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Greenville, South Carolina, USA

E-20 Et dans cette ville, il y avait l’armée la plus puissante; il y avait le meilleur matériel qu’on pût acquérir dans le monde entier, qui leur avait été apporté; le monde entier payait le tribut à cette ville. Et alors, en un tel endroit, tous derrière les murailles, combien on se sent en sécurité! Les meilleurs hommes de science, les meilleurs cerveaux qu’on avait, les meilleurs chars, les meilleurs chevaux, les soldats les mieux formés, beaucoup de choses à manger, les gens les mieux habillés, et ils étaient en sécurité derrière pareilles murailles.

N’est-ce pas là le beau tableau même de ce pays, avec le meilleur qu’on puisse trouver, le meilleur homme de science qu’on puisse trouver, l’armée la mieux équipée qui existe? Mais alors, quand ils se sont retrouvés derrière ces murailles, ils ont pensé qu’ils pouvaient mener n’importe quel genre de vie qui leur plaisait, et que tout irait bien, car ils étaient en sécurité.


Greenville, South Carolina, USA

E-21 Et c’est l’attitude de nos compatriotes dans ce pays; parce que nous avons l’armée la meilleure, la plus performante et la plus puissante, et les armes performantes, les meilleurs appareils, la meilleure nourriture, tout meilleur, nous nous sommes sentis en sécurité. Mais, rappelez-vous, le Dieu du Ciel ne peut pas être bloqué par une quelconque espèce de muraille, que ça soit une muraille naturelle ou une muraille ecclésiastique. Dieu regarde du haut des cieux, et il n’y a rien qu’Il ignore, ou dont Il ne savait pas dès le début qu’il en serait ainsi. Il est le Dieu infini. Et quand les hommes pensent être en sécurité, c’est alors que le péché s’installe.

Si par hasard il y a des Suisses ici ce soir, je n’aimerais pas vous blesser, mais je suis dernièrement revenu de la Suisse. Et, oh! vous parlez d’un groupe de gens indépendants; ils le sont. Ils n’ont pas connu de guerre depuis des centaines d’années. Ils n’ont rien eu pour combattre. Ils sont donc vraiment indifférents (si vous permettez cette expression de la rue), on dirait tout enflés.

Et quand on arrive le dimanche matin, vous penseriez qu’on est dans le Millénium. Tout un tas de choses sacrilèges, des cloches carillonnent, des carillons retentissent, au point qu’à peine vous pouvez entendre parler dans la rue, et ce sont les critiqueurs les plus acerbes du Seigneur Jésus que j’aie jamais rencontrés. Pourquoi? Voici leur impression: «Rien ne peut nous déranger.»


Greenville, South Carolina, USA

E-24 Notre grande nation, grande qu’elle est, la plus grande au monde... Et nous avons tous peur du communisme. Vous avez suivi tous les programmes. Il n’y a pas longtemps, j’ai eu le privilège de prendre un petit-déjeuner avec le vice-président Nixon. Et toute sa conversation, pendant que nous parlions, tournait autour du communisme. Et j’étais juste un petit prédicateur saint exalté; je–j’étais à l’aise à ses côtés. Mais ce n’est pas du communisme dont il faut nous inquiéter. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picote la pomme qui l’endommage; c’est le ver qui se trouve au centre qui la tue.

Et ce n’est pas le communisme qui cause du tort à l’Amérique. C’est notre propre pourriture parmi nous, notre dépravation des moeurs qui brise la colonne vertébrale de cette nation. La maternité est abîmée, l’église est allée à la ruine. Toutes les grandes choses pour lesquelles nous prenions position, les grands principes et autres, sont pourris sous nos pieds. Ce sont nos propres moeurs qui nous ont tués, pas le communisme, ni une quelconque autre nation. Le péché est un opprobre pour n’importe quelle nation.


Greenville, South Carolina, USA

E-32 Remarquez, il y eut une fois un homme qui éprouva le besoin de se reposer, alors il descendit à la mer. Il n’avait jamais vu la mer, il–il en avait entendu parler. Il était donc en route vers là. Il disait... Il a rencontré un vieux loup de mer qui en revenait, un marin. Et le marin lui a demandé: «Où vas-tu, mon bon homme?»

«Vers la mer pour reposer mon esprit. Je n’ai jamais vu cela.» Il a dit: «J’ai un vif désir de voir ces grosses vagues, de flairer l’eau salée, d’entendre les mouettes.»

Et le vieux loup de mer a dit: «Je suis né sur la mer. J’entends cela depuis quarante ans. Il n’y a rien d’émouvant là pour moi.» Vous voyez, il avait tellement vu cela qu’il n’y avait rien d’émouvant. Eh bien, Eglise pentecôtiste et vous tous, le reste d’entre vous, c’est ça votre problème ce soir. Vous avez vu tellement de choses de Dieu que cela est devenu trop ordinaire pour vous. Vous prenez cela trop à la légère, trop à la légère.


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E-34 Il y avait une pauvre femme de couleur ignorante, une négresse, assise dans une allée, pleurant pour n’avoir pas eu une carte de prière afin de monter à l’estrade. Et le Saint-Esprit s’est mu au-dessus de là où elle était, et j’ai vu cette Lumière se tenir au-dessus d’elle. Et Il lui a dit: «Madame, votre nom est tel», par le Saint-Esprit; je ne l’avais jamais vue de ma vie. Ce n’était même pas moi qui parlais, évidemment pas.

Alors, Il lui a parlé, disant: «Vous souffrez de la cirrhose de foie, et vous avez telle et telle choses.» Elle a failli s’évanouir. C’était parfait; ça l’a toujours été, et ça le sera toujours. Si c’est Dieu, ça doit l’être. J’ai quarante-neuf ans; cela n’a jamais failli. Et ça ne peut pas faillir; si–si c’était moi, ça aurait échoué la première fois. Mais Dieu ne peut pas faillir, car Il est Dieu. Il peut tout faire sauf faillir.

Et alors, Il lui a parlé, disant: «Mais votre préoccupation majeure, c’est que vous avez une soeur là à Little Rock, dans l’Arkansas, dans un hôpital, une institution psychiatrique, elle y est depuis dix ans; elle est totalement folle, elle cogne la tête contre le mur.» Et elle a donc failli mourir. Il lui a dit: «Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vient de revenir à elle-même.»


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E-37 En sécurité. Oh! Combien Babylone s’estimait en sécurité! Ils avaient tout. Ils avaient la religion. Il arriva donc un temps où leurs femmes devinrent immorales. Leurs hommes eurent l’impression, leurs prédicateurs, d’en être arrivé à être les seuls galets de la plage, qu’il n’y avait personne d’autre à part eux. Et ils avaient un roi là, qui était un Elvis Presley moderne, un garçon qui avait réussi, un Ernie vaurien, ou l’un d’eux, comme l’un de nos très grands hommes d’aujourd’hui, les soi-disant, en Amérique.

Alors, il a organisé une grande fête de rock-and-roll. Il a invité toutes les célébrités à venir. Il allait la tenir juste dans un style de rock-and-roll moderne. Ainsi donc...


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E-39 Et ils feront la même chose en ce temps-ci. Qu’y a-t-il de différent entre cela et notre Amérique aujourd’hui? Qu’en est-il de tous ces night-club et autres? Et quatre-vingt-quinze pour cent d’entre eux sont de soi-disant chrétiens. C’est tout à fait vrai. Il y eut quelque temps... Je n’ai pas le temps de raconter cela. J’entrais dans une chambre d’hôtel. Et il y avait des monitrices de l’école du dimanche et tout assis là, ivres, et ils ne pouvaient pas s’entraider. C’est exact.

Eh bien, pendant qu’ils tenaient cette grande fête... Vous voyez, personne ne pouvait les déranger; ils avaient les meilleurs hommes de science du monde. Ils étaient protégés par des murailles de deux cent cinquante pieds [76,2 m] de haut et quatre-vingts pieds [24 m] de large, des gardes se tenant partout, les meilleurs chars, beaucoup plus à manger. Ils avaient tout; alors, de quoi s’inquiéter?


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E-41 Eh bien, j’aimerais vous faire remarquer juste un peu plus loin. Alors qu’ils tenaient cette grande fête, qu’ils dansaient, ils passaient un grand moment, ils buvaient ce qu’il y avait de vraiment meilleur, la Oertel 92, ou je ne sais quoi ils avaient à l’époque, faisant simplement parade, passant leur grand moment, dansant et tout, ils ne savaient pas ce qui se passait dans le monde à l’extérieur.

Et cette nation ne savait pas non plus ce qui se passait à l’extérieur. Qu’arriva-t-il à la Première Guerre alors que tout le monde était à genoux, offrant des prières, priant, pleurant pour que les jeunes gens reviennent? Avec quoi les avez-vous divertis une fois de retour? La bière, le whisky. C’est avec cela qu’ils se divertissaient pour commencer. Vous devriez être à genoux, remerciant Dieu, mais ils ont dit: «Préserve-nous de la guerre, Seigneur.» Quelle disgrâce est-ce! Quelle honte aux yeux de Dieu!


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E-42 Remarquez donc. Plutôt que ces femmes se revêtent de leurs habits et agissent comme des dames, regardez comment elles procédaient. Plutôt que des hommes reviennent à l’église et servent Dieu, que font-ils? Ils sont dehors, faisant des beuveries, courant çà et là, buvant, fumant, toutes sortes de non-sens; ils ne se préoccupent plus de Dieu, ils ne Le connaissent pas plus qu’un Hottentot ne connaît ce qu’il en est d’un chevalier égyptien, et ils prétendent pourtant être chrétiens.

Si vous êtes chrétien, vous vivrez en conséquence. Les fruits de l’Esprit vous suivront. Si la Vie de Christ est en vous, vous mènerez la Vie de Christ. Si vous allez à un potiron, vous trouverez des potirons. Si vous allez à une vigne, vous trouverez des raisins. Jésus a dit: «Je suis le Cep; vous êtes les sarments.»

Et nous venons à l’église, que trouvons-nous? «Ma dénomination est meilleure que la vôtre.» «Nous ne collaborons pas dans cette réunion-là.» Oh! la la! Des discussions, des querelles, se mettre dans tous les états, ça, ce n’est pas Christ. Certainement pas. Mais le jour dans lequel nous vivons...

Et, oh! je peux les voir se taper vraiment un grand moment. Et peu après, comme certains de nos comédiens à la radio et à la télévision, ou les stars de cinéma, ils voulaient avoir une plaisanterie, débiter une plaisanterie au sujet d’un prédicateur chauve ou quelque chose comme cela, vous savez, quelque chose dont ils voulaient se moquer au sujet de la religion.

C’est comme les gens, ces gars qui sortent ici, et Elvis Presley, il fait un–un petit album, ou une espèce de réunion évangélique, ou une espèce de chanson religieuse, et puis, il sort et dit qu’il est religieux: le rock-and-roll d’un côté, la religion de l’autre. Vous ne pouvez pas obtenir d’une même source l’eau potable et l’eau amère. Ce n’est qu’un mensonge du diable. Il n’y a qu’une seule différence entre Judas Iscariot et Elvis Presley. Judas Iscariot a perçu trente pièces d’argent pour avoir vendu Christ. Elvis Presley était un jeune garçon pentecôtiste, il a vendu Christ et il a obtenu un parc de Cadillacs et un million de dollars. Voilà la différence.


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E-43 Ernie Ford, il chante ces cantiques, et il relève assez haut son visage comme pour boire du babeurre au fond d’un bidon à lait, un si petit saint, et il retourne entourer ces femmes de ses bras, et ce genre de choses.

Et cet horrible Godfrey, et les autres, avec ces sales plaisanteries de l’armée. Et vous suivez pareille sottise. Et vous les enfants, vous les prenez pour modèle? Lisez la Bible et prenez Christ pour votre Modèle, éloignez-vous de cette sottise. Cette nation est en train de dépérir. C’est tout à fait vrai.

Oh! C’est ce qu’on faisait à Babylone à cette jonction-là. Or, ils étaient–ils étaient mieux avisés, car il y avait un vrai prophète de Dieu dans ce pays-là. Ils avaient un réveil en cours dans ce pays-là, mais pas parmi cette catégorie-là.

Remarquez donc ce qui arriva. Ils ont dit: «Faisons une petite plaisanterie maintenant.» Alors, ce jeune escroc est allé là et a dit: «Eh bien, nous allons un peu plaisanter sur ces saints exaltés. Vous savez, il y a quelques années, il y avait beaucoup de saints exaltés dans notre pays, a-t-il dit. Mon père, le roi Nebucadnetsar, les a amenés ici. Allons prendre leurs vases et divertissons-nous un peu.»


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