Phoenix, Arizona, USA
E-15 Eh bien, la Bible nous a appris qu’on ne peut pas mettre du vin nouveau dans de vieilles outres. Autrefois, cela m’achoppait. Je n’arrivais pas à comprendre. Une outre telle que j’en connais ici, en Amérique..., nous ici, c’est quelque chose en verre. Qu’est-ce que ça changerait, que nous mettions du vin dans une bouteille neuve ou une vieille bouteille?
Mais quand j’étais en Orient, j’ai appris que l’outre au temps biblique n’était pas une bouteille en verre. C’était une bouteille en peau d’animal. On prenait la peau d’un animal et on la tannait. Eh bien, tant qu’il y avait de la–de l’huile dans la peau de l’animal, elle était flexible. Mais une fois cette peau devenue vieille, dure et sèche, alors elle n’était plus flexible. Béni soit le Seigneur! Cette peau devenait sèche et dure, alors, elle ne cédait plus. Et mettre du vin nouveau non fermenté, qui a encore la vie, dans une telle peau, ça ne serait pas sage. Quand le vin commence à fermenter et à s’étendre, la peau éclate, alors vous perdez et l’outre et le vin.
Dans un autre passage, Jésus dit: «Ne jetez pas vos perles devant les pourceaux.» Vous perdrez vos perles. Et prenez une église qui est trop figée dans ses voies, qu’elle soit baptiste, pentecôtiste ou je ne sais quoi, qui est si figée, quand le vin nouveau entre, le vin vient par la Parole... Et quand cette nouvelle Parole commence à dire: «Les jours des miracles sont encore là», cette vieille peau desséchée va... quand ce nouveau Vin se met à agir, elle ne peut pas bouger, parce qu’elle est figée dans ce qu’elle croit; elle ne bouge pas, alors la peau éclate et craque... [Frère Branham illustre le bruit d’une peau qui craque.–N.D.E.]...?... «Je ne crois pas aux miracles.» Vous y êtes.