New Haven, CT, USA
E-6 Vous pouvez vous imaginer, nous avons quatre téléphones qui me permettent de répondre, et parfois, on reçoit en moyenne quarante-deux appels de loin par heure. Voyez? C’est vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Voyez? Et vous pouvez vous imaginer ce que ça fait; ça exerce une grande tension. Si vous pouviez comparer ma photo d’il y a environ huit ans à ce que je suis aujourd’hui, vous ne reconnaîtriez pas que c’est la même personne à cause de la pression constante, jour et nuit, tout le temps.
Mais une chose... Quelqu’un m’a demandé, disant: «Frère Branham, quand allez-vous vous reposer?»
J’ai dit: «Quand je traverserai le Jourdain, j’aurai du repos là-bas.» Eh bien, la nuit tombe; je dois travailler durement maintenant. Et vous, travaillez avec moi en priant pour moi, demandant à Dieu de m’aider à faire de mon mieux pour gagner des âmes pour Lui.
Et j’aimerais remercier l’école, si l’un des concierges est peut-être dans les parages, qui nous a permis d’avoir cet endroit; j’apprécie cela. Je remercie les–les églises qui nous ont parrainé, les pasteurs; nous apprécions certainement cela, frères. Je ne vous ai probablement jamais vus de ma vie, il se peut que vous ayez été dans une convention quelque part, mais j’apprécie.
Je sais que c’est un très grand pas dans une ville, dans un pays d’intellectuels, comme celui dans lequel nous vivons, de dire, les mains étendues, dire: «Tenez, je crois suffisamment cela pour le parrainer.» Je suis sûr que Dieu vous récompensera richement pour ce pas que vous avez marqué en parrainant. Merci à tout un chacun de vous.