Waterloo, Iowa, USA
E-2 Ce petit garçon, beaucoup parmi vous connaissent l’histoire du petit Joseph. Le Seigneur me l’avait montré six ans avant qu’il soit... naisse. Il m’avait promis un garçon, car j’aime beaucoup Joseph. Je pouvais bien le comprendre; en effet, il était né, il avait des visions, il pouvait interpréter les songes, il était haï de ses frères sans cause. J’ai toujours éprouvé de la pitié pour Joseph; et un jour, je pleurais à Minneapolis, dans un petit placard; alors, le Seigneur m’a dit: «Tu auras un fils, tu l’appelleras Joseph.»
Eh bien, c’est à peine si je pouvais savoir quelque chose là-dessus; en effet, la... ma femme ne peut pas accoucher normalement; elle doit passer par la césarienne. Et le médecin avait déclaré qu’elle n’aurait plus jamais un autre enfant en dehors de celle qu’elle avait déjà eue. Quatre ans plus tard, deux ans, excusez-moi, nous avons su qu’elle allait encore devenir mère, et quelqu’un a demandé: «Est-ce Joseph?»
J’ai dit: «Je ne sais pas.»
Et puis, à la naissance, ce fut une fille. Les gens ont dit: «Tu voulais dire Joséphine.»
J’ai dit: «Non, je voulais dire Joseph.»
Et le médecin a dit: «Monsieur Branham, a-t-il dit, on devra ligaturer votre femme; elle ne peut plus avoir des enfants.»
J’ai dit: «Oh! non.» J’ai dit: «J’ai un garçon qui vient.»
Il a dit: «C’est impossible, monsieur Branham.»
J’ai dit: «Ce sera possible (voyez?), car le Seigneur l’avait dit.»
Eh bien, il a dit: «D’accord.» Alors, il l’a laissée aller. Et puis, quatre ans plus tard, elle allait encore devenir mère.
Alors, quelqu’un a demandé: «Est-ce Joseph?»
J’ai dit: «Je ne sais pas, mais Joseph est en route.»
Alors, lorsque l’infirmière est sortie de la salle d’accouchement, elle a demandé: «Révérend Branham?» J’ai dit... J’étais dehors avec les pères qui attendaient, et alors...
J’ai répondu: «Oui, madame.»
Elle a dit: «Vous avez un beau garçon de 7 livres [3,17 kg].»
J’ai dit: «Joseph, tu as mis longtemps à venir, mais papa est content de te voir.» Alors... eh bien, ce–c’est certainement un bon garçon. Je prie le Seigneur de me laisser l’élever.