Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Chicago, Illinois, USA

E-19 Il a repris le chemin vers la terre, avec la victoire sur la mort et le séjour des morts, pour vaincre la tombe. Mais alors qu’Il remontait les grands sentiers, Il a entendu des hymnes être chantés, et Il a su qu’Il était près des portes du Paradis, là où ceux qui avaient obéi au Message de Noé, ceux qui avaient obéi aux Messages des prophètes attendaient; en effet, ils ne pouvaient pas monter.

Il y avait une brume de péché sur la terre. Et le sang des taureaux, des veaux et des brebis ne pouvait pas faire l’expiation pour l’homme. C’est pourquoi, ils étaient gardés en un lieu appelé paradis. Il y avait une brume de péché qui planait dessus. Ils ne pouvaient pas monter, sauf Lui qui était descendu.

Et Il s’avance vers la porte, et frappe doucement à la porte. Père Abraham ouvre la porte, et il est resté là, ébloui. Et il a dit: «Sara, viens ici juste un instant. N’est-ce pas la même Personne pour qui tu avais fait des gâteaux? N’est-ce pas là Celui qui était assis sous le chêne ce jour-là?»

Sara a dit: «C’est Celui qui avait le dos tourné à la tente et qui avait discerné mes pensées alors que je riais de ce qu’Il avait dit.»


Chicago, Illinois, USA

E-21 Et lorsqu’ils sortaient, Il a conquis la tombe. Mais alors, il y avait toujours une grande brume qui planait sur la terre, Il devait donc conquérir cette brume de péché, cette brume qui dégageait une puanteur des péchés de gens. Et avec Son propre Sang, Son habit teint de Sang, Il a conquis les atmosphères célestes. Béni soit Son Saint Nom.

Il a dissipé les brouillards de l’enfer de part et d’autre jusqu’à faire une percée dans les cieux telle que les enfants perdus d’Adam pouvaient prier jusqu’à vaincre. Il a conquis les atmosphères. Il a conquis le péché. Il a conquis la mort. Il a conquis l’enfer. Et Il est ressuscité triomphalement.

Il est alau-delà de la lune et des étoiles avec les saints de l’Ancien Testament. Oh! quel défilé de victoire ça a dû être avec le Véritable Conquérant! Peu après, ils ont vu cette glorieuse cité. Abraham dit à Sara: «Viens ici, chérie.» Et elle rejoint Isaac et suit. Isaac prend Jacob. Jacob prend Joseph.

Et il a dit: «Voilà la ville que papa avait vue, dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. J’ai erré sur la terre à la recherche de cette cité à venir, dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur, et maintenant, je m’approche de ses portails.» Bien qu’ils fussent de grands hommes, ils ne pouvaient pas conquérir cela. Il fallait que cette Personne descende conquérir cela. Bien qu’Abraham eût conquis des difficultés, aussi Isaac, Jacob et Joseph, mais il n’y avait qu’un seul qui pouvait conquérir le péché. C’était Lui, le Seigneur Jésus.


Chicago, Illinois, USA

E-23 Les anges le chantaient et louaient l’Etoile du matin alors qu’Elle descendait la rue en tant que le Puissant Conquérant qui avait conquis les péchés du monde et avait amené triomphalement les justes. Ils parcoururent la ville jusqu’au Trône. Là, sur le Trône, était assis le Puissant Jéhovah.

Et quand Jésus est alau Trône, Il a fléchi le genou et Il a dit: «Père, J’ai achevé cette oeuvre que Tu m’avais donnée d’accomplir. J’ai payé le prix du péché. J’ai les clés et de la mort et du séjour des morts. Et Ton ennemi est vaincu. Et ceux-ci sont ceux qui attendaient patiemment cette heure.»Et je peux voir le Père, alors qu’Il dit: «Monte ici sur Mon Trône, Mon Fils, et assieds-Toi ici jusqu’à ce que Je fasse tous Tes ennemis Ton marchepied.» Il s’assied là, le Puissant Conquérant. Je crois en Sa Parole. Je crois tout ce qu’Il dit. Je crois en Lui comme mon tout, comme mon souffle, comme ma vie, comme tout ce que j’ai...

Ce soir, je m’abandonne entièrement à Lui, âme, corps et esprit. J’attends Sa Seconde Venue dans la Gloire. Quand je suis triste, je me confie en Lui. Quand je suis heureux, je me confie en Lui. Quand je suis malade, je me confie en Lui. Et quand je suis perdu, je me confie en Lui. Quoi qu’il m’arrive, je mets ma confiance en Lui.


Chicago, Illinois, USA

E-24 Il y a quelque temps, là dans les montagnes Adirondack... Je me souviens d’une petite histoire. Je ne l’ai jamais racontée en public. Ma mère est mi-Indienne. Et j’aime les bois, vous le savez. Même ma conversion n’a point ôté cela de moi. Oh! comme j’aime les bois et les montagnes! C’est mon divertissement.

L’autre jour, je parlais à ma femme, disant: «Chérie, Dieu m’a aidé dans tout ce que j’ai fait. Comme pêcheur, je suis piètre, mais j’ai battu les records au niveau national, de la pêche, à un endroit le plus mystérieux où un pêcheur n’aimerait même pas aller.» C’est le Seigneur. J’ai fait des tirs à six ou sept cents yards [548,6 m ou 640 m], ce qui est tout à fait inconcevable pour un fusil, mais cela a atteint la cible trente-trois fois d’affilée, l’un après l’autre, alors que je ne suis qu’un piètre tireur. C’est le Seigneur.


Chicago, Illinois, USA

E-26 Et alors, je suis allé chercher une venaison. Et je suis descendu de la montagne. Je pensais connaître ces Adirondacks, chaque arbre. Mais quand vous en arrivez à connaître quelque chose, c’est alors que vous ne connaissez rien de ce que vous devriez connaître. C’est ce que disent les Ecritures.

Et j’ai gravi quelques collines; puis, je suis descendu. Et j’ai vu un gros lynx roux, et je suivais sa piste, parce qu’il chassait la grouse. Je me suis dit que si je pouvais lui tirer dessus, je pouvais l’avoir. Mais je n’ai pas pu l’attraper. Puis, je me suis dit que j’allais flairer un ours. J’ai atteint un petit creux et j’y suis descendu, me dirigeant dans cette direction, vers ce qu’on appelle les Géants.

Et pendant que j’étais là, j’ai regardé de l’autre côté et j’ai vu quelque chose de sombre bouger dans les buissons. Eh bien, tout chasseur sait qu’on ne tire pas sur les objets; vous devez savoir sur quoi vous tirez. Ça peut donc être un homme. Alors, j’ai attendu que cela apparaisse, et c’était un vieux cerf. Et quand j’ai tiré le cerf, j’ai dit: «Eh bien, j’ai dit à ma femme que je serais de retour à 14 h.»


Chicago, Illinois, USA

E-27 J’ai fait demi-tour, et le brouillard commençait à descendre, la neige et les brouillards venaient. Je me suis mis à remonter cet égout. Je me suis dit: «Je vais remonter là. Je sais où j’avais viré à droite.» Et j’ai marché, j’ai marché, j’ai marché, et je ne retrouvais point cet endroit. Un moment après, je me suis arrêté, et je me suis retrouvé devant ma biche. J’ai repris et je me suis retrouvé devant la biche. Je suivais une voie droite, je me suis retrouvé devant la biche. Eh bien, les Indiens appellent cela La marche de la mort. Vous tournez en rond, sans boussole. Et les vents soufflaient alors très fort. Et tout le monde sait que quand il y a des brouillards dans les montagnes, c’est à peine si on peut voir devant soi. Et tout ce qu’il y a à faire, c’est aller quelque part, se terrer, s’attraper quelque chose à manger si on peut en trouver, et rester là jusqu’à ce que ça soit passé.

Mais je ne pouvais pas faire cela. J’avais une femme et un enfant dans ces bois-là. Et ils mourraient sous cet orage. Je ne pouvais donc pas faire cela. Je devais essayer de nouveau. Et après être parti aussi loin que je pensais devoir aller, je me suis dit: «Eh bien, je suis perdu.» Je me suis dit: «Attends une minute, Bill Branham. Tu n’es pas perdu. Tu penses simplement être perdu. Eh bien, assieds-toi une minute.»


Chicago, Illinois, USA

E-28 Et quand j’allais m’asseoir, la neige soufflait, et le vent tourbillonnait, les arbres se penchaient, je me suis dit: «Oh! la la!» Ma femme n’était jamais de sa vie sortie de la ville, sauf pour se promener à la campagne et revenir. Que ferait-elle sans moi, si je me perdais dans les montagnes? Elle s’affolerait. Et elle mourrait avant le matin, elle et mon enfant. Eh bien, j’ai dit: «Oh! tu es un trop bon homme de bois pour te perdre. Eh bien, tu sais, ton instinct te dit que tu devrais aller tout droit, dans cette direction-ci, car le vent soufflait en face quand tu gravissais la colline, ça doit donc être derrière toi, descendre la colline.»

Je me suis donc engagé dans cette direction-là, et Quelque Chose s’est mis à parler: «Je suis un Secours qui ne manque pas en temps de détresse.»

J’ai dit: «Eh bien, je perds la tête. Je pense entendre une voix me parler.» J’ai secoué la tête; j’ai dit: «Vas-y, mon gars. Vas-y donc, tu es sur la voie qui mène droit à ton camp. Tu sais que c’est ça

Et j’ai pris mon fusil, j’ai dit: «Vieux fusil, ça fait bien des fois que tu es avec moi. Tu m’aideras à m’en sortir.» Je l’ai jeté sur mon épaule. Je me dirigeais exactement vers le Canada, sans le savoir.

Et cette Voix continuait à parler: «Je suis le Seigneur. Je suis un Secours qui ne manque pas en temps de détresse.»

Et Elle se faisait de plus en plus profonde, jusqu’à ce que, finalement, je me suis arrêté, j’ai posé mon fusil contre un arbre. J’ai posé mon vieux chapeau de chasse par terre, je me suis agenouillé et j’ai dit: «Seigneur, je ne suis pas un homme de bois, je suis un pauvre homme, perdu et misérable. Je ne mérite pas de vivre, mais je T’en supplie, aie pitié de ma femme et de mon enfant.» Je pensais pouvoir maîtriser tout orage, pouvoir maîtriser tout bois. Mais j’ai découvert que je n’étais pas un conquérant.


Chicago, Illinois, USA

E-30 Je me suis dirigé vers cette tour. C’était redevenu tout brumeux, mais je devais aller en ligne droite. Et j’ai marché, marché. Il faisait noir. J’ai du coup gravi cette montagne, les glissements de terrain et que sais-je encore, je savais que je ne pouvais pas changer de direction. Il faisait noir. Les cerfs sautaient devant moi, des animaux. Je ne faisais pas cas d’eux. Je suivais mon chemin, en disant: «Je fais confiance au Seigneur et je me tiens sur Sa Parole.» Et comme je pensais qu’il faisait trop noir, j’ai dit: «Oh! si seulement je peux toucher cette fil téléphonique.» Je savais qu’elle traversait la montagne quelque part. J’avais aidé à son installation. Je me suis dit: «Si seulement je peux toucher ce câble. Si seulement je peux... C’est mon seul espoir. Je ne vois plus. Si seulement je peux toucher ce câble.»

Et j’étais sur le point de perdre l’espoir, mais peu après, ma main a heurté contre quelque chose et j’ai touché cela. C’était le câble. Je ne pouvais pas lâcher ce câble. J’ai ôté mon chapeau et j’ai jeté mon fusil par terre. J’ai pleuré comme un enfant. Je savais qu’au bout de ce câble téléphonique, m’attendaient ma femme et mon enfant. Je ne pouvais pas lâcher ce câble sur tout le parcours, en descendant la montagne. Je m’y suis accroché aussi respectueusement que possible. Et j’ai été ramené sain et sauf vers mes bien-aimés.


Chicago, Illinois, USA

E-33 «J’aimerais toucher cette main qui a des cicatrices de clous.» Oh! C’est différent–c’est différent quand on touche une autre main. Il est le Puissant Conquérant. Vous ne pouvez pas conquérir par vous-même. Vous devez compter sur Lui. Y en aurait-il un autre qui aimerait toucher Sa main? Qu’il la lève simplement vers Lui et dise: «Seigneur, sois miséricordieux envers moi.»

au balcon? Que Dieu vous bénisse là-haut, jeune dame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse. Là à droite, que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre, qu’il lève la main et dise: «Seigneur, sois miséricordieux envers moi. J’assiste à...

Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse. «J’assiste à ces réunions, frère Branham. Je vois Dieu se révéler, et j’aimerais qu’Il me touche. J’aimerais sentir Son toucher en retour, et cette petite secousse dans mon coeur me dit que je suis pardonné et que je peux rentrer chez moi avec Lui. Quand cette heure terrible vient, quand Son Eglise est enlevée, j’aimerais avoir ma main sur le câble.»

Que Dieu vous bénisse là, au mur, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, madame, là derrière, au fond. Que Dieu vous bénisse, monsieur, là derrière. Quelqu’un d’autre juste... Que Dieu vous bénisse, vous ici, madame. Juste alors que nous attendons un peu plus longtemps... Il y a quelque trente mains ou plus, je suppose, qui se sont levées, des pécheurs implorant la miséricorde de Dieu.


Chicago, Illinois, USA

E-39 Eh bien, le matin, tout aussi vite que vous le pouvez, allez à une bonne église, faites-vous baptiser, et recevez le Saint-Esprit. C’est ça la promesse. Le jour de la Pentecôte, pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous...» C’est ce que vous avez fait. «soyez baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera

Et Il vous a appelé, et vous êtes maintenant candidat au Saint-Esprit. Et cela vous met au service du Seigneur. Oh! nous vous souhaitons le bienvenu dans le Royaume de Dieu. Nous sommes si heureux de vous avoir comme notre frère et notre soeur. Que la grâce de Dieu repose sur vous, mon cher ami.


Up