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Jeffersonville, Indiana, USA

E-21 Luther, beaucoup d’entre vous luthériens, eh bien, l’histoire dit que ce n’était pas un mystère, que Martin Luther ait protesté contre l’Eglise catholique et s’en soit tiré, mais le fait qu’il ait pu garder sa tête au-dessus du fanatisme qui a suivi le réveil.

Et c’est ce qu’il en est aujourd’hui. Et vous les non pentecôtistes, c’est ce qui... permettez-moi de dire ceci, en tant que baptiste: ce que je sais, c’est que les pentecôtistes ont beaucoup d’histoires absurdes. Ils ont beaucoup de manifestations charnelles et font bien des histoires, mais frère, il y a un véritable Saint-Esprit parmi eux. C’est juste. Alors, vous les pentecôtistes, qui gardez votre tête dans le–dans le calvaire, et dans la Parole, et non dans les sensations, mais conformément à la Parole et continuez à marcher devant Dieu, vous êtes alors bénis. Vous avez le dessus du panier: l’Esprit et la Parole.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-22 Et Jésus s’occupait des affaires de Son Père, étant aussi intransigeant que ces pharisiens prétendaient l’être, et lorsqu’Il a accompli Ses oeuvres, eux s’attendaient à ce que ça soit quelque chose de différent, parce qu’Il pouvait discerner les pensées de leurs coeurs... C’est comme lorsque Pierre est venu, Il a dit: «Tu t’appelles Simon, et le nom de ton père était Jonas.»

Lorsque Philippe alla trouver Nathanaël et qu’il lui dit qui il avait trouvé, eh bien, Nathanaël ne pouvait pas comprendre cela, que le Messie vienne de Nazareth; le Messie devait plutôt venir d’une certaine dénomination, sinon d’aucune dénomination du tout. Il n’arrivait pas à comprendre cela, il lui a dit: «Viens donc voir par toi-même.» Et lorsqu’il arriva, Jésus lui dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

Et il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu? Je Te suis inconnu.»

Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

Et Philippe a dit, ou plutôt Nathanaël a dit: «Tu es le Christ; Tu es le Roi d’Israël», voyez-vous, le véritable élu reconnaît que c’est Dieu, pendant que les vrais sacrificateurs et les scribes se tenaient à côté et disaient: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure.» Et tout le monde sait que dire la bonne aventure, c’est du diable.

Ils ont donc traité l’Esprit de Dieu d’esprit impur. Et Jésus a dit que, lorsque le Saint-Esprit viendra se manifester, Il fera les mêmes oeuvres que Lui a faites, et une parole contre cela ne sera jamais pardonnée.» Alors voyez-vous l’heure dans laquelle nous vivons?


Jeffersonville, Indiana, USA

E-26 Croyez-vous que nous vivons dans l’une de ces générations méchantes et adultères? Certainement. Comme je l’ai souvent dit, cette nation ne pourra jamais échapper à la condamnation et à la colère de Dieu. Je suis Américain. Beaucoup de membres de la famille Branham ont été ensevelis sur les champs de bataille, tués pendant la guerre. Et si ce soir, je devais en venir à faire un choix, l’Amérique est mon pays. Je l’aime, mais je n’aime pas les péchés qu’il est en train de commettre. Dieu aime l’Amérique, mais Il hait son péché. Et le péché, c’est un opprobre pour n’importe quel pays; et ne pensez pas que nous allons échapper au jugement parce que nos pères, au Rocher de Plymouth, ont fondé cette nation sur les principes qui l’ont régie. Israël était l’Epouse bien-aimée de Dieu, et elle a payé pour son péché. David était un homme selon le coeur de Dieu; il dut payer pour son péché, et nous devrons payer pour notre péché. Si Dieu ne juge pas l’Amérique pour son impiété, étant un Dieu saint et infini, Il serait obligé de ressusciter Sodome et Gomorrhe et de leur présenter des excuses pour les avoir brûlées et fait sombrer dans la mer. Sans doute, nous allons inévitablement passer par le jugement. Il n’y a pas moyen d’y échapper. Alors, préparez-vous pour échapper à la damnation de la colère de Dieu, en fuyant vers Jésus-Christ.


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E-28 Maintenant, regardez Jonas. Beaucoup de gens pensent que Jonas était une personne horrible. Jonas était un prophète du Seigneur, marchant dans toute la volonté du Seigneur. Vous direz: «Pourquoi a-t-il fait ce qu’il a fait?» Il n’a rien fait qui soit contraire à la volonté de Dieu. Si vous êtes en Christ, vous ne ferez pas tout ce qui est contraire à la volonté de Dieu, si vous marchez dans l’humilité, et–et avec droiture. Il peut paraître que vous le faites, mais vous ne le faites pas. Rien n’arrive au hasard. Les pas du juste sont conduits par l’Eternel, et toutes choses concourent au bien de ceux qui L’aiment. Comment pouvez-vous prendre ces passages des Ecritures, Les comparer avec d’autres et ensuite Les aantir?

Les Ecritures ne peuvent pas être aanties.

Oh! vous direz: «Il a pris un navire et il s’est rendu à Tarsis, plutôt qu’à Ninive; alors que Dieu l’avait envoyé à Ninive; lui, il s’est rendu à Tarsis.»

Considérons cela pendant quelques minutes, pour comprendre. Ça dépend de la manière dont vous regardez cela. Vous passez par-dessus cela et vous dites: «Oh! tu es un Jonas.» J’aimerais bien en être un. Certainement, il était un homme de Dieu.


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E-29 Remarquez, lorsqu’il est allé à Ninive, il n’y avait aucun navire, il a donc pris un navire pour Tarsis. Lorsqu’il fut en mer, la mer se mit en colère, parce que le prédicateur avait rétrogradé. Et on lui a lié les pieds et les mains, et on l’a jeté hors du navire. Et Dieu avait un grand poisson pour l’avaler.

Eh bien, tout le monde sait qu’un poisson parcourt les eaux dans tous les sens jusqu’à ce qu’il trouve sa nourriture, après quoi il va au fond de la mer ou du lac, partout où vous pêchez, et il pose ses petites nageoires sur le fond et se repose. Donnez à manger à vos poissons rouges et observez-les. Ils iront tout au fond du bocal, poseront leurs petites nageoires là au fond pour se reposer.

Or, ce poisson-ci, Dieu l’avait préparé et Il avait préparé un prédicateur comme son dîner. Et il s’est approché du navire. Et Il l’a jeté dans la bouche de la baleine, il est descendu au fond de la mer, les mains liées derrière le dos, les pieds liés.

Je me suis souvent demandé comment les gens, en ce jour-ci et en cette heure-ci, peuvent-ils lire cette histoire et continuer à regarder à leurs symptômes? Voilà la raison pour laquelle les gens ne sont pas guéris. Vous vous mettez à regarder à vos symptômes. Vous ne pouvez pas regarder à vos symptômes et être guéris. Vous devez regarder à la promesse que Dieu a faite.


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E-30 Tenez, il y a quelque temps, je suis allé à–à un endroit où un garçon se mourait, cela fait environ dix ans. Un vieux saint vint vers moi et me dit: «Frère Branham, voudriez-vous venir voir mon fils; il se meurt de la diphtérie noire.»

Je lui ai dit: «Oui, monsieur, je viendrai dès que la réunion sera terminée. Et je suis allé là où le jeune garçon se mourait, cela faisait deux jours qu’il était dans le coma. Eh bien, le médecin ne voulait pas me laisser entrer.

Il a dit: «Etes-vous marié?»

J’ai dit: «Oui, monsieur. J’ai deux enfants.»

Il a dit: «Eh bien, je ne peux pas vous laisser entrer parce que vous allez véhiculer cette maladie.»

J’ai dit: «Docteur, si je ne peux pas faire confiance à Dieu pour cela, je ne devrais pas aller prier pour ce garçon.»

Et il a dit: «Je ne peux pas vous faire entrer.»

J’ai dit: «Laissez-moi entrer, et alors... lui donner la communion ou quelque chose.» J’ai dit: «Etes-vous catholique?»

Il a dit: «Je suis catholique.»

J’ai dit: «Si un prêtre venait ici pour lui donner les derniers sacrements, s’il était catholique, allez-vous le laisser entrer?»

Il a dit: «Ça, c’est différent; le prêtre n’a pas d’enfants.»

J’ai dit: «Mais j’aimerais vous demander une chose. Ceci est aussi sacré pour nous que les derniers sacrements pour vous.» J’ai dit: «Laissez-moi entrer.»

Il a dit: «Prenez-y garde, vous en porterez toute la responsabilité.»

J’ai dit: «Dieu y veillera.» Et il m’habilla comme un membre du Ku Klux Klan. Et je suis entré pour–pour voir–pour voir ce garçon, et il était dans le coma. Une petite infirmière se tenait là, une très jolie petite dame, et je me suis agenouillé sur un côté du lit. L’enfant était dans le coma. Et l’infirmière a dit: «Madame...»

La dame dit: «Je...» Je crois que la dame en question est ici ce soir. Je–je voudrais finir ceci avant de lui dire, et ensuite... de quelle dame il s’agit. Et j’ai dit... l’infirmière lui a dit: «Voulez-vous... savez-vous que votre fils est en train de mourir?»

Je crois que la petite infirmière avait dit cela à mon avantage.

Et j’ai dit: «Eh bien! s’il se meurt, Dieu est un Sauveur.» Elle a remué en quelque sorte ses petites lèvres maquillées et elle a regardé de côté, et j’ai dit: «Prions.» Et le vieux père et la mère se sont agenouillés de l’autre côté du lit de l’enfant; j’ai dit: «Seigneur Dieu, Toi le Dieu qui a créé le ciel et la terre, Tu as dit: ‘Tout ce que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous l’avez reçu!’ Et il est aussi écrit: ‘si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que cela s’accomplira, vous le verrez s’accomplir.’ C’est Ta Parole, et c’est ce que nous faisons, Seigneur.» Et j’ai dit: «J’impose les mains sur ce garçon, et je condamne cette mort au Nom de Jésus-Christ.» Je me suis levé; le vieux père s’est levé, il a essuyé les larmes de ses lunettes, et il a pris la mère dans ses bras, et il a dit: «Maman, penses-y; il va vivre maintenant, n’est-ce pas glorieux? Le garçon était toujours dans le coma, il respirait à peine. Et l’infirmière a dit: «Oh!»

La mère a dit: «C’est merveilleux, Fred, c’est merveilleux!» Elle a dit: «Il va vivre maintenant, merci Seigneur.»


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E-32 Lorsque Jonas était dans le ventre de la baleine, si jamais quelqu’un a eu des symptômes, c’était Jonas. Eh bien! qu’il regarde de ce côté-ci, c’était la baleine, le ventre de la baleine. Qu’il se retourne de l’autre côté, c’était le ventre de la baleine. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Il avait des algues autour du cou, étendu dans le vomi, dans le ventre de la baleine. Eh bien, ce n’est pas étonnant. Il en avait vraiment, les symptômes.

Il était dans un cas bien pire que vous pourriez l’être ce soir. Personne ici n’est dans cette condition-là. Mais, savez-vous ce que Jonas a dit? il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je ne vais plus regarder au ventre de la baleine, mais une fois encore, je lèverai les yeux vers Ton saint temple!» Amen. Pourquoi? Il savait que lorsque Salomon fit la dédicace du temple, Salomon avait fait cette prière, et il avait dit: «Seigneur, si Ton Peuple est en danger où que ce soit, et regarde vers ce lieu saint et prie, alors exauce-le des cieux.» Et Jonas, si vous voulez l’appeler un rétrograde, les mains liées derrière lui, les pieds liés, dans une mer houleuse, dans le ventre de la baleine tout au fond de l’océan, il refusa de regarder à quoi que ce soit, sauf au temple, parce qu’il y avait une prière au sujet du temple. Si Jonas pouvait regarder au temple fait par l’homme et avoir ce genre de foi, dans ces conditions-là, combien plus pouvons-nous ce soir, dans n’importe quelle circonstance, regarder au Ciel, là où Christ est assis à la droite de Dieu, avec Son propre Sang pour intercéder sur base de notre confession. Cela dépend de ce à quoi vous regardez.


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E-36 Remarquez, et aux jours de Salomon, ce grand don, tout le monde avait soutenu cela, et les gens ont commencé à en parler et, vous savez, la nouvelle s’est répandue partout dans le monde de l’époque. Tout le monde qui passait disait: «Ces gens sont d’un commun accord. Tenez, ils–ils ont un grand don que Dieu leur a envoyé.» Et tous, ils croyaient ce don-là. Ne serait-ce pas merveilleux ce soir, si seulement le monde ecclésiastique de l’Amérique croyait le plus grand Don que Dieu ait jamais envoyé au monde, le Saint-Esprit, et soutenait cela!

Si vous les méthodistes, vous pouviez démolir vos barrières et vous les baptistes, si vous pouviez démolir vos barrières, vous les presbytériens et les pentecôtistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, et si chacun de vous démolissait ses petites barrières pour laisser le Saint-Esprit venir parmi nous tous et créer un amour pieux et fraternel, et le respect, alors une puissance frapperait cette nation, au point que les journaux et les radios en parleraient partout dans le monde. Mais ils ne veulent pas le faire. Chaque homme a son propre arbre, et ils ne veulent pas se mettre ensemble.


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E-37 En ce temps-là, ils étaient tous d’un commun accord, ils allaient devant Salomon et observaient ce grand don–on en parlait partout. Et la nouvelle s’est répandue jusqu’aux extrémités du monde connu, jusqu’à Séba. Et il y avait une petite reine là-bas; elle était une païenne pour commencer, mais, vous savez, Dieu ne fait acception de personne, Il sauve quiconque veut être sauvé.

Maintenant observez. Lorsque les gens se rendaient là-bas, les gens qui passaient, chaque voyageur qui traversait la Palestine, chacun d’eux venait et disait à quelqu’un, disait à la petite reine: «Dites, je viens de passer par la Palestine; vous n’avez jamais rien vu de pareil dans votre vie. Leur Dieu est un Grand Dieu. Il n’est pas un Dieu mort. Il est un Dieu vivant. Et Il leur a donné un homme du nom de Salomon. Eh bien! ils l’ont fait roi, et il a une grande puissance de discernement, cela ne peut venir que de Dieu.» Eh bien, vous savez, la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Ainsi cela créa une faim dans le coeur de la petite reine. Et tout le monde en parlait, alors elle décida d’aller voir elle-même; ça, c’est une bonne idée. C’est beaucoup mieux que de rester chez soi à critiquer. C’est beaucoup mieux que de dire: «Ma dénomination ne collabore pas avec ce réveil», c’est beaucoup mieux. Elle a dit: «J’irai voir moi-même.»


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E-38 Eh bien, elle avait bien des choses à affronter, beaucoup plus que vous pourriez en avoir. Premièrement, elle était une femme. Ensuite, elle était païenne. Or, afin de pouvoir y aller, elle devait obtenir une autorisation de son–de son prêtre païen. Elle alla donc voir l’archevêque de son église et lui dit: «Evêque, j’ai entendu dire... J’ai amené mon pasteur, mais il n’est pas d’accord avec moi, mais j’ai entendu dire qu’en Palestine, ils ont un Dieu qui leur a donné un grand don, et Sa grande présence opérant à travers un homme manifeste la Présence du Dieu vivant.»

Alors, l’évêque a dit: «Hum, hum, maintenant, reine, sais-tu que tu es un membre fondateur de cette assemblée? Eh bien, tu sais, nous ne tolérerons pas de telles absurdités. Eh bien, vous savez bien que pareille chose n’existe pas. S’il y avait quoi que ce soit comme signe surnaturel ou autre, notre dieu Dagon, et tout le reste l’auraient ici. Tu vois? Il n’en est rien; c’est un tas de non-sens; c’est une chose inventée.»

Elle a dit: «Mais, vous savez, j’aimerais aller voir moi-même.»

Voilà une bonne idée! Allez vous rendre compte.


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