Erie, PA, USA
E-10 Maintenant, il y a un homme... des gens assis ici qui sont aveugles, qui ne voient pas cela; ils ne le savent pas. Voyez, ils doivent me croire sur parole là-dessus, et vous croire vous sur parole. Mais cet homme se tient là. Mais nous sommes bénis ce soir, nous qui pouvons voir, par les miséricordes de Dieu, que c’est la vérité. Maintenant, le sens de la vue déclare cela.
Eh bien, combien ont entendu cette expression: «Voir, c’est croire»? Très bien. Cet homme est toujours là debout, et je ne le vois pas. Est-ce que voir, c’est, croire? Non, non. Voulez-vous me contredire, qu’il n’est pas là? Eh bien alors, vous ne pouvez pas le faire. Il est là debout. Et je sais qu’il est là. «Eh bien, direz-vous, non, il a quitté, Frère Branham.»
Non, il n’a pas quitté; non, non, il est là. Essayez de me contredire là-dessus maintenant. Vous ne le pouvez pas. Et je ne le vois pas; il m’est impossible de le voir maintenant. Est-ce vrai? Mais je sais qu’il est là. Comment, à votre avis, je sais qu’il est là? [L’assistance répond: «Vous le touchez.»–N.D.E.]
C’est vrai. Donc, voir, ce n’est pas croire, n’est-ce pas? Toucher, c’est croire dans ce cas. Eh bien, c’est le sens de toucher qui déclare qu’il est là. Maintenant, suivez. Maintenant, je ne peux pas du tout le toucher. Ce sens ne fonctionne pas du tout; je ne peux rien toucher. Mais je sais qu’il est là. Pourquoi? Je le vois. Il y a donc deux sens distincts, tout à fait. Est-ce vrai?