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Toledo, Ohio, USA

E-20 Eh bien, parfois peut-être si on a prié pour vous, vous entendez l’Ange du Seigneur parler fort, dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous serez guéri.» N’en doutez pas. Souvenez-vous, si c’est malin, ou un cancer, ou une grosseur, dans environ soixante-douze heures, vous tomberez bien malade. Frère Baxter a probablement expliqué tout cela, c’est ce qu’il fait dans la réunion, vous dire tout ce qu’il en est. En effet, sans cela, vous allez certainement manquer votre guérison. Vous ne comprendrez pas comment vous y prendre. Si vous ne savez pas comment aborder cela, vous êtes certainement à côté. C’est à cela donc que servent les réunions de l’après-midi, et autres, c’est pour expliquer cela. C’est frère Baxter qui le fait, car je n’ai pas de temps. Et si j’aborde comme ça, alors parfois, cela éloigne de moi l’Esprit, et il me faut assez de temps pour Le faire revenir.

Eh bien, combien savent... ont déjà lu dans le Livre au sujet du ministère des anges aux gens dans l’Ancien Testament et dans le Nouveau Testament? Nous tous. Parfois, quand une bénédiction est prononcée, elle est prononcée sur vous, elle doit arriver. C’est nous seuls qui sommes pressés; Dieu n’est jamais pressé. Il a laissé les enfants hébreux entrer droit dans la fournaise ardente avant qu’Il fasse quoi que ce soit à ce sujet. Il est simplement resté aux cieux, les observant jusqu’à ce qu’ils sont entrés.


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E-22 Elle a dit: «Pendant que je me tenais là, a-t-elle dit, la sensation la plus douce m’a envahie, je ne l’avais jamais éprouvée de ma vie.» Elle a dit: «Toute la brûlure a cessé. La grosseur, sans renvoi, a-t-elle dit, m’a quittée.» Elle a dit: «J’ai tendu la main et j’ai pris un quartier d’orange. D’habitude, cela me dérangeait terriblement à table, et je me suis mise à le manger.» Elle a dit: «Quand cela est descendu, ça n’a pas brûlé.» Elle a dit: «J’ai fini mon bol de bouillie d’avoine, et j’ai versé un peu de café, que je n’avais pas pris depuis longtemps, j’ai bu, et c’était bien.»

Elle a dit: «J’ai couru chez ma voisine pour lui en parler. On avait prié pour elle. A quelques maisons en bas de chez moi, on avait prié pour une grosseur qu’elle avait à la gorge. Et je suis allée pour lui raconter ce qui était arrivé.» Elle a dit: «Quand je suis arrivée là, elle criait à tue-tête.» Et elle a dit: «La grosseur venait de quitter sa gorge.» Qu’était-ce? C’était l’Ange de Dieu qui était passé dans le voisinage. Ses bénédictions avaient été prononcées.


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E-23 Parfois, elles ne vous parviennent pas comme vous le souhaitez. Combien se souviennent quand Daniel, l’Ange est venu vers lui et lui a dit: «Il a résisté pendant vingt et un jours.» Vous rappelez-vous cela? Daniel a prié, mais l’Ange a dit qu’il avait connu des problèmes là et qu’il ne pouvait pas l’atteindre vingt et un jours après qu’il eut adressé la prière.» Ne soyez donc pas pressé. Croyez simplement; ayez foi. Et si vous acceptez Jésus ce soir comme votre Guérisseur, ayez foi; cela doit arriver.

Et autre chose, je ne ferais jamais venir un homme à l’estrade si ce n’était pour une chose, que je puisse me tenir face à face avec la personne. Souvent, dans la salle, vous m’entendrez appeler les gens, dire des choses. Je vois cela se matérialiser; la vie même se matérialise devant moi. Peut-être, je commence ici et je regarde là, je vois une petite fille, je dis, et cela commence à se matérialiser. Je vois comment elle est... Quelque chose arrive et je me mets simplement à dire ce que je vois, et puis, peu après, cela va disparaître devant moi et peut-être que la femme se tient juste ici. Elle est déjà revenue à cet âge-ci, et je vois où elle est. Peut-être qu’elle est à l’hôpital, peut-être que quelque chose est arrivé. J’en parle simplement.

Alors, peut-être avant que j’en parle, je vois la personne s’en aller bien portante. Peut-être que je ne la vois pas, je dis simplement: «Que le Seigneur vous bénisse, que le Seigneur vous guérisse, ce qu’Il a déjà fait», qu’Il lui donne la foi.


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E-26 Il n’y a pas longtemps, une femme est passée par l’estrade, une femme apparemment très sainte, et elle est montée sur l’estrade; et elle était sourde d’une oreille. J’ai simplement détecté un esprit de surdité. Et j’ai essayé de réprimander cela et cela–et cela s’accrochait à la femme. Et pendant que je la regardais, j’ai vu une jeune fille debout devant moi, d’environ quatorze ans. Et elle a pris une mauvaise voie. J’ai commencé à parler. J’ai dit à la femme qu’elle avait eu un enfant avant même qu’elle soit mariée. Et puis, elle s’est mariée à un homme, elle l’a quittée. Mais c’était une espèce de culte religieux qui l’avait amenée à épouser un autre homme. Elle ne l’aimait pas. Elle l’avait quitté.

J’ai dit: «Vous vivez maintenant avec un mari avec qui vous avez toutes sortes de troubles.» Et cette femme s’est évanouie sur l’estrade. Et quand elle s’est relevée de là, elle s’est écriée: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.» Et alors, Dieu lui a ouvert l’oreille et lui a donné le baptême du Saint-Esprit pendant qu’elle se tenait là même à l’estrade.


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E-27 La suivante [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’était une femme, une maladie gynécologique, qui ne la quittait pas dans la réunion. Je ne sais pas pourquoi. Richard T. Reed, révérend Richard T. Reed, du vieux et béni Bible Hour Tabernacle à Jonesboro, dans l’Arkansas, c’est lui qui les avait baptisés dans l’église le lendemain matin. Vous pouvez le lui demander. Vous devez faire attention. Si Dieu vous a confié quelque chose, vous ne pouvez pas par après utiliser cela juste pour–pour votre propre bien. Vous devez utiliser cela pour la gloire de Dieu. Est-ce vrai?

Combien croient que Moïse était un prophète? Il l’était, et Dieu l’aimait. Et quand il est allé là vers le rocher, Dieu a dit: «Va là-bas et parle au rocher, et il fera jaillir de ses eaux.»

Mais Moïse, dans sa colère (Il était de tempérament colérique), il est allé là, au lieu de parler au rocher, il l’a frappé, et il l’a frappé deux fois. Cela avait brisé tout le tableau du programme de Dieu. Le rocher était Christ. Vous croyez cela, n’est-ce pas, prédicateurs? Il a été frappé une seule fois, et nous Lui parlons maintenant. Est-ce vrai? Et Moïse a frappé Christ pour la deuxième fois. Mais cela brisa tout le tableau du grand programme de Dieu ici, cela vola en éclats là même, Christ frappé deux fois, alors qu’Il est frappé une seule fois.

Mais Dieu était obligé, comme Il avait donné à ce prophète la puissance de faire cela. Mais Dieu s’est occupé de Moïse plus tard. Est-ce vrai?


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E-28 Combien se souviennent d’Elie? Il était un jeune homme; il devenait chauve alors qu’il était un jeune homme. Et des petits enfants couraient derrière lui en disant: «Vieux chauve, vieux chauve.» Et ce prophète en colère s’est retourné et a prononcé une malédiction sur ces enfants au Nom de l’Eternel. Et deux ours sont sortis des bois et ont tué quarante-deux petits enfants innocents. Est-ce vrai? Ce n’est pas là la nature du Saint-Esprit, mais c’était là un prophète en colère. Voyez? Vous devez faire attention à ce que vous faites avec les dons divins. Je préférerais veiller à cela et savoir de quoi je parle, je sais alors si notre Père céleste a dit oui ou non.

Certainement, vous pouvez m’apprécier davantage si je suis sincère devant Dieu. Même si vous... Je ne prends pas beaucoup parmi vous, vous comprendrez. Je dois premièrement savoir, puis je peux pr-... prononcer cela après que Dieu m’a montré. Et je ne peux rien faire avant qu’Il me montre. Hier soir, j’ai promis de vous relater la fin de l’histoire, sur ce qui s’était passé en Finlande. En fait, j’ai environ huit minutes pour le faire.


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E-29 J’avais fini de vous parler de la petite orpheline de guerre qui était guérie entre-temps, les deux petits garçons qui avaient été cognés, et l’un était mort. Il était resté étendu là environ quinze ou vingt minutes, mort sur la route avant que j’arrive. La vision est apparue ici en Amérique. Combien étaient ici hier soir, si nous pouvons vous voir? Eh bien, vous vous souvenez alors de l’histoire.

Alors, cet autre petit garçon était à l’hôpital, mourant. Le jour suivant, le lendemain matin, la mère et le père de cet autre petit garçon... Il avait eu une commotion cérébrale; il n’était jamais revenu à lui-même. L’aile l’avait percuté juste sous le menton, l’a renversé et l’a fait rouler jusque de l’autre côté de la route, et l’a cogné contre la bordure du trottoir, et de la bordure du trottoir, il l’a heurté contre un arbre, comme cela. Il n’était point revenu à lui... le sang lui sortait des oreilles, des yeux et de la bouche. Le pauvre petit garçon...


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E-30 Sa mère et son père étaient simplement dans tous leurs états. C’étaient de jeunes Finlandais, ils cherchaient à venir pour me faire aller à l’hôpital. C’est contre les consignes; les organisateurs ne me laissent pas aller d’un lieu à un autre. En effet, si vous faites ça, si donc vous allez à tel endroit et non pas à tel autre là, cela suscite des ressentiments. On les met tous donc à l’église, et là, l’Esprit de Dieu opère à partir de là.

Ils devaient donc faire cela outre-mer. Et je n’oublierai jamais cela. Madame Isaacson, elle a dit: «Frère Branham, je vais vous dire quoi, ces gens sont sur le point de me rendre folle.»

Et ce soir-là, lorsqu’ils sont rentrés, la petite mère et le petit père étaient assis là sur les marches. On a dû me tirer par-dessus eux pour entrer. Ils m’avaient pratiquement enlevé mon veston en le tirant, et les autres se tenaient dans la rue. Je me suis dit: «Oh! Qu’est-ce?»

Elle a dit: «Ce sont la mère et le père de ce petit enfant-là, ils veulent que vous alliez à l’hôpital


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E-31 Le lendemain matin, ils étaient encore là. Ainsi, madame Isaacson a dit: «Voudriez-vous juste leur parler vous-même un instant?»

J’ai dit: «Faites-les entrer dans le hall.»

Et ils sont entrés là dans le hall, on est allé vers eux, et ils ont dit: «Oh! Venez guérir notre enfant; il se meurt; il se meurt.»

Environ trois jours, il n’est point revenu à lui-même. J’ai dit: «Je ne peux pas guérir votre enfant.» Tout ça, c’était au travers d’un interprète. J’ai dit: «Je ne peux pas guérir votre enfant.»

Ils ont dit: «Eh bien, vous avez guéri l’autre.»

J’ai dit: «Non, non. C’est Jésus-Christ qui a guéri l’autre enfant, pas moi. Voyez? Je n’avais rien à faire avec cela.» J’ai dit: «Là en Amérique, Il m’avait montré une vision, il y a une année, que ce petit garçon ressusciterait des morts. Il ne m’avait jamais montré votre garçon.»

Et ils ont dit: «Oh! Ayez une vision pour notre garçon.»

Et j’ai dit: «Eh bien, je–je ne peux pas avoir des visions à volonté.» J’ai dit: «Je les vois seulement quand Dieu permet de les avoir.» J’ai dit: «Priez.»

Ils ont continué. Elle ne pouvait simplement pas comprendre cela. Et j’ai dit... elle a dit, a demandé à mademoiselle Isaacson: «Demandez-lui si mon garçon va mourir.»

J’ai dit: «Je ne sais pas.»

Elle a dit: «Eh bien, venez à l’hôpital, et demandez à Dieu de le guérir, et tout.»

J’ai dit: «Nous ne pouvons pas faire ça


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E-32 Et puis, je leur ai posé une question en ces termes: «Etes-vous chrétiens?»

«Non.» Aucun d’eux n’était chrétien.

J’ai dit: «Eh bien, écoutez. Si Dieu ramène votre petit garçon à la Maison et que vous mouriez pécheurs, eh bien, vous ne pouvez plus jamais le revoir. Et si le petit garçon, Dieu l’amène au Ciel, et que vous mouriez chrétiens, que vous donniez votre coeur à Dieu et que vous mourriez chrétiens, vous pouvez rentrer à la Maison au Ciel, auprès de votre petit garçon, et ne plus jamais connaître un autre accident là. Ça, c’est une chose sûre, remerciez Dieu.» Et j’ai dit: «Il n’y aura plus d’accidents là-haut, et vous vivrez aux siècles des siècles. Mais, sinon, vous ne verrez plus jamais votre petit garçon s’il meurt.» Et j’ai dit: «Si vous vouliez donc une faveur de ma part, vous chercheriez à faire quelque chose pour moi. Et si vous voulez une faveur de la part de Dieu, faites quelque chose pour Dieu.» Et j’ai dit: «Pourquoi ne donnez-vous pas votre vie à Dieu?» Et ils ont vu qu’ils ne pouvaient pas perdre là-dessus; en effet, ils deviendraient des chrétiens. Si le petit garçon mourait, eh bien, ils retourneraient à la Maison avec lui. Et s’il ne mourait pas, peut-être qu’ils trouveraient grâce aux yeux de Dieu et il pourra vivre.

Ils se sont donc agenouillés, et–et ils ont donné leur vie à Christ. Et quand ils se sont relevés, la petite mère... Ça paraît comme une plaisanterie, mais je ne crois pas au fait de plaisanter ici à la chaire, mais ce n’était pas une plaisanterie. Elle a sauté et a couru vers moi, très hystérique, et elle a dit, la main de madame Isaacson la retenant, elle a dit–elle a dit: «Ayez une vision; ayez une vision pour mon garçon.» Voyez?

Et j’ai dit: «Je ne sais pas.»

Elle a dit: «Venez, allez-y maintenant.»

J’ai dit: «Non, Dieu peut me montrer dans ma chambre tout comme Il peut le faire là.»

Et elle a dit: «Entrez et ayez une vision pour notre garçon.»

J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas obliger Dieu à me montrer une vision. Eh bien, Il peut ne rien me dire, jamais. Et s’Il le fait, je vous le dirai. S’Il ne le fait pas, eh bien, je ne le peux.»

Et alors, elle a dit: «Eh bien, nous attendons, entrez.»

C’était bien beau, mais vous savez, vous ne pouvez pas produire ces choses. Alors, madame Isaacson, elle a fini par les convaincre de partir. Et je suis entré en chambre. Et environ vingt minutes, ils ont téléphoné pour demander: «Dieu a-t-Il montré une vision?»

«Non.»

Et environ dix ou quinze minutes encore, ils ont téléphoné: «Dieu a-t-Il montré la vision?» Ils ont fait cela plusieurs fois avant la réunion du soir.


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