Harrisonburg, Virginia, USA
E-68 Il n’y a pas longtemps, un homme est venu vers moi et m’a dit: «Frère Branham...», un vieux brocanteur, et il m’a dit: «Il y a deux ans, j’étais un homme riche; j’ai vendu mon parking. J’ai tout fait pour essayer de trouver la paix avec Dieu. J’ai donné l’argent aux ministres.» Il a continué: «Je suis allé aux réunions de réveil de Billy Graham; il nous a dit de lever les mains et il nous a dit que nous allions recevoir Christ. Je l’ai fait. Il m’a dit que c’était tout. Mais, a-t-il dit, ce n’était pas tout, Frère Branham.»
Il a dit: «Je suis ensuite allé à l’Eglise méthodiste libre, on m’a dit que je devais être sanctifié et crier, et qu’ensuite ce serait tout.» Il a dit: «J’ai fait cela, mais ce n’était pas tout.» Il a dit: «Je suis allé chez un évangéliste célèbre que vous connaissez tous très bien, l’un des plus grands évangélistes dans le champ missionnaire pentecôtiste, a-t-il dit, on m’a dit que je devais parler en langues, et que si je ne parlais pas en langues, je n’avais pas reçu le Saint-Esprit.» Ainsi, il a dit: «Je suis entré là, des hommes ont travaillé loyalement avec moi, et j’ai parlé en langues. Il m’a dit que c’était tout.» Mais il a continué: «Frère Branham, ce n’était pas tout. Que puis-je donc faire? Je suis–je suis dans une situation terrible.» Il a dit: «Je suis...»
Je lui ai dit: «Comment la chose a-t-elle commencé?»
Il a répondu: «Je vendais des voitures; ma femme est allée à l’Eglise pentecôtiste. Nous étions des luthériens.» Il a dit: «Je suis allé à l’église presque deux fois dans ma vie, et elle s’est rendue là et le Saint-Esprit est venu sur elle.» C’est ce qu’il m’a expliqué. Et il a dit: «Il est venu... Elle est revenue et a essayé de me persuader d’aller.» Et je lui ai dit: «Eh bien, chérie, va de l’avant; je te donnerai de l’argent pour aider ton église, mais pas moi, je ne suis pas religieux.» Il a dit: «La chose a continué pendant environ une année. Un jour, a-t-il dit, ma femme était membre de l’église de Dieu, et elle est allée au–elle est allée dans le Tennessee, à un réveil.» (C’était à Minneapolis.) Et il a dit: «Elle s’est rendue là.» Et il a dit: «Moi, je vendais une voiture et je suis revenu à la maison et je portais mon veston. C’était l’été. Je me suis assis près du ventilateur, a-t-il dit, je me suis dit... et je me demandais si j’avais donné à cette dame-là le contact de sa voiture? J’ai plongé la main dans ma poche, et j’ai retiré un petit billet, où il était dit: ‘Où passeras-tu l’éternité?’» Il a dit: «Cela m’a frappé.» Il a dit: «Oh! Eh bien... J’ai jeté cela dans la poubelle.» Il a dit: «Quelque Chose m’a dit: ‘Tu as déjà plus de quarante ans; cette question doit être réglée. Où passeras-tu l’éternité?’» Il a dit: «J’ai repris ce billet, et je l’ai regardé. Je l’ai encore jeté là; et je l’ai encore ramassé.» Et il a dit: «Les larmes ont commencé à couler sur mes joues.» Il a dit: «Alors j’ai commencé à chercher.»