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Los Angeles, California, USA

E-20 Dans le jardin d’Eden, l’homme a prouvé ce qu’il était quand il a fui Dieu. Plutôt que de chercher à trouver Dieu pour confesser son erreur, il s’enfuyait loin de Dieu tout le temps, il s’est caché, il s’est confectionné un tablier en feuilles de figuier et s’est caché dans les buissons. C’est la condition de l’homme ce soir. Au lieu de confesser ses manquements (Même beaucoup parmi vous membres d’église) au lieu de venir directement dire: «Non, je n’ai vraiment pas la foi. J’ai besoin d’une marche plus intime avec Dieu», vous dites: «Oh! je suis membre de telle et telle église. Je suis baptiste. Je suis pentecôtiste. Je suis presbytérien.»

Cela ne veut rien dire. Il vous faut être un enfant de Dieu par une nouvelle naissance, par Jésus-Christ. Et alors, lorsque vous le devenez, vous avez la foi qu’avait le père Abraham. Et Abraham appelait tout ce qui était contraire à la promesse de Dieu comme n’existant pas. Comment ça? Si Dieu fait une promesse, Abraham dit: «Tout ce qui est contraire à ça est un mensonge; je n’y crois pas.»

Et alors, nous nous disons la postérité d’Abraham, nous qui doutons de tout ce que Dieu a dit: «Je ne crois pas aux miracles, je ne crois pas dans la guérison divine, je ne crois pas aux dons de l’Esprit.» Et puis dire: «Nous sommes la postérité d’Abraham.»


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E-22 Dans la Bible, Jacques a justifié Abraham par ce qu’il faisait. Paul l’a justifié par la foi. Mais Paul parlait de ce que Dieu voyait et Jacques parlait de ce que l’homme voyait. Mais vos actes prouvent ce que vous croyez. Si vous dites que vous croyez en Dieu, alors, agissez en conséquence. Mettez cela en pratique. Levez-vous et attelez-vous à la tâche.

C’est vraiment rude, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité. Vos–vos actes prouvent ce que vous êtes. Comme ma femme a l’habitude de le dire: «Les actes parlent plus fort que les paroles.» Vous pouvez sautiller et crier toute la nuit, et après, grommeler contre l’une des promesses de Dieu; cela prouve ce que vous croyez.


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E-29 Il était un Homme lorsqu’Il descendait de la montagne cette nuit-là, affamé, cherchant quelque chose à manger. C’était un Homme qui était affamé. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans l’homme.

Lorsqu’Il était couché sur cet oreiller, à la poupe de cette barque, cette nuit-là, alors que dix mille démons de la mer juraient de Le noyer, que cette petite vieille barque tanguait comme un bouchon de liège là, et à chaque...?... vent, le diable disait: «Je vais L’avoir au prochain saut.» C’était un Homme qui était endormi là, mais lorsqu’Il s’est réveillé et qu’Il a mis Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui parlait par Son Fils. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» C’est vrai.

Il l’a prouvé à la croix; lorsqu’Il criait au secours, là, c’était un Homme. Mais le matin de Pâques, lorsqu’Il a brisé les sceaux et qu’Il a vaincu le diable, la mort, le séjour des morts, la tombe et qu’Il est ressuscité, Il a prouvé qu’Il était Dieu. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit: Vivant, Il m’aima;Mourant, Il me sauva;Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours;Un jour, Il va venir; oh! quel jour glorieux!

Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même.


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E-33 «Eh bien, vous êtes trop vieux. Votre femme a la ménopause depuis vingt ans, mon brave.»

«Peu m’importe qu’elle ait la ménopause depuis cent ans, nous allons avoir cet enfant.»

«Comment le savez-vous?»

«Dieu l’a dit.» C’est réglé. «Dieu l’a dit.» Peu importe combien ça paraît ridicule, si Dieu l’a dit, c’est en ordre. Dieu rend cela ridicule. Toute la foi est ridicule pour l’incroyant. La foi est réelle uniquement pour Dieu et pour celui qui l’a. L’incrédulité n’arrête pas Dieu. Elle ne dérange pas les plans de Dieu; elle ne dérange pas la Parole de Dieu; elle ne La dérange pas; ça ne Lui nuit pas. Ça nuit uniquement à l’incroyant. Elle nuit uniquement à l’incroyant, pas à Dieu. Les promesses de Dieu seront parfaitement accomplies. Vous vous faites juste sauter la cervelle en cherchant à vous en éloigner. Elle n’arrête pas Dieu. Absolument pas. Sa promesse est faite. Ses Paroles sont là.

Toute l’incrédulité que vous pourrez accumuler n’arrêtera pas cela. Essayez de vous servir de votre incrédulité pour empêcher le soleil de se lever. Essayez d’empêcher la pluie de tomber par votre incrédulité. Dieu le fera de toute façon, parce que c’est dans Son plan. C’est le programme de Dieu. Il guérira chaque malade qui prendra Sa Parole comme telle. C’est Son programme. Il l’a dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»


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E-38 Tout celui qui est né de l’Esprit de Dieu est de Dieu, et vous y entrez par la promesse, par l’alliance que Dieu avait conclue avec Abraham, Sa promesse d’envoyer Christ. Et si vous êtes en Christ, vous faites partie de cette alliance-là. Et les promesses... Vous direz: «Je n’en suis pas digne.» Abraham non plus. Personne n’en est digne. Ça ne dépend pas de combien vous êtes digne. Ce qui compte, c’est ce que Dieu vous a promis.

Je ne suis pas digne de me tenir ici, mais Il m’a appelé à le faire. Vous n’êtes pas digne d’être chrétien, mais Dieu en a fait de vous un. Ce temple ne mérite pas d’être érigé sur ce terrain, mais Dieu l’a érigé ici. C’est ça. Il ne s’agit pas de ce que vous êtes; il s’agit de ce que Lui est. Tout le monde se regarde toujours. Eh bien, vous ne pouvez pas vous regarder et aboutir à quelque part. Pour commencer, ça en est fini de vous. Vous êtes un échec pour commencer. Il n’y a rien en vous pour commencer. Ce qui compte, c’est ce que Dieu a fait de vous, c’est ce que vous êtes.


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E-39 Sous l’ancienne alliance... Et si un petit mulet naissait une nuit dans un pâturage, et qu’à sa naissance, il se retourne, sa maman le regarde: il a des oreilles rabattues. Savez-vous ce que c’est un mulet aux oreilles rabattues? Pour un fermier, ce n’est pas un bon mulet. Et il louche. Et ses genoux sont cagneux. Sa queue est dressée droit en l’air. Eh bien, c’est l’animal le plus horrible que vous ayez jamais vu. Ce petit animal peut se tourner vers sa mère et dire: «Eh bien, je ne pourrais pas vivre. Absolument pas. En effet, aussitôt que le maître viendra ici, il m’assénera un coup à la tête, car je ne vaux rien.»

C’est pratiquement pareil avec chacun de nous. Mais sa mère, si elle est bien instruite dans la Parole de Dieu, dirait: «Un instant, chéri. Non, non. Tu as le droit d’aînesse. Lorsque le maître de la maison sortira, il ira au pâturage chercher l’agneau le plus parfait qu’il a. Le souverain sacrificateur ne te verra jamais; il verra l’agneau. Il ne t’examinera pas; il examinera l’agneau, parce que toi, tu as le droit d’aînesse. C’est l’agneau qui doit mourir pour toi.»


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E-40 Eh bien, regardez à Jésus et trouvez un quelconque défaut en Lui. Ne vous regardez pas vous-même; regardez-Le. Ne considérez pas qui vous êtes; considérez qui Il est. Alors, vous vous serez rapprochés de la guérison divine. Examinez votre sacrifice. Si vous arrivez à trouver un quelconque défaut là, eh bien, c’est–c’est différent; alors, vous avez le droit de ne pas croire. Mais Il est sans défaut en Lui, Dieu ne vous regarde pas, vous, Il regarde le Sacrifice.

Il y eut Quelqu’Un de parfait qui mourut pour nous les coupables, nous qui sommes défigurés, immoraux, laids et tout. Mais Il a pris le Parfait et L’a examiné à fond: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis Mon affection.» Il était le Sacrifice. Dieu L’a agréé. Nous sommes donc quittes. Tout ce qu’il nous faut faire, c’est marcher par la grâce.


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E-41 Eh bien, ce petit mulet pouvait donner quelques coups de sabots, entrechoquer ces petits genoux cagneux, renifler, parcourir tout le champ, parce qu’il était libre. Il n’avait pas à mourir. Un agneau était mort pour lui. Lui est en parfaite sécurité. Il n’avait pas à craindre la mort. L’agneau était mort loin de lui... pour lui. Vous n’avez pas à craindre au sujet de ce que vous êtes, c’est ce que Lui était qui compte. C’est Lui qui était mort pour vous.

Trouvez donc des défauts en Lui, je vous dirais alors pourquoi vous ne pouvez pas être guéri. Mais lorsque votre Sacrifice est à vos yeux sans défaut, c’est qu’Il a été agréé par Dieu. Et puisque Il agrée le Sacrifice, Il accepte votre confession dans ce Sacrifice, et vous En devenez une partie. Amen.

Je me sens religieux maintenant; en effet, je sais que je n’avais aucune possibilité, pour commencer. Mais je ne me suis pas regardé moi-même; j’ai regardé au Sacrifice qui avait été offert pour moi. Il était parfait, et Dieu L’avait déjà agréé. Ainsi donc, tout est en ordre pour moi maintenant, lorsque je vois ce qu’Il a fait, ce qu’Il est. Ce n’est pas moi, c’est Lui. Ce n’est pas vous; c’est Lui.


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E-42 Eh bien, Dieu a alors dit: «Abraham, pour marcher avec Moi, tu dois te séparer des autres.» Dieu exige une totale séparation. Mais vous voulez emporter avec vous beaucoup d’histoires du monde. Lorsque vous venez pour recevoir le Saint-Esprit, vous dites: «Eh bien, on m’a appris à être ceci, on m’a appris que les jours des miracles sont passés.» Vous feriez mieux d’oublier cette histoire-là. Tant que cela s’accrochera à vous, vous serez comme Abraham qui partit avec Lot et son père; il y eut des ennuis dans le camp. Dieu n’avait jamais béni Abraham tant qu’il ne s’était pas séparé et n’avait pas fait ce que Dieu lui avait ordonné. Et vous ne recevrez jamais le Saint-Esprit dans la plénitude; vous ne marcherez jamais dans l’Esprit de Dieu si vous ne vous séparez pas complètement des histoires de l’incrédulité. Séparez-vous du monde; sortez du monde.

Je sais que vous pensez que je suis fou. Mais si je le suis, laissez-moi simplement tranquille; je suis heureux comme ça. Je préférerais être comme ceci plutôt que tel que j’étais jadis. Voyez? J’ai regardé une fois à mon Sacrifice.


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E-46 Et alors, lorsque Lot a levé les yeux, il s’est mis à regarder les plaines du Jourdain, il a vu qu’elles étaient bien arrosées. Il y avait là une grande ville: Sodome, Gomorrhe, beaucoup de villes, avec beaucoup de verdure; il y avait moyen de se faire quelques dollars. C’est ce qu’il a choisi.

C’est ce que font beaucoup de Lot: quelques dollars. Lorsqu’il a regardé les plaines bien arrosées, il n’a pas vu sa femme devenir une colonne de sel. Il n’a pas vu le feu qui détruirait la ville ainsi qu’une partie de ses enfants. Il n’a pas vu les actes d’infamie que ses filles commettraient pour avoir été élevées en plein milieu de toute cette mondanité où elles avaient grandi. C’est ce que vous regardez aujourd’hui, amis. Ça dépend de ce que vous regardez, comme je l’enseignais l’autre soir. Nous regardons à l’invisible; nous regardons à la promesse de Dieu et nous considérons tout ce qui est contraire à cela comme n’existant pas. C’est ça la postérité d’Abraham.


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