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Harrisonburg, Virginia, USA

E-51 Elevez-vous là où vous vous confiez en Dieu, pour croire en Lui pour la guérison, croire en Lui pour le salut, croire en Lui pour le Saint-Esprit, croire en Lui pour toute chose. Confiez-vous en Lui. Vous êtes des aigles. Vous avez été faits... Vous êtes–vous êtes un enfant de Dieu. Vous croyez comme Dieu. Vous croyez Sa Parole, parce que vous vous nourrissez de Sa Parole. Vous avez été nourri par le Saint-Esprit, la Parole; alors vous pouvez vous envoler.

Eh bien, vous savez, elle les surveille, parce que de temps en temps, l’un des petits commence–commence à avoir des pépins, et à voler plutôt de façon désordonnée, vous savez; il commence à basculer et il n’arrive plus à retrouver son équilibre.

Je crois certainement dans la grâce. Alors la mère, l’Aigle Jéhovah, vous savez ce qu’elle fait? Elle descend directement et rattrape cet aiglon sur Ses ailes et le ramène [dans les airs] dans sa grâce. C’est ce qu’elle fait; c’est ce que fait la mère aigle.

N’ayez pas peur de faire quelques battements d’ailes, quelques efforts, de persister en prenant Dieu au Mot. Vous ne serez pas dans l’erreur. Vous n’allez pas vous faire du mal. Vous direz: «Eh bien, il me laissera peut-être m’écraser au sol.» Ces petits aigles ne se tracassent pas du tout à ce sujet. Ils voient maman tout le temps. Ainsi, ils passent tout simplement un jubilé de pentecôte, passant tout simplement des moments merveilleux, en battant des ailes de façon désordonnée, et que sais-je encore. Il passe tout simplement des moments merveilleux. Certainement.


Harrisonburg, Virginia, USA

E-53 Oh! Il te portera à n’importe quel moment. Frère, ne vous tracassez jamais, Il veillera sur vous. Il sait tout à votre sujet; Il vous aime. Vous êtes Son enfant. N’ayez pas peur de vous confier en Lui. S’Il vous secoue pour vous projeter dans l’air, Il vous laisse tout simplement prendre de l’envol tout seul. Nous allons prendre un grand envol, l’un de ces jours, pour aller directement dans la gloire. Ainsi, vous feriez mieux d’apprendre à vous confier en Lui maintenant, pendant que vous le pouvez. Vous ne pouvez pas le faire avec toutes ces plumes relâchées qui vous sont accrochées tout autour. Vous feriez mieux de descendre jusque-là où le vent souffle du ciel, et ôter de vous toutes choses en les secouant, toute la mondanité, et tous les soucis du monde, ainsi que tout l’amour du monde.

La Bible dit: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. Comment pouvez-vous donc voler? Nous ne savons même pas marcher. Vous voulez agir comme votre frère de la basse-cour là-bas, qui n’a jamais ôté ses pattes de la terre. Peut-être qu’il a volé pour se poser sur un poteau d’une clôture quelque part, c’est cette hauteur-là qu’il peut atteindre, ce poulet.


Harrisonburg, Virginia, USA

E-54 Vous savez, une fois, on m’a raconté l’histoire d’un homme qui faisait couver une vieille poule. Il a trouvé un oeuf d’aigle, et il s’est donc dit: «Je verrai bien ce que ceci va produire.» Ainsi, il a pris l’oeuf de l’aigle et l’a placé sous la vieille poule. Et puis, lorsque cet aiglon a été clos au milieu de tous ces poulets, il était vraiment un petit oiseau étrange par rapport à tous ces poulets. Il en est presque ainsi; Il en obtient presque un sur toute une couvée. C’est presque ainsi que vous les obtenez. C’est à peu près cela la moyenne, un sur toute une couvée.

Et il est toujours un–un oiseau d’apparence bizarre. Eh bien, c’est un oiseau différent, il n’est pas un poulet pour commencer. Ainsi donc, la vieille poule, glousse et cet aiglon ne comprend rien à ces gloussements de poule. Elle sort dans la basse-cour et va vers un tas de fumiers et elle se met à gratter. Elle fait cot! cot! cot! cot! Il n’y comprend rien. C’est un aigle. Ainsi, on se moque de lui, au milieu de tous ces poussins qui disent: «Regarde ce saint exalté, il n’est pas comme nous.» Tout ce qu’il a reçu comme éducation, c’est sur un tas de fumier quelque part, d’un certain séminaire. Il ne connaît pas plus au sujet de Dieu qu’un Hottentot n’en connaît au sujet d’un chevalier égyptien. C’est vrai. Tout ce qu’il connaît, c’est une théologie faite de main d’homme. Il n’a jamais eu à mettre sa confiance en Dieu. «Cot! cot! cot! vous feriez mieux de ne pas aller auprès de ces gens-là. Cot! cot! cot! Les jours des miracles... La guérison divine n’existe pas.»


Harrisonburg, Virginia, USA

E-64 Maintenant, avec vos têtes baissées, j’aimerais vous demander quelque chose, sincèrement. Je sais que le message a été dur, mais j’essaie de vous faire remarquer quelque chose. Je pensais que si j’y allais de façon simple, comme cela, que Dieu vous le ferait connaître, et que peut-être Il pourrait révéler cela comme à des enfants. Vous les ministres, vous savez de quoi je parle, et vous les vieux saints vous savez de quoi je parle. J’essaie de dire à ceux qui ne sont pas loin, ces jeunes gens, certains d’entre eux ne sont même pas à l’intérieur du tout, qu’ils doivent sortir de là. Il faut vous confier en Dieu, et puis montez un peu plus haut, montez jusqu’au point où Il peut vous prendre sur Ses ailes.


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E-68 Il n’y a pas longtemps, un homme est venu vers moi et m’a dit: «Frère Branham...», un vieux brocanteur, et il m’a dit: «Il y a deux ans, j’étais un homme riche; j’ai vendu mon parking. J’ai tout fait pour essayer de trouver la paix avec Dieu. J’ai donné l’argent aux ministres.» Il a continué: «Je suis alaux réunions de réveil de Billy Graham; il nous a dit de lever les mains et il nous a dit que nous allions recevoir Christ. Je l’ai fait. Il m’a dit que c’était tout. Mais, a-t-il dit, ce n’était pas tout, Frère Branham.»

Il a dit: «Je suis ensuite allé à l’Eglise méthodiste libre, on m’a dit que je devais être sanctifié et crier, et qu’ensuite ce serait tout.» Il a dit: «J’ai fait cela, mais ce n’était pas tout.» Il a dit: «Je suis allé chez un évangéliste célèbre que vous connaissez tous très bien, l’un des plus grands évangélistes dans le champ missionnaire pentecôtiste, a-t-il dit, on m’a dit que je devais parler en langues, et que si je ne parlais pas en langues, je n’avais pas reçu le Saint-Esprit.» Ainsi, il a dit: «Je suis entré là, des hommes ont travaillé loyalement avec moi, et j’ai parlé en langues. Il m’a dit que c’était tout.» Mais il a continué: «Frère Branham, ce n’était pas tout. Que puis-je donc faire? Je suis–je suis dans une situation terrible.» Il a dit: «Je suis...»

Je lui ai dit: «Comment la chose a-t-elle commencé?»

Il a répondu: «Je vendais des voitures; ma femme est allée à l’Eglise pentecôtiste. Nous étions des luthériens.» Il a dit: «Je suis allé à l’église presque deux fois dans ma vie, et elle s’est rendue là et le Saint-Esprit est venu sur elle.» C’est ce qu’il m’a expliqué. Et il a dit: «Il est venu... Elle est revenue et a essayé de me persuader d’aller.» Et je lui ai dit: «Eh bien, chérie, va de l’avant; je te donnerai de l’argent pour aider ton église, mais pas moi, je ne suis pas religieux.» Il a dit: «La chose a continué pendant environ une année. Un jour, a-t-il dit, ma femme était membre de l’église de Dieu, et elle est allée au–elle est allée dans le Tennessee, à un réveil.» (C’était à Minneapolis.) Et il a dit: «Elle s’est rendue là.» Et il a dit: «Moi, je vendais une voiture et je suis revenu à la maison et je portais mon veston. C’était l’été. Je me suis assis près du ventilateur, a-t-il dit, je me suis dit... et je me demandais si j’avais donné à cette dame-là le contact de sa voiture? J’ai plongé la main dans ma poche, et j’ai retiré un petit billet, où il était dit: ‘Où passeras-tu l’éternité?’» Il a dit: «Cela m’a frappé.» Il a dit: «Oh! Eh bien... J’ai jeté cela dans la poubelle.» Il a dit: «Quelque Chose m’a dit: ‘Tu as déjà plus de quarante ans; cette question doit être réglée. Où passeras-tu l’éternité?’» Il a dit: «J’ai repris ce billet, et je l’ai regardé. Je l’ai encore jeté là; et je l’ai encore ramassé.» Et il a dit: «Les larmes ont commencé à couler sur mes joues.» Il a dit: «Alors j’ai commencé à chercher.»


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E-72 Eh bien, excusez-moi pour la manière rude avec laquelle j’ai présenté les choses, au sujet de ces aigles, cet après-midi. Mais j’aimerais simplifier cela afin que vous le compreniez. Juste en ce moment dans Sa Présence, recevez-Le comme votre–comme Celui qui est Tout Suffisant pour vous, Dieu prendra soin de vous désormais, si seulement vous ouvrez votre coeur.

Eh bien, ne dites pas: «Je dois crier.» Vous pourriez le faire. Ne dites pas: «Je dois parler en langues.» Vous le ferez peut-être. Ne dites pas: «Je dois danser dans l’Esprit.» Vous le ferez peut-être. Ne dites pas: «Je dois crier.» Mais vous pouvez le faire, et il se peut que vous ne le fassiez pas. Recevez Christ, alors tous les hurlements, les cris, les parlers en langues suivront cela. Mais si vous avez ces choses sans Christ, vous ne faites que de l’imitation. Souvenez-vous, vous pouvez avoir tous les dons sans avoir le Donateur. Recevez d’abord Christ.


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E-13 Et alors, s’Il veut que j’aille prêcher en Afrique, en Inde, ou quelque part comme cela, à un demi-million de gens, Il a toujours quelqu’un pour couvrir les dépenses. Je me mets simplement à l’écart et fais ce qu’Il m’a ordonné, et je m’en tire bien. Ainsi, je–je–j’aime cela. Je–je... Dieu savait que je n’avais pas l’intelligence d’Oral Roberts et des autres. Voyez, Oral Roberts est diplômé d’université, il a fait quatre ans de psychologie. Ainsi, vous pouvez dire que c’est un homme intelligent. Mais moi, je ne suis pas suffisamment intelligent pour cela, et le Seigneur le savait. Ainsi...

Quelqu’un essayait de me donner un–un... Eh bien, je... c’était l’église du Four Square. Et que leurs coeurs soient bénis, ce sont des gens merveilleux, et ils allaient me décerner là un–un diplôme de doctorat. J’ai dit: «Frères, je suis trop intelligent pour cela


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E-17 Mais il avait bien saisi cela. Je vous assure, il traverse la maison maintenant; il est carré. Les filles montent sur des fauteuils, vont sous le lit, ou n’importe où, il sait mordre aussi, ainsi...?... Il fait briller d’autres gencives maintenant.

Je lui parlais il y a quelque temps. Il disait: «Reviens à la maison, papa. Je déterre des vers de terre. Nous irons pêcher.» Oh! Nous n’aurons pas le temps d’y aller, mais nous pouvons en parler, vous savez. C’est tout à fait en ordre, juste en parler, le prendre dans mes bras et l’aimer un peu.

Les enfants représentent beaucoup. Je pense qu’ils sont si doux. Ils sont vraiment authentiques. Le petit Joseph, Sara et Rebecca représentent beaucoup pour moi. Il est venu juste dans notre vieillesse. Me voici à quarante-huit ans, et le petit garçon en a deux.


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E-19 J’aime une bonne famille. Vous appréciez votre bonne et vieille famille, n’est-ce pas? C’est ce que je pense de Dieu. Quand je pars, je ne... Je pense qu’entre la loi et la grâce, nous ne sommes pas sous la loi, nous avons la grâce. J’en suis si reconnaissant. Quand je suis sur le point d’aller outre-mer, je ne dis pas: «Eh bien, madame Branham, je vais te dire quelque chose. Tu n’auras pas d’autre mari que moi, en mon absence.»

Et elle ne réplique pas en disant: «Ecoute ceci, jeune homme, toi non plus, tu n’auras pas d’autre femme que moi.» Eh bien, ne serait-ce pas là un foyer?

Nous prions simplement. Je demande à Dieu de les bénir et de les aider. Elle demande à Dieu de m’aider. Je l’embrasse en guise d’au revoir et je dis: «Au revoir, chérie.» C’est réglé. Peu importe où c’est, je l’aime plus que tout ce qu’il y a sur terre en cette matière. Tant que je l’aime comme cela, qu’elle m’aime autant que je l’aime, nous serons fidèles, l’un à l’autre.


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E-23 Que les paroles que j’avais prononcées l’autre soir se confirment. Après mon départ, les boiteux se lèveront et marcheront, les aveugles verront, les maladies... ils réaliseront qu’ils sont guéris; car nous demandons ces choses, et, Seigneur, de tout mon coeur je crois cela, et eux aussi. Tu as dit dans Ta Parole: «Si vous dites à cette montagne: ‘ôte-toi de là’ et si vous ne doutez point en votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez alors s’accomplir.»

Cela ayant été dit, cette montagne s’est déplacée. Peut-être, juste un petit grain de sable qui est tombé, quand nous lui avons dit de se déplacer, mais c’est en voie. Peut-être que demain, une cuillerée sera ôtée, mais c’est toujours en voie. Cela n’est point remarquable. Des tonnes peuvent tomber sans toujours être remarquées, mais un jour, cela sera plat parce que nous l’avons dit. Jésus a fait la promesse.


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