E-1 ...de nous rassembler avec un peuple si merveilleux, et je suis... Je me sens très honoré d’être ici, dans cette assemblée, avec ce groupe d’hommes et de femmes ce matin. Et pendant que nous prenions le petit déjeuner, il semble que j’ai toujours pensé à ce... Je les ai entendus tous donner leur témoignage. Et parfois j’entendais un homme juste ici au bout de la table dire... Je lui avais dit quelque chose hier soir ou je ne sais quoi. Et c’est l’un de ces hommes-là. Je crois que ce sont ces hommes qui sont assis juste là. Et une dame par ici a dit que j’avais prié pour elle. Eh bien, il semble que j’avais vu cela en songe. Ça fait très longtemps. C’est quelque chose que je pourrais essayer d’expliquer de mon mieux en quelques minutes.
Mais pendant que j’étais ici et que je pensais à ce docteur-là, à son témoignage, et aux réunions tenues en prison... Cet homme est un méthodiste qui vient de l’église de ma mère, et–et de l’église de Dieu là-bas, d’après ce qu’a dit le frère. Et les–les différents ministres...
Le jeune homme là, et ce frère-ci, et beaucoup parmi vous, vous tous, notre frère de couleur que voici... Et cela vous donne quelque chose. Je pense alors que nous sommes assis ici ce matin en tant que des hommes et des femmes, nous–nous n’avons qu’un seul motif, c’est l’avancement de la cause de Christ. C’est–c’est pour cette raison que nous sommes ici. Et nous ne sommes pas divisés, même si nos dénominations peuvent avoir des opinions différentes, nous sommes tous un dans Sa grâce. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]
E-3 Et en regardant de l’autre côté de cette table-ci, je vois certains de ces hommes qui, peut-être, sont un peu plus âgés que moi, et certains parmi vous sont même plus jeunes que moi; vous prêchiez ce merveilleux plein Evangile, comme nous l’appelons, avant que je vienne sur la scène. Et d’entendre les remarques avec ces marques de respect que vous me témoignez, je comprends que ce n’est pas à moi que vous le dites en tant qu’un homme, vous les adressez à Dieu pour Sa bonté, à cause de Son don que je suis pour vous en prêchant.
Mais avez-vous compris que ce chemin sur lequel je chevauche en ce moment a été bien aplani, c’est vous qui l’avez déblayé lorsque vous étiez ici au coin de la rue il y a bien des années, tenant la guitare, et qu’on vous chassait d’un endroit à un autre? C’est vous les hommes et les femmes qui avez posé cette fondation sur laquelle j’essaie simplement de bâtir. Et voici, je me tiens ici comme un avorton, je suis juste un jeune homme pour ce qui est de l’âge dans le ministère dans lequel vous êtes. Et voici, vous me laissez vous prêcher, alors qu’en réalité c’est vous qui avez posé la fondation. Voyez?
E-4 Ensuite, je regarde ce matin et je vois ces hommes et ces femmes âgés, alors qu’ils prêchaient déjà lorsque je n’étais qu’un petit prédicateur baptiste ou peut-être bien avant cela, et vous m’acceptez comme votre frère. Et quel sentiment de nous réunir là où il y a des gens qui ne vous traitent pas de démon, ou de fantôme, ou de quelque chose de ce genre, mais qui vous considèrent comme–que vous êtes un frère, et ils–ils comprennent cela! Et je me sens tellement bien. Je dois être... J’aimerais être... Et je sens dans mon coeur de rester fidèle à mon appel. Et ensuite, lorsque je vois quelqu’un vous souhaiter la bienvenue, dans ce cas, vous savez ce que vous ressentez. Vous voyez? Oh! un tel amour qui coule d’un frère et d’une soeur comme cela. Lorsque vous–vous sentez quelque chose que vous savez venir de Dieu, cela–vous essayez d’apporter celaaux gens, et les gens reçoivent cela d’un coeur sincère. Vous savez ce que vous ressentez à leur égard. Vous voyez, ça vous fait du bien.
Et lorsque je parcours du regard cette table, et que je considère ce petit déjeuner, je ne sais pas quand nous allons encore nous retrouver comme ceci. Nous pourrions ne plus jamais nous retrouver comme ceci dans cette vie-ci. Et je pense qu’il est neuf heures, et les affaires–un des hommes d’affaires qui est assis là a dit–est venu et a dit: «Je dois partir à neuf heures, Frère Branham, parce que j’ai quelques obligations d’ordre chrétien,» il avait certaines choses à faire pour les chrétiens. Et je me suis dit: «Eh bien, encore un peu de temps et puis, nous ne nous séparerons plus jamais.» Mais c’est comme le poète l’a dit: «Nous serons toujours unis de coeur, dans l’espoir de nous revoir.» Vous chantez ce vieux cantique, beaucoup parmi vous: Béni soit le lien qui [nous] unit.
E-7 Et frère Vayle disait... nous étions en train de prendre un petit déjeuner en compagnie des ministres ce matin, et certains frères et soeurs allaient se rassembler pour–pour le–un petit temps de communion. Et, vous savez, c’était tellement merveilleux que je–en tant que soldat, j’ai laissé mon épée à la maison. Alors... Tout simplement je... C’est ma Bible. Et ainsi je–je savais que nous devrions être assis ensemble dans les lieux célestes de toute façon, en Christ, et je pensais que peut-être ce matin juste pendant quelques moments d’entretien... Je pense que nous devons évacuer la salle dans les quelques prochaines minutes. Mais étant donné que vous–vous les frères, vous êtes des ministres, et que vous êtes de loin plus aptes que moi à prêcher laParole, car je ne suis qu’une roue de secours... Voyez, juste... Vous savez ce que vous faites d’une roue de secours. Vous voyez? Alors, nous n’avons pas de crevaison ce matin, nous n’avons donc pas besoin de cette roue de secours.
Mais j’ai jugé bon d’essayer de vous faire un rapport sur certaines choses que notre Père céleste aaccomplies à–à des endroits, rapport qui, d’après moi, vous intéresserait davantage, les frères, plutôt que d’essayer de prendre un passage ou quelque chose du genre pour vous parler là-dessus.
E-8 Et le texte auquel je pourrais me référer, si tel était le cas, ce devrait être Marc 16. Et quel texte merveilleux! C’est la dernière commission adressée à l’Eglise. Lorsque Dieu aadressé la première commission à Son église, Christ dans Matthieu, Il leur a donné la puissance sur les esprits impurs et leur a ordonné de guérir les malades et ainsi de suite. C’était là Sa première commission. Sa dernière commission était d’aller par tout le monde et de prêcher la Bonne Nouvelle à toute la création. Maintenant, les hommes essaient de dire que ce jour-là est passé. Mais il n’y a que le tiers du monde qui a déjà entendu parler de Christ jusque-là. Allez par tout le monde et prêchez à toute la création. «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru,» a dit Jésus.
E-9 Et je sais que ce n’est pas bien, je ne pense pas que l’Evangile mérite d’être apporté sous forme de plaisanteries, je n’aimerais donc pas que vous considériez ceci comme une plaisanterie. Mais c’est juste quelque chose qui me vient à l’esprit en rapport avec un événement récent. Un jeune homme était allé à l’école pour recevoir une formation afin de devenir un ministre. Et cela était très bien, si c’est la bonne sorte d’école qui lui enseignerait la chose qu’il faut. Et ainsi, beaucoup de nos... Ainsi... Eh bien, je–j’ai... Vous savez, je n’ai aucune instruction. J’ai une instruction d’école primaire, alors je ne peux pas parler devant des hommes de votre calibre et utiliser des mots appropriés, mais je–j’espère que le Saint-Esprit vous fera comprendre ce que je veux dire.
Les–les écoles sont devenues très formalistes et indifférentes. Les gens ont une espèce d’évangile social. Et les gens ne–n’enseignent pas la pleine Parole de Dieu. Ce jeune homme aurait peut-être mieux fait de rester à la maison et de rester à genoux.
E-13 «Oh! a-t-il dit, tu vois, a-t-il dit, les ministres de ce calibre-là, a-t-il dit, ne sont pas instruits.» Et il a dit: «Nous les érudits, nous comprenons mieux que Marc 16, à partir du verset 9, n’est pas inspiré.» Il a dit: «Celaa tout simplement été ajouté par le Vatican et ainsi de suite.» Il a dit: «Cela n’est vraiment pas inspiré.» Il a dit: «Il n’y aaucun récit historique qui dise que celaa été ajouté ou plutôt mis là.» Et il a dit: «Celaa tout simplement été ajouté. Apartir du verset 9, ce n’est pas inspiré.»
Et elle a dit: «Eh bien, alléluia!»
Et il a dit: «Eh bien, maman, quelle audace!» Il a dit: «Eh bien, tu es... Eh bien, a-t-il dit, c’est... Eh bien, j’ai honte de toi.»
Elle a dit: «Je pensais à quelque chose, mon fils.»
Il a dit: «A quoi pensais-tu, maman?»
«Eh bien, a-t-elle dit, si–si Dieu a pu me guérir avec cette Ecriture qui n’est pas inspirée, que pourrait-Il faire pour moi avec ce qui est réellement inspiré?» Je pense que c’est presque ce qu’il en est. Vous voyez? Ce qui est inspiré... Et c’était glorieux ce qui était arrivé.
E-17 Voyez, je n’aimerais pas prendre quelque chose, parce que les gens vous font confiance afin de soutenir l’ignorance en s’appuyant sur ces propos, je n’aimerais pas le faire. J’ai dit: «Non. Je ne dirais pas que les enseignants étaient en erreur et ainsi de suite. Mais Christ n’est pas dans une licence ou un doctorat en théologie ou un doctorat en Droit. Voyez? Christ réside et demeure dans un coeur humble.» Voyez?
Il a dit: «Je vais vous dire pourquoi je suis ici.» Il a dit: «Une fois, un jeune Indien avait été à l’école, et il retournait en Inde pour aider sa nation..» Il a dit: «Ce jeune Indien alors qu’il retournait, je lui ai dit: ‘Monsieur, pourquoi ne veux-tu pas...’» Il était un hindou. Et il a dit: «Pourquoi n’abandonnes-tu pas ce vieux prophète mort que vous avez, Mahomet, pour accepter Jésus de Nazareth, un Christ ressuscité?»
E-22 Et alors, monsieur Reedhead a dit: «Eh bien, a-t-il dit, maintenant...»
Je veux dire l’hindou a dit: «Vous voyez, Monsieur Reedhead, Mahomet n’a fait aucune promesse à ses adeptes, si ce n’est la vie après la mort.» Mais il a dit: «Votre Jésus a fait d’autres promesses. Il a dit que vous les docteurs, vous feriez les mêmes choses que Lui a faites.» Et il a dit: «Alors, peut-être, si vous pouvez prouver cela, alors nous croirons qu’Il est ressuscité des morts.»
«Oh!» Et monsieur Reedhead a dit, si vous le connaissez tous... Il lui a cité la même Ecriture, et a dit: «Oh! je pense que vous vous référez... Voyant que vous avez lu la Bible.» Il a dit: «Oh!» Il a dit: «J’ai lu cela à maintes reprises.», a dit le musulman.
Il a dit: «Eh bien, peut-être que vous parlez de Marc 16.»
Il a dit: «Ça, ce n’est qu’une Ecriture parmi tant d’autres. Vous voyez? Ce n’est qu’une Ecriture parmi tant d’autres. Que dites-vous de Marc 11.24 et ainsi de suite, et de tant d’autres? Saint Jean 14.12... Tant d’autres. Vous voyez?» Oh! il a dit: «Dans cette Ecriture, Christ a fait la même promesse.» Il a dit: «Nous les musulmans, nous attendons de vous voir, vous les chrétiens, produire cela, à ce moment-là nous croirons que votre Jésus est ressuscité des morts.» Il a dit: «Avant cela, n’essayez de vendre votre psychologie à un musulman, parce que nous en avons une meilleure.» Vous voyez?
E-29 Et il en va de même de laParole de Dieu, mes frères. Ça dépend de la façon dont vous regardez Cela. Si vous vous tenez à l’écart et que vous regardiez cela en observateur, et comme un critique pour dire: «Ce gars n’a pas la touche, et ce gars-là n’a pas la touche,» cela ne marchera pas. Il faut se mettre à genoux et lever les yeux. C’est ce qui produit les résultats. A ce moment-là, vous aurez une attitude différente, une attitude différente vis-à-vis de vos frères, et une attitude différente vis-à-vis de l’homme qui lutte pour la même chose pour laquelle vous essayez de lutter. Voyez? Cela–cela démolit alors toutes les barrières.
Et maintenant, je n’aimerais pas trop vous parler. J’espère que je ne vous ennuie pas, mais j’aimerais juste témoigner un peu sur la bonté et la miséricorde du Seigneur Jésus, afin que vous sachiez que ce merveilleux Evangile n’a pas changé. Christ vit encore, frères.
Et la chose pour laquelle vous les hommes, vous combattez ardemment ce matin, eh bien, elle est tout aussi réelle aujourd’hui qu’elle l’a toujours été. C’est–cela... Il n’a... C’est toujours la même Parole que Paul a prêchée, que Pierre a prêchée, que les prophètes ont prêchée, et les autres. C’est laParole éternelle de Dieu, et Elle ne peut jamais faillir parce que cette Parole est Dieu.