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Bangor, Maine, USA

E-8 Et puis, hier soir, quand je montais les marches, j’y pensais. Il y avait une petite fille, du genre de la Nouvelle Angleterre, de six ou sept ans environ, debout là en bas à l’appareil de coca.

J’aime les petits enfants. J’ai un drôle de petit garçon à la maison, le petit Joseph, et les autres; aussitôt que j’arrive, eh bien, nous... je dois le porter sur le dos, vous savez, aller çà et là, le trémoussant; et nous allons à la chasse, vous savez, et alors...

Et il y avait une petite fille là debout. J’ai dit: «Je parl–parlais aux gens qui montaient, elle regardait... elle... cette petite... comment appelez-vous ça, des cheveux tressés comme cela? La queue de cheval? Là? Juste là? Et mes fillettes ont aussi cela. Ainsi donc, j’ai dit: «Comment vas-tu, chérie?»

Et elle a dit: «Dis donc, Frère Branham, je t’apprécie.» Je m’en suis souvenu plusieurs fois la nuit quand je me réveillais hier soir. Cela représentait donc quelque chose pour moi, que cette petite enfant dise cela: «Je t’apprécie, Frère Branham.» Je m’en souviendrai.

J’ai dit: «Chérie, c’est réciproque. Moi aussi, je t’apprécie.» Les petits enfants, n’est-ce pas?


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E-9 Je me rappelle en Finlande, après la résurrection de ce petit garçon-là, j’avais–j’avais un tas de cette monnaie-là qui juste, on dirait, oh, je pense qu’il vous faudrait avoir un tas aussi grand pour faire vingt-cinq cents, et alors, ça ne représentait–ça ne représentait rien pour nous. Alors, j’attendais que tous les organisateurs et eux tous, qu’on les amène là où tous on parlait, vous savez; je sortais dans la rue, je prenais cet argent (Des gens me remettaient cela, ils mettaient cela dans mes poches en sortant, vous savez.) Et j’achetais tous les bonbons que je pouvais, j’avais un fil d’enfants, juste, sur un pâté de maisons, tous les petits enfants.


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E-10 Je me rappelle quand ce petit garçon a été ressuscité, vous avez lu cela dans le livre, hmm, et alors, cela a parcouru tout le pays. Et ce soir-là, à mon arrivée, j’étais, oh! à deux ou à trois pâtés de maisons avant que nous puissions arriver, même à Messuhalli; là, nous recevions vingt-cinq mille personnes là, et on me laissait leur parler; et puis on les faisait sortir, on faisait entrer vingt-cinq mille autres, comme cela. Ainsi, pendant que je descendais la rue, de petits soldats finlandais, des petits enfants, qui ne s’étaient jamais rasés, ils, de petits enfants au visage lisse, en longs manteaux, portant de très grosses bottes, ils passaient là, assurant la garde, pendant qu’ils descendaient, pour empêcher les gens de part et d’autre.

Et j’ai vu quelque chose arriver là: Les soldats russes se tenaient là, exécutant le salut à la Russe, les larmes leur coulant sur les joues, ils disaient: «Nous recevrons un tel Dieu, qui a la puissance de ressusciter les morts.» Qu’est-ce qui était à la base du communisme? Le relâchement de l’église. Exact. «Nous recevrons un tel Dieu.» Et j’ai vu les soldats russes entourer de leur bras un Finlandais, l’étreindre et le tapoter dans le dos. Tout ce qui peut amener un Russe à tapoter un Finlandais, ou un Finlandais à tapoter un Russe, mettra fin aux guerres. Christ est en tout temps la réponse.


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E-11 J’entrais, avec cinq ou six petits soldats autour de moi, ils avaient leurs petits couteaux ressortis le... Nous allions entrer dans un petit bâtiment, nous montions les marches, comme vous en entrant, et ils étaient alors en train de chanter Crois seulement dans leur propre langue.

Et là, dans le dortoir des femmes, une petite fille en sortait. C’était la scène la plus pitoyable que j’aie jamais vue, sa petite chevelure défaite, sa petite jupe toute en lambeaux, et elle avait (c’était une enfant affligée), elle avait un–un appareil orthopédique autour d’elle, à ce niveau-ci. Sa photo est dans le livre, les détails là-dessus n’y sont pas, mais juste la photo, et un peu de détails. Elle avait un gros appareil orthopédique autour d’elle, dans ce sens-ci, et une jambe était à peu près, oh! trois ou quatre pouces [7,6 cm ou 10 cm] plus courte que l’autre, et elle ne se servait pas du tout de cette jambe-là, elle ballotait librement. Elle avait des appareils orthopédiques qui soutenaient de chaque côté et un gros soulier, et au bout de ce soulier-là, elle avait une attache servant à fermer, et une lanière qui passait sur son épaule, qui était rattachée dans le dos par sa ceinture derrière elle: avec deux béquilles. Et la façon dont elle marchait, cette lanière s’était un peu refermée, elle faisait avancer ses petites béquilles, elle soulevait sa petite épaule, et soulevait cette jambe qui n’était pas en bon état, alors elle faisait reposer cela sur ces appareils orthopédiques, et alors elle pouvait effectuer un pas.

Quand... Elle était à la distance d’à peu près ce mur-là quand je suis arrivé; et quand elle a vu que c’était... qui... que c’était moi, eh bien, elle–elle s’est arrêtée, elle ne savait pas ce que... On leur avait dit de ne pas me déranger quand j’entrais, vous savez. Et je... C’était pratiquement sans coeur, mais vous auriez euh... vous suffoqueriez simplement, ils s’entasseraient donc sur vous. Et–et alors, j’ai regardé la petite créature; je savais que cette enfant-là voulait venir vers là. Et le–le soldat derrière moi faisait signe; je ne parlais aucun mot, je lui ai donc simplement dit: «Juste une minute.» Et les deux ou les trois autres se sont retournés: «Juste une minute.»

J’ai regardé la fillette, j’ai dit: «Veux-tu venir ici, chérie?» Evidemment, elle ne comprenait pas ce que je disais.


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E-12 Et alors, je lui ai fait signe comme ceci, et elle est venue. Elle a fait avancer ses petites béquilles, elle a soulevé sa petite jambe, elle a fait avancer cela, et elle est venue. Et je suis simplement resté là pour voir, voir ce que cette enfant ferait. Et elle s’est directement approchée de moi, elle s’est arrêtée, elle a fait avancer ses petites béquilles. Elle a tendue la main et a saisi le... ma poche; elle a soulevé cela vers ses petites lèvres, elle a baisé ma poche, elle a fait retomber mon manteau. Comme les fillettes finlandaises sont toujours très polies, elle a tenu ses petites béquilles, elle a déployé sa petite jupe, elle a dit: Kiitos. Kiitos veut dire merci. Kiitos. J’ai regardé, et ces petites lèvres tremblotaient, ses petites joues pâles, et les larmes lui coulaient sur ses petites joues; plus tard, j’ai découvert qu’elle était une petite orpheline de guerre. Son père et sa mère avaient été tués par les Russes pendant la guerre, et elle vivait sous une tente. (Et cette affaire, on l’avait confectionnée pour elle.) Elle n’avait ni père ni mère. Je crois que si j’avais été le plus gros hypocrite au monde, Dieu aurait honoré la foi de cette enfant-là.

Je ne pouvais pas lui parler. Je ne faisais qu’essuyer plutôt un peu de larmes de mes yeux, et j’allais... et je l’ai vue debout devant moi en vision, sans appareils orthopédiques, toute aussi bien portante. Je me suis dit: «Comment puis-je lui faire comprendre cela?» J’ai dit: «Chérie, Jésus, Il t’a guérie.»

Elle avait dit cela, Kiitos, elle pensait que je la suivais, elle retournait comme cela.

Je me suis dit: «Eh bien, que son petit coeur soit béni, elle découvrira cela à un moment.» Je suis entré.

Vers la fin du service, mon–mon frère, en ce temps-là (Billy était trop petit pour m’accompagner), monsieur Baxter et les autres étaient là, ils ont pensé que j’en avais pratiquement assez, ils quittaient le–le... Ils allaient me faire quitter l’estrade. Et j’ai dit: «Oh! Eh bien, faites venir juste cinq, à peu près cinq autres, et qu’ils montent.»


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E-14 Maintenant, nous allons ouvrir la Parole. Eh bien, je vais parler ce soir sur l’âge de l’Eglise de Laodicée. En fait, je suis sûr que nous tous, ce soir, nous savons que nous vivons dans l’âge de l’Eglise de Laodicée. Croyez-vous cela? C’était le dernier âge de l’église, et ceci est le Message à l’âge de l’Eglise de Laodicée. Comme j’ai été trop dur sur les moeurs des gens, et du pays, la façon dont l’église a relâché, je me suis dit que j’en parlerai peut-être ce soir.

Avant d’ouvrir le Livre, parlons premièrement à l’Auteur, avec nos têtes inclinées.


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E-16 Dans le Livre de l’Apocalypse, chapitre 3, verset 20, j’aimerais lire ce seul verset. Beaucoup parmi vous liront... ont lu tout le Livre. J’aimerais que vous lisiez ce chapitre 3, de toute façon, une fois rentrés chez vous ce soir. Mais voici ce qui est écrit au verset 20.

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

C’est juste une petite portion de ce grand message adressé à l’âge de Laodicée. Mais vous voyez, il y aassez, si seulement Dieu nous ouvre largement cela, alors nous en aurons assez. C’est Sa Parole. Et il arrive souvent, comme dans le message, parfois nous pouvons prêcher pendant des heures, et parfois juste dix minutes. Cela dépend de l’aspect de la Parole que Dieu nous ouvre.

Ce sont les petites choses que nous manquons de faire, pendant que nous cherchons à faire de grandes choses. Et la résistance d’une chaîne se mesure uniquement à son–son meilleur... à son maillon le plus faible. Rappelez-vous, peu importe combien les autres maillons sont forts, sa résistance ne dépassera jamais le maillon le plus faible. Et c’est pareil pour l’église, elle n’est pas plus forte que son membre le plus faible.

Et nous essayons de penser que si nous pouvons avoir de grandes foules de gens, ou de très puissants orateurs, ou avoir quelque chose de grand qui s’accomplit, ou attirer l’attention de grandes personnes, mais vous voyez, Dieu ne regarde pas toujours à ce que nous, nous appelons grand. Dieu voit aussi de petites choses.


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E-18 Toutes les écoles étaient fermées, et les enseignants avaient remis de petits drapeaux anglais aux petits enfants afin que ceux-ci les agitent au passage du roi.

Et après que le roi était passé dans la rue, à bord de sa voiture, eh bien, tous les petits enfants étaient censés retourner à l’école, et une petite fille manquait. Alors, elle, l’enseignante s’est précipitée dans la rue pour voir où était allée l’enfant dans la grande multitude, et elle l’a retrouvée derrière un poteau télégraphique, pleurant à faire éclater son petit coeur. Et l’enseignante l’a prise et l’a étreinte donc dans ses bras, alors elle lui a demandé: «Chérie, qu’est-ce qui ne va pas?» Elle a dit: «N’es-tu pas parvenue à voir le roi passer?»

Elle a dit: «Si, je l’ai vu.»

«As-tu agité ton drapeau?»

Elle a dit: «Oui, j’ai agité mon drapeau.»

«As-tu crié et hurlé des louanges à son égard à son passage?»

«Oui, je l’ai fait.»

Elle a dit: «Et tu es parvenue à voir le roi?»

«Oui.»

«Mais, a-t-elle dit, eh bien, pourquoi pleures-tu?»

Elle a dit: «Monitrice, j’ai vu le roi, mais j’étais trop petite pour être vue par le roi. Il ne m’a pas vue et j’ai agité mon drapeau, mais j’étais trop petite.»

Cela peut être vrai, mais ça ne l’est pas pour Dieu. Peu importe combien vous êtes petit, et combien insignifiant vous pourrez paraître, Dieu voit chaque petite adoration que vous faites pour Lui; chaque petite chose, Il est là même pour regarder cela et vous bénir, tout autant qu’Il le fait pour la grande personne.


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E-21 Pourquoi quelqu’un frapperait-il à la porte d’un autre? [Frère Branham frappe huit fois sur la chaire.–N.D.E.] Oh! Quel tableau! Et voici ce qu’Il dit: «Je me tiens à la porte et Je frappe.» Eh bien, Il cherche à entrer.

Il y a quelque chose qui fait que quelqu’un frappe à votre porte, un ami, ou quoi que ça puisse être, il cherche à entrer dans votre présence afin de pouvoir vous parler ou vous remettre quelque chose, ou vous demander quelque chose. Beaucoup de grands hommes, au cours des âges, ont frappé à des portes.

Par exemple, que pensez-vous qu’il arriverait si le grand César, à son époque, descendait à la porte d’un paysan et frappait à la porte, et que ce paysan allait à la porte et voyait le grand et puissant César se tenir là? Il ouvrirait largement la porte, tomberait sur son visage et dirait: «Sa Majesté, entrez dans ma maison. S’il y a quelque chose que vous voulez chez moi, ou que vous voulez de ma part, ça me ferait plaisir que vous le receviez. Vous m’avez honoré, Votre Majesté, le grand Empereur de Rome, en venant à ma porte. En effet, je suis un homme pauvre, et vous m’accordez de l’honneur en vous tenant sur mes marches.»


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E-34 «... alors, si je suis un incroyant, frappez-moi de cécité.»

J’ai dit: «Vous êtes déjà aveugle.»

Il a dit: «Eh bien, frappez-moi de cécité, comme Paul l’avait fait.»

J’ai dit: «Je vais vous dire la même chose que mon Seigneur avait dite à votre père: ‘Arrière de moi, Satan.’» Voyez?

Et il a dit: «J’aimerais vous poser une question. Si vous me frappez de cécité...»

J’ai dit: «Monsieur, vous êtes aveugle maintenant.»

Il a dit: «Je peux voir aussi bien que vous.»

J’ai dit: «Je vous demande pardon. Oui, oui. Vous ne le pouvez pas.» J’ai dit: «Vous êtes aveugle, spirituellement aveugle, ce qui est dix millions de fois pire qu’être physiquement aveugle.» S’il me fallait devenir un genre d’aveugle, ô Dieu, laisse-moi ne plus voir la lumière du jour plutôt qu’être aveugle par rapport à Christ et aux Ecritures, car j’aurais des yeux de toute façon.


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