Jeffersonville, Indiana, USA
E-30 Tenez, il y a quelque temps, je suis allé à–à un endroit où un garçon se mourait, cela fait environ dix ans. Un vieux saint vint vers moi et me dit: «Frère Branham, voudriez-vous venir voir mon fils; il se meurt de la diphtérie noire.»
Je lui ai dit: «Oui, monsieur, je viendrai dès que la réunion sera terminée. Et je suis allé là où le jeune garçon se mourait, cela faisait deux jours qu’il était dans le coma. Eh bien, le médecin ne voulait pas me laisser entrer.
Il a dit: «Etes-vous marié?»
J’ai dit: «Oui, monsieur. J’ai deux enfants.»
Il a dit: «Eh bien, je ne peux pas vous laisser entrer parce que vous allez véhiculer cette maladie.»
J’ai dit: «Docteur, si je ne peux pas faire confiance à Dieu pour cela, je ne devrais pas aller prier pour ce garçon.»
Et il a dit: «Je ne peux pas vous faire entrer.»
J’ai dit: «Laissez-moi entrer, et alors... lui donner la communion ou quelque chose.» J’ai dit: «Etes-vous catholique?»
Il a dit: «Je suis catholique.»
J’ai dit: «Si un prêtre venait ici pour lui donner les derniers sacrements, s’il était catholique, allez-vous le laisser entrer?»
Il a dit: «Ça, c’est différent; le prêtre n’a pas d’enfants.»
J’ai dit: «Mais j’aimerais vous demander une chose. Ceci est aussi sacré pour nous que les derniers sacrements pour vous.» J’ai dit: «Laissez-moi entrer.»
Il a dit: «Prenez-y garde, vous en porterez toute la responsabilité.»
J’ai dit: «Dieu y veillera.» Et il m’habilla comme un membre du Ku Klux Klan. Et je suis entré pour–pour voir–pour voir ce garçon, et il était dans le coma. Une petite infirmière se tenait là, une très jolie petite dame, et je me suis agenouillé sur un côté du lit. L’enfant était dans le coma. Et l’infirmière a dit: «Madame...»
La dame dit: «Je...» Je crois que la dame en question est ici ce soir. Je–je voudrais finir ceci avant de lui dire, et ensuite... de quelle dame il s’agit. Et j’ai dit... l’infirmière lui a dit: «Voulez-vous... savez-vous que votre fils est en train de mourir?»
Je crois que la petite infirmière avait dit cela à mon avantage.
Et j’ai dit: «Eh bien! s’il se meurt, Dieu est un Sauveur.» Elle a remué en quelque sorte ses petites lèvres maquillées et elle a regardé de côté, et j’ai dit: «Prions.» Et le vieux père et la mère se sont agenouillés de l’autre côté du lit de l’enfant; j’ai dit: «Seigneur Dieu, Toi le Dieu qui a créé le ciel et la terre, Tu as dit: ‘Tout ce que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous l’avez reçu!’ Et il est aussi écrit: ‘si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que cela s’accomplira, vous le verrez s’accomplir.’ C’est Ta Parole, et c’est ce que nous faisons, Seigneur.» Et j’ai dit: «J’impose les mains sur ce garçon, et je condamne cette mort au Nom de Jésus-Christ.» Je me suis levé; le vieux père s’est levé, il a essuyé les larmes de ses lunettes, et il a pris la mère dans ses bras, et il a dit: «Maman, penses-y; il va vivre maintenant, n’est-ce pas glorieux? Le garçon était toujours dans le coma, il respirait à peine. Et l’infirmière a dit: «Oh!»
La mère a dit: «C’est merveilleux, Fred, c’est merveilleux!» Elle a dit: «Il va vivre maintenant, merci Seigneur.»