous direz: «Je n’ai pas de sang. Je suis anémique.» Dieu peut pourvoir au sang pour vous. Vous direz: «Je suis... mes tissus sont rongés par la leucémie.» Qu’en est-il du petit garçon qui était sur l’estrade l’autre soir? On vient de m’informer ce soir qu’il a été ramené chez son médecin, et le même médecin qui l’avait examiné avant a déclaré qu’il n’avait absolument rien. Qu’est-il arrivé? Il est Jéhovah-Jiré: «L’Eternel pourvoira.» Pour les hommes et les femmes, Il pourvoira à la foi: Dieu pourvoira à la ferme assurance. «Car la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»
Oh! Postérité d’Abraham, ne croyez-vous pas qu’Il pourvoira pour vous ce soir? Et en outre, mon frère, ma soeur, Il a déjà pourvu à un Agneau. Et c’est déjà fait. Tout ce qu’il vous faut avoir, c’est la foi dans Sa Parole. Prions.
E-48 Notre Adorable et Bien-aimé Père, alors que nos coeurs battent sous nos chemises ce soir, sous la peau de nos corps, nous ne pouvons simplement pas exprimer ce que nous pensons à Ton sujet. Comment nous vivons dans ce grand et merveilleux jour.
Dans notre leçon de ce soir, nous ne pensons pas avoir eu le temps de l’aborder, comment Tu as dit à Abraham: «Regarde les sables de la mer. Peux-tu les compter? Non. Ta postérité non plus ne sera pas comptée.» Puis, Il a dit: «Regarde les étoiles. Peut-on les compter? Non. Ta postérité non plus ne sera pas comptée.»
Je suis reconnaissant à Dieu. Qu’était-ce? De la poussière de la terre aux étoiles, les postérités d’Abraham, suivant la même promesse, la même alliance. Un jour, Tu prononceras la Parole, et chaque semence d’Abraham, qui repose dans la poussière de la terre, brillera comme les étoiles, pour toujours. Nous Te rendons grâce pour nous avoir donné par la grâce cette alliance inconditionnelle qui nous a appelés par Ton propre cher Fils, le Seigneur Jésus, et la Vie Eternelle, à nous qui croyons en Lui.
Et maintenant, Père, ce soir, je prie que ces paroles, bien que décousues dans la gorge d’un homme épuisé et fatigué, se répandent à cause du motif que j’avais en proclamant Ta Parole. C’est de susciter la foi dans des gens. Et nous allons faire venir ces enfants d’Abraham à cette estrade afin de prier pour eux. Alors, ô Adorable Dieu, veuille donc les rencontrer ici alors qu’ils accomplissent tout ce qui est promis. Accorde-leur la foi, car il est écrit dans la Bible, selon les Paroles mêmes du Seigneur Jésus, Il a dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» C’est ça la promesse. Que les enfants la croient, Seigneur. Oh! nous savons qu’ils seront guéris, puisqu’ils sont enfants d’Abraham. Ils prendront Dieu au Mot et ils appellent ces choses qui ne sont pas comme si elles étaient.
Ce soir, Seigneur, que celle-ci soit une glorieuse soirée où une longue ligne de malades sera appelée, et chacun d’eux sera guéri et acceptera le Seigneur Jésus comme son Guérisseur. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
E-49 Je suis vraiment désolé d’être si enroué et de vous avoir gardés si longtemps, mais vous avez été très gentils en restant assis, écoutant. Tous mes remerciements. Eh bien, je vous le dis, je vous aime, moi aussi, et chacun d’entre vous. Et maintenant, je prie que chacun de ceux qui sont ici, des visiteurs... Il y a de bonnes églises dans cette ville. Les pasteurs ici... Je ne pense pas qu’il y a de la place pour eux ici à l’estrade, mais ils sont ici. Entrez en contact avec l’un de ces pasteurs maintenant et trouvez-vous une bonne église où aller le matin. Demain, allez à l’école du dimanche et restez dans l’église. Ils seront contents de vous avoir. L’un de ces bons pasteurs du plein Evangile ici vous accueillera dans son église.
Je pense donc que demain après-midi il y aura une autre réunion et nous terminerons donc demain soir. Je ne sais donc pas quand je pourrais revenir encore à Phoenix. Ça, je ne peux le dire. Mais je prie que... J’avais un vif désir avant de venir ici... J’ai tellement été ici que j’ai honte de moi-même. Et je–je... Avant de venir, j’ai beaucoup examiné cela dans la prière. Je me disais: «Eh bien, ô Dieu, je sais ce que sont ces moments durs que j’ai...?... et j’ai dit: «Mais, veux-Tu faire quelque chose de spécial pour moi pendant que je suis ici cette fois-ci? Qu’il y ait quelque chose, Seigneur, qui fera beaucoup de bien à Phoenix. Accorde-le, c’est ma prière.» Je ne sais pas ce que ce sera. Je ne demande pas à Dieu ce que ce sera, mais je Lui demande seulement de le faire, quelque chose qui laissera–qui laissera, après notre départ, des empreintes de pas sur le sable du temps.
E-50 Eh bien, je crois avoir dit à Billy... vous avoir dit à vous tous hier soir, que quiconque voulait recevoir une carte, pas sous l’onction, le discernement, mais juste passer dans la ligne pour qu’on prie pour lui, qu’il soit ici ce soir pour recevoir sa carte. Et je... [Frère Branham se renseigne sur les cartes de prière.–N.D.E.] Les avez-vous distribuées? Quoi? Cinquante? Et laquelle? F? Très bien. Il a distribué les cartes de prière, série «F» à ces gens; F, de 1 à 50. Et maintenant... Excusez-moi...de 50 à 100, de 50 à 100, F50 à 100.
Maintenant, nous allons essayer de prier pour chacun de vous. Et maintenant ... voyons... levons-nous. Qui a F n° 1? Voudriez-vous lever la main, que nous puissions la prendre. Regardez votre carte de prière: F numéro 1.
Oh! Excusez-moi. Oh! J’essayais de prendre 1. D’accord. F-50. Qui a F-50? Levez la main. La carte de prière F-50. Très bien, madame, voudriez-vous venir ici? 51? Très bien, madame. 52? 53? 54? 55? 56? J’aurais souhaité que vous les gardiez debout dans cette direction ce soir, si cela ne vous dérange pas. Dites donc, il nous faudra quelqu’un pour... Frère Jack et les autres sont-ils ici? Très bien. 51, 2, 3, 4, 5, 6, 7? 57? 58? 59? 60? Quel que soit votre numéro, levez la main. F-60? 60...
Frère Sothmann, s’il vous plaît, Billy a besoin de vous ici au bout de cette ligne. 60? 61? Levez bien haut la main. 61? 62? 63? Je pense que la petite Mexicaine là a levé la main. Très bien. 64? 65? 66? 67? 68? 69? 70? 71? 2? 72? F-72? Je–je n’ai point vu la main. Je ne pense pas. F-72? Voudriez-vous lever la main? Qui a F-72? Oh! eh bien, très bien, madame. 73? 73, voudriez-vous lever...74? 75? 76? 77? 78? 79? 80? 81? 80... 81. Ai-je vu 81? Nous ne voulons sauter personne. 81? 82? 82? 83? 84? 84? La carte de prière 84? Que quelqu’un parmi vous m’aide un peu...?... 85? 86? 87? 87? 88? A-t-elle cela? Soeur Juanita, elle a 87? 87? Très bien. 88? Carte de prière F-88? Très bien. 89? 90? 90? Très bien. 91? 92? 93? Carte de prière F-93? Est-ce que je la vois? F-93? 94? 95? 96? 96? F-96? Ai-je sauté cela? A... F-96? Vous êtes... très bien. 97? 98? 98? F-98? F-98? 99? 100? Très bien.
E-51 Eh bien, c’est le genre de ligne que nous avions la première fois que j’étais venu ici à Phoenix. Combien ici ce soir étaient à ma première réunion, lorsque j’étais venu à Phoenix? Eh bien, oh! la la! regardez seulement. Vous souvenez-vous lorsque nous en arrivions à la ligne de prière? Les gens posaient leurs mains sur la mienne et je me tenais là un instant, je tenais leur main un instant et le Saint-Esprit révélait ce qui n’allait pas. Vous en souvenez-vous?
Souvenez-vous, j’avais annoncé qu’il arriverait que... le Seigneur m’avait dit, le soir où Il m’a rencontré, qu’Il va... qu’il arrivera, si je suis sincère, qu’Il fera que je connaîtrais les secrets mêmes des coeurs. Je ne le faisais pas à l’époque. Mais j’avais annoncé que c’est ce qui arriverait si j’étais sincère. Combien se souviennent m’avoir entendu dire cela à ma première réunion? Voyez? L’a-t-Il fait? C’est vrai. Voyez?
E-52 Eh bien, Il m’a rencontré il y a quelque temps, il y a plusieurs mois, et un changement de mon ministère est sur le point de s’opérer. C’est un changement pour le meilleur.
Un de ces jours, une femme viendra à l’estrade. Elle sera en complet brun, portant un bébé. C’est ce qui arrivera: une petite femme portant un bébé, avec un petit... Peut-être que je me trompe là-dessus. C’est une petite jupe dans une petite... (Soeur, c’est ce que vous appelez veston?) C’est un–un complet de deux pièces, complet de deux pièces. Je ne m’y connais pas tellement sur les habits des femmes. Je ne peux pas... je ne... je n’ai jamais de ma vie acheté même une paire de bas à ma femme. Elle peut le faire elle-même, mais je–j’avais une fois commis une erreur là-dessus, vous le savez, c’est dans L’Histoire de ma vie. J’étais censé acheter une certaine marque et j’en ai acheté une autre. Dès lors, je les laisse donc le faire, ainsi donc...
J’allais acheter à l’une de mes filles un–un de ces petits blousons débardeurs, ou je ne sais quoi encore les dames portent, vous savez, les... Oh! Je ne sais pas. Comme ce que porte la petite fille, il y a le–le... assise là en... rose. Comment appelez-vous ces affaires? Blouse, c’est ça. J’allais acheter une blouse à ma fillette, et j’ai demandé à ma belle-fille de s’en occuper. Je ne... pouvais pas le faire.
E-53 Ayez donc foi maintenant. La Bible dit que s’il y a parmi vous un homme spirituel ou un prophète, Moi l’Eternel, Je me ferai connaître à lui, Je lui parlerai en songes, Je me révélerai en visions. Si ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le, car Je suis avec lui. Mais si cela ne s’accomplit pas, alors ne l’écoutez pas, car Je ne lui ai pas parlé.
Maintenant, je vous parle du fond de mon coeur, ces visions que vous voyez ici à l’estrade, ce n’est pas moi qui les produis. C’est vous qui les produisez. C’est votre foi ancrée. Je ne fais que me soumettre. Et quand je me soumets à Dieu, alors votre foi, en faisant de même, tire comme ça.
Y a-t-il quelqu’un ici dans la ligne de prière ou là dans l’assistance qui n’a jamais vu cela opérer? Qu’il fasse voir la main... celui qui n’a jamais vu cela opérer. Il n’y a que deux ou trois environ. Eh bien, je ne sais pas... Si le Seigneur, peut-être... Je vais essayer de... peut-être, un ou deux, si le Seigneur le permet. L’onction étant là, j’aimerais alors prier pour ce mouchoir. Puis, peut-être, frère Moore peut veiller à la porte; s’il vous plaît, juste un instant, pour faire passer donc les gens.
E-54 Maintenant, si–si chacun de vous vient en croyant de tout son coeur et de toute son âme, eh bien, qu’est-ce qui arrive? La Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Est-ce vrai? «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades et seront guéris.» Combien savent que ce sont les dernières Paroles de Jésus-Christ sur cette terre? Saint Marc 16, les dernières Paroles qui sont donc sorties des lèvres de Jésus-Christ: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»
Mon ministère n’a jamais été très efficace en Amérique, mais, oh! comme il prospère outre-mer cet après-midi! Frère Moore me parlait ce soir, disant: «Frère Branham, tel que vous avez durement prêché cette semaine, si c’était n’importe où ailleurs qu’aux Etats-Unis, vous auriez vu cent ou deux cents mille âmes de gagnées à Christ. C’est vrai. Maintenant, vous voyez dans quelle choquante condition de vie nous vivons ici. Oh! la la! On arrive à un tas de corinthianisme. C’est vrai. Tout est juste: «Ceci est comme ça et nous avons... Nous n’aurons rien à faire avec ceci, ceci, cela.» Rentrez prendre la Parole. Croyez en Dieu.
E-55 Pauvre petite Amérique! J’ai pitié d’elle. Mais l’heure est proche. Dieu ne peut pas juger un peuple juste; ils sont près pour le jugement. Mais elle doit se retrouver dans cet état afin que Dieu envoie Son jugement. Rappelez-vous bien: Nous allons le subir. Gardez bien cela dans vos livres et voyez combien de temps ça va prendre.
Eh bien, si les miracles qui ont été accomplis en Arizona l’avaient été en Afrique, ils se seraient repentis depuis longtemps. Si les miracles qui ont été accomplis en Arizona l’avaient en Allemagne, il n’y aurait pas eu de guerre; ils se seraient repentis depuis longtemps.
En Allemagne, j’ai fait un appel à l’autel pendant cinq soirées et j’ai eu dix mille chaque soir, ou... et... mais cinquante mille âmes ont été gagnées à Christ en cinq soirées, sans jamais toucher personne. On avait simplement empilé, entassé tout, des béquilles, des chaises roulantes, on les avait simplement empilées dans des coins et partout.
E-56 Frère Julius Stadsklev est quelque part dans la salle ce soir; je l’ai vu il y a quelque temps, il était assis ici, l’aumônier Stadsklev. Il était avec moi en Afrique du Sud ou à Durban, où plusieurs milliers de gens dans une grande piste de course (et on avait fait là environ trois ou quatre jours, quelque chose comme cela), et les gens continuaient à venir à la réunion une semaine après mon départ. On a fait un appel à l’autel, la ligne à appeler, nous ne pouvions pas distribuer les cartes de prière. Nous avions simplement laissé les missionnaires aller là et prendre deux de telle tribu, deux de telle tribu et deux de telle tribu; il y avait là environ quinze tribus. Ils avaient formé une petite ligne de prière. Et le premier à venir à l’estrade était une musulmane. Et cette femme, lorsque j’ai dit: «Pourquoi venez-vous auprès de moi chrétien, si vous êtes musulmane?»
L’interprète a dit, il a dit: «Eh bien, elle croit que vous pouvez l’aider.»
J’ai dit: «Pourquoi n’êtes-vous pas allée auprès de votre prêtre?» Eh bien, elle pensait que je pouvais l’aider. J’ai dit: «Avez-vous déjà lu la Bible?»
«Oui.»
«Et si Jésus revient faire les mêmes oeuvres qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici, qu’Il me fait savoir qui vous êtes, ce qui est arrivé et tout, ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous cela et accepterez-vous Jésus?»
Elle a levé la main pour dire qu’elle le ferait. Alors, le Saint-Esprit est descendu, Il a dit: «Vous êtes allée avec votre mari, c’est un homme trapu, portant une moustache noire, vous êtes allés auprès d’un... auprès d’un...» Elle était une Indienne. «L’autre jour, vous êtes allée chez un médecin, il a examiné vos glandes féminines et il a dit que vous aviez un kyste et qu’on devait opérer.»
Elle a dit: «C’est vrai», et elle a accepté le Seigneur Jésus.
Cela secoua les musulmans au point que dix mille vinrent à Christ à la fois.
E-57 Et j’avais fait connaissance d’un autre missionnaire qui disait: «Précieux joyaux, précieux joyaux.» Ça faisait trente ans qu’il était là, prêchant, sans avoir gagné un seul musulman. Frère, les musulmans et les Hindous sont les descendants des anciens Mèdes et Perses; ils ne se convertissent pas! C’est vrai.
Mais que le véritable et authentique Seigneur Jésus entre en action au moment où... Et lorsque j’ai fait l’appel à l’autel cet après-midi-là, et je pense... Frère Julius, je pense que vous serez du même avis... de loin plus que ce qui a été dit... mais, trente mille sont du coup venus à Christ après un seul appel à l’autel.
Et F. F. Bosworth, si jamais on a vu un saint en ce jour moderne, c’est F. F. Bosworth. Oui, oui, je soutiendrais cela même si je mourais en cet instant même.
Et ce vieil homme se tenait là, regardant ce terrain, pleurant, et on a estimé à vingt-cinq mille guérisons miracles, ce qui était arrivé sans toucher personne. Je me tenais simplement là et je priais pour eux. On avait ramassé par terre toutes sortes de bâtons, de béquilles et autres abandonnés par les gens, et on en a rempli sept grands camions. Vingt-cinq mille... Pensez-y! Et ici vous pouvez prêcher jusqu’à mourir, et quelqu’un dira: «Eh bien, c’était un assez bon message. Oh! Je ne suis pas intéressé d’y retourner.»
C’est ça l’Amérique pour vous, n’est-ce pas? Oh! Ton jour est là. Je ne m’adresse pas à l’Eglise. Ton jour aussi est proche. C’est l’Enlèvement. Gloire à Dieu!
E-58 Frère Stadsklev, c’était une merveilleuse réunion, n’est-ce pas? Voudriez-vous vous lever une minute? Voici l’auteur du livre Un prophète visite l’Afrique: l’aumônier Julius Stadsklev, il est maintenant capitaine de l’armée des Etats-Unis. Il a reçu sa formation, je pense, à Wheaton ou quelque part là, à la même université que Billy Graham et les autres. Il est allé en Afrique avec moi, il a écrit ce livre et il a pris ces photos. Il était là ce soir-là lorsque ce... J’ai vu ce bus passer, la première soirée où j’atterrissais là en Afrique. Il y a eu un bus là qui passait. Et puis, j’ai vu un garçon là, une jambe plus courte que l’autre de six pouces [15 cm]. L’aumônier Stadsklev se tenait là même, il a écrit ce qui était arrivé.
Lorsque j’ai regardé, j’ai vu une petite voiture verte déraper et heurter un arbre, et une jeune fille se fracturer le dos. Je n’arrivais pas à la repérer. Eh bien, elle était étendue là en bas. Et lorsque je suis arrivé, là... «Rappelez-vous, vous feriez mieux de faire attention à ce que vous lui dites...» Mais je l’ai vue se réjouir et courir en vision. J’ai dit: «Lève-toi, jeune fille. Jésus-Christ te guérit.»
Sa mère s’est écriée: «Oh! Non, non! Elle ne peut pas se lever. Si... Le médecin a dit que si elle bouge, elle va mourir.» Son dos était cassé net. Mais la jeune fille a bondi sur ses pieds, se réjouissant. La mère est tombée sur le lit d’où sortait la fille. C’est vrai. Frère Stadsklev en a des photos dans le livre. Voyez? C’est réglé. Des milliers et des milliers avaient afflué à Christ.
E-59 Mais nous, nous cherchons à étudier cela. Je–je ne parle pas de l’église en Amérique. Regardez ici ce soir. Combien ici sont sauvés? Faites voir les mains; chaque chrétien ici présent. Voyez? Les pécheurs ne sont pas intéressés, à peine. Ils ne veulent pas venir. Et ils ne s’intéressent à rien là-dessus. Ils ont pratiquement dépassé le jour de grâce de par leurs péchés.
En 1933, j’ai vu la forme qu’auraient les voitures avant la Venue du Seigneur. Elles ont pratiquement cette forme-là. Rappelez-vous, j’avais prophétisé cela... Notez-le dans vos blocs-notes... Je vous ai souvent dit... chaque fois ici. Un temps viendra... L’Amérique, c’est le pays de la femme. Il se lèvera bientôt une femme, en Amérique, et elle deviendra un grand personnage, comme président ou quelque part, avant la Venue du Seigneur. Je crois. Voyez? Souvenez-vous-en bien, je vous l’ai dit. Et les voitures auront de plus en plus la forme d’un oeuf, juste avant l’anéantissement total ou avant que ce pays ne soit détruit. Prions.
E-60 Maintenant, Père céleste, nous voici. Nous sommes au seuil d’un–d’un événement nouveau. Beaucoup sont debout ici, malades et affligés, pour passer dans la ligne. Voici Ton serviteur, Seigneur. Il y a ici des mouchoirs, des paquets de lettres qui iront chez les nécessiteux. Je bénis ces mouchoirs au Nom de Christ. Que chacun soit guéri. Accorde-le, Seigneur. Je prie que chacun reçoive cette bénédiction et, en tant qu’Américain, en tant que serviteur de Dieu dans ce pays, et ceux-ci étant Son peuple, je bénis ces gens au Nom de Christ.
Ô Dieu! Je Te prie de bénir chaque prédicateur. Et, oh! puissions-nous avoir une petite vision des âmes perdues et crier aussi fort que possible, car la fin est proche. Accorde-le, Seigneur, je prie, au Nom de Christ. Amen.
E-61 Je vais essayer quelque chose maintenant même. Eh bien, j’aimerais que vous les frères, vous voyiez, car lorsque je suis sous... si l’onction est là, j’aimerais prier pour tous ces gens comme je l’avais promis, et j’aimerais prier pour eux, afin que vous puissiez d’abord les déplacer, pour qu’on prie pour tout le groupe. Mais j’aimerais d’abord ressentir la touche de...
Je n’y peux rien, mes amis, vous pouvez penser que je suis un fanatique, mais du fin fond de moi-même, je sais que je n’y suis pour rien. Je ne suis qu’un homme. Et je–j’aimerais sentir ce Quelque Chose et savoir que l’onction est ici avant d’imposer les mains à ces gens. Je ne peux cependant pas terminer avec eux alors qu’ils font... je ne peux pas le faire. J’aimerais donc ressentir l’onction pour les trois, quatre, ou cinq premières personnes ou quelque chose comme ça, alors vous les frères, surveillez bien. Cela plaira-t-il à tout le monde?
E-62 Combien là dans l’assistance vont s’associer à moi pour prier avec moi donc? Là au balcon? Voyez? Vous tous, regardez là-haut. Il y a au moins mille personnes ici ce soir. De toute façon, c’est l’évaluation que j’en fais. Je ne suis pas fort en évaluation, mais disons qu’il y a ici mille personnes. Il y aura mille prières qui seront offertes du coup pour vous, tous les enfants de Dieu. Regardez ici quel genre de personnes. Vous tous qui êtes nés de nouveau, levez la main. Voyez ce que... Dieu doit exaucer cela. Eh bien, Il a dit: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux.» Il est ici. Maintenant, pour confirmer un peu cela, que le Seigneur Dieu du Ciel accorde cela pour la gloire de Dieu.
Frère Moore, tenez-vous là pendant que les deux, les trois ou les quatre prochaines personnes passent. Aussitôt que vous me voyez accuser un peu de faiblesse, commencez alors à faire passer la ligne.
E-63 Maintenant, madame, vous vous tenez ici pour quelque chose... Je ne sais pas. Lui le sait. Vous savez que je ne sais rien à votre sujet, et je ne sais pas pourquoi vous êtes ici. Mais qu’est-ce que vous... Vous direz: «Que cherchez-vous à faire, Frère Branham?» Je m’abandonne moi-même.
Juste... La Bible déclare-t-Elle à un endroit: «Voici le lys de champ...?» C’est dans la Bible. Que fait le lys? Il travaille dur jour et nuit pour s’exposer aux abeilles, aux passants et pour exhaler du parfum. Il fut créé un lys. Dieu fait Son miel, Il a donc créé le lys pour produire le miel.
Il fait des dons à Son Eglise. Nous nous abandonnons simplement, nous nous abandonnons. Maintenant, si Dieu me permet de savoir ce que vous voulez demander à Dieu, un instant, croirez-vous de tout votre coeur?
Maintenant, vous savez que je ne sais pas pourquoi vous priez là. Je–je ne peux pas vous le dire. Mais si vous demandez quelque chose à Dieu et qu’Il me révèle ce que vous voulez, allez-vous croire? L’assistance croira-t-elle donc? Maintenant, c’est pour vous, les enfants. Maintenant, que chacun croie cela. Pendant que vous êtes là dans l’assistance, croyez vous-même.
Maintenant, c’est bien le tour de cette dame. La dame est... elle veut qu’on prie pour la maladie du coeur. C’est l’hydropisie. Croyez-vous qu’Il vous en guérira, qu’Il vous guérira et vous donnera ce que...? Vous êtes la femme d’un prédicateur, n’est-ce pas? C’est ce que je me disais. Je pense connaître votre mari. Très bien. Venez un instant ici.
Notre Adorable Père céleste, nous bénissons cette femme au Nom de Christ, afin qu’elle reçoive sa guérison, pour la gloire de Dieu. Amen. Maintenant, que Dieu vous bénisse, madame.
Maintenant, à vous madame, croyez-vous de tout votre coeur? La Bible dit: «Tout est possible à celui qui croit.» Votre maladie se localise à la gorge. Et ça s’appelle l’ulcère de gorge. Et cela a un... cela a provoqué quelque chose dans la glande, et cela affecte vos oreilles. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous maintenant? Venez ici. Ô Adorable Jésus, je Te prie de la guérir au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
E-64 Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Dieu peut ôter la cataracte. Je ne la vois pas, mais vous souffrez de cataracte. Et vous croyez en Dieu pour cela. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Vous n’êtes pas d’ici. Non, non. Vous êtes accompagné de votre femme. Et elle a déjà accepté sa guérison. Vous venez de l’Ohio. Est-ce vrai? Votre nom, c’est Weber. C’est vrai. Retournez vite et soyez rétablis au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
Bonsoir. Croyez-vous? Jeune homme, je ne te connais pas; je ne t’ai jamais vu, mais il y a une ombre noire sur toi. Le médecin t’a condamné à mort; c’est que, a-t-il dit, tu as une tumeur à la tête. Il t’a donné six mois pour vivre. Ne vas-tu pas abandonner maintenant toutes tes mauvaises habitudes et autres avec ça? Vas-tu le faire? T’abandonner à Christ? Arrêter de fumer et tout le reste? Et donner ta vie à Christ, et...? Vas-tu le faire?
Sur base du Sang versé de Jésus-Christ, je condamne ce démon, afin qu’il quitte ce garçon et qu’on reçoive des nouvelles de la délivrance de Ton enfant. Que ce jeune garçon vive et qu’il soit rétabli au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Très bien.
E-65 Ô Dieu, bénis cet homme et guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre frère, guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Père céleste, bénis notre soeur en la guérissant au Nom de Christ. Bénis ce petit garçon, Seigneur, et guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cet homme et guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis ce jeune homme et guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cette dame et guéris-la au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cette petite dame et guéris-la au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cette dame en la guérissant au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cette fille et guéris-la au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cet homme et guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre frère et guéris-le au Nom de Jésus-Christ.
Juste un instant. Etes-vous en train de prier, assistance? Soyez en prière maintenant. Il y a même des visions au-dessus de l’assistance. Oh! la la! C’est très dur de faire passer ce genre de ligne. Priez pour moi. Priez aussi pour moi. Continuez donc à prier. Continuez simplement à prier.
E-66 Ô Seigneur, veux-Tu bénir cette personne au Nom de Jésus. Seigneur, bénis notre soeur, au Nom de Jésus...?... Seigneur, bénis notre soeur au Nom de Jésus. Seigneur, bénis cette femme. Seigneur, bénis cette chère maman au Nom de Jésus. Seigneur, bénis cette chère femme au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis cette soeur indienne au Nom de Jésus, je prie. Ô Dieu, bénis cette jeune dame au Nom de Jésus, je prie. Ô Dieu, bénis cette dame au Nom de Jésus, je prie. Ô Dieu, bénis cette dame au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis ce bon frère au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis ce petit garçon au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre soeur au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre frère au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre soeur au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis notre frère au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre soeur au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis ce frère au Nom de Jésus-Christ. Accorde-le, Seigneur.
E-67 Maintenant, pendant que nous attendons une minute, combien dans l’assistance, ceux pour qui on a prié et qui voulaient qu’on leur impose les mains, croient et acceptent leur guérison? J’aimerais voir si vous croyez donc. Imposez la main... Levez la main, vous qui êtes passés par la ligne de prière, qui croyez que vous êtes guéris. Remerciez le Seigneur. C’est bon. Je peux être tout à fait en erreur, c’est peut-être ici en Amérique que nous sommes censés faire ceci comme ceci. Je ne sais pas. Très bien. Ayez foi maintenant. Continuez à prier. Toute l’assistance, continuez à prier; que tout le monde prie. Je ferme simplement les yeux et j’impose les mains aux malades.
Ô Dieu, bénis notre cher...?... frère au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis notre chère soeur au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis mon frère au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis notre soeur au Nom du Roi. Ô Dieu, bénis le frère au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis notre soeur au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, bénis cet enfant au Nom de Jésus. Ô Dieu, bénis notre soeur Waldrop au Nom de Jésus.
E-68 Juste un instant pendant que nous sommes debout ici. Cette femme, ici, était morte dans la ligne de prière, la première fois que j’étais ici, madame Hattie Waldrop. Son mari est un plombier, c’est un ami intime à moi. Et la femme avait le cancer et elle tenait coûte que coûte à venir, qu’elle vive ou qu’elle meure. Et on m’a annoncé que quelqu’un se mourait dans la ligne de prière. Et le Seigneur a guéri cette femme. Il y a de cela environ dix ans, Soeur Waldrop. [Soeur Waldrop dit: «Le lundi passé.»–N.D.E.] Et j’étais... Dix ans depuis le lundi passé. Elle connaît avec précision le jour même et l’heure, et elle...
Un soir, je pense, j’étais au Canada, là à Saskatchewan, frère Sothmann, et on m’avait appelé pour prier pour son petit-fils, je pense. [Frère Branham parle avec soeur Waldrop.–N.D.E.] Grand... la petite-fille à la soeur; qu’est-ce qui n’allait pas avec lui? Une hémorragie cérébrale et la polio... à l’hôpital Saint Joseph et j’ai prié pour lui sur le... au téléphone, et le Seigneur a guéri ce petit garçon. Il est maintenant parfaitement normal et rétabli. Il était à la maison, et nous avions mangé avec notre soeur là-bas un soir. Est-ce vrai, Soeur Waldrop? Que Dieu bénisse votre coeur. Que Dieu vous bénisse, soeur.
E-69 Disons: «Gloire au Seigneur!» Amen. Oh! la la! Comme c’est merveilleux! Que Tu es grand! Que Tu es grand! Oh! je souhaiterais chanter cela. Que Tu es grand! N’est-Il pas merveilleux? Maintenant, que tout le monde incline la tête et prie. Très bien.
Dieu bien-aimé, je prie pour cette aimable petite enfant, que Tu la guérisses et que Tu la rétablisses au Nom de Christ. Amen. Ô Dieu, bénis notre soeur que voici. Et en lui imposant les mains... Tu as dit dans Ta Parole: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» C’est ce que je fais, au Nom de Jésus.
De même pour notre soeur, je lui impose les mains au Nom de Jésus. De même pour notre soeur, au Nom de Jésus, qu’elle soit guérie. De même pour notre frère, au Nom de Jésus, qu’il soit guéri. De même pour notre soeur, au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie. Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Au Nom de Jésus-Christ, que l’enfant soit guéri. Bénis notre soeur et guéris-la au Nom de Jésus. Bénis notre chère soeur et guéris-la, avec les mains posées sur elle, au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, pensez-y, ami, si Dieu dit quelque chose, Il dit la vérité: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Soyez en prière maintenant alors que vous inclinez la tête.
Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Père divin, au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie. Amen.
E-70 Pour moi, c’est beaucoup plus facile comme ça qu’autrement. Si c’est comme ça que vous le désirez, c’est certainement le cas pour moi aussi. Mais maintenant, suivez. Qu’avons-nous fait? Nous avons imposé les mains aux malades et prié pour eux. Est-ce vrai? Combien parmi ceux qui sont passés par la ligne de prière croient qu’ils sont guéris? Faites voir les mains, tous ceux qui sont passés par la ligne de prière. Gloire au Seigneur! Vous savez, c’est peut-être ça la manière correcte. Très bien.
Y a-t-il ici maintenant des malades qui n’ont pas été dans la ligne de prière? Faites voir la main. Très bien. On dirait qu’il y aurait environ cent ou plus. Très bien. Maintenant, gardez simplement vos mains levées. Je vais donc lever les miennes. Que faisons-nous? Nous essayons de toucher Quelqu’Un. Qui est-ce? Celui qui est Omniprésent, Celui qui nous connaît. Si vous tendez vos mains, je tends les miennes, et nous tendons tous les mains. Ô Dieu, sois miséricordieux!
E-71 Un jour, pendant que les mains de Moïse étaient levées, la bataille était en leur faveur. Et, ô Dieu, aujourd’hui nous levons les mains, croyant que notre foi s’est élevée vers Jésus-Christ, Lui qui a été élevé pour nous. Et nous croyons en Ta puissance de guérison. Ô Dieu, qu’elle tombe des cieux comme une averse sur chaque individu ici, et guéris-les. Accorde-le, Seigneur. Que cela déclenche la puissance de la guérison, cette puissance qui est maintenant même dans cette salle.
Que tout celui qui croit être guéri frappe les mains. Alléluia! Alors, c’est terminé, et nous sommes guéris. Christ est donc ici. Dieu est donc ici. Les anges sont donc ici. Que Dieu reçoive donc la gloire de tout cela. Gloire au Seigneur Dieu! Très bien. Encore sept. Pendant que nous inclinons la tête juste un instant, je vais demander à frère Moore de venir prendre ce service aujourd’hui.
Va-t-on prier pour toi, fils? Je Te prie de bénir cet homme et de le guérir au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu te bénisse. Maintenant, inclinons la tête juste un instant. Frère Moore...
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