Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

12471. 58-0126 Ecoutez-Le - SHP
Waterloo, Iowa, USA

E-72 Vous qui avez levé la main maintenant, de ce côté-là, vous venez juste de l’abaisser. Vous avez une affection de la gorge pour laquelle vous voulez que Dieu vous guérisse, la dame en robe bleue. Le croyez-vous? Dieu va vous guérir alors. Levez les mains et acceptez cela, et croyez cela de tout cotre coeur. Est-ce que vous croyez? La dame assise juste ici en pull vert, qui souffre d’une affection de la poitrine. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame? Très bien, levez les mains et acceptez-Le. Gloire au Seigneur! «Si tu peux croire, tout est possible.» Vous devez croire.

L’arthrite, croyez-vous que Dieu va vous guérir? Si vous pouvez le croire de tout votre coeur, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Amen.

Ne restez pas assis là comme cela; acceptez cela. Cela va au-dessus de vous, bien sûr, madame. Maintenant, tenez-vous debout. Vous qui portez un chapeau rouge, oui, tenez-vous debout immédiatement, tenez-vous debout. Maintenant, rentrez chez vous et portez-vous bien; Jésus-Christ vous guérit. Amen. Répondez lorsque le Saint-Esprit parle, répondez rapidement. Que Dieu sache que vous croyez en Lui.


Waterloo, Iowa, USA

E-1 ...pour rendre grâces à Ton Grand Nom pour le privilège d’être ici ce soir. Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait pour nous. Vraiment, nous sommes des créatures indignes pour recevoir Tes nombreuses bénédictions, mais nous Te prions de nous pardonner nos manquements et de nous aider à être Tes enfants bien-aimés. Nous demandons que le Saint-Esprit nous visite ce soir, qu’Il nous parle et qu’Il parle au travers de nous de façon merveilleuse, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

Je parlais il y a quelques instants à ma femme qui est en Indiana, et quand je lui disais qu’il y avait beaucoup de neige, alors mon petit garçon est venu au téléphone, le petit Joseph, et Joseph a dit... Il vient de totaliser deux ans, il a dit: «Papa, reviens à la maison; je vais aller prier pour les malades.» [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.E. ] Je me suis dit que c’était original.


Waterloo, Iowa, USA

E-2 Ce petit garçon, beaucoup parmi vous connaissent l’histoire du petit Joseph. Le Seigneur me l’avait montré six ans avant qu’il soit... naisse. Il m’avait promis un garçon, car j’aime beaucoup Joseph. Je pouvais bien le comprendre; en effet, il était né, il avait des visions, il pouvait interpréter les songes, il était haï de ses frères sans cause. J’ai toujours éprouvé de la pitié pour Joseph; et un jour, je pleurais à Minneapolis, dans un petit placard; alors, le Seigneur m’a dit: «Tu auras un fils, tu l’appelleras Joseph.»

Eh bien, c’est à peine si je pouvais savoir quelque chose là-dessus; en effet, la... ma femme ne peut pas accoucher normalement; elle doit passer par la césarienne. Et le médecin avait déclaré qu’elle n’aurait plus jamais un autre enfant en dehors de celle qu’elle avait déjà eue. Quatre ans plus tard, deux ans, excusez-moi, nous avons su qu’elle allait encore devenir mère, et quelqu’un a demandé: «Est-ce Joseph?»

J’ai dit: «Je ne sais pas.»

Et puis, à la naissance, ce fut une fille. Les gens ont dit: «Tu voulais dire Joséphine.»

J’ai dit: «Non, je voulais dire Joseph.»

Et le médecin a dit: «Monsieur Branham, a-t-il dit, on devra ligaturer votre femme; elle ne peut plus avoir des enfants.»

J’ai dit: «Oh! non.» J’ai dit: «J’ai un garçon qui vient.»

Il a dit: «C’est impossible, monsieur Branham.»

J’ai dit: «Ce sera possible (voyez?), car le Seigneur l’avait dit.»

Eh bien, il a dit: «D’accord.» Alors, il l’a laissée aller. Et puis, quatre ans plus tard, elle allait encore devenir mère.

Alors, quelqu’un a demandé: «Est-ce Joseph?»

J’ai dit: «Je ne sais pas, mais Joseph est en route.»

Alors, lorsque l’infirmière est sortie de la salle d’accouchement, elle a demandé: «Révérend Branham?» J’ai dit... J’étais dehors avec les pères qui attendaient, et alors...

J’ai répondu: «Oui, madame.»

Elle a dit: «Vous avez un beau garçon de 7 livres [3,17 kg].»

J’ai dit: «Joseph, tu as mis longtemps à venir, mais papa est content de te voir.» Alors... eh bien, ce–c’est certainement un bon garçon. Je prie le Seigneur de me laisser l’élever.


Waterloo, Iowa, USA

E-8 Et je ne voulais pas écouter cela. Et le lendemain, un autre article a été publié dans le Houston Chronicle, disant: «Cela montre de quel bois ils se chauffent, ils ont peur d’attaquer la Parole, ou plutôt d’aborder la Parole.»

Eh bien, ça, c’était trop pour docteur Bosworth. Il est venu dans ma chambre, là, à Rice Hotel; il a dit: «Frère Branham, le public pensera que nous sommes tout simplement une bande de gens dispersés, qui ne savent pas de quoi ils parlent.»

J’ai dit: «Frère Bosworth, vous ne gagnerez jamais rien en discutant.» J’ai dit: «Il y a au moins... il y a environ trente mille personnes.» Et j’ai dit: «Il y a sept ou huit mille personnes assises là pour qu’on prie pour elles. Pourquoi devrions-nous perdre notre temps sur un seul infidèle, un incroyant, et laisser des milliers de gens s’en aller sans qu’on prie pour eux?» J’ai dit: «Jésus a dit: ‘Laissez-les tranquilles, si un aveugle conduit un aveugle, ne tomberont-ils pas tous dans une fosse?’» J’ai dit: «Laissez-le tranquille.»

Mais il a dit: «Frère Branham.» Qu’il soit béni! Il est en repos auprès de Dieu ce soir. Il a dit: «Laisse-moi m’en occuper.»

Eh bien, docteur Best n’avait que 35 ans environ, il venait de sortir de l’école, c’était un érudit raffiné; docteur Bosworth avait alors à peu près quatre-vingt ans.


Waterloo, Iowa, USA

E-10 Eh bien, je leur avais dit que je n’irais pas là, parce que je n’aime pas des discussions. Pour moi, on n’a pas à discuter sur les Ecritures, on doit Les vivre. De toute façon, ce soir-là, alors qu’ils étaient entassés, j’ai dit: «Moi, je n’irai pas là.» Alors, tard le soir, eh bien, je ne pouvais simplement pas m’en abstenir; j’ai dit alors à ma femme: «Allons-y.» Ainsi, elle, moi, la fillette et mon frère... Deux agents de police nous ont aidés à entrer, je suis monté au balcon trente, là-haut. Et alors, pendant que j’étais assis là, le col de mon manteau relevé, afin qu’on ne me reconnaisse pas; en effet, nous tenions une série de merveilleuses réunions...

Monsieur Bosworth s’est levé... Eh bien, les modérateurs et les autres, et il a dit... Eh bien... Cy Ramsar (Beaucoup parmi vous connaissent Cy Ramsar, c’est un chanteur chez Paul Rader), il chantait ce soir-là, il a fait une petite déclaration, disant: «J’ai lu un journal où il est dit: ‘Monsieur Branham devrait être chassé de cette ville comme un hérétique religieux.’» Il a dit: «Si vous consacriez plus de temps à chasser les contrebandiers d’alcool de cette ville plutôt que des hommes pieux qui viennent ici pour tenir un réveil, l’état de cette ville serait de loin meilleur», et toute la foule a crié. J’ai alors su que monsieur Best était perdant, là même.


Waterloo, Iowa, USA

E-11 Ainsi donc, quand la–la discussion a commencé, monsieur Bosworth voulait... On a d’abord donné la parole à monsieur Bosworth, puis à monsieur Best; et ensuite, ils ont eu une prise de bec à la fin. Le modérateur a dit, puis, nous... Je–je suivais, et frère Bosworth a dit: «Je vais poser une seule question, et si monsieur Best...» Or, il avait eu trente minutes pour s’exprimer, il a dit: «Je vais poser une seule question à monsieur Best.» Il a dit: «Premièrement.» Voici ce qu’il a dit–dit: «J’ai noté ici six cents passages des Ecritures du Nouveau Testament, si monsieur Best veut prendre un de ces six cents passages des Ecritures et démontrer par les Ecritures que c’est faux, que l’attitude que Christ a présentement vis-à-vis des malades est exactement la même aujourd’hui qu’autrefois, s’il démontre le contraire de cela par les Ecritures, je m’assiérai tout bonnement.»

Et monsieur Best ne voulait pas répondre à cela; il a dit: «Je m’en occuperai une fois là.»

Eh bien, il a alors demandé au modérateur une fois de plus: «Puis-je encore dire un mot à monsieur Best?»

Il lui a répondu: «Oui.»

Il a dit: «Monsieur Best, je vais vous poser une seule question, et répondez-moi par oui ou non; dites juste le mot oui ou non, l’un ou l’autre, et je m’assiérai, alors vous pourrez prendre le reste de temps.» L’étau se resserrait davantage, vous savez. Oh! Certains pensent que ceci est un tas de fanatisme, mais c’est la Vérité établie de l’Evangile de Dieu. Certainement.


Waterloo, Iowa, USA

E-14 Et juste à ce moment-là, monsieur Bosworth a dit: «Je sais que frère Branham est dans l’assistance. Et alors, s’il veut venir congédier l’auditoire, c’est en ordre, mais je lui avais promis que je ne le ferais pas venir à l’estrade, à moins qu’il le veuille.» Eh bien, personne ne savait où j’étais.

Mon frère m’a dit: «Tiens-toi tranquille, Bill.»

J’ai dit: «Eh bien, je suis tranquille, n’est-ce pas?» Je suis donc resté assis là. Et à ce moment-là, l’Ange du Seigneur s’est approché. Je me suis levé.

Howard a dit: «Assieds-toi, Billy.»

Et ma femme a dit: «Regarde. Non, Howard.» Howard a levé les yeux.

Cinq cents huissiers ou plus ont joint leurs mains. Je suis allé à l’estrade. Je me suis avancé, j’ai serré la main à docteur Best, j’ai dit... et je me suis retourné vers l’assistance, j’ai dit: «Ne vous en prenez pas à frère Best, ai-je dit, parce que ce...» Evidemment, il–il avait perdu le débat, il n’avait même pas un–un fondement où reposer le pied, aucun passage des Ecritures où se tenir. Il avait donc perdu le débat, il était très fâché.

Il se déplaçait là, disant: «Oh!», et il–il avait giflé un prédicateur à la bouche, et on était obligé d’aller le tirer pour l’éloigner de ce prédicateur-là. Alors, il a dit... il a dit...


Waterloo, Iowa, USA

E-19 Il y a quelques semaines, ou quelques–quelques mois en Allemagne, on voulait voir si on pouvait photographier Cela. Et lorsque Cela descendait, ce gros appareil photo allemand a photographié Cela en train de descendre, quand Cela oignait, quand Cela parlait, et quand Cela repartait. Cet appareil photo, de marque allemande, avait photographié Cela. Cela a été photographié en Suisse. Ce soir-là, j’avais plus de trente mille personnes qui étaient venues à Christ en une fois.


Waterloo, Iowa, USA

E-20 Eh bien, j’aimerais dire quelque chose, je ne le dis pas après avoir suivi les bandes, mais un homme m’en a parlé. Je veux le dire avec respect: hier soir, à l’estrade, alors qu’il y avait plusieurs personnes là dans l’assistance, des gens bien instruits, habiles, intelligents, et si cette femme est ici ce soir, je n’ai pas l’intention de dire quelque chose de mal, soeur; mais une pauvre femme de couleur, peut-être non instruite, par la simplicité de la foi, a vu cette Lumière alors qu’Elle se mouvait. Elle est venue à l’estrade hier soir, et avant qu’elle puisse arriver ici, Dieu a redressé ses bras meurtris par l’arthrite et autres, ici même, laissant ceux qui étaient assis là à se poser des questions; ils sont restés assis là, se posant des questions. Voyez-vous ce que je veux dire? Dieu est réel. Et si je meurs cette nuit, si celle-ci est ma dernière soirée sur terre, des millions de gens à travers le monde savent que c’est la vérité. Le monde scientifique sait que c’est la vérité. C’est la vérité que nous vivons dans les derniers jours, que le Grand Dieu Jéhovah, Qui avait conduit les enfants d’Israël, Qui était apparu dans une Colonne de Feu à saint Paul sur le chemin de Damas, à Pierre en prison, est ici ce soir, se manifestant dans la résurrection, tant par des moyens scientifiques qu’en réalité. Amen.


Waterloo, Iowa, USA

E-21 Jéhovah-Jiré, le Seigneur se pourvoira Lui-même d’un sacrifice. Oh! nous allons maintenant retourner pour aborder l’autre aspect de cette photo, pendant environ vingt minutes. Abraham et Isaac, l’enfant promis...

Eh bien, premièrement, dans Genèse 12, nous voyons qu’Abraham était juste un homme ordinaire. Très souvent, lorsque les gens voient les dons en action, ou quelque chose comme cela, ils veulent considérer la personne qui a cela comme quelqu’un de vraiment très saint. Ce n’est pas une personne sainte, c’est le Saint-Esprit.

Comme je le disais hier soir, quand Pierre a dit: «La montagne sainte...» Ce n’était pas que la montagne était sainte, c’était le Dieu Saint sur la montagne. Et personne parmi nous n’a le droit de prétendre avoir sa propre sainteté, c’est sur la sainteté de Dieu que nous comptons. Je n’en ai aucune, vous non plus. Dieu ne l’accepterait pas après tout, si nous en avions. Il n’accepte que Christ, et nous, en étant morts en Christ, Il nous accepte par... à travers Christ.


Up