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Bangor, Maine, USA

E-60 Maintenant, rappelez-vous, Il n’avait jamais fait cela devant un Gentil, dans toute la Bible. C’est ainsi qu’Il s’était manifesté comme Fils de Dieu. Voyez, Il n’avait jamais traité avec les Gentils auparavant. Alors, Il est allé, un jour, auprès des Samaritains, et une belle jeune femme était venue au puits, pour avoir à boire. Tout le monde avait quitté le puits sauf Jésus. Et alors, quand la femme est arrivée là, elle L’a vu, elle s’est mise à descendre la cruche pour puiser de l’eau.

Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire, femme.»

Elle a dit: «Eh bien, nous connaissons la ségrégation par ici. Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez aux Samaritains pareille chose. Je suis une femme de Samarie.»

Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»


Bangor, Maine, USA

E-62 Si cela était alors le signe du Messie, pour les Juifs et les Samaritains, les descendants de Cham, de Sem et de Japhet, c’est tout ce qui est resté, les Juifs, les Gentils et les Samaritains.

Et maintenant, nous avons eu deux mille ans avec l’église: Dieu a appelé l’Epouse des Gentils à sortir, dans l’âge de Finney, Sankey, et les autres. Maintenant, nous sommes à la fin de l’âge des Gentils, à la fin du temps, comme j’en parlais hier soir. Quelque chose peut arriver à tout moment.

Le monde est nerveux. Vous avez suivi le discours du président hier et, eh bien, nous ne savons simplement pas ce qui va arriver. Ça peut arriver avant l’aube. Les spoutniks dans les cieux, et Jésus a dit qu’il y en aura. Et tout, le monde entier tremble, des hommes meurent de crise cardiaque, les temps de perplexité, la détresse parmi les nations.

Et en ce jour-là, Il a promis de revenir et de faire comme Il avait fait jadis: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

Maintenant, Il ne peut pas se manifester aux Juifs et aux Samaritains de cette manière-là, et laisser les Gentils de côté. C’est donc maintenant le jour.


Bangor, Maine, USA

E-65 Maintenant, s’il vous plaît, ne vous déplacez pas pendant les quelques prochaines minutes. Cela va montrer si Dieu est vivant. Si ce n’est pas vrai, alors Sa Parole n’est pas vraie; si c’est vrai, chaque Parole est vraie.

Bonsoir, monsieur. Maintenant, rapidement, cet homme ici, je ne l’ai jamais vu, je ne le connais pas. Et si–si c’est vrai, que nous sommes inconnus l’un à l’autre, levez la main, je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu, ceci est notre première rencontre. Et puis, ce serait juste comme notre Seigneur qui avait trouvé Philippe, qui est allé chercher Nathanaël et qui le Lui a amené. Maintenant, si je dis: «Vous êtes malade», que je vous impose les mains: «Allez, soyez guéri», vous pourrez en douter. Mais si le Seigneur Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici, ou qu’Il fasse quelque chose comme Il l’avait fait dans la Bible, alors, Il–Il est ici. Voyez? Ça ne serait plus moi, car je ne vous connais pas.

Je ne connais personne dans cette salle à part frère Lloyd Sweet, docteur Vayle, Billy qui était ici, mon fils; je pense qu’il est parti; sauf ces deux hommes ici debout, ce chanteur, assis ici même, je ne connais pas son nom, mais il a été avec nous dans la campagne précédente. A ce que je sache, c’est ça, ce sont les personnes que je connais dans la salle. Mais Dieu nous connaît tous.


Bangor, Maine, USA

E-66 Si le Seigneur Dieu fait cela, cela doit être un miracle, car il n’y a aucun moyen au monde pour moi–moi de pouvoir connaître cela. Voici ma main, ma Bible; je ne crois pas dans le fait de jurer, mais je n’ai jamais vu cet homme de ma vie; c’est notre toute première rencontre à ma connaissance, de quoi que ce soit. Et ceci, à peu près la vérité sur le fait de vous connaître, soyez-en donc témoins: je ne vous connais pas. Mais Dieu, qui vous connaît certes, s’Il me révèle quelque chose que vous, vous savez que moi, je ne connais pas, s’il y a quoi que ce soit à votre sujet, alors vous avez le droit de croire, n’est-ce pas? Combien dans l’assistance accepteraient cela? Nous voici partir. Merci.

Maintenant, Père, tout est entre Tes mains. Ceci est Ton service. Je T’attends. Amen. Vous dites: «Pourquoi attendez-vous?»

Vous avez vu la photo de cette Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Quand Elle était ici sur terre, quand Elle était dans le buisson ardent, C’était Christ. Tous les enseignants de la Bible savent cela. Quand Il était ici sur terre, Il a dit: «J’étais avec... Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» Le JE SUIS était dans le buisson ardent. Il a dit: «Je viens de Dieu, Je retourne à Dieu.» Il est venu sous la forme de la Colonne de Feu, Il a été fait chair et a habité parmi nous, sous la forme du Fils de Dieu, le Christ; Il est mort, Il a été enseveli, Il est ressuscité; et la même Colonne de Feu est revenue sous le Nom de Jésus, le Saint-Esprit.

Quand Paul était en route vers Damas, Il a été terrassé, une Lumière ayant brillé en face de lui. Il a dit: «Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»

Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

Il a dit: «Je suis Jésus.»

Est-ce scripturaire? Eh bien alors, si ceci est le même Saint-Esprit qui était en ce jour-là, le même Jésus, le même Cep ne porterait-Il pas les mêmes fruits, si c’est le même Cep? «Je serai avec vous, en vous.»

Maintenant, ô Dieu, ouvre-nous les yeux, afin que nous puissions voir.


Bangor, Maine, USA

E-71 Croyez-vous que je suis Son serviteur, madame? Vous priez pour quelque chose aussi. Vous assise à côté d’elle. Si Dieu me dit quel est votre problème, allez-vous me croire? Si je ne vous connais pas, levez la main. Si vous me croyez de tout votre coeur, cette arthrite vous quittera. C’est pour cela que vous priiez, l’arthrite. Si c’est vrai, faites signe de la main. Maintenant, cela vous a quittée. Votre foi vous a guérie. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

Est-ce vous la dame pour qui je dois prier, la suivante? Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît certes. S’Il me dit ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire que je suis Son serviteur, croire que Cela est Son Esprit? Je ne suis qu’un homme, sans aucun moyen de... C’est notre première rencontre donc.

Eh bien, pardonnez-moi. Voyez, je dois simplement, où qu’Il... Il y a des gens là dans l’assistance qui croient, ça devient vraiment difficile de tenir la ligne; beaucoup croient. Voyez?

Ça y est: Vous souffrez d’une affection artérielle. C’est vrai. A part cela, vous avez des yeux en mauvais état; votre vue est en train de vous quitter. Vous êtes extrêmement nerveuse. Et c’est vrai. Vous n’êtes pas d’ici non plus. Vous êtes Canadienne. C’est vrai. Mademoiselle Conklin, c’est ce que vous êtes, rentrez chez vous, votre foi vous a guérie.


Bangor, Maine, USA

E-74 Ça y est. Ici même, à côté de cette dame, là même, elle souffre d’une maladie gynécologique, une maladie de femme, la petite dame en petit chapeau blanc. C’est vrai. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Mais vous avez un écoulement à partir de cela. Je vous vois dans la salle de bain. Ce qu’il y a, c’est un abcès sur l’ovaire, qui peut dégénérer en cancer. Mais cela ne se fera pas. Votre foi vous a guérie. Rentrez chez vous, vous êtes rétablie. Votre foi a touché Dieu.

Croyez-vous? Vous assis ici même au bout, la dame et l’homme, vous avez votre bras autour d’elle, c’est votre femme. Une chose, c’est que l’un de vous est nerveux, et l’autre, c’est la maladie du coeur. C’est vrai. Acceptez-vous votre guérison? Levez les mains si vous acceptez. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et soyez rétablis.

Il y en a beaucoup là dans l’assistance qui souffrent de la maladie dont vous souffrez, madame. Mais le diabète, ce n’est rien à guérir pour Dieu. Croyez-vous qu’Il peut guérir cela? De tout votre coeur?

Tous ceux qui souffrent de diabète, levez-vous maintenant même, levez-vous, allons très vite, partout, partout: Je vais vous montrer ce que Dieu peut faire. Levez-vous une minute. Tenez-vous debout là même juste un moment. Recevez celle-ci.


Concord, NH, USA

E-2 Cette fois-ci, nous cherchons juste à faire connaissance les uns avec les autres, et je suis sûr que vous L’aimez. Je venais de franchir la porte, quand je vous ai entendu dire amen à ce que disait monsieur Vayle. Et vous croyez en Dieu, vous croyez qu’Il vit toujours et qu’Il est... Il n’a pas changé par rapport à ce qu’Il a toujours été. Il n’est pas plus intelligent, Il ne peut pas devenir plus intelligent, car Il était infini dès le départ. Ainsi donc, tout ce qu’Il dit, chaque déclaration qu’Il fait, ça doit être parfait, car s’Il pouvait grandir en connaissance comme nous, alors Il deviendrait plus intelligent. Il peut–Il peut arranger les choses et les disposer d’une façon un peu différente. Mais quand Dieu fait une–une déclaration ou dit quelque chose, cela doit toujours demeurer ainsi, car Il est parfait dès le départ.

Eh bien, nous... nos descendances, nous sommes limités. Et nos descendances deviennent un peu plus intelligentes, un peu plus intelligentes comme le déclarent les Ecritures: «Plus faibles, mais plus intelligentes...» Nous grandissons en connaissance, mais Dieu ne le peut pas. Pour être infini, Il doit simplement demeurer parfait tout le temps.


Concord, NH, USA

E-3 Ainsi donc, si une crise surgissait à un moment et que Dieu était invité en scène pour agir, alors, la manière dont Il a agi en ce moment-là, c’est de même qu’Il devra agir chaque fois pour être Dieu. Voyez-vous? En effet, si la deuxième fois Il n’agit pas de la même manière que la première, alors Il–Il en sait plus à ce sujet. Alors, Il fait... Il avait commis une erreur lorsqu’Il a agi la première fois. Voyez-vous? Il devra agir de la même manière tout le temps. Si–si le monde a eu besoin d’un Sauveur, et qu’Il a donc prés-... Il a présenté un Sauveur, un moyen de salut, dans le jardin d’Eden, une issue, Il doit continuer à faire cela pour être Dieu.

Si une maladie surgissait dans le camp, et que Dieu faisait une expiation pour la guérison, Il doit maintenir cela, sinon Il avait commis une erreur en guérissant la première personne. Il avait commis une erreur en pardonnant la première personne. Voyez-vous? Il est infini–infini, et il nous faut accepter cela comme ça, et croire cela comme ça; et si vous croyez cela comme ça, cela marchera ainsi. C’est juste...


Concord, NH, USA

E-5 Ce qui a le plus marqué ma vie, ou une bonne partie de cela, c’était la ferme. Je me souviens là à la rivière Troublesome, où nous avions l’habitude de paître le bétail, on les entraînait vers la forêt Arapaho, et on avait une clôture démontable. Je ne sais pas ce que, vous de l’est, vous savez d’une clôture démontable, mais celle-ci empêche le bétail de s’éloigner de la forêt. Si vous arrivez à cultiver une tonne de foin, alors... Et la chambre de commerce vous accorde une marque qui vous autorise à placer une vache dans la forêt, si vous arrivez à produire une–une tonne de foin pour prendre soin de la vache en hiver.

Et maintenant, le fermier, il dénombre toujours le bétail à son entrée, et il le vérifie. Et bien souvent, je me suis tenu là, ma jambe placée sur la corne de la selle, observant le fermier. Il ne faisait pas tellement attention à la marque, combien il y en avait là, car il le savait bien de toute façon. Mais il vérifiait l’étiquette de sang à l’oreille. Voyez? L’étiquette de sang... Il devait... Peu importe la marque portée, on devait être un Hereford pur sang, sinon on ne pouvait pas entrer dans la ferme. Peu importe combien bonne était la marque gravée là-dessus, on devait être un Hereford pur sang, sinon on ne pouvait pas paître dans cette prairie.

Je pense que c’est ce qui se passera à la grande porte lorsque nous y arriverons. Il ne dira pas: «Portez-vous la marque méthodiste, pentecôtiste, baptiste, luthérienne?» C’est la marque de sang qui compte. Tous ceux qui sont nés de l’Esprit de Dieu, par le Sang de Jésus-Christ, seront les bienvenus, peu importe la marque qu’ils portent.


Concord, NH, USA

E-6 Eh bien, sur base de cela donc, nous allons ouvrir Sa Parole et vous parler de Sa Parole. Je ne suis pas un théologien; à maintes reprises, j’ai affirmé que je n’ai pas eu l’occasion d’être instruit. Je ne suis pas fameux comme prédicateur. Je ne connais pas très bien la Parole, mais j’En connais très bien l’Auteur. Ainsi, c’est... Je L’aime, et Il révèlera la Parole au fur et à mesure que nous avançons.

Maintenant, inclinons la tête juste un instant pendant que nous Lui parlons, avant d’ouvrir la Parole.


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