Waterloo, Iowa, USA
E-51 Dieu bien-aimé, l’un de ces soirs, je vais apporter mon dernier message, je vais fermer cette vieille Bible pour la dernière fois, et l’église va offrir sa dernière prière. Et tout d’un coup, un cri retentira depuis le Ciel. Un papa se lèvera un matin, il cherchera sa femme, et elle sera partie. Il va courir au berceau pour chercher l’enfant, et l’enfant sera parti. Il appellera le pasteur, le pasteur sera parti. Ô Seigneur, à quoi aboutiront leurs petits articles et leurs petites fêtes alors? Que deviendra toute leur imitation? Que va alors représenter pour eux le fait d’aller à l’église? Rien du tout, cela ne vaudra rien.
Ô Dieu, Tu as même fait dans cette salle, quelque chose que Tu n’as jamais fait dans ma présence auparavant, et si jamais, à un moment quelconque, depuis l’époque des apôtres, je n’avais jamais lu sur cela ni entendu parler de cela, qu’est-ce? Cette ville raide et froide, ces gens indifférents qui sont trop chargés de travail, ils ont trop d’argent, quelque chose doit arriver.
Ô Eternel Dieu, secoue les hommes ce soir, les femmes aussi, avant qu’ils soient secoués par le Jugement. Qu’ils viennent à la miséricorde et qu’ils prennent position pour Ton Fils, Jésus, plutôt que de se tenir là, pour la qualité d’un membre d’église, ou prendre position pour quelque chose qui n’est pas vrai. Accorde-le, Seigneur. Aie pitié, Seigneur, encore une fois.
A partir de ce moment alors, Seigneur, je prierai simplement pour les malades dans cette ville, je fermerai le Livre et je partirai. Mais, ce soir, au mieux de ma connaissance, j’ai essayé d’avertir les gens. Accorde, Seigneur, que Ton Esprit prenne maintenant la relève et fasse le reste de l’avertissement, par Jésus-Christ.