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Los Angeles, California, USA

E-15 Et nos barrières dénominationnelles ont érigé des barrières entre les gens pour les amener à se disputer, à faire des histoires au sujet de leurs dénominations. Mais je crois que nous avons échoué d’apporter à l’église, d’apporter aux gens ce que Jésus nous a confié pour leur donner.

Vous savez, je pense qu’avant de sortir cet après-midi, nous devrions faire l’inventaire pour voir ce dont notre Seigneur parlait lorsqu’Il a écrit cette parabole, ou plutôt lorsqu’Il en a parlé. Vous voyez, là... Nous devrions savoir comment dire aux gens de se préparer pour ce grand événement à venir. Si la Venue du Seigneur est si importante, la chose la plus importante pour nous à faire, c’est d’amener les gens à se préparer pour cela. En effet, s’Il vient et que nous ne sommes pas préparés, alors, nous serons exclus. Mais nous devons préparer la voie du Seigneur avec ceci, notre Message de Sa part, car «telle voie», déclarent les Ecritures, «paraît droite à un homme. Telle voie paraît droite, mais son issue, c’est la voie de la mort.»


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E-16 Qu’arriverait-il donc si les gens étaient mal préparés? Qu’arriverait-il si les soldats allaient sur le champ de bataille sans être entraînés à combattre, mais qu’ils y allaient plutôt pour danser? Même s’ils–s’ils pouvaient... pouvaient être de très bons danseurs, ils devaient être entraînés à combattre. Qu’arriverait-il s’ils allaient là pour–pour avoir une espèce d’affaire, mais qu’ils ne savaient pas se servir de leurs fusils? Ils seraient utiles à peu de choses. Je pense donc que les moissonneurs devraient être préparés à savoir comment former les gens pour la Venue du Seigneur, car il n’y a personne parmi nous qui n’aimerait rencontrer cela.

Et je crois que nous sommes si près de la Venue que ces grands miracles que nous voyons s’accomplir sont un indice de Sa Venue proche.


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E-17 Or, c’est Jésus qui a enseigné cette parabole. Et si... Il vous faudra pratiquement considérer les Ecritures du point de vue des Orientaux avant de comprendre donc les paraboles, car la Bible est un Livre de l’Orient. Nous, nous sommes des Occidentaux, nous regardons la Bible d’un point de vue des Orientaux... des Occidentaux alors que c’est une Parole écrite à l’orientale. En effet, Elle a été écrite il y a deux mille ans. Le sens demeure le même. Mais si jamais vous allez en Orient, la Bible deviendra un nouveau Livre pour vous. L’entendement qu’on En a, ainsi que Son interprétation seront, on dirait, beaucoup plus clairs.

Je ne veux pas dire que nous ne savons pas comment être sauvés d’après les Ecritures, mais voici ce que je veux dire: Cela va simplement éclairer la chose pour vous, lorsque vous voyez ce que Jésus avait enseigné à cette époque-là, d’après les coutumes de l’Orient. Et elles n’ont pas du tout changé. Elles sont aujourd’hui exactement comme autrefois.


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E-18 Donc, cet homme ne s’embrouillerait pas, car il n’y aurait pas ces points dans lesquels nous sommes aujourd’hui tout embrouillés. Jésus enseignait les gens en paraboleS
Maintenant, comme ce Souper des Noces... Evidemment, nous savons tous que le Souper des Noces aura lieu dans le futur, quand tous les rachetés de tous les âges viendront dans la Présence de Dieu, les rachetés par le Sang de l’Agneau, et qu’ils se tiendront là lavés par Son Sang et revêtus de la robe de Sa justice; alors, nous aurons ce grand Souper des Noces qui s’étendra d’un bout à l’autre des cieux. Et je pense à ce rendez-vous-là, comme beaucoup parmi nous ici sont forts avancés sur la route, avec des cheveux foncièrement grisonnants, des épaules affaissées. Eh bien, environ quatre-vingt-dix pour cent de notre assistance cet après-midi ont franchi le cap de mi-chemin, comme nous appelons cela. Et beaucoup parmi vous ont travaillé, ont lutté, n’ont rien ménagé, ont consenti des sacrifices pour répandre le Message de l’Evangile.


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E-19 Et je pense au jour où tout sera terminé, et le Souper des Noces sera servi; alors, nous serons assis à table l’un en face de l’autre. Je suis sûr que si–si le Seigneur me bénit pour me retrouver là, je regarderai par-dessus, et je dirai: «Je vous avais rencontré à Pisgah, n’est-ce pas?» Quand nous nous rencontrerons de l’autre côté, et que nous parlerons des moments où nous sommes assemblés comme ceci pour recevoir des instructions sur comment aller gagner des âmes, et nous verrons le long de la longue ligne papa et maman, et tous les autres présents. Si... Ne sera-ce pas un temps merveilleux, ce Souper des Noces?

Nous tendrons la main par-dessus la table et nous nous serrerons la main, et nous nous empoignerons. Et je suis sûr que les larmes nous couleront un peu sur les joues, par appréciation pour la grâce de Dieu qui nous aura amenés là-bas. Alors, le Roi sortira et essuiera toutes les larmes, comme je l’ai souvent dit, de nos yeux, disant: «Ne pleurez plus. Ces jours-là sont maintenant terminés. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.» Et nous aimerions tous être là. Et nous voulons tous ceux que nous pouvons amener là, car c’est urgent. Le temps est passé, et nous attendons Sa Venue.


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E-24 Maintenant, après que les invitations eurent été distribuées, les excuses furent présentées. Puis, ils sont revenus et ont dit: «Ils ne veulent pas venir.» Eh bien, si vous remarquez bien la dernière fois qu’Il les a envoyés, c’était pour aller le long des haies, dans des carrefours et les allées, prendre les boiteux, les paralytiques et les aveugles, et les contraindre à entrer. Car Dieu est déterminé à ce qu’il ne manque pas de gens à la table qu’Il a dressée. Dieu veut qu’il y ait plein de gens à Sa table. Les bêtes grasses ont été tuées. Tout a été préparé et tout est prêt. Et si vous remarquez bien, le dernier grand Message qui a été livré, c’était d’aller dans les carrefours et les allées.

Eh bien, c’est ce que j’apprécie dans cette petite église ici: nourrir les pauvres, faire entrer les boiteux, les paralytiques, les gens aux membres atrophiés, prier pour les malades et... C’est ce petit écriteau ici que je lis, qui me donne une idée. «Et les boiteux marcheront», c’est ce qui y est mentionné. Certainement. Le dernier appel et la dernière invitation, ce fut un grand moment pour parcourir le pays avec la guérison divine. C’était là le dernier. Et nous en arrivons à la fin, juste ramenant les points en suspens maintenant même. Combien proche est donc la Venue du Seigneur! Allez dans les haies et les allées. Faites-les entrer. Contraignez-les à venir. Faites entrer les boiteux, les paralytiques et les aveugles. Ils ont tenu le service de guérison.

Un service de guérison pour la guérison divine, ce n’est–n’est jamais l’essentiel d’une réunion. Ça ne devrait pas l’être. Nous ne tenons pas un service juste pour la guérison. Comme frère Bosworth avait l’habitude de le dire: «La guérison divine est comme l’appât sur l’hameçon. On ne présente pas au poisson l’hameçon, on lui présente l’appât. Il avale l’appât et se fait prendre par l’hameçon.» C’est ce qui se passe avec la guérison divine: elle rassemble les gens. Et alors, l’hameçon, c’est l’Evangile qui attrape les poissons pour le Royaume de Dieu.


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E-25 Maintenant, avant que quelqu’un puisse assister... Et si ce soir vous receviez une invitation pour aller chez le–le président des Etats-Unis, participer au souper organisé par son fils, disons. Si le fils du président allait organiser un souper, et que vous, un pauvre homme sur... qui travaillez ici pour gagner la vie, comme nous tous nous le faisons... Quelle chose bénie ce serait si quelqu’un venait vous remettre une invitation de la part de notre très cher président Dwight Eisenhower, pour participer à un grand banquet des noces qu’il a organisé!

Eh bien, vous savez que vous vous en vanteriez. Eh bien, vous parcourriez tout Los Angeles, en parlant aux gens: «Regardez, qu’est-ce que je suis important!» Assurément. «Le président des Etats-Unis m’a invité au souper des noces.» Eh bien, ça serait un honneur pour vous de participer à ce souper des noces. Ça serait un honneur. Vous seriez une personne choisie pour participer à ce souper des noces. Et je suis sûr que le président ne vous enverrait pas une telle invitation s’il pensait que vous ne l’accepteriez certainement pas. Mais qu’arriverait-il, à votre avis, si vous lui renvoyiez un message, disant: «Je ne veux pas venir»? Combien cela le blesserait! Eh bien, alors, que pensez-vous que ce serait, car Dieu vous a invité à participer à ce Souper des Noces?


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E-30 Or, Dieu a aussi cousu une Robe pour couvrir: C’est le Sang de Jésus-Christ par le Saint-Esprit, la Robe.

Eh bien, lorsque les gens arrivaient, ils présentaient leur invitation. Maintenant, voici ce que je pense être notre erreur grave, pas nous, mais... Je ne veux pas parler des gens du Plein Evangile, ce n’est pas à eux que je m’adresse. Mais je veux dire... Sans manquer d’égards envers les prédicateurs, de si grands hommes, des hommes que j’honore, des hommes que je respecte de tout mon coeur... je ne connais personne sur le champ de travail que je peux honorer et respecter plus que Billy Graham pour la grande oeuvre qu’il accomplit. L’autre soir, je l’ai vu prêcher là même où je dois aller après lui, ses yeux étaient devenus noirs ici à la suite d’un caillot de sang, et–et on avait mis des pancartes dans les rues, on disait donc aux informations qu’on l’avait hué, disant: «Va-t’en.» Même Oral Roberts a rebroussé chemin. Billy Graham s’y est accroché jusqu’à faire cesser cela en le martelant. Je vous assure, j’ai du respect pour Billy Graham. Tout à fait vrai. Jack Shuler...


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E-31 Et puis, monsieur Graham a dit une fois qu’il–il se demandait pourquoi (C’est quand il était à Louisville)... Paul allait... Et il avait pris la Bible, il L’avait soulevée comme ceci et a dit: «L’affai-...» C’était au petit-déjeuner des chrétiens, ce matin-là, le petit-déjeuner des prédicateurs plutôt, il a dit: «Vous savez, quand Paul allait faire un converti, il revenait l’année suivante trouver trente convertis à partir de ce seul. Mais, a-t-il dit, moi, j’entre dans une ville, je tiens une campagne de plusieurs semaines et je vais avoir, peut-être, pour le Seigneur, peut-être vingt mille convertis. Puis, je reviens une année après, je ne peux pas en trouver vingt.» Oh! Je me suis dit que c’était magnifique.

Et il a dit: «Savez-vous le problème?» Il a dit: «C’est à cause de vous, bande de prédicateurs paresseux qui, après que nous les avons amenés à Christ, restez assis là, les pieds sur le bureau, leur établissant des invitations plutôt que d’aller vers eux, leur serrer la main et les faire venir.»

C’était bien. C’était très bien, et c’était une bonne déclaration. Mais vous savez, je–je ne voulais pas être en désaccord, mais je me suis dit: «Frère Billy, qui allait prendre... Quel prédicateur allait chercher le seul converti de Paul? Quel pasteur, jadis, était si paresseux et avait ses pieds sur la table?»

Non. Voici la cause. C’est la façon dont on s’y prend aujourd’hui, leur distribuer des invitations en les expédiant. Mais, frère, cela ne se justifie pas. Vous ne les amenez pas suffisamment en profondeur. Vous ne les ramenez pas au point où ils font la véritable expérience de la nouvelle naissance. Paul amenait son converti au baptême du Saint-Esprit, et le Feu de Dieu brûlait dans son coeur. Il n’avait besoin de personne. Que le prédicateur ait été paresseux ou pas, lui était à l’oeuvre pour faire ce que Dieu... Son coeur brûlait du Saint-Esprit et du feu. Il était là à l’oeuvre. C’est vrai.


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E-36 Mais alors, lorsque le fils le rencontrait à la porte avec l’invitation, il lui faisait donc porter la robe qui convenait (Amen! Maintenant, je me sens religieux.) Il lui faisait porter la robe qui convenait. Il en avait une là pour sa taille, il lui en enfilait une de telle manière que tout le monde avait la même apparence.

Vous voyez, il n’y a pas «de grands messieurs.» Oh! Dès que les gens se mettent à dire ceci: «Oh! Si frère Branham vient prier pour les malades...» Cela n’a rien à faire avec la chose. Je ne peux guérir personne. Il n’y a pas de grosses légumes chez Dieu. Nous sommes tous Ses enfants, nous tous. Il n’y a pas de différence parmi nous. Nous n’avons pas à avoir la plus grande campagne, ou le–ou le plus grand ceci, ou le plus grand cela. C’est charnel, ça. Et Dieu ne bénira jamais. J’ai des doutes qu’une personne revêtue d’une robe agisse parfois comme cela. Je vous assure, frère, Dieu nous a fait tous pareils à partir de... Nous tous, nous provenons d’un Seul, une fois revêtus de la Robe. Peu importe qu’ils ne sachent pas parler, qu’ils ne connaissent même pas leur ABC, ou quoi que ce soit, nous sommes tous identiques en Jésus-Christ. C’est pourquoi j’ai fait ce commentaire que j’ai fait il y a quelques instants. Nous voulons tous être les mêmes.


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