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12961. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-46 Il n’y a pas longtemps, quelque chose est arrivé. Comme vous le savez tous, je suis un chasseur. J’ai été garde-chasse pendant des années. J’ai chassé à travers le monde: en Afrique, en Inde, sur toutes les montagnes. Ma mère est mi-Indienne. Ma conversion ne m’a jamais dépouillé de cela. J’aime les bois. C’est là que j’ai trouvé Dieu, dans la nature, en allant dans les bois, en voyant de petites fleurs. Vous ne pouvez pas cacher cela. Laissez cela mourir. Un rondin peut tomber dessus et ensevelir cette petite semence-là. Et cela va pourrir et la pulpe en sortira. Quand le printemps arrive, cette petite semence de la vie se frayera la voie tout autour de ce rondin, dressera sa petite tête et louera Dieu. Vous ne pouvez pas cacher la vraie vie, pas sous un boisseau. La vraie vie se manifeste. On ne peut pas la tuer. Elle revivra aussi sûr que deux fois deux font quatre. La gelée peut frapper cette petite fleur, elle inclinera la tête. On organisera un cortège funèbre. Les pluies d’automne pleurent et ensevelissent la petite semence. Elle pourrit, le bulbe en sort; les pétales ne sont plus, la semence n’est plus, cela éclate; le bulbe en sort; mais quelque part là, il y a un petit germe de vie que la science ne peut pas déceler. Laissez simplement que le soleil se mette à briller, à réchauffer, les rayons solaires, cela revivra.


12962. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-48 Une fois, je chassais dans les bois du nord avec un ami à moi, et c’était l’un des meilleurs chasseurs avec qui j’aie jamais chassé. Vous n’avez pas à vous inquiéter à son sujet; il n’allait pas se perdre. Vous n’avez pas à vous l’attacher. C’était un vrai chasseur et un tireur d’élite. Mais c’était l’homme le plus cruel que j’avais jamais vu. Il aimait tirer sur les petits faons rien que pour m’indisposer.

Eh bien, c’est tout à fait en ordre de tirer sur un faon. Je ne cherche pas à minimiser, soeur, si parfois votre mari vous apporte un faon. C’est... si la loi le permet, c’est en ordre, mais pas tirer sur tout un tas de cela. Le petit d’un animal, c’est en ordre, le faon, si la loi l’autorise. Ce n’est pas mauvais de tuer un–un petit d’un animal. Abraham a tué un veau, et Dieu a mangé cela. C’est tout à fait en ordre. Ce n’est donc pas mauvais. Mais quant à se mettre à les massacrer tout bonnement, ça, c’est mauvais, les massacrer.


12963. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-50 Nous sommes allés chasser ce jour-là, et il y avait un peu de neige par terre, environ six pouces [15 cm], nous avions parcouru le Carl Notch, nous sommes allés à la montagne Washington, nous sommes revenus vers Adam. Et nous tendions vers midi, nous n’avions même pas repéré une piste dans la neige. Nous nous sommes accroupis là à une petite clairière; c’était pratiquement vers midi.

Et je pensais que Burt s’était accroupi pour prendre son repas. Nous emportions un repas et du chocolat chaud. Et je marchais derrière lui. Nous allions nous séparer l’après-midi et prendre deux voies différentes pour revenir. Nous allions trouver premièrement quelques pistes, ensuite quiconque trouvait la piste, nous la suivions.


12964. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-55 Mon ami, créature de Dieu, concitoyens, si c’est cela votre condition ce soir, ne voudriez-vous pas maintenant même, alors que je pose cette question, ne voudriez-vous pas juste lever la main vers Dieu pour dire: «Ô Dieu, donne-moi, dans mon coeur, pour Christ, l’amour que cette biche avait pour le petit, afin que je puisse manifester Christ devant les gens, ce qui les amènera à venir à Jésus, tout comme cette mère biche avait manifesté son amour pour son petit. Rends-moi réel. Je ne voudrais pas imiter. Je veux quelque chose de réel. Ô Dieu, donne-le-moi.»

Voudriez-vous lever les mains? Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Partout dans la salle, c’est juste... On ne peut pas compter les mains. «Même si je suis membre d’église, Frère Branham, mais franchement, j’ai–j’ai honte. Les péchés et ce que vous prêchez ce soir, j’en suis coupable. Mais par la grâce de Dieu, à partir de ce soir, ô Dieu, donne-moi quelque chose de réel. Je veux cela. Je vais lever la main vers Toi, ô Dieu. Je... Par ceci, je veux dire que... Tu vois ma main.» Que Dieu vous bénisse, jeune dame, continuez à agiter votre main là. Dieu vous voit. Que Dieu vous bénisse par ici, madame. Sans doute que beaucoup d’entre elles sont des mères. Que Dieu vous bénisse, frère. Oui. Partout, là aux balcons, à ma gauche, là-haut par là: Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Là tout au long des rangées.

Aux balcons à droite, voudriez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous connaît. Et que Dieu vous bénisse ici dans l’aile centrale. Par ici, aux balcons à ma droite, que le Seigneur vous bénisse partout là. Beaucoup d’entre vous, jeunes et vieux avec des mains levées.


12965. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-64 Maintenant, je Te les présente. Ils sont les fruits de ce Message de ce soir. Et maintenant, Tu les donnes à Jésus comme les offrandes d’amour, car ils sont les offrandes d’amour de la part du Père au Fils. Nul ne peut les arracher de la main.

Ô Dieu, puissent-ils mener une vie humble et douce, rejoindre, joindre alors une bonne église, devenir un très loyal membre, recevoir le baptême chrétien, et être rempli de l’Esprit, devenir Tes serviteurs. Si jamais je ne les revois ou ne leur serre la main sur cette terre, puissé-je le faire dans un autre pays lorsque nous serons assis à ce grand Souper des Noces.

J’y pense, Seigneur. Quand je regarderai de l’autre côté de la table et que je verrai ces gens, je dirai: «On dirait que je dois vous connaître.»

«Oh! Oui, Frère Branham, j’étais à Middletown ce soir-là. Oh! je suis si content d’être ici.» Alors, des larmes de joie couleront sur nos joues et le Roi sortira avec Ses robes et dans toute Sa gloire, et Il essuiera toutes les larmes de nos yeux et dira: «Ne pleurez pas, enfants. Vous êtes en plein maintenant à la maison. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.» Accorde que cela soit notre lot, Seigneur. En attendant, garde-nous en bonne santé, heureux, spirituellement remplis de Ton Esprit afin que nous puissions Te servir. Au Nom de Ton Fils, que nous écoutons avec joie, au Nom de Jésus. Amen.


12966. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-66 Seigneur Dieu, reçois-nous, Seigneur, comme Tes enfants qui adorent. Plusieurs âmes sont venues à Toi tout à l’heure, Seigneur. Elles se rafraîchissent là derrière avec les bénédictions de la nouvelle expérience. Elles sont passées de la mort à la Vie.

Et maintenant, je Te prie, Père, de nous aider maintenant alors que nous humilions nos coeurs dans Ta Présence, que Tu laisses ces bébés nouveau-nés savoir que Tu es Jésus, que c’est Toi qui leur as parlé, même s’ils le savent par la foi, qu’ils le croient maintenant. Mais rends cela réel. Puisses-Tu venir à l’estrade et faire exactement ce que Tu faisais lorsque Tu étais ici il y a plusieurs années, sous la forme de–de la chair. Mais maintenant, Tu es dans notre chair. Tu as dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (l’incroyant), mais vous, vous Me verrez (le croyant), car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de l’âge.» Accorde-le, Seigneur. Nous T’aimons de tout notre coeur, Seigneur. Et nous T’adorons selon Ta Parole, et dans l’Esprit et par le cantique.

Maintenant, guéris nos malades, Seigneur. Ôte la maladie du milieu de nous. Ô Dieu, donne à ces gens, ce soir, une foi comme ils n’en ont jamais eue auparavant. Accorde-le, Seigneur.


12967. 58-0324 Ecoutez-Le - SHP
Middletown, Ohio, USA

E-69 Maintenant, chaque jour, nous distribuons une centaine de cartes, et nous appelons à partir d’un certain numéro, puis d’un autre. La raison pour laquelle nous donnons... Avez-vous vu qu’il y a environ deux mille personnes ici ce soir avec des mains levées, pour qu’on prie pour eux... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... prophète achoppe les gens. Je ne prétends pas être un prophète. Je soutiens être Son serviteur. Si je suis Son serviteur, un témoin fidèle, Dieu est tenu de confirmer Sa Parole et de dire que c’est vrai. Si je ne suis pas un témoin fidèle, alors Dieu n’aura rien à faire avec une erreur. Combien savent cela? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Elle est à la maison ce soir en train de prier pour son fils prédicateur. J’ai trois petits enfants à la maison, une petite fille: Rebecca, et l’autre, Sara, un petit garçon, Joseph. J’aurais aimé rester avec eux. Je ne les vois pas beaucoup.

Mais vous dites: «Que faites-vous, Frère Branham?» Je L’attends. C’est Lui qui vous connaît; pas moi.


Middletown, Ohio, USA

E-2 Est-ce celui-ci... [Frère Branham s’éloigne du micro.–N.D.E.] Est-ce celui-ci qui est allumé? Je n’ai pas un gros rhume, mais je suis un peu enroué pour avoir trop parlé, à l’intérieur, en plein air. Et je suis constamment dans des réveils depuis Noël. Et maintenant, nous quittons ici vers les Etats de la Nou-... Nouvelle Angleterre, là au Texas; et puis de là, à Durban, en Afrique du Sud. Puis, en Suisse, en Allemagne...

Et à vous les hommes d’affaires, je venais de parler avec DemosShakarian, et il vous adresse une invitation à venir à la convention à Philadelphie, du 30 juin au 4 juillet, l’année prochaine, à la convention internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile. Je suis sûr que vous serez bénis en venant, car les gens viendront de partout dans le monde. Les quelques dernières années, j’ai été leur orateur du soir, et je dois encore être là cette année, Dieu voulant.


Middletown, Ohio, USA

E-7 Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on n’a pas touchées, qu’on n’a pas flairées, qu’on n’a pas entendues. Vous croyez cela. Lorsque votre foi dit que vous allez être guéri, c’est tout aussi sûr et certain que quand votre vue dit que cette chemise est blanche; c’est tout ce qu’il y a. Vous n’avez plus à vous inquiéter, parce que c’est déjà terminé. Il n’y a rien au monde qui puisse ôter cela de votre coeur. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, si je vous ai dit que cette chemise est rouge, et que vous n’êtes pas daltonien, vous diriez... vous discuteriez; vous diriez que c’est blanc si je disais: «C’est rouge», mais vous faites confiance à votre vue.

Vous diriez: «C’est blanc, Frère Branham.»

«Comment le savez-vous?»

«Ma vue le confirme.»

Donc, si vous croyez que vous allez être guéri ce soir peu importe la maladie dont vous souffrez, et que votre foi vous dit que vous allez être guéri, tout aussi clairement que votre vue confirme que c’est blanc, vous n’aurez point à venir dans la ligne de prière; tout est terminé. Il n’y a rien au monde qui vous empêcherait d’être guéri.


Middletown, Ohio, USA

E-9 Et lorsque la foi atteint réellement le coeur, il ne doit pas y avoir absolument un miracle instantané comme ce que nous avons vu hier soir, cet homme qui était étendu là sur une civière, le ventre très gonflé, souffrant d’estomac. Et j’étais sur le point de quitter, et le Saint-Esprit m’a appelé; alors, j’ai regardé, j’ai vu la vision sur l’homme. Et à un moment, il aagi à cela; son ventre s’est directement dégonflé comme cela, et il est sorti de la civière, se réjouissant dans la salle; ou des personnes sur des brancards, l’autre soir, ou dans le fauteuil roulant. Voyez, cela ne doit pas absolument arriver comme cela. Tant que vous croyez que cela arrivera comme cela, vous pouvez tout autant vous réjouir ce soir, pendant que vous êtes étendu sur cette civière, ce jeune homme. Ou le jeune homme dans le fauteuil roulant, vous pouvez tout autant vous réjouir aussitôt que cette foi s’établit, dit que vous avez cela, que vous pourriez vous réjouir si vous parcouriez cette allée après être sorti du fauteuil roulant. Voyez? C’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Vous n’avez pas à toucher quoi que ce soit. Vous n’avez pas à goûter quoi que ce soit. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est croire quelque chose. Et cela devient réel, quelque chose que vous possédez. C’est ça votre foi.


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