E-43 Maintenant, vous voyez, nous voici tous deux. Et je vais parcourir du regard cette ligne de gens. Il n’y a personne que je connaisse. Même pas dans l’auditoire ce soir, sauf Rosella qui est assise juste ici. Je la connais, la jeune fille qui a été guérie de l’alcoolisme, tout comme ces gens qui sont ici chaque soir. Qu’en dites-vous, Rosella? C’est ça. Il lui a été dit qu’elle était alcoolique et le péché dans lequel elle était.
Et je me demande si cette petite dame-ci qui était une–une danseuse, quel était son nom? Elle était–elle était alors une jeune fille catholique, je pense, ou quelque chose comme cela. Et le Saint-Esprit aappelée. Elle était ici l’autre soir, m’a-t-on dit, elle et son mari, je pense, et un petit garçon. Quel était son nom, soeur? Eileen.
Eileen, êtes-vous ici ce soir? Si vous êtes ici, voudriez-vous lever la main? Elle était une partenaire de danse de Fred Astaire, et elle s’est impliquée dans la drogue et tout le reste, et le Saint-Esprit l’aappelée là, juste là à Hammond. Elle a été glorieusement convertie. Et Aujourd’hui, elle est dans le champ de travail, oeuvrant pour le Seigneur.
E-45 Maintenant, s’Il faisait cela, monsieur, vous sauriez que celaaabsolument une origine surnaturelle. L’assistance aussi. Mais tout dépendra d’eux. Que... Si vous pensez que ce–c’est du diable, alors vous recevrez la récompense du diable. Si vous pensez que c’est de Dieu, alors, vous recevrez la récompense de Dieu. Non pas moi, je ne suis qu’un homme comme vous, le moindre parmi les hommes. Mais s’Il révèle cela, alors soyez-en juge. Vous pouvez savoir si c’est vrai ou pas. Et s’Il sait ce qui a été, certainement qu’Il sait ce qui sera.
En regardant cet homme, je ne suis pas en train de lire ses pensées. Dieu au Ciel, Lui qui est mon Juge solennel, avec ma Bible sur mon coeur, sait que je ne suis pas en train de lire les pensées de cet l’homme, pas du tout. J’observe quelque chose, par la grâce de Dieu. Pierre et Jean ont dit: «Regarde-nous.» Cela veut dire «Prête attention. Observe.»
E-47 Vous n’êtes pas ici pour votre propre santé. Vous êtes un homme en bonne santé. Mais vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et c’est un autre homme, votre parent. Il n’est pas ici. Et il n’est même pas dans cet Etat. Il n’est même pas aux Etats-Unis. Je vois la contrée, et, on dirait, une ville sur des collines. Et c’est Outre-mer. Et c’est la Norvège. J’y ai été. Il s’agit de votre beau-frère. Il souffre du coeur, de l’hypertension.
Et je vois apparaître une femme maintenant. Et elle est une parente, une nièce. Et elle est... c’est–c’est... Elle est sourde. Et c’est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. C’est vrai. Eh bien, s’Il connaît ce qui a été, Il peu connaître le futur. C’est Lui qui a dit que ceci aura lieu. C’est le Même qui a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Croyez-vous? Alors, prions.
Dieu miséricordieux, devant ces enfants nouveau-nés, alors qu’ils voient Ton glorieux Esprit agir dans le corps de l’Eglise, accorde, Dieu Eternel, que cet homme reçoive le désir de son coeur, alors que je prie pour Lui. Au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur.
E-53 La raison pour laquelle je dois demander à quelqu’un ici de s’approcher, c’est parce que, regardez simplement ceux qui sont assis devant moi. Voyez? Il y a, chacun de vous, des centaines de milliers d’entre vous qui font ce toucher. Et c’est difficile quand cela vient, et vous devenez faible. Une vision fait beaucoup plus mal qu’une prédication de deux heures.
Ainsi, cet homme-ci dit que nous sommes inconnus l’un à l’autre, et il se peut que nous soyons nés à des kilomètres de distance et que nous ayons un décalage d’âges. Mais le Seigneur connaît tout à son sujet, et Il connaît tout à mon sujet. Et si le Seigneur révèle à cet homme, à cet homme ce pour quoi il est ici ou quelque chose à son sujet, dont il sait que je ne connais pas... Si je ne le connais pas et que je ne l’ai jamais vu, donc je ne sais rien à son sujet. Mais si le Seigneur fait cela, combien diront: «Amen. Je vais alors croire...?...»
E-54 Maintenant, le frère et moi, nous nous tenons tous deux ici, déclarant que nous ne nous sommes jamais vus ni rencontrés auparavant, et nous ne connaissons rien l’un au sujet de l’autre. Puisse le Seigneur accorder cela, monsieur. J’aimerais juste vous parler un instant, juste pour voir ce qu’Il dirait.
Je vois cet homme alors qu’il essaie de se lever d’un fauteuil. Il se lève lentement. C’est l’arthrite. Et il y aaussi quelque chose qui cloche dans ses poumons. Et c’était causé par une certaine histoire. C’est la poussière, la poussière des pierres qui s’est posée sur les poumons. Eh bien, voyez-vous cela? Combien croient maintenant? Eh bien, plus on parlera à cet homme, plus il se fera des choses. Voudriez-vous que nous lui parlions une minute de plus, afin que vous voyiez le côté infaillible de cela.
E-55 Maintenant, maintenant, franchement, avant que Léo ici ou quelqu’un d’autre me rejoue la bande, je ne sais pas ce qu’Il a dit. Voyez? Ce n’était pas moi. Je cède simplement la place. Je–je vois quelque chose se passer, et je dis simplement ce que c’est, et vous entendez ma voix. Ce n’est pas moi. C’est Lui. Il parle juste au travers de ma voix. Voyez? C’est ce qui se passe. Et puis... On dirait que vous pouvez voir cela. Il y a cette femme assise là en train de prier, juste là. Elle a une grosseur à l’oreille, et elle prie Dieu de la guérir. Croyez-vous que le Seigneur Dieu ôtera cette grosseur de votre oreille et vous rétablira? Si vous croyez, levez la main et acceptez simplement cela. Très bien. Vous pouvez alors avoir ce que vous demandez. Qu’a-t-elle touché?
E-61 Vous assis là, aveugle, avec votre main levée au niveau du front, ayez foi en Dieu. Il est là près de vous. Ne doutez pas. Que peut-il arriver en ce moment? Que peut-il arriver? Si seulement vous croyez... Maintenant, restez seulement enfermé avec Dieu. J’ai été plusieurs fois à Chicago. Avez-vous déjà...
Vous n’avez jamais vu quelque chose avancer sur cette estrade sans être touché par la main de Dieu. Dans aucune réunion, nulle part, vous n’avez vu cela. Il ne m’a jamais fait défaut. Et Il ne me fera jamais défaut. Il va soit guérir soit me dire pourquoi Il ne peut pas vous guérir.
Maintenant, je vais prier pour vous et demander pour vous pendant que vous êtes oint maintenant, et que l’Ange du Seigneur est juste à vos côtés. Ne restez plus dans les ténèbres. La lumière est venue. Le Grand Conquérant est ici. Et alors que je prie, croyez que Dieu exauce ma prière et vous recevrez ce que vous demandez.
E-1 Merci, Frère Joseph. Inclinons la tête juste un instant pour la prière.
Seigneur, nous Te sommes vraiment reconnaissant pour ce grand privilège que nous avons de venir auprès de Toi cet après-midi, de T’appeler notre Père, sachant que Ton Fils a promis dans TaParole que si nous demandons quoi que ce soit au Père en Son Nom, cela nous seraaccordé. Nous voudrions alors implorer de la miséricorde, Seigneur, le pardon de nos péchés et de nos offenses; nous demandons la guérison pour les malades, la joie pour ceux qui sont tristes, l’espérance pour ceux qui sont désespérés. Accorde-le, Père. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
E-2 Vous pouvez vous asseoir. [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] C’est très bien. Je suis juste un peu déçu moi-même que frère Osborn ne soit pas ici cet après-midi, mais d’une façon ou d’une autre, il a trouvé qu’il lui fallait retourner à la hâte répondre à un appel à–à Tulsa, dans l’Oklahoma. Et j’attendais, tout comme vous, le frère Osborn. Et on m’aannoncé cela, il n’y a pas longtemps, alors, j’ai dû vite venir prendre sa place. Et, oh! je ne pourrais pas prendre sa place, mais je peux venir ici parler à sa place. Ainsi, nous sommes très reconnaissant de la–la visite que nous avons reçue hier soir de notre précieux frère.
E-3 Et j’étais très heureux d’avoir vu le film. En effet, cela donne aux gens une certaine idée de ce à quoi on fait face quand on arrive dans ces contrées. Eh bien, c’était–c’était vraiment écoeurant à voir. Mais, croyez-moi sur parole, ce qui se passe en Afrique, c’est insignifiant par rapport à ce qui se passe en Inde. Ainsi, vous savez ce à quoi nous avons à faire face.
Et quand quelqu’un va dans les champs missionnaires, pas juste en visite, mais il va dans le champ comme missionnaire, vous ne savez pas ce qu’il doit endurer et affronter. Eh bien, vous ne voyez pas ça dans de grandes villes. Il vous faudraaller, au fond, dans des jungles où ils vivent.