Jeffersonville, Indiana, USA
E-47 «Ô Eternel, pour moi Ta bonté vaut plus que ma propre vie. Mon âme a soif de Toi, comme si j’étais dans une terre aride. Et comme la biche soupire après des courants d’eau mon âme doit Te trouver sinon elle va périr.» Lorsque le Branham Tabernacle arrivera à ce point-là, les portes de ces petits ismes céderont. Tous les différends seront complètement réglés et les chrétiens seront des chrétiens et il y aura... On en parlera partout au monde lorsqu’une assemblée de gens aura soif de Dieu de cette manière-là. «Ta bonté, ô Eternel, vaut plus que la vie pour moi.» Prions.
Adorable Père et notre Dieu, comme nous venons à Toi maintenant à la fin de ce petit message, nous prions que ceux qui ont faim et soif soient dans cette petite église ce matin comme jamais auparavant. Que les hommes, les femmes, les garçons, et les filles aujourd’hui dans le–qui sont sous ce toit ici et à l’extérieur, où qu’ils soient, qu’ils entendent l’Evangile, qu’ils sachent qu’il y a quelque chose qui–qui leur donne la soif de quelque chose. Oh! quelle agitation! Tu as dit qu’il y aura un temps comme celui-ci, un temps d’agitation, où il y aura la perplexité des temps, la détresse parmi les nations. Oh! si seulement ils prenaient cet ardent désir d’avoir davantage de puissance, davantage de bombes, d’avoir ces choses, et qu’ils convertissaient cela en un désir pour la justice de Dieu, alors le Fils de la justice viendrait avec la guérison sous Ses ailes.
Et lorsqu’Israël était dans les douleurs de l’enfantement, c’est à ce moment-là que les enfants naissaient. Et je Te prie, Père, de mettre cette soif dans nos coeurs aujourd’hui à tel point qu’il n’y aura pas de satisfaction nulle part au monde, si ce n’est à la voix de Tes cataractes. Ô Eternel, que la profondeur appelle la profondeur. Accorde-le, Père. Nous prions au Nom de Christ.