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Jeffersonville, Indiana, USA

E-138 Seigneur Jésus, nous nous préparons à entrer dans un autre service, Seigneur. Nous Te remercions pour le Saint-Esprit qui a parlé à nos coeurs. Et nous sommes heureux, Seigneur, que Tu aies fait ceci pour nous. Et puisse Ta Parole ne pas retourner à Toi sans effet, mais qu'Elle accomplisse son but. Puisse-t-Elle demeurer dans nos coeurs à tous, pour que nous sachions que toutes les choses réelles et toutes les choses durables viennent de Dieu, sans argent, sans rien payer. Pourquoi lutterions-nous alors pour des choses, et ferons des choses qui périront une question de vie ou de mort? Luttons plus, Seigneur, pour des choses qui ne périront pas, qui n'ont pas de prix. Le prix est gratuitement payé et avec un souhait de bienvenue: "Que celui qui veut, vienne."


Chautauqua, Ohio, USA

E-4 Et j’aimerais dire ceci: Dieu n’exaucera jamais votre prière tant que vous cachez l’iniquité dans votre coeur. Il ne le fera pas. Dieu pourra... La Bible dit là dans, je pense, dans 1 Jean 3: «Si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons alors de l’assurance devant Dieu», c’est-à-dire si nous n’avons aucune condamnation dans notre coeur. Je viens de vivre une expérience du genre il y a quelques jours. Et je ferais tout aussi mieux de m’arrêter ici pour vous en parler, car nous ne voulons jamais être pressés. Eh bien, c’est là l’une des grandes causes de la ruine de notre héritage américain aujourd’hui, c’est que nous essayons de dépasser tout le monde. On dirait que nous essayons de dépasser Dieu par manque de patience. «Ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force.»


Chautauqua, Ohio, USA

E-6 Puis, je suis sorti. Il y avait quelqu’un qui attendait, un homme avec un enfant malade. Je suis allé jusque là afin de prier pour cet enfant-là. Oh! la la! Je–je–j’ai éprouvé un très mauvais sentiment. Donc, lorsque je me suis agenouillé là afin de prier pour l’enfant, Quelque Chose m’a dit: «Eh bien, toi un menteur! Et tu veux dire que tu vas imposer les mains à cet enfant? Cet homme a parcouru environ quatre cents miles [640 km] afin que tu pries pour cet enfant malade, cependant–cependant tu venais de dire un mensonge et tu as fait mentir ta femme.» Notre coeur nous condamne donc. Voyez-vous? C’était faux.

J’ai alors dit à cet homme, j’ai dit: «Monsieur, veuillez bien rester sur place, je vais prier pour votre enfant, mais je ne suis pas digne de prier pour lui, ai-je dit, parce que j’ai quelque chose à arranger avant de prier pour lui.» J’ai dit: «J’ai fait quelque chose de mal, et–et mon coeur me condamne. Et il me faut d’abord aller arranger cela


Chautauqua, Ohio, USA

E-9 Et je me suis tenu sur cet énorme rocher et j’ai levé les mains pour louer Dieu. Et je... Après avoir fini de Le louer, j’ai baissé les mains, j’ai dit: «Seigneur, un jour, Moïse se tenait dans le creux du rocher, et Tu es passé à côté de lui.» J’ai dit: «Si Tu pardonnes mon péché, et que Tu–Tu vas me donner encore une chance, passe encore une fois seulement, Seigneur, que je sache que Tu m’as pardonné, et que mon iniquité est complètement ôtée; j’irai alors prier encore pour les malades.» Vous pourriez ne pas vouloir croire cela, mais à la barre du Jugement, vous et moi devrons confesser cela de nouveau; vous saurez que c’était vrai. Il y avait... c’était tout aussi calme qu’ici, il ne soufflait de vent nulle part; et juste à côté de moi, un petit tourbillon a traversé les buissons, et il est passé, longeant ici la paroi de la cave, près de moi, il est allé dans les bois. J’ai pleuré comme un enfant, les deux mains en l’air. Si notre coeur ne nous condamne pas, alors nous avons de l’assurance devant Dieu. Mais Dieu ne nous exaucera pas si nous cachons quelque chose dans le coeur. Confessons donc tous nos péchés et tous nos manquements, et croyons que Dieu déversera Son Esprit dans une mesure telle qu’il y aura une grande effusion spirituelle dans cette série de réunions ici sur ce vieux terrain de camping, quoi que ce soit, que les malades seront guéris et que les pécheurs seront sauvés. Je prierai pour vous, et vous, priez pour moi, et Dieu nous bénira tous ensemble.


Chautauqua, Ohio, USA

E-15 Mais aujourd’hui, nous voulons devenir modernes comme eux jadis. Et le gouvernement avait approuvé cela. De même, le gouvernement approuve cela aujourd’hui. Eh bien, il y a quelques années, vingt-cinq ans, cinquante ans, si les femmes marchaient alors dans les rues habillées comme elles le sont aujourd’hui, on les aurait mises en prison. Mais le gouvernement approuve cela, et nous voulons devenir modernes. Je dirai ceci avec tout le respect pour notre gouvernement et notre pays: C’est une oeuvre du diable. C’est le diable à l’oeuvre. Je crois uniquement à la Vérité de l’Evangile, de la Bible, à l’ancienne mode.

Mais, autrefois, c’était immoral pour les gens de boire. Et aujourd’hui, vous trouvez de tout petits adolescents ivres. Autrefois, jouer à la carte était une mauvaise chose pour les chrétiens. Et aujourd’hui, des millions de soi-disant chrétiens se divertissent dans leurs églises en jouant à la carte, faisant cadeau de petites voitures et tout, le jeu d’arnaque. Tout cela n’est que de la simple loterie. Et c’est une chose mauvaise. Et la déchéance a atteint toutes les nations; de l’Eglise du Dieu vivant, n’en parlons même pas. Mais le roi disait à leur époque que c’était en ordre. Ils avaient donc détruit les autels de Dieu et avaient érigé les autels de Baal.


Chautauqua, Ohio, USA

E-16 Et aujourd’hui, nous avons détruit les bannières à l’ancienne mode de la sainteté et de la justice, et nous avons érigé la tendance moderne de la dénomination. Nous sommes membres de tel–tel grand ordre. Nous nous disons chrétiens parce que nous sommes membres de tel ordre.

Ce n’est pas ça le christianisme; le christianisme, c’est l’expérience de la nouvelle naissance avec Dieu, être rempli du Saint-Esprit et être purifié de la vie du péché, mener une vie pure et sainte devant Dieu et devant les hommes. Cela ôte l’aiguillon de la mort. La mort devient alors une victoire.


Chautauqua, Ohio, USA

E-18 Il y a quelques semaines, nous allions à une épicerie, et nous avons vu une femme en robe. C’était la chose la plus rare que nous ayons vue depuis longtemps. Alors, nous... Meda m’a dit, elle a dit: «Bill, que se passe-t-il?»

J’ai dit: «Chérie, voici ce qu’il y a: Nous ne voulons pas nous conformer au monde.»

Elle a dit: «Eh bien...»

J’ai reçu des lettres venant des gens qui disaient: «Vous allez ruiner votre ministère en faisant des remarques que vous faites.»

J’ai dit: «Si la prédication de la Vérité ruine un ministère, alors il devra être ruiné.» C’est vrai.

Elle a dit: «Eh bien, qu’est-ce qui rend les chrétiens différents?»

J’ai dit: «Lorsque j’étais en Suède, ou en Finlande, les femmes lavent les hommes dans les bassins publics. C’étaient des infirmières, disait-on. Ça, c’est leur coutume. Quand j’étais à Paris, toutes les toilettes étaient réservées et aux hommes et aux femmes, ensemble. C’est la coutume à Paris. Ils ne trouvent rien de mal à cela. J’en ai parau docteur Munion et... là à... pendant notre séjour au YMCA. Et on voulait que j’aille prendre un de ces saunas, ce que je pensais être bon, mais pas avec les femmes là-bas.

Et alors, il a dit: «Mais, Frère Branham, a-t-il dit, celles-là sont des laveuses.»

J’ai dit: «Mais ce n’est pas correct.»

Il a dit: «Qu’en est-il alors de vos médecins qui consultent vos femmes là en Amérique?» Voyez? Vous y êtes donc. Voyez-vous? C’est du pareil au même, c’est tout. Mais il est question de la nation à laquelle vous appartenez et de la coutume. Quand un homme, ou une femme, est né de nouveau de l’Esprit de Dieu, ils naissent d’un lieu saint, et ceci n’est pas leur demeure; ils cherchent une Cité à venir, dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Votre esprit vient d’En Haut.

Elle a dit: «Ne sommes-nous donc pas Américains?»

J’ai dit: «Nous le sommes tant que nous sommes dans la chair.»


Chautauqua, Ohio, USA

E-23 Cette petite femme, je peux me la représenter le dernier soir, alors qu’elle savait qu’il y avait juste assez dans ce pot, une poignée de farine, et une cuillerée d’huile pour un petit gâteau, pour elle et son fils, et après, ils devaient mourir, elle et lui. Il n’y en avait plus de disponible nulle part.

Et je peux me la représenter, toute la nuit durant, s’avancer, tapoter les maigres petites mains décharnées de son fils et regarder sa chemisette de nuit en lambeaux. Et elle l’entendait dans son sommeil se retourner et dire: «Maman, j’ai faim.» Mais il n’y avait rien à lui donner. N’est-ce pas étrange, qu’après avoir fait tout ce que nous savons faire... Et après qu’elle ait prié, puis–puis elle voyait venir la fin... C’est le cas de certains d’entre vous ici qui souffrez du cancer. Vous voyez les choses en arriver vraiment à la fin, et vous vous demandez pourquoi. Elle s’est examinée et a dit: «Seigneur, y a-t-il quelque chose que j’ai omis?»


Chautauqua, Ohio, USA

E-30 Oh! Combien cela a paru à cette femme chrétienne... Achab était peut-être là dans son palais avec Jézabel, ayant beaucoup de vivres... Nous nous demandons pourquoi les méchants prospèrent. Une fois, David avait posé cette question, mais la Parole lui rétorqua: «Observe sa fin.» La prospérité n’est pas le signe que Dieu est avec vous. Si c’est le cas, notre nation est bénie, les gens sont tous des chrétiens; c’était pareil à l’époque; en ce temps-là, c’était le contraire de la prospérité. Cette pauvre petite femme, alors qu’elle regardait ce petit enfant toute la nuit durant, ne pouvait pas dormir; d’abord, elle était tellement affamée qu’elle n’arrivait pas à dormir. Et elle savait qu’une poignée de farine laparait de la mort. Que ferait-elle? Elle ne pouvait plus supporter cela. Elle était faible. Elle marchait, elle titubait en marchant. Le petit enfant réclamait une bouchée de pain... Et pourtant, c’était une chrétienne, une croyante en Jéhovah, comme nous le dirions aujourd’hui, une chrétienne. Elle était fidèle, ça s’était confirmé par le choix que Dieu avait fait d’elle par préférence à toutes les autres femmes... Il l’avait choisie. Cependant, elle avait fait tout son possible.


Chautauqua, Ohio, USA

E-42 Oh! Des fois, il fait sombre. Bien des fois, nous pensons qu’il fait sombre. Vous devriez nous suivre dans les champs missionnaires là loin, si vous voulez voir ce que représente l’obscurité. Nous ne voyons pas l’obscurité en Amérique. Nous avons l’abondance. Il fait sombre. Mais je sais qu’il paraît faire sombre, à notre propre façon, selon nos critères. Nous pensons, en voyant des gens malades et mourants, que c’est de l’obscurité... Marchez un peu avec moi là dans les rues de Calcutta. Observez-les venir là avec de grandes corbeilles et ramasser les morts par centaines, et les placer sur la tête (sans même savoir qui ils sont), s’avancer vers une salamandre et les jeter là. Ici au moins, lorsque quelqu’un meurt, on tient pour lui un service funèbre. Il y a un Jean 14 pour lui. Mais ces gens-là n’ont pas de Jean 14; il n’y a pas de notice nécrologique pour eux. On les dépose simplement là et on les incinère, on les enlève de la rue. Des mères mourantes, avec leurs petits bébés là, les ventres bedonnants comme cela, la maman si faible qu’elle ne peut même pas quitter la rue, mendiant un sou afin de sauver son enfant. Et puis, regardez ce que nous jetons dans la poubelle chaque dimanche. Et alors, nous pensons connaître des moments difficiles. Oh! Ça peut paraître dur. C’est dur. Mais, mon ami...


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