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Greenville, South Carolina, USA

E-70 Vous croyez? Nous sommes inconnus l’un à l’autre; je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Croyez-vous qu’Il peut me révéler le motif de votre présence ici? Maintenant, soyez très respectueuse. Madame, vous êtes couverte par l’ombre de la mort; seul Dieu peut vous faire miséricorde. Vous êtes consciente de la maladie dont vous souffrez; c’est une tumeur. Et la tumeur est cancéreuse, et elle se situe dans la tête. Vous en avez une dans la bouche, et vous en avez une dans l’estomac. Mais Dieu est un Guérisseur. Croyez-vous cela? Croyez alors en Lui maintenant et tout cela va vous quitter. Croyez-vous que Dieu va écouter ma prière? Alors je maudis la chose au Nom de Jésus-Christ. Sors de cette femme et quitte-la! Maintenant, partez en vous réjouissant et remerciez Dieu; soyez guérie.

Si tu peux croire, tout est possible.

Si tu peux... Soyez très respectueux maintenant. J’observe une jeune femme ici; la Lumière de Dieu est suspendue au-dessus de cette femme, mais aucune vision n’apparaît. Croyez-vous que je suis Son serviteur, un serviteur de Christ? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous connaît. Si le Seigneur Dieu me révèle la raison pour laquelle vous vous tenez ici, allez-vous croire que je suis Son serviteur? L’assistance fera-t-elle la même chose? Maintenant, vous tous... Je suis si faible que vous me paraissez tous comme une seule personne assise là. Cela peut... On arrive à peine à faire la différence entre une vision et ce qui ne l’est pas.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-5 Monsieur Roberts est un érudit: quatre ans de psychologie, et une haute instruction, c’est un érudit et un homme habile. Il sait comment manier les choses. Dieu peut l’utiliser. Et il a commencé, et maintenant il fait vraiment un grand travail à travers la nation. Et...

Eh bien, Dieu ne me permettrait pas de faire cela. Pour commencer je n’ai pas d’instruction. Je n’ai presque pas d’instruction, et alors, je ne pourrais pas faire cela. Je ne m’y connais en psychologie; je n’ai même pas une instruction d’école primaire, juste celle de la septième. Je–je ne pourrais rien faire de pareil, et Dieu le savait. Au lieu de laisser mes réunions faire beaucoup de bruit, et on m’en a donné bien des occasions, mais pourtant, je sens que Dieu ne veut pas que je le fasse.

Eh bien, comment aurais-je pu venir ici, et peut-être passer quatre jours, et j’imagine, je ne sais pas, mais j’imagine que nous sommes tous des gens pauvres, un montant d’environ deux cents dollars, prélevé comme offrande d’amour, a suffi pour couvrir presque toutes les dépenses.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-6 Comment Oral Roberts pourrait-il rester ici deux ou quatre nuits avec juste deux cents dollars prélevés comme offrande d’amour? Ce n’est pas parce qu’il ne voudrait pas venir, mais il ne saurait pas venir. Il a de tels engagements qu’il lui faut environ sept mille dollars par jour pour travailler chaque jour de la semaine. La dernière fois j’ai entendu dire que c’était sept mille dollars, maintenant, avec ses nombreuses stations de télévision, c’est probablement plus que cela. Il ne pourrait pas venir ici. Il aimerait bien pouvoir le faire.

Oral Roberts est un homme bien. Je le connais, il aimerait–il aimerait venir ici de tout son coeur, mais il ne saurait pas le faire. Et lorsque vous–vous l’invitez, il répond: «Je ne saurais le faire; il faut qu’il y ait plusieurs centaines d’églises qui collaborent.»

Il ne dit pas cela pour être indifférent; il dit cela parce qu’il ne saurait le faire; tellement il a des engagements.

Mais, vous voyez, je n’ai jamais laissé mon ministère devenir comme cela. Il est vraiment modeste. Le montant de mes engagements s’élève à environ cent dollars par jour dans mon bureau, à la maison, c’est environ cent dollars par jour. Ainsi donc, je peux aller n’importe où. Et puis, si le Seigneur veut que je prêche devant cent mille, cinq cent mille personnes, Il place tout simplement la chose sur le coeur de quelqu’un, et ils m’envoient de l’argent. Je n’ai pas à m’inquiéter au sujet de l’argent. Je n’en ai pas besoin, je n’ai donc pas à m’en soucier. Alors je...


Jeffersonville, Indiana, USA

E-7 Voyons, j’ai célébré un anniversaire récemment, et j’ai... je crois que j’ai eu vingt-cinq ans ou je viens de dépasser cela un tout petit peu. Je suis né en 1909; cela me donne un peu... environ vingt-cinq ans, n’est-ce pas? Juste un peu plus de quarante-neuf ans. Donc cela fait vingt-sept ans que je suis dans le ministère, je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande. J’ai été le pasteur de l’église baptiste pendant dix-sept ans, et je n’ai jamais reçu un centime comme salaire, ni prélevé une offrande durant tout ce temps. J’ai travaillé comme garde forestier dans l’Indiana, et je gagnais ma vie. Je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande.

Je me souviens d’un soir (je raconte souvent cela, surtout, lorsque ma femme n’est pas là) lorsque j’en étais arrivé au point où je ne pouvais pas joindre les deux bouts. Etes-vous déjà passé par cette situation-là? C’est sûr, cela nous est arrivé à nous tous. Et j’ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»

Elle dit: «J’irai là pour te voir le faire.» Et elle trouva une place et s’assit. Or, ce n’est pas que les gens ne le feraient pas, ils le feraient certainement. Ils m’auraient donné tout ce qu’ils avaient. Mais j’étais jeune, et je–je ne tenais des réunions que le mercredi et le Dimanche, et je... c’est tout ce que je–je pouvais travailler, alors pourquoi ne pas travailler, et ne pas être obligé de... être une charge pour eux. Tout l’argent que je gagnais, je le plaçais carrément dans l’église, tout, à part ce dont j’avais besoin pour vivre.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-8 Et ainsi, je suis allé, j’ai parau diacre de l’église, je lui ai dit: «Va prendre mon chapeau, Oncle Jim.» Nous n’avions pas de plateau à offrande ni rien, on n’en a jamais eu un dans l’église. Je lui ai dit: «Va prendre mon chapeau, je vais prélever une offrande.» J’ai dit: «Mes amis, je suis un peu en difficulté, je... si vous avez quelques cents à mettre dans le plateau à offrande, je–j’ai une dette d’environ cinq dollars, et je n’arrive pas à m’en tirer.» Je dis: «Si vous voulez bien m’aider, j’apprécierai cela

Et oncle Jim alla prendre mon chapeau. Il y avait une petite vieille dame qui avait l’habitude de s’asseoir devant moi; elle portait un de ces tabliers qui ont une poche intérieure. En avez-vous déjà vu un? Bien sûr, vous les mères du Sud. Ma vieille grand-mère avait l’habitude de mettre une vieille petite pipe de canne là-dedans; elle se baissait pour la mettre dans sa poche comme cela. Combien ont déjà vu une de ces vieilles petites... Je crois que ces pipes étaient faites de calcaire ou quelque chose comme cela, et elles avaient un long tuyau, celles que les grands-mamans fumaient! La mienne fumait. Elle ne voulait pas que quelqu’un... que les hommes ne la voient fumer; alors elle la cachait dans sa poche intérieure, où elle portait son tabac. Elle la tenait là-dessous quand elle parlait avec un homme comme cela, on aurait dit que cette vieille pipe lui brûlait les doigts. Et elle...


Jeffersonville, Indiana, USA

E-9 Et cette vieille petite dame portait un de ces petits tabliers; elle y a plongé la main et en a tiré un vieux petit porte-monnaie ayant un bouton-pression dessus, et elle s’est mise à chercher là-dedans quelques pièces de cinq cents. Frère, je ne pouvais pas prendre cela! Eh bien, la chose m’aurait hanté toute ma vie. Oh! j’ai dit: «Je plaisantait tout simplement; je ne voulais pas dire ça

Le vieil homme se tenait là, le chapeau en main, il a dit: «Que dois-je faire, Frère Branham?»

J’ai dit: «Je–je plaisantais tout simplement pour voir votre réaction. Raccroche mon chapeau.»

Et il y avait un vieil homme du nom de Rya-... le vieux frère Ryan, qui faisait de la bicyclette, depuis Dowagiac, dans le Michigan. Si je posais la question ce soir, il se peut que beaucoup d’entre vous l’aient connu, c’était un de mes grands amis. Il roulait là-bas sur une vieille bicyclette. Je disais [souvent] qu’elle était rétrograde, mais elle n’était pas rétrograde, elle était usée. Et il–il me l’a laissée, je suis monté au bazar, j’ai acheté deux boîtes de peinture, je l’ai peinte en deux couleurs différentes et j’y ai accroché une étiquette: «A vendre pour cinq dollars», j’ai vendu la bicyclette, je n’ai pas été obligé de prélever une offrande en fin de compte. C’est la fois où je suis alaussi loin concernant le prélèvement de l’offrande dans ma vie. Ainsi lorsque vous y mettez une partie de vos moyens de subsistance, avec l’aide de Dieu et par Sa grâce, je vous le promets, au mieux de ma connaissance, cela sera placé dans le Royaume de Dieu. Tout...


Jeffersonville, Indiana, USA

E-13 Je souhaite lire juste un–un petit passage des Ecritures. J’allais prêcher ce soir et j’ai annoncé que j’allais prêcher sur la foi triomphante. Mais comme il fait si chaud, je n’aurai pas le temps. Je vais prendre un autre petit texte à partir d’un autre sujet, et prêcher sur cela.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-15 Je crois que Paul était un fondamentaliste. Ne le croyez-vous pas? Et je ne crois pas que Paul aurait fait cela sans l’autorité des Ecritures. Savez-vous où je crois qu’il a eu cela? Lorsque la femme sunamite alla vers Elisée, et celui-ci prit son bâton, et dit à Guéhazi: «Va, pose-le sur l’enfant.» Voyez-vous? Il savait que tout ce qu’il touchait était béni, s’il pouvait amener la femme à croire la même chose. Voyez-vous? Tout ce qu’il touchait était béni. Il savait cela, parce que le Saint-Esprit était sur lui. Et Paul, comme je l’ai dit, étant un fondamentaliste...

Voici une petite remarque. Lorsque je voyage à travers le monde, je trouve deux groupes de gens. L’un, ce sont les fondamentalistes, l’autre les pentecôtistes. Les pentecôtistes ont beaucoup de foi, mais ils ignorent qui ils sont. Les fondamentalistes savent qui ils sont, mais n’ont pas de foi en plus de cela. C’est juste comme un homme qui a de l’argent en banque mais ne sait pas remplir un chèque, et l’autre sait remplir un chèque mais n’a pas d’argent en banque. Si jamais vous pouviez mettre ces deux ensemble (amener un pentecôtiste à reconnaître qui il est, ou amener un fondamentaliste à reconnaître que tous ses enseignements fondamentalistes, bien que ce soit Christ, la lettre tue, mais l’Esprit vivifie), à ce moment-là vous y êtes.

Je prie donc qu’un jour je voie cette grande unification de tout le Corps de Jésus-Christ, s’unir comme un grand Corps, alors l’Enlèvement viendra. Avant d’ouvrir les Ecritures, prions.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-17 Dans le douzième chapitre de l’Evangile de Saint Matthieu, et le verset 24, nous aimerions lire un moment ces Paroles. C’est un petit texte que j’ai lu et sur lequel j’ai prêché maintes fois. Et la raison pour laquelle je l’ai pris ce soir, c’est parce que je peux aller rapidement avec cela, pour atteindre le point où je veux parvenir avant de prier pour les malades. Et pendant que je vais prier et parler, j’aimerais que chaque personne ici garde ceci dans sa pensée. Dès que la prière pour les malades commencera, chacun de vous se lèvera et sortira du bâtiment guéri. Ne gardez rien d’autre dans votre pensée. Continuez de penser à cela. «Que tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées.» Vous ne pouvez rien recevoir de Dieu en ayant des pensées négatives.

Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent.

Maintenant le verset 42:

La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus grand que Salomon.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-18 Notre Seigneur venait juste d’être traité de Béelzébul par les–les docteurs de Son jour, c’est-à-dire les théologiens. Et il avait réprimandé la ville dans laquelle il venait de prêcher, et Il avait accompli des signes et des miracles, comme nous l’avons lu l’autre soir sur ce qu’était Son ministère en Son jour, comment Il pouvait discerner les pensées du coeur par l’Esprit de Dieu.

Et les–les membres d’église de Son jour pensaient qu’Il était un liseur de pensées, ou une espèce de sorcier, et ils L’ont traité d’esprit malin. Et notre Seigneur a dit: «Si vous dites cela de Moi, Je vous pardonnerai; mais un jour le Saint-Esprit viendra, à ce moment-là Il fera la même oeuvre que Je fais, et alors une seule parole contre ce Saint-Esprit-là, faisant la même oeuvre, ne sera jamais pardonnée à un homme dans ce monde ni dans le monde à venir.» Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors croyez les oeuvres.»


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