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Erie, PA, USA

E-49 Et l’autorité municipale, je pense, c’était plutôt comme le maire de la ville, il était là. Et alors, nous–nous sommes allés... je suis allé là-bas, on a regardé et, oh! la la! le pauvre petit garçon gisait là, la bouche ouverte comme cela, ses petits yeux écarquillés, ses petites mains comme ceci. Et il portait ce petit, je pense, ce petit ensemble chemise et pantalon rattaché et boutonné pour les jeunes garçons, comme on les appelle, vous savez; et il portait ces gros bas lourds à côtes. Et ses petits souliers étaient détachés de ses pieds, et l’un de ses petits pieds qui était tordu comme ceci sortait directement, son petit pied ressortait par son–son bas, au bout. Oh! Il était un... il était étendu là, dans un état horrible, les yeux écarquillés comme cela, couché. J’ai dit: «Pauvre petit garçon.» Et cela empirait simplement son état. Et je... On allait l’amener au véhicule.

Et quand je me retournais, j’ai regardé devant ce petit garçon, j’ai senti Quelque Chose faire: «Whoush.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] J’ai dit: «C’est peut-être la compassion que j’ai pour le petit garçon.» J’allais effectuer un pas de plus, Quelque Chose a fait: «Whoush.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] J’ai attendu juste un instant. Je me suis retourné. J’ai dit: «Laissez-moi revoir ce petit garçon.» On a enlevé le–le manteau, dont on l’avait recouvert. J’ai dit: «J’ai vu ce petit garçon quelque part.» J’ai dit: «Cela... Demandez à ces prédicateurs s’il a été dans l’église, un membre de leur église.»

«Non.»

J’ai dit: «A-t-il jamais été dans la ligne de prière?»

Frère Lindsay a dit: «Non.»

J’ai dit: «Je l’ai vu quelque part, je ne sais où, mais on dirait...»

J’ai regardé tout autour, j’ai vu ces grosses pierres entassées là, j’ai dit: «Gloire à Dieu, je sais où je l’avais vu.» J’ai dit: «Frère Moore, prends ta Bible. Frère Lindsay.»

Ils ont dit: «Qu’y a-t-il, Frère Branham?»

J’ai dit: «Regardez la feuille de garde de vos Bibles.» J’ai dit: «C’est le petit garçon qui va ressusciter d’entre les morts.»

Et ils... Frère Moore a couru à la voiture, il a pris sa Bible et a dit: «Des cheveux châtains, des yeux bruns, environ huit ans, mal habillé, estropié, écrasé dans un accident, dans une contrée rocailleuse, a-t-il dit. Frère Branham, c’est lui!»

J’ai dit: «C’est lui.»

Oh! la la! Vous ne savez quel sentiment on éprouve. On sait alors où on est. Tous les démons de l’enfer, même si on alignait là tout ce qu’il y a en enfer, cela n’arrêterait jamais la chose. Elle est là. Ça doit arriver. Eh bien, tout cela, c’est juste une représentation.

J’ai dit: «Maintenant, je me rappelle, je m’étais agenouillé de ce côté-ci, dans la vision, quand je priais.» Vous devez faire exactement comme vous l’avez vu. Et je me suis agenouillé. Ils s’étaient tous rassemblés tout autour. J’ai dit: «Maintenant, observez, AINSI DIT L’ESPRIT DE DIEU, la vie de ce petit garçon reviendra en lui.»

Et il gisait là mort. On avait prélevé son pouls et tout; il était mort. Ainsi, il était tout écrasé, comme cela. Je me suis agenouillé et j’ai dit: «Père céleste, à plusieurs milliers de kilomètres de l’autre côté de la mer, dans ce beau pays d’où je viens, l’Amérique, ai-je dit, là, cette nuit-là, quand Tu es entré dans cette chambre-là, dans ce beau bâtiment, Tu m’as annoncé que ceci arriverait, j’ai rendu témoignage à cela, je me suis tenu là et j’ai dit que Tu feras s’accomplir cela. Et maintenant, Ton serviteur voit le jour où cela doit être accompli.» J’ai dit: «Je Te remercie, Père céleste, pour la puissance de la vision, et je Te remercie pour toute Ta bonté. Et maintenant, Eternel Dieu, Auteur de la Vie et Donateur de tous les dons excellents, je Te demande de bénir de Ta Présence cette scène.»

Et quand l’Ange du Seigneur a commencé à descendre, j’ai dit: «Ô Toi, mort, qui retient l’esprit de ce petit garçon, conformément à la vision que Dieu avait déjà montrée que tu ne peux pas retenir cet enfant, par conséquent, je rappelle sa petite âme vers lui au Nom de Jésus-Christ.»

Et aussitôt que j’avais dit cela, le petit garçon a sauté sur ses pieds tout aussi normal et bien portant que possible, tout aussi parfait, normal et guéri que possible. Cela a été diffusé partout en Finlande, partout; ça a été répandu à l’étranger aussi, je vous assure. C’était au temps du soir. L’autre petit garçon, j’aborderai cela demain soir.


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E-50 Une autre petite chose, je vois que j’ai encore environ six minutes; je vais essayer d’aborder cela rapidement.

Oh! Quand je suis arrivé à la réunion ce soir là, l’autre petit garçon était étendu là mourant, je ne le savais pas. Et sa mère ne faisait que crier et pleurer, cherchant à ce qu’on aille là auprès de ce petit garçon. On en parlait partout. Cela s’était répandu. Je ne sais comment cela s’était donc répandu, car on ne peut pas diffuser des nouvelles comme cela dans... ni rien en Finlande; c’est tout à fait absolument différent.

Et puis, la chose suivante, vous savez, je suis entré dans le bâtiment... je me dirigeais vers l’église ce soir-là, et la–la renommée de notre Seigneur s’était tellement répandue qu’Il était au milieu des gens jusque là-bas, à trois pâtés de maisons vers le bas, là où se trouvait l’auditorium, les rues étaient simplement bondées, comme cela. Et on ne pouvait pas s’approcher. Et quelque...

On avait placé la milice là, les soldats finlandais. Et certains d’entre eux, de tous petits garçons avaient l’air de ne s’être même jamais rasés de leur vie. Les pauvres petits garçons! Et ils avaient formé un petit groupe pour me faire passer jusqu’à la ligne. Et j’y allais, ils repoussaient les gens pour me laisser passer.

Alors, quand je suis arrivé au bâtiment et que j’allais entrer là où se tenaient les services (Je n’oublierai jamais cela), de pauvres Finlandais se tenaient là, ils se sont simplement mis à pleurer; des soldats se tenaient au garde à vous. Et maintenant, juste un instant, je vais former la ligne de prière maintenant.


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E-52 Et elles portaient de petites... leurs petites jupes, ces petites filles finlandaises... Maintenant, à vous les jeunes filles américaines... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Elle ne contrôlait pas le soulier. Elle avait un–un appareil orthopédique de part et d’autre, qui remontait comme ceci, et puis au niveau de ses flancs et à l’orteil (Je vais représenter cela ici), au bout de son soulier on dirait, ici même, elle avait un fermoir. Et le fermoir allait jusqu’à ce pied droit; c’était sa jambe droite, ça montait ici, et ça passait par son épaule, et c’était rattaché ici derrière, au dos, à l’appareil orthopédique. L’appareil orthopédique contournait comme ceci, et descendait comme ici... Et elle avait deux béquilles. Et la façon dont elle marchait, elle faisait avancer les deux béquilles, et ensuite, elle oscillait son épaule, et cela avaait l’orteil et posait cet appareil orthopédique raide par terre, ce qui dégageait sa jambe dans l’appareil orthopédique; alors, elle pouvait effectuer des pas à l’aide des béquilles. C’est ainsi qu’elle marchait.


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E-53 Et quand la petite créature est sortie de là, à peu près de cette taille-ci... Vous tous... beaucoup parmi vous savent et ont vu sa photo; elle est dans mon livre là-bas, je pense. Et quand elle est sortie, et elle–elle m’a regardé; et cette petite en lambeaux, les cheveux coupés, en petite jupe qui descendait bas, juste ses pans pendaient, en lambeaux. Et quand elle a regardé... Elle a ouvert la porte et elle a fait avancer ses béquilles, elle a regardé et elle m’a vu, elle a sursauté. Elle a incliné sa petite tête; les larmes lui coulaient des joues. Je savais que cette enfant-là voulait venir vers moi. Mais elle avait été avertie; ils ne devaient pas venir, vous savez. Alors, je me suis arrêté, ces soldats ont commencé à me pousser. J’ai secoué la tête: «Non.» Je n’y pouvais rien. J’ai fait signe à la jeune fille. Je sais qu’elle voulait venir là-bas, et je lui ai fait signe.

Elle est venue là, elle a fait avancer ses petites béquilles et elle a fait faire un mouvement à sa petite jambe. Et quand elle s’est avancée, je me suis simplement tenu tranquille pour voir ce qu’elle allait faire. J’aime beaucoup les enfants. Elle s’est vraiment approchée de moi, elle m’a regardé. Elle a disposé ses petites béquilles de façon à s’appuyer dessus. Elle a regardé en bas; elle n’a pas levé la tête. Elle a tenu mon manteau, elle a soulevé cela, elle a baisé la poche, elle a laissé tomber cela comme cela. Elle a levé les yeux vers moi, ces petits yeux bleus d’enfants avec des larmes qui coulaient sur ses joues; elle a reculé comme ceci, elle a soulevé sa petite robe et a dit: «Kiitos.»


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E-54 Et j’ai découvert que c’était une petite orpheline de guerre, son père et sa mère avaient été tués dans la guerre contre la Russie. Et pendant que je la regardais, j’ai dit: «Ô chérie, que Dieu bénisse ton petit coeur.» J’ai dit: «Tu es guérie.» Mais elle ne pouvait pas comprendre ce que je disais. Je savais que Dieu honorerait une telle foi. J’ai dit: «Tu es guérie, chérie.» Et alors, ces soldats ne cessaient de me pousser.

Et je suis entré. Et ce soir-là, quand les oeuvres s’accomplissaient, les gens jetaient simplement leurs béquilles, ils repoussaient leurs fauteuils et tout. Vous avez vu les photos dans Voice Of Healing, juste des brassées de béquilles et des cannes, ils avaient... Et j’ai dit: «Faisons-en encore venir quelques-uns de plus.»

Mon frère a dit: «Billy, rappelle-toi, longtemps, outre-mer, on doit partir d’ici.»

Mais je n’étais pas encore complètement épuisé. Alors, j’ai dit: «Juste quelques-uns encore.» Et par la grande providence de Dieu, j’ai entendu un bruit, et elle était la personne suivante à monter à l’estrade. J’ai regardé là, et je vous assure, je n’avais jamais éprouvé pareil sentiment. Elle est venue là, elle pleurait encore. Et j’ai dit: «Soeur Isaacson, approchez-vous.» J’ai dit: «Rapportez mes paroles, répétez ma parole.» Et j’ait dit: «Que Dieu te bénisse, chérie. Tu es la petite fille qui était dehors dans le couloir il y a quelques instants quand j’entrais.» J’ai dit: «Jésus-Christ t’a déjà guérie, chérie. Quand tu iras là, et que tu auras... assieds-toi et demande à quelqu’un d’enlever ces appareils orthopédiques, et mets tes mains à ta petite hanche. Et pendant qu’on enlève ces souliers et cet appareil orthopédique, laisse tes mains descendre doucement à peu près à la même distance que ta jambe courte, alors, fais-moi voir.» J’ai dit: «Faites venir le prochain cas.»


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E-56 Pendant que nous avons nos têtes inclinées... Père, oh! quand je me souviens de cette scène-là que je viens de repasser en revue. Je me suis souvenu de cette pauvre petite créature qui sortait de cette pièce-là en se traînant, de son respect, son amour; Tu as dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.» Elle a eu du respect, Seigneur, pour ce qui lui avait été dit, que Tu étais avec nous et que Tu guérissais les gens. Elle T’aimait, Seigneur, et l’unique moyen pour elle d’exprimer son amour, c’était de chercher à aimer Ton serviteur. Et, ô Dieu, accorde-moi ceci, le veux-Tu? Si j’ai le privilège de traverser la–la frontière ce jour-là, quand Tu appelleras les justes à entrer, et si j’ai trouvé grâce à Tes yeux en ce jour-là, que je puisse toucher Tes pieds, que je rampe depuis quelque part, Seigneur, accorde que je puisse me tenir avec cette petite fille-là. Je pourrais ne jamais la revoir au cours du pèlerinage de la vie.

Et ce petit garçon-là, Tu sais tout à son sujet, Seigneur. Je peux bien voir la vision maintenant, quand Tu m’avais montré ce petit garçon, j’avais vu ses petites jambes nues étendues là, et comment il était tout fracturé. Je me rappelle la vision, je me rappelle avoir répété cela devant des dizaines de milliers de gens. Et je me tenais là ce jour-là quand le Saint-Esprit est descendu... Je suis vraiment illettré, Seigneur; je n’aurais jamais su cela. Je serais passé à côté de cela n’eût été Ta grâce souveraine qui m’avait alors parlé pour me le révéler: «C’est çaAprès que Tu m’avais montré cela, j’étais trop stupide, Seigneur, trop ignorant pour savoir cela, si rattaché au sens. Ô Dieu, aie pitié de nous, pauvres mortels. Et aie pitié de moi, Seigneur.


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E-59 Billy...?... Très bien, très bien. Merci, frère...?... Je pensais que vous étiez peut-être parti...?... Vous vous teniez ici. «H.» Mon fils a dit qu’il a distribué des cartes de prière H aujourd’hui, un à cinquante. Eh bien, je ne sais à partir d’où appeler. Appelons à partir de 20, de 10 à 30... de 20 à 35. Ça fera, combien? 20? 15, c’est en ordre. Très bien, 20 à 35. Qu’ils s’alignent suivant leurs numéros ici.

Maintenant, si certains parmi vous qui êtes sur des civières, ou des brancards, ou n’importe où, ou qui ne peuvent pas se lever, ceux qui ont cette carte de prière, levez la main comme cela, quand le tour de votre numéro arrivera, alors un huissier vous amènera à l’estrade si vous êtes incapable ou trop faible pour vous lever. Attendez simplement que votre numéro... Nous commencerons à 20, et si vous êtes 25, attendez que quatre passent et puis le prochain, le cinquième, ça sera vous. Levez la main, et un huissier vous transportera à l’estrade.


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E-61 Sommes-nous inconnus? Nous... Sommes-nous tous inconnus...? S’il... Si nous le sommes, levez les mains, si vous pouvez lever vos... Nous sommes inconnus. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, nous sommes inconnus; Très bien. Très bien.

Maintenant, combien là n’ont pas de cartes de prière? Faites-nous voir les mains. Oh! la la! C’est partout devant. Très bien. J’essaie de regarder, généralement, quand je me mets à parler aux gens, si je fixe mon regard droit sur eux quelques instants, alors je vois la vision se lever. Cela commence à partir de là, et ça commence simplement à se lever en l’air. Puis-je expliquer cela juste un instant?

Quand je regarde quelqu’un, si je le fixe, et que j’entre en contact avec son esprit, eh bien alors, on dirait que je commence à voir quelque chose apparaître devant moi. Peut-être que je verrai une certaine chose, une intervention chirurgicale; peut-être que j’aurai à regarder cela quelques minutes. Et peut-... Si l’assistance se tient très calme, je peux dire de quoi les gens parlent. Combien étaient à Cleveland cette soirée-là quand une femme se tenait là et que je n’arrivais pas à faire partir cela d’elle? Elle était juste... Je lui ai dit qu’elle était un peu sceptique, et elle ne voulait guère accepter cela. Et quelques instants après, je lui ai dit que le... je me suis mis à répéter la prière qu’elle venait de faire avant de quitter la chambre. C’était... Vous rappelez-vous cela? Levez vos mains, si vous le pouvez. J’ai répété la même prière qu’elle avait offerte environ une heure auparavant avant de venir à la réunion, textuellement. J’ai dit: «Qui était dans la chambre pour écouter cette prière-là?» «Le Saint-Esprit.» Il connaît toutes choses, n’est-ce pas?


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E-62 Eh bien alors, parfois, si les gens, s’il y a du bruit ou de l’excitation, ou quelque chose comme cela... Le Saint-Esprit est très timide, très timide. A la moindre petite chose qui l’attriste, Il s’en va.

Vous rendez-vous compte maintenant? Laissez-moi vous montrer quelque chose de beaucoup plus grand que ce qui est arrivé du temps des apôtres. Du temps des apôtres, on amenait les gens à l’écart. Le saviez-vous? Et beaucoup de gens disent aujourd’hui, quand je leur demande d’incliner la tête, ils disent simplement: «C’est de la psychologie.» Eh bien, ils disent donc: «Vous regardez quelqu’un. Oui, vous lisez ses pensées.»

Eh bien, je me demande si Paul lisait les pensées de cet homme là quand il a dit, quand il a fixé le regard sur lui comme cela et a dit: «Je vois que tu as la foi pour être guéri.» Je me demande si c’était de la psychologie. Je me demande si c’était de la psychologie quand Pierre et Jean, passant par la porte appelée la Belle, ont dit: «Regarde-nous.»

Non, mes amis, les gens ont... ils se font juste une image ecclésiastique d’un séminaire théologique qui leur enseigne ça et ils pensent que cela doit être ainsi. Dieu n’est pas tenu vis-à-vis d’un séminaire théologique, Il n’est tenu qu’à Sa Parole. C’est vrai. Ils pensaient avoir compris comment Jésus viendrait, ce qu’Il devrait être, en tant que Maître. Mais quand Il est venu, c’était différent de ce qu’eux pensaient. Voyez? Eh bien, que tout le monde soit respectueux.


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E-65 Mais maintenant, après Sa mort et Sa résurrection, eh bien, Il est monté en haut, Il a donné des dons aux hommes. Mais Il est le Christ ressuscité. Il n’est pas mort. Il–Il–Il est ressuscité. Et Sa puissance, Il a promis d’être avec nous, même en nous, jusqu’à la fin du monde. C’est vrai.

Maintenant, vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, monsieur. Maintenant, à l’assistance, cette Lumière que vous voyez sur la photo est très proche. Cet homme, aussi certainement qu’il se tient là, je ne l’ai jamais vu de ma vie, mais il sait qu’il se passe quelque chose. C’est sa foi et ma foi qui s’unissent par le Saint-Esprit qui est proche. Oui, oui, je vois que vous êtes une personne extrêmement nerveuse. N’est-ce pas vrai? Et cela est dû à une maladie physique, c’est la glande prostatique. Est-ce vrai? Vous avez souffert–vous avez souffert de l’arthrite... Non, vous avez connu une attaque d’apoplexie, n’est-ce pas? Vous avez connu une attaque d’apoplexie. C’est quelque chose qui vous a frappé, on dirait, un peu, cela n’a jamais fait de mal... Dites donc, vous êtes un prédicateur de l’Evangile aussi, n’est-ce pas? Je vous vois debout à la chaire. Eh bien, cela me quitte. Vous ai-je dit...? Etait-ce la vérité? Vous avez entendu ma voix, mais ce n’était pas moi qui parlais, mon frère. Est-ce que ce que j’ai dit est vrai? Venez ici.

Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tous dons excellents, envoie Tes bénédictions sur cet homme que je bénis, en Ton Nom. Que celle-ci soit l’heure la plus douce de sa vie alors qu’il se tient ici, mûr pour l’éternité; ses cheveux sont décolorés pour demain. Ô Dieu, accorde-le, Seigneur, alors que cette vaillante âme s’avance vers Toi. Toi qui T’es tenu à côté de Paul et Silas, tiens-Toi à côté du frère maintenant. Alors que je le bénis en tant que Ton prophète, qu’il parte d’ici un homme bien portant le reste de ses jours. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez et soyez bien portant.


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