Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Chicago, Illinois, USA

E-24 (62) Les gens recherchent de grandes choses, celui qui peut dresser la plus grande tente, celui qui va bâtir la plus grande église. Et nous les pentecôtistes, nous en sommes arrivés là. Et si nous allons à une réunion et que tout le monde ne court pas dans les allées, parlant en langues et sautant sur leurs sièges, nous n’avons pas eu de réunion. Nous gagnerions à nous tenir tranquilles jusqu’à ce que nous entendions quelque chose venant du Ciel: un murmure doux et léger.

(63) Nous avons besoin de l’enseignement apostolique, de la puissance apostolique. Cette puissance apostolique, ce n’est pas tout à fait un bruit; c’est le Saint-Esprit et l’amour de Dieu qui font que nous ayons besoin de Jésus-Christ.

(64) Les gens aiment coloniser, faire des cultes, avoir une forme de dénomination. Ils y entrent pour cacher leurs propres péchés. «Je suis membre de tel ou tel groupe, et je suis membre de telle église. C’est la plus grande église.» Peu m’importe combien cette église est grande, il y a une seule chose qui cache le péché, c’est le Sang de Jésus-Christ.

(65) Aujourd’hui, nous entendons tellement dire que Dieu est un Dieu bon. Il l’est. Mais Il est un Dieu de colère aussi. Il est un Dieu de jugement. Il est un Dieu de justice. Et Sa sainteté exige la justice. Il incombe à Dieu d’être juste parce qu’Il est saint. Il juge et condamne de même qu’Il bénit.


Chicago, Illinois, USA

E-26 (69) Les hommes ont peur de parler; ils ont peur de prendre position. Il leur faut quelque chose derrière pour les soutenir, une grande dénomination ou une organisation ou un grand groupe. Ce que les hommes devraient... Un homme appelé de Dieu a besoin du Saint-Esprit derrière lui pour le soutenir. Vous vous tenez seul. Aujourd’hui, nous ne le faisons pas. Nous nous tenons là en tant qu’une organisation. Nous nous tenons en tant qu’un mouvement. Nous nous tenons en tant que ceci ou cela.

(70) Mais Dieu a besoin des hommes en tant que des individus comme c’était le cas pour Elie. Il était le seul qui était resté à sa connaissance, mais il défendait des principes justes. Les bruits et les tremblements ne l’ont pas dérangé. Il a attendu jusqu’à ce qu’il entende ce murmure doux et léger, c’est alors qu’il a répondu.

(71) Nous pouvons avoir des rassemblements à travers le pays. Nous pouvons avoir de grands stades pleins de monde. Nous pouvons avoir toutes sortes de choses qui se déroulent. Cela ne servira jamais avant que Dieu ne parle individuellement au coeur de l’homme, c’est l’unique chose qui changera l’homme. C’est l’unique chose qui fera qu’il se couvre le visage et qu’il entre dans la Présence de Dieu. C’est ce dont l’église a besoin, mes amis. Il nous faut ce type de condition.


Chicago, Illinois, USA

E-29 (79) Vous savez, les grandes choses ne font pas beaucoup de bruit. Avez-vous déjà réfléchi là-dessus? Eh bien, vous savez, le soleil peut tirer dix millions de barils d’eaux avec moins de bruit que nous pour remplir un verre d’eau en pompant. D’habitude, les grandes choses opèrent dans le silence. Avez-vous déjà entendu les planètes tourner les unes autour des autres? Non, mais combien ces planètes sont grandes? Avez-vous déjà entendu le jour faire du bruit quand il se lève? Et pourtant il dissipe toutes les ténèbres, et c’est tellement silencieux que cela ne nous réveille même pas. Mais ça dissipe toute la nuit.

(80) Ce dont l’église pentecôtiste a besoin aujourd’hui, c’est du lever du jour, d’un placement du jour; et alors les gens se tiendront tranquilles jusqu’à ce que Dieu entre dans leurs coeurs et dissipe la nuit. Nous pensons que si la nuit est dissipée, une petite obscurité quelque part, nous devons mettre la ville en pièces. Nous n’avons pas à mettre la ville en pièces. Dieu a dit: «Tenez-vous tranquilles et sachez que Je suis Dieu.» Il a dit à Moïse, Il a ordonné à Moïse de se tenir tranquille. Il a dit: «Observe et vois ce que je vais faire.»

(81) Ce dont nous avons besoin, frère... Nous sommes allés avant la charrue... Nous avons mis la charrue avant le cheval.


Chicago, Illinois, USA

E-30 (82) C’est comme un messager qui, une fois, s’est mis à courir. Il a entendu quelque chose; il s’est mis à courir. Mais lorsqu’il est arrivé à destination, il n’avait rien à dire lorsqu’il est arrivé là. Je pense que c’est tout à fait ce qui ne va pas aujourd’hui. Nous avons entendu beaucoup de choses arriver; alors nous nous sommes mis à courir. Eh bien, nous ne savons pas pourquoi nous courons. Attendons jusqu’à ce que nous entendions quelque chose de Dieu; jusqu’à ce que Dieu parle à notre coeur et que nous ayons obtenu un message, quelque chose qui fera que ce murmure doux et léger change chaque fibre en nous.

(83) Si les églises, les laïcs, les prédicateurs ainsi que les prêtres ce soir pouvaient s’attendre à Dieu quelque part dans leur caverne jusqu’à ce que cela arrive, toutes les barrières confessionnelles seraient brisées et les hommes seraient des frères. Oui.

(84) Nous sommes nerveux et bouleversés. Ils sont toujours le peuple de Dieu. C’est exactement comme Elie; il était un homme de Dieu, mais il lui fallait une expérience de la caverne.


Chicago, Illinois, USA

E-31 (85) Avez-vous déjà remarqué? Ce n’est pas le petit rapide qui reflète les étoiles, faisant beaucoup de bruit. C’est le petit étang calme qui reflète les étoiles. Et bien des fois, nous nous sommes trop confiés à un rapide. Je crois que le rapide contient de l’eau. Mais vous savez ce qui fait qu’il fasse des clapotis? C’est parce qu’il est peu profond. C’est vrai.

(86) Je me rappelle une fois que mon père et moi, nous sommes allés dans le champ pour prendre de la nourriture dans un wagon. Je ne sais pas combien d’entre vous, les jeunes gens qui sont ici, ont grandi à la ferme. Nous avions cette espèce de vieux chariot en bois que nous amenions là. Et chaque fois que nous heurtions une bosse, le chariot faisait pan! pan! crac! boum! boum! boum! Il bondissait et produisait le bruit le plus désagréable que j’aie jamais entendu. Mais nous le chargions et le remplissions de bonnes choses du champ autant que nous le pouvions, et nous retournions sur les mêmes bosses, mais le chariot ne faisait plus le moindre bruit. Il était chargé.


Chicago, Illinois, USA

E-32 (87) Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’un chargement; c’est d’être rempli de l’amour divin de Dieu et de Sa puissance et d’attendre jusqu’à ce que ce murmure doux et léger nous rencontre. Dans cette convention, attendons jusqu’à ce que nous entendions Sa Voix. C’est une invitation qu’on nous lance. Attendons jusqu’à ce que nous sachions ce que nous faisons. Attendons jusqu’à ce que Sa Voix parle, et alors nous saurons quelle direction prendre. Cela devrait... Pour moi, cela m’apporte la conviction.

(88) Quelqu’un dira: «Eh bien, maintenant, écoutez, Frère Branham. Vous voyez, si la foule se met à courir, eh bien, je... Ne pensez-vous pas que nous devrions aussi la suivre?» –Attendez-vous à Dieu. –Devrais-je adhérer à cette église? –Attendez-vous à Dieu. Vous voyez?–Pensez-vous que si on tenait un grand réveil par ici...?

Attendez-vous à Dieu.

(89) Vous voyez? Quoique Dieu dise... Que... Attendez jusqu’à ce que Dieu parle, alors vous pouvez parler. Vous avez un message. Oh! vous pouvez entrer dans l’eau, courir tout autour et faire beaucoup de bruit, mais attendez-vous à Dieu.


Chicago, Illinois, USA

E-36 (96) Nous n’avons pas besoin de nous tracasser. Vous oubliez qu’il existe un Dieu. Nous nous mettons dans tous nos états et nous nous disons: «Oh! eh bien, si je ne peux pas faire ceci, si je peux agir comme ceci et si je n’arrive pas à me joindre à ce...» Tenez-vous tranquille et attendez que Dieu vous parle. Voilà la chose. Disons par exemple...

(97) Et si–et si le lapin... Que se passerait-il s’il devait quitter la forêt du nord pour se rendre par bonds en Floride pour y vivre? Eh bien, jamais il ne–jamais il n’y parviendrait avec ses petits bonds comme cela. Eh bien, que se passerait-il si quelqu’un disait: «Eh bien, attendez, nous allons y aller avec la science, mon gars. Si vous restez ici, il y aura trente pieds [environ 10 m–N.D.T.] de neige. Tu te retrouveras juste en-dessous de cette neige et tu mourras étouffé.»

(98) Vous savez, le lapin survit là où il se trouve et Dieu lui fait une paire de raquettes à neige et il saute par là, et il fait des bonds juste au-dessus de la neige. Et Dieu le nourrit au-dessus de la neige parce que quelque chose lui dit: «Reste là et attend.» Il n’a pas encore de raquette, mais Dieu pourvoira aux raquettes s’il attend tout simplement. Le lapin qui a les raquettes à neige sautille là au-dessus, sur le sol, mangeant des bourgeons tendres et doux sur les arbres et il reste chez lui. Certainement.


Chicago, Illinois, USA

E-40 (106) Lorsque le général Byrd faisait son expédition pour aller au pôle Sud, il s’est dit que ses gens, les amis qui étaient avec lui, devaient avoir besoin du lait frais. Ainsi, il a voulu amener avec lui un petit troupeau de boeufs, de bonnes vaches laitières, pour qu’ils aient du lait là-bas dans cette zone froide, l’Antarctique. Il s’est donc dit: «Eh bien, nous allons amener des vaches.» Et par hasard, ils ont réfléchi et se sont dit: «Si nous déplaçons ces vaches d’ici, de cette zone tempérée vers cette zone froide, ces vaches attraperont la pneumonie et mourront, si nous les amenons là-bas.» Aussi sont-ils partis leur faire beaucoup de manteaux, de gros manteaux à fourrure et ils en ont revêtu ces vaches. Mais vous savez quoi? Lorsqu’ils sont arrivés là, ils se sont rendus compte que ces vaches n’en avaient pas besoin. Dieu avait fait pousser sur elles de longs poils; ainsi, elles n’avaient même pas besoin de robes faites de mains d’hommes.

(107) C’est ainsi qu’est l’église aujourd’hui. Peu m’importe si vous êtes jeté là-bas dans la rue avec une boîte métallique dans la main... Si vous avez un tambourin à la main, si vous êtes un travailleur à la mission, vous n’avez pas besoin d’être un Billy Graham ou un Oral Roberts. Attendez-vous au Seigneur. Il pourvoira à tout ce dont vous avez besoin. Attendez jusqu’à ce que vous entendiez ce murmure doux et léger. C’est ce dont nous avons besoin. Attendez.


Chicago, Illinois, USA

E-44 (118) Je me suis senti condamné à cause de cela. Alors, quand j’étais en train de prêcher, j’étais sous une enquête sur les impôts concernant mon église et concernant ma campagne. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... J’étais mal à l’aise. Et pendant environ six mois, il m’a fallu déterrer l’attestation de naissance de ma grand-mère, pratiquement, pour l’administration. Alors que ces contrebandiers d’alcool, ces fabricants clandestins des liqueurs et tout, ainsi que ces joueurs des jeux d’argent et ces gens de la cigarette s’en tirent et...

(119) Et vous, les fumeurs de cigarette, n’avez-vous pas honte? Avez-vous vu dans le... je crois, dans le Reader’s Digest? Je peux surestimer ou sous-estimer cela, je pense que cent trente-trois mille personnes vont mourir cette année à cause de la cigarette qu’elles fument. Et cela... La plupart... Quatre-vingt-dix pour cent de ces gens sont des soi-disant membres d’église. Qu’est-ce qui ne va pas? Nous sommes tombés quelque part.


Chicago, Illinois, USA

E-46 (123) Je me suis senti condamné en me tenant à la chaire. Je vais confesser cela juste ici, parce que cela m’est déjà pardonné. Je prenais mon dîner, et le téléphone a sonné. C’était un numéro privé, nous avons une permanence téléphonique. Et–et le téléphone a sonné. Et je me suis demandé si c’était peut-être quelqu’un qui me connaissait. Ma femme est entrée là et elle a pris le téléphone. Elle a dit: «C’est encore ces hommes du gouvernement.»

(124) Oh! J’ai senti comme si on allait m’arracher la tête de toute façon. J’étais très nerveux et bouleversé. Je devais aller fouiller ceci, fouiller cela et puis j’étais troublé par là comme ceci et je devais aller prendre l’église, les diacres pour faire ceci et les administrateurs pour faire cela. J’étais très fatigué. Vous savez ce que j’ai fait? J’ai dit: «Dites-leur que je ne suis pas ici pour le moment.» Et je suis sorti de la maison en courant et j’ai tourné là derrière la maison.

Lorsque je suis rentré dans la maison, ma femme m’a regardé; et c’est une bien-aimée. Elle a dit: «Billy, est-ce que ça, c’était vraiment correct?»

(125) J’ai dit: «Certainement. Je n’étais pas ici à l’intérieur, juste à ce moment-là.» Vous voyez, parfois vous agissez comme si la chose est vraie alors que c’est un mensonge de toute façon. Dieu ne veut pas que nous mentions ou que nous disions de petits mensonges innocents, ou que nous puissions nous esquiver [dans un coin]. Tout doit être clair et dans les règles. Je me suis senti condamné pour cela. J’y ai pensé tout l’après-midi. Je me suis mis à prier pour quelqu’un. Je n’ai pas pu prier pour la personne.


Up