E-47 Elle a cru en Lui. Elle n’a pas douté. Elle a cru en Lui. Il lui a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre, et ce saint Enfant qui naîtra de toi seraappelé le Fils de Dieu.»
Elle a dit: «Qu’il me soit fait selon tes paroles.»
Et elle s’est aussitôt mise à témoigner, dire aux gens qu’elle aurait un Enfant sans avoir connu un homme, avant donc que l’Enfant soit né. Avant qu’elle ait senti quoi que ce soit, avant qu’il y ait une quelconque vie, une quelconque évidence, rien du tout, elle s’est mise à témoigner que c’était vrai. Que Dieu nous donne d’autres Marie par ici en Erie, qui peuvent prendre Dieu au Mot. Avant que vous voyiez, que vous sentiez quoi que ce soit, Le prendre au Mot. Alléluia!
Oh! la la! Je me sens très bien. N’allez pas penser que je suis fou. Si je le suis, je suis heureux, laissez-moi donc tranquille. Très bien.
E-49 Je peux la voir se réjouir, heureuse, allant raconter à tout le monde qu’elle aurait un Enfant sans avoir connu un homme. Pouvez-vous vous représenter cela? Je sais... L’Ange lui avait parlé de sa cousine. Et elle a directement parcouru les collines de Judée, pour lui rendre visite. Elle ne pouvait pas rester davantage. Elle avait entendu de bonnes nouvelles.
Et je peux voir Sara... ou plutôt Elisabeth, assise en train de tricoter, peut-être. Elle a vu Marie venir. Elle est sortie en courant, elle a entouré Marie de ses bras et s’est mise à l’étreindre.
A l’époque, les gens s’aimaient. Nous avons perdu celaaujourd’hui. Vous savez que c’est la vérité. C’est vrai. Les gens ne... même pas... Vous ne pouvez même pas... Celui qui descend en ville, vous ne pouvez guère lui parler, à moins que vous soyez de même haut rang que lui. Et puis, ils vont en ville et parlent, ils esquissent juste une espèce de sourire insignifiant. Ô frère, j’aime une bonne poignée de main à l’ancienne mode. On va droit jusqu’au bout de cela. Qu’êtes-vous après tout. Amen. C’est vrai.
Pas d’amour pour... Vous ne savez même pas que votre voisin est mort à moins de le lire dans un journal. Les gens ne s’aiment plus. On a perdu cela.
E-50 Il y a longtemps, quand nous étions à court d’argent, nous allions chez le voisin emprunter cinquante dollars pour tenir le coup. Eh bien, nous n’avions pas à signer des décharges. Nous nous faisions confiance les uns aux autres. Vous ne pouvez pas emprunter cinq dollars aujourd’hui sans laisser en gage un bien de dix dollars pour ça. C’est vrai. Pas d’amour...
La Bible déclare: «Et parce que l’amour se sera refroidi, la–la charité... Et parce que l’iniquité se seraaccrue, la charité du plus grand nombre se refroidira.» C’est ça le problème du monde. Ils se meurent faute d’amour. Nous avons beaucoup d’enseignements, beaucoup d’églises, mais nous avons besoin de l’amour de Dieu. Alléluia! ...sais ce qui ne va pas avec moi aujourd’hui...
Regardez, je vais vous le dire, frère. Elles étaient là. Je peux la voir heureuse, se réjouissant. Elle a couru, elle l’a entourée de ses bras, oh! elle était heureuse; en effet, elle en avait entendu parler.
E-53 Nous parlons des réunions et des réveils. Nous avons des rassemblements, mais pas un réveil. Nous avons besoin d’un réveil. Détruire, aller jusqu’au bout, laisser le sacrificateur s’accrocher à l’autel et pleurer. Amen. Amen. Ne soyez pas excité. Cela veut dire ainsi soit-il.
J’avais un chien qui suivrait tout au monde dans un arbre sauf une moufette puante. Et quand je le faisais suivre dans l’arbre, il tournait tout autour, aboyait à la moufette, mais il n’allait jamais me la chercher. Tout ce que j’avais à faire, c’était de soulever le tas de broussaille, de le tapoter et de dire: «Attaque-le, Fritz.» Frère, il allait chercher la moufette.
La pire moufette que je connaisse, c’est le diable. Et, frère, si vous voulez le suivre dans un arbre cet après-midi, criez simplement: «Amen.» C’est–c’est: Attaque-le. Nous allons le chercher et nous le suivons dans l’arbre. C’est vrai.
E-56 L’autre jour, j’ai vu une drôle de petite femme entrer dans une grande église là, dans une ville. Et elle descendait, sa fille et elle ont adhéré à une église. Elle est entrée là, elle portait une petite robe en calicot, je ne sais comment vous appelez ces tissus. Elle est entrée là, le prédicateur a dit quelque chose. Elle a dit: «Gloire au Seigneur!» Et tout le monde a tendu son cou comme une oie sur un étang, regardant tout autour comme cela pour voir ce qui se passait. Eh bien, celaa remué tout le monde. Ils n’avaient jamais entendu quelqu’un dire amen. Elle venait du Kentucky où il reste encore un peu de religion.
Alors, après, elle s’est ressaisie là. Et le prédicateur a dit: «Et Jésus-Christ, le Fils de Dieu...»
Elle s’est écriée: «Gloire!» Et alors, le prédicateur a dit [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.E.] Il a dit: «On m’interrompt.» Oh! Frère, si vous ne faites pas cela, c’est alors qu’on m’interrompt. D’accord.
Remarquez. Et alors, il a encore prononcé quelques paroles et elle a dit: «Louange au Seigneur. C’est vrai.» Et les huissiers sont allés, ils l’ont fait sortir de l’église.
Je me suis dit: «Oh! Oui. Son nom peut ne pas figurer dans le Who’s Who, mais je parie qu’il est inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. C’est là que j’aimerais que le mien figure. Frère, non pas dans le Who’s Who, j’aimerais que mon nom figure dans le Who’s Who de Dieu.
E-60 Frère, qu’est-ce que Cela devrait faire à un groupe de gens nés de nouveau? Mais vous ne pouvez pas maudire ce Nom-là, vous moquer de ce Nom-là, douter de ce Nom-là, et vous En réjouir. Vous devez Le respecter dans votre coeur. Croire Cela de tout votre coeur. Très bien.
Alors, elles ont passé quelques jours là-bas. Puis, peu après, le petit Jean devait naître. Quand il est né... A l’âge d’environ neuf ans, il n’est pas allé à une espèce de séminaire ou cimetière. C’est un–un séminaire, je veux dire. C’est tout à fait pareil. C’est un lieu des morts. C’est exact.
Vous savez quoi? Un prédicateur de séminaire me rappelle toujours des poulets de couveuse. Un petit poulet de couveuse va piauler, piauler, piauler, et il n’a pas de maman auprès de qui se rendre.
C’est à peu près ainsi avec un prédicateur de couveuse, avec la lecture, l’écriture et l’arithmétique, et il ne connaît pas Dieu, pas plus qu’un lapin n’en sait au sujet de raquettes de neige. Vous savez que c’est la vérité. C’est vrai.
E-62 Et maintenant, remarquez. Cela... Quel genre d’enfant allait-il être là au désert à l’âge de neuf ans et y rester? Et quand il en est ressorti à l’âge de trente ans, frère, il a laissé les éclats voler, aussi.
Il s’est présenté sur les rivages du Jourdain, prêchant l’Evangile. Il a secoué toutes les régions environnantes de Jérusalem. On venait l’entendre pendant qu’il était sur les rivages. Il n’était pas habillé en un très chic costume smoking, avec un col retourné. Non. Il portait un drôle de pantalon à poils, il portait une ceinture de peau de brebis, comme cela. Mais il a secoué toutes les régions environnantes du Jourdain. Que se passait-il? Il prêchait Christ par le baptême du Saint-Esprit.
Et, je vous assure, frère, chaque fois que cela est toujours prêché dans Sa puissance, toujours dans Sa simplicité, Celaattirera les nations partout, l’attraction de l’Evangile de Christ. Amen.
E-64 Dieu est tenu de prendre soin de Sa promesse. Quand Dieu avait fait sortir Israël du désert là-bas, Il l’a fait entrer dans le désert plutôt, Il avait promis de prendre soin d’eux. Et ce que Dieu a promis, Il est tenu de l’accomplir. Quand ils avaient besoin d’eau, ils allaient au rocher. Quand ils avaient besoin de nourriture, Dieu faisait pleuvoir du Ciel la manne. Il a ouvert la mer Rouge.
Regardez cette manne qui descendait; quel beau type de notre Eglise aujourd’hui! De même que Dieu avait conduit Israël dans le naturel, Il conduit l’Eglise aujourd’hui dans le spirituel.
Suivez ceci. Alors, quand ils ont traversé la mer Rouge, tous les chefs de corvées étaient morts. La mer Rouge, le Sang de Christ... L’homme qui passe par le Sang est sanctifié des choses du monde. Il se tient sur les rivages par ici, d’un nouveau pays, un nouveau peuple.
Miriam était là, elle était très contente. Elle a pris un tambourin et s’est mise à danser. Elle parcourait les rivages en dansant. Les filles d’Israël l’ont suivie derrière en dansant.
Moïse est entré en Esprit, il a chanté un chant en Esprit. Si ce n’était pas là une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, c’est que je n’en ai jamais vue une de ma vie. Vous y êtes. Après qu’ils eurent traversé vers un nouveau pays, alors Dieu a dit qu’Il prendrait soin d’eux.
E-65 Alors, j’ai constaté que ce soir-là, il n’y avait pas de pain. Ils ne s’en souciaient pas. Mais Dieu fit pleuvoir de la manne du ciel, elle tombait par terre. Et ils sortaient ramasser cela et ils mangeaient. Ils ont dit que celaavait le goût du miel. Avez-vous déjà mangé de cela? Oh! C’est bon. Oh! la la! Vous devriez en goûter un peu, chérie.
Vous savez, David d’autrefois, il était un berger. C’est lui qui a dit que celaavait le goût du miel. Celaavait le goût du miel sur le rocher. David, parlant de ce... Il avait l’habitude de porter... Les bergers portaient d’habitude une gibecière à leurs flancs, ils y mettaient du miel. Et quand leurs brebis tombaient malades, ils mettaient ce miel sur un rocher, et la brebis allait lécher ce rocher. Et en léchant ce miel du rocher, elle léchait le calcaire du rocher et se rétablissait. Voyez?
Ils mettaient du miel sur le rocher et amenaient les brebis à lécher. Et elles léchaient du miel. Et en léchant du miel, elles consommaient du calcaire, provenant de la roche calcaire. Et le calcaire guérissait les brebis.
E-74 Remarquez. Et puis, combien glorieux... Eh bien, Pierre aalors dit: «Eh bien, écoutez ça.» Tous les hommes et les frères se sont vite assemblés et ont dit: «Regardez ces gars (les croyants); ils sont tous pleins de vin doux. Regardez ces femmes là-bas. Qu’est-ce que je vous ai dit? Eh bien, ils sont tous pleins de vin doux.»
Pierre s’est présenté là. Je pense qu’il prêchait sur une caisse à savon. C’est ce qu’on disait de moi. C’est donc en ordre. Il a pris sa caisse à savon, ou une souche, ou je ne sais quoi c’était, il est monté dessus et a dit: «Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci; ces hommes ne sont pas ivres comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour. Mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël.»
Il a prêché un sermon, frère, tel qu’il a secoué les stalactites de l’enfer sous les yeux du diable. C’est vrai. Et alors, il a dit... Ils ont vu tout ça. Il a dit: «C’est ce qui a été annoncé par prophétie, comme devant arriver.»
Ils ont dit: «Que pouvons-nous faire pour être sauvés?»
Il a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.»