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Jeffersonville, Indiana, USA

E-39 Eh bien, j’entends l’évêque, l’archevêque et les autres s’assembler et dire: «Maintenant écoute-nous, même si tu es la reine, mais souviens-toi que si tu te joins à ce genre de fanatisme, nous allons t’excommunier et tu ne recevras pas les derniers sacrements à ta mort, et tu ne seras pas ensevelie ici dans notre cimetière (c’est sûr) là où ta mère, ton papa et les autres ont été ensevelis.»

Et elle a dit: «Mais écoutez, évêques, il y a dans mon coeur quelque chose qui me donne la soif d’aller m’en rendre compte.» Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés. Rien ne va les arrêter. Oh! elle a dit: «Eh bien, un instant, je vais y aller.»

Et il a dit: «Maintenant écoute, si tu es curieuse, pourquoi ne vas-tu pas chercher ton livre de prières, et venir à l’église et nous allons en parler en long et large.»


Jeffersonville, Indiana, USA

E-42 Je sais que vous pensez que je suis excité; si vous sentiez ce que je ressens, vous le seriez aussi. Je sais qu’Il est réel, non pas parce que cela se trouve dans mon coeur; c’est une des raisons, oui. Les mahométans disent: «Il est réel, parce que Mahomet est dans mon coeur.» Eh bien! laissez-moi voir Mahomet faire les choses qu’il faisait quand il était vivant. Je peux vous montrer que Jésus fait les mêmes choses. Evidemment, Il est le Dieu vivant. Alors la reine a dit: «Eh bien! vous pouvez effacer mon nom du registre. Faites ce que vous voulez. J’en ai assez de ces vieux credos. Je vais aller voir si cette chose est vraie ou pas.» Et lorsqu’elle s’est apprêtée pour partir, elle n’allait pas partir les mains vides. Elle chargea les chameaux d’or, d’encens et d’argent, et elle dit: «Si la chose est vraie, je vais la soutenir. Si ce n’est pas vrai, je ramènerai mon argent.» C’est une bonne chose. C’est juste.

Si vous, les fidèles, vous étiez plus sincères à ce sujet et que vous souteniez quelque chose dans lequel Dieu se trouve, au lieu de soutenir tant de vieilles choses comme un bâtiment d’un million de dollars qui n’est rien d’autre qu’une vieille morgue quelque part. Entrez-y et vous verrez que le thermomètre spirituel marque 90° au-dessous de zéro. Si quelqu’un dit «amen», les autres s’évanouissent. Qu’est-ce qui ne va pas? Si Christ accomplissait un miracle, on vous mettra à la porte.


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E-44 Donc cette petite reine, elle avait bien des choses à affronter. Eh bien, avez-vous déjà évalué la distance qui sépare Séba de la Palestine? Eh bien! elle n’est pas allée dans une Cadillac climatisée ou dans un grand autocar. Elle est allée à dos de chameau. Et ça ne lui a pas pris juste une heure ou deux, ça lui a pris trois mois pour y arriver. Et aujourd’hui les gens ne veulent pas traverser la rue. Que fera-t-elle dans votre génération, lorsqu’elle se lèvera avec cette génération? Si elle a parcouru trois cents miles [482 km] à dos de chameau, non pas sur une belle et grande route comme celles que nous avons ici, mais à travers le désert pour entendre un don... Et Jésus a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération-là», et nous avons eu deux mille ans d’enseignement biblique avec le même Saint-Esprit qui est ici ce soir, avec la même puissance, faisant les mêmes oeuvres, et nous ne voulons pas traverser la rue ou parcourir ne serait-ce qu’un kilomètre dans une voiture climatisée! Que va-t-elle faire à cette génération?


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E-45 Oh! il vous faut rester pour regarder Elvis, Arthur Godfrey, Nous aimons Susie, ou des choses semblables. Se divertir, voilà le problème du peuple américain; ils veulent se divertir, ils ne veulent pas de l’Evangile. Vous attendez d’avoir un prédicateur, et vous allez voter dans votre église, que faites-vous? Vous choisissez un homme qui est une petite poule mouillée, du style Hollywood, qui s’étendra là toute la nuit, couché sur une plage quelque part, et vous organisez des parties de fêtes, vous jouez au jeu de loto au sous-sol de l’église, vous organisez des repas de bienfaisance où vous faites cuire un vieux poulet racorni et vendez cela à cinquante cents le plat pour payer le pasteur.

Si vous prêchez l’Evangile, le prédicateur exposera la chose là et amènera les gens à payer la dîme, vous ne serez pas obligés de faire ce genre d’histoires, ça ce sont des credos faits de main d’homme. Et vous appelez ça une religion! Il va se lever le dimanche matin et prêcher un sermon de dix minutes; si jamais il prêche plus de dix minutes, le–le conseil des diacres le réprimande et à la prochaine séance ils votent contre lui. Honte à vous! Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’un Evangile aux mains nues, à l’ancienne mode, envoyé de Dieu, au ciel bleu, une religion qui tue le péché et le Saint-Esprit qui retourne dans l’Eglise, dans les membres. C’est juste.


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E-49 Remarquez, lorsqu’elle s’est avancée, elle a dit: «Je vais rester jusqu’à la fin. Lorsque je serai convaincue, très bien.» Alors je la vois le lendemain matin, dans ses plus beaux vêtements, et ses petites princesses autour d’elle et les eunuques et ainsi de suite, et ils se sont avancés jusqu’à la porte. Et ils se sont tenus là; la grande assemblée était réunie. Elle a dit: «Maintenant je vais voir; j’ai entendu dire qu’il discerne les pensées du coeur, une grande puissance de discernement. Et il y a un Dieu qui peut faire cela. Nos dieux ne peuvent pas faire cela. Ils n’ont pas assez de vie en eux pour faire ça. Nous n’avons qu’un tas de livres et de credos qui nous parlent d’un certain dieu qui était et nous avons des statues et tout le reste, mais il n’a aucune vie. Mais cet homme-là est un véritable serviteur de Dieu qui peut produire cela, alors je vais devenir la servante de ce Dieu-là.» Très bien.

Elle s’avance et prend une place... sa position, le pasteur Salomon apparaît, se tient sur l’estrade et commence à parler un peu du Grand Jéhovah, et on lui amène un cas. Aussitôt que cela parvient jusqu’à Salomon, il y avait une puissance de discernement qui révélait la vérité. Que croyez-vous que cette petite païenne a dû penser? Elle a dit: «Je crois que je suis déjà convaincue.»

Après un instant un autre cas se présente, Salomon n’était qu’un homme, mais elle voyait qu’il y avait quelque chose dans l’homme, un don venant de Dieu, lequel était surnaturel. Elle a dit: «J’ai observé pendant deux jours jusqu’à présent, et il n’y a pas eu une seule erreur, ma carte de prière sera appelée d’ici peu. Finalement, elle se présenta devant Salomon et Salomon, la Bible dit: «lui fit connaître toutes les choses qu’elle désirait.» Que fit-elle? Elle s’est présentée directement devant les gens et a dit: «Tout ce que j’ai entendu dire était la vérité, et c’est plus que ce que j’ai entendu, c’est la vérité.» Et elle a pris position publiquement, et elle est repartie chez elle avec un Dieu dans son coeur, qui était le Dieu du surnaturel. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... C’était un Dieu qui lui avait révélé les secrets de son coeur au travers de Son serviteur. Et Jésus a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement.» Avec ce Salomon qui avait une petite cuillerée du don de Dieu, et Lui ayant la plénitude de la Divinité corporellement, on L’a traité de démon, de Béelzébul, Il a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération.» Que fera-t-elle avec cette génération-ci? Que fera-t-elle? Qu’a-t-elle dit? Elle a dit: «Heureux sont les hommes qui vont avec toi, heureux les hommes qui te suivent, car constamment ils voient cette grande sagesse que Dieu t’a donnée, ce grand esprit de discernement, heureux sont tes eunuques et heureux sont tes porteurs et ceux qui travaillent avec toi, car ils sont privilégiés de se tenir à tes côtés et voient le discernement de Dieu constamment. Jésus a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération.»


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E-50 Je me demande... en terminant j’aimerais dire ceci: «Christ est le même hier aujourd’hui et éternellement.» Il a des obligations. Il est toujours le Dieu vivant. Il n’est pas mort. Il est ressuscité. Je me demande ce soir... Je lisais une petite histoire il n’y a pas longtemps au sujet de Danny Greenfield, de l’Amérique centrale; il était évangéliste cela fait environ soixante-quinze ou cent ans. Et il avait gagné beaucoup d’âmes à Christ; et une nuit, il a rêvé qu’il est mort. Et bien sûr, il est alau Ciel. Quand il est arrivé à la porte, il y avait un... le portier sortit et lui dit: «Qui approche ce lieu saint?»

Et il a dit: «Je suis Danny Greenfield, l’évangéliste américain. J’ai gagné beaucoup d’âmes pour notre Seigneur et je viens pour prendre ma position et ma place au ciel.»

«Un instant, monsieur», lui dit le gardien. Il fait un pas en arrière: «Vous avez dit que vous vous appelez comment?»

–Daniel Greenfield.

–Il a parcouru tout le registre et a dit: «Ce nom-là ne figure pas ici.»

«Oh! a-t-il dit, vous vous êtes certainement trompé, monsieur.» Il a dit: «J’ai prêché et gagné des âmes à Christ.»

Il a dit: «Je regrette, monsieur, votre nom n’est pas dans ce Livre et vous devrez vous retirer des portes.»

«Eh bien, a-t-il dit, que dois-je faire?»

L’Ange dit: «La seule chose à faire que je sache, vous pouvez interjeter appel, au grand Trône blanc du jugement, si vous désirez vous tenir là.»

«Eh bien, dit-il, je n’ai pas d’autre choix!»

Il a dit: «Très bien.»


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E-52 Frère, il en est ainsi ce soir. Pendant que vous êtes assis ici à l’église, pendant que vous êtes en bonne santé tel que vous l’êtes, vous vous sentez à l’aise, mais dans la présence de ce Trône blanc de jugement, il y aura bien des choses qui surgiront à ce moment-là. Vous êtes mortel, vous regardez comme un mortel. Ne vous confiez jamais à vos mérites.

Il a dit: «Oui, Seigneur, j’ai volé.»

Il a dit: «Daniel Greenfield, ma justice exige la perfection. As-tu été parfait dans ta vie?»

Il a dit: «Non, Seigneur, je n’étais pas parfait.»

Et il a dit, comme il écoutait, il entendit ce grand tonnerre gronder, disant: «Envoie-le à la destruction éternelle, loin de Ma Présence.»

Il a dit: «Il semblait que mes os, a-t-il dit, allaient se disjoindre, alors que j’entendais ce grand grondement venir de quelque part.» Et il a dit: «J’entendis la Voix la plus douce que j’aie jamais entendue de ma vie.» Il a dit: «Aucune voix de mère n’aurait pu être comme celle-là.» Et il a dit: «Je me suis retourné pour regarder, j’ai vu le visage le plus doux que j’ai jamais vu. Aucun visage de mère ne peut avoir un tel aspect.» Il marcha vers moi, m’entoura de Ses bras et me serra contre Son côté.

Et Il a dit: «Père, il est vrai que Daniel Greenfield n’était pas parfait dans sa vie, mais a-t-Il dit, Daniel Greenfield a fait une chose dans sa vie, il a pris position pour Moi et pendant qu’il est ici, Je vais prendre position pour lui.»

Frère, mon église ne peut pas prendre position; ma dénomination ne peut pas prendre position; ma justice ne peut pas prendre position et la vôtre non plus. J’aimerais faire comme la reine de Séba, j’aimerais prendre position ce soir pour le Seigneur Jésus. Si vous étiez en train de mourir ce soir, qui prendrait position pour vous en ce lieu saint? Pensez-y pendant que vous inclinez votre tête juste un instant.


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E-59 Maintenant, il est presque impossible de former une ligne de prière jusqu’ici, juste pour dire... Ce n’est pas juste que je dise: «Je vais faire entrer ce groupe-ci dans la ligne de prière; je vais faire entrer ces cinq premiers rangs», cela ne serait pas juste. Cela ne serait pas juste de dire: «Je vais prendre ces cinq premiers rangs qui sont devant.» Cela ne serait pas juste, ce serait laisser tomber les autres. Nous devons distribuer les cartes de prière pour garder les gens alignés.

Je suppose qu’il y a sept cents personnes ici ce soir, et peut-être, parmi les sept cents personnes, je dirais qu’il y en a au moins cinq cents qui veulent qu’on prie pour elles. Aimerez-vous voir cela? Tous ceux qui sont ici, qui veulent qu’on adresse une prière à Dieu en leur faveur, levez les mains. Je vous montrerai. Tout le monde, soyez honnêtes. Voilà. Je dirais qu’il y en a six cent quatre-vingt-quinze, qui veulent qu’on prie pour eux. Or je ne peux pas les prendre tous, et qui va être le premier?


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E-60 Maintenant, on avait l’habitude, quand on allait aux réunions, de... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Frère Boswell m’a dit... [Espace vide sur la bande]... Pendant qu’on est là. Eh bien, ceux qui étaient là le premier jour, ils y entraient. Si vous n’y étiez pas... Si vous étiez venu le deuxième jour, avec un cas urgent ou quoi que ce soit, vous ne l’auriez pas reçue. Vous n’aurez reçu aucune carte de prière. Ce n’était pas juste.

Alors nous avons donc dit, la chose suivante que nous ferions, c’est de distribuer des cartes de prière chaque jour–distribuer chaque jour une nouvelle série de cartes de prière. Celles qui restaient le jour précédent, nous les annulions. Toute personne qui avait reçu une carte de prière devrait simplement jeter sa vieille carte et en prendre une nouvelle. C’est en ordre. Et nous allons les distribuer comme cela. Puis, ç’en était arrivé au point où si vous n’aviez pas... si quelqu’un recevait un numéro au-delà de 20 ou 25, il disait: «Je ne veux pas de ce numéro.» Ils jetaient cela. «Cela ne sera jamais appelé, parce que vous n’appelez pas au-delà de 20 ou 25.»

Quelquefois je n’arrive même pas au numéro 2 ou 3. Et les gens disaient: «Cela ne sera jamais appelé. Non!»


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E-62 Or, j’ai été critiqué, les gens disent: «Oral Roberts prie pour cinq cents personnes, alors que toi tu pries pour trois.»

C’est juste. Mais Dieu fait... Oral Roberts fait ce que Dieu lui dit de faire, et je fais ce que Dieu me dit de faire. Voyez-vous? Je ne suis pas Oral Roberts, et Oral Roberts n’est pas moi. Nous sommes deux serviteurs de Christ ayant deux ministères différents.

Mais quant à ma façon... Voyez-vous, l’imposition des mains... (supportez-moi prédicateurs), c’est une tradition juive, cela ne fut jamais donné aux Nations. Considérez Jaïrus qui a dit: «Viens imposer les mains à mon enfant, et elle vivra.» C’était un Juif. Le centurion Romain a dit: «Je ne suis pas digne que tu viennes sous mon toit, dis seulement une parole.» Voilà les Nations.

Jésus se retourna et dit: «Je n’ai pas vu une telle foi en Israël.» Mais on nous a enseigné ces traditions, «imposer les mains aux malades, imposer les mains aux malades». Frère Roberts se tient là et impose les mains aux malades, il impose les mains aux malades. Un grand pourcentage d’entre eux reviennent carrément dans ma ligne de prière et veulent savoir ce qui cloche. Voyez-vous? Vous y êtes. Un travail lent...


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