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Erie, PA, USA

E-3 Ce soir, j’ai rencontré une dame pendant que nous prenions notre dîner dans un restaurant, qui avait assisté à une série de réunions à Windsor, en Ontario. Je pense qu’elle allait parler. A-t-elle parlé ce soir? Une dame qui était juste... le cancer l’avait complètement rongée à l’intérieur, et les médecins ne lui accordaient que peu de temps. Et, oh! comme le Seigneur est descendu et lui a dit: «Tu vas vivre.» Voyez? Peu importe ce que les–ce que les autres pensent, elle a dit: «Cela passe en premier.»

Eh bien, et si elle n’avait pas cru cela? Et quand elle a eu... Ça avait disparu quelques jours après, son état était devenu un peu pire qu’avant. Si elle s’était dit: «Eh bien, cet homme-là m’a simplement dit quelque chose de faux», eh bien alors, elle serait allée de l’avant et elle serait morte. Mais elle a cru que ce qui avait été dit était la vérité, et Dieu l’a récompensée.


Erie, PA, USA

E-4 Comme je vous le disais auparavant, souvent, le temps et la vue sont les pires ennemis que Dieu a, le temps et la vue. Vous regardez, et aucun d’eux ne déclare rien au sujet de Dieu. Vous voulez que cela se passe instantanément, alors que Dieu prend Son temps sur des choses. Et croyons simplement tout ce qui est dit.

Je ne sais pas; il y a de cela quelques semaines, l’un des témoignages les plus remarquables est arrivé. Je me posais des questions sur cette série de réunions-là, eh bien, il n’y avait pas tant... trop de guérisons instantanées qui s’étaient opérées. Eh bien, je ne savais pas. J’ai fini par découvrir que... Et pendant que j’étais ici, une femme m’a appelé, il n’y a pas longtemps, pendant que j’étais ici et m’en a parlé. Plusieurs jours après la réunion, une–une dame qui souffrait de l’estomac, et cela était si grave qu’elle n’arrivait guère... qu’elle n’arrivait simplement pas à manger quoi que ce soit, sinon prendre une boisson à base de l’orge et tout, des ulcères très graves. Et elle a dit que je lui avais dit qu’elle guérirait.


Erie, PA, USA

E-6 Eh bien, ils ne peuvent pas toujours réagir instantanément. Quand Paul était sur l’océan cette nuit-là, ayant passé quatorze jours et quatorze nuits sans lune ni étoiles, eh bien, il n’y avait plus d’espoir. Est-ce vrai? Il n’y avait plus du tout d’espoir pour ces marins, oh! des hommes recouverts pratiquement de bernacles, ils avaient fait si longtemps sur la mer. Et ils disaient: «Il n’y a donc plus d’espoir de vivre.»

Et Paul était là dans la cale, et l’Ange du Seigneur est alauprès de lui. Il est remonté sur le pont en courant et a dit: «Ayez bon courage, ayez bon courage; car l’Ange de Dieu dont je suis le serviteur s’est tenu à mes côtés et Il m’a parlé hier soir.» Voyez? Il a dit: «Paul, il te faut aussi comparaître devant l’empereur et autres, et Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.» Et il a dit: «Ayez bon courage, car j’ai confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été montré.»

Et ils se sont servis, ils ont mangé, mangé, ils ont été encouragés parce qu’ils avaient cru. Paul croyait que ce que Dieu lui avait dit était la vérité. Or, il s’est donc écoulé plusieurs jours avant qu’ils connaissent le naufrage ou qu’ils échouent sur l’île. Mais Dieu a fait s’accomplir cela, parce qu’eux avaient cru cela. N’ayez pas peur.


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E-10 Maintenant, il y a un homme... des gens assis ici qui sont aveugles, qui ne voient pas cela; ils ne le savent pas. Voyez, ils doivent me croire sur parole là-dessus, et vous croire vous sur parole. Mais cet homme se tient là. Mais nous sommes bénis ce soir, nous qui pouvons voir, par les miséricordes de Dieu, que c’est la vérité. Maintenant, le sens de la vue déclare cela.

Eh bien, combien ont entendu cette expression: «Voir, c’est croire»? Très bien. Cet homme est toujours là debout, et je ne le vois pas. Est-ce que voir, c’est, croire? Non, non. Voulez-vous me contredire, qu’il n’est pas là? Eh bien alors, vous ne pouvez pas le faire. Il est là debout. Et je sais qu’il est là. «Eh bien, direz-vous, non, il a quitté, Frère Branham.»

Non, il n’a pas quitté; non, non, il est là. Essayez de me contredire là-dessus maintenant. Vous ne le pouvez pas. Et je ne le vois pas; il m’est impossible de le voir maintenant. Est-ce vrai? Mais je sais qu’il est là. Comment, à votre avis, je sais qu’il est là? [L’assistance répond: «Vous le touchez.»–N.D.E.]

C’est vrai. Donc, voir, ce n’est pas croire, n’est-ce pas? Toucher, c’est croire dans ce cas. Eh bien, c’est le sens de toucher qui déclare qu’il est là. Maintenant, suivez. Maintenant, je ne peux pas du tout le toucher. Ce sens ne fonctionne pas du tout; je ne peux rien toucher. Mais je sais qu’il est là. Pourquoi? Je le vois. Il y a donc deux sens distincts, tout à fait. Est-ce vrai?


Erie, PA, USA

E-14 Maintenant, Dieu a été bon envers vous. Dieu est avec vous. Et j’aimerais que vous croyiez en Lui de tout votre coeur. Et maintenant, rappelez-vous, beaucoup parmi vous vont être guéris. Beaucoup parmi vous vont être rétablis; c’est la vérité. Et maintenant, j’aimerais... Frère Baxter venait de dire il n’y a pas longtemps, alors qu’il me parlait, il a dit: «Frère Branham, toutes nos dettes ont été payées, et on a prélevé une offrande d’amour pour vous.» Eh bien, cela me fait me sentir également petit. Voyez-vous? Je–je ne voulais pas nécessairement que vous le fassiez. Mais comme je vais outre-mer, je dois quitter ma famille pendant quelque temps, et à mon retour, je n’aurai pas de... J’allais reprendre mon travail jusqu’à ce que le Seigneur me dise quoi faire, le travail de patrouilleur, reprendre à parcourir les lignes de haute tension, pour le compte d’un service public, jusqu’à ce que le Seigneur me parle et me dise quoi faire. Et frère Baxter a dit: «Frère Branham, ça serait une pierre d’achoppement pour les gens.»

Et je–j’aimerais être tranquille, ce que je veux faire, c’est pour moi-même, et prier. En effet, je crois que ceci maintenant est... Dieu par Sa grâce m’a permis d’être le fer de lance du réveil qui a balayé le monde au début. Voyez? Maintenant, je crois qu’il vient quelque chose qui va être une double portion pour l’église. Et je sens cela au fond de mon coeur.


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E-15 Or, dans le passé, le dernier sermon que j’ai apporté dans mon tabernacle, c’était sur David et Goliath. Et j’ai dit, ici, que même mon propre évêque baptiste s’était levé là et avait dit: «Qu’as-tu mangé cette nuit-là?» Il a dit: «Tu as eu un cauchemar.»

J’ai dit: «Non, non, et je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «Non. C’était la vérité, pour moi c’était réel.»

Et il a dit: «Avec ton instruction de l’école primaire, tu vas prier pour les rois, de grands hommes, des hommes d’Etat et autres, et ils vont être guéris?»

J’ai dit: «Oui, monsieur.»

Il a dit: «Eh bien, comment trouves-tu cela?» Il a dit: «Tu ferais mieux de retourner à ton tabernacle et d’oublier cela

J’ai dit: «Comment puis-je oublier cela, alors que cela est écrit de façon indélébile avec le Sang de Christ sur mon coeur?» J’ai dit: «Vous allez–vous allez voir.»

Et il a dit: «J’en aurai des nouvelles.»

Et vous avez vu The Voice Of Healing [La Voix de la Guérison], ici tout récemment, il a demandé pardon. Et il prie lui-même pour les malades maintenant. Ainsi, ce... Il a dit: «Si je n’avais pas tellement rétrogradé, j’aurais écouté le jeune homme et j’aurais fait attention à ce qu’il disait au sujet des visions.» Vous avez lu ce que le docteur Davis a dit.


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E-16 Très bien. Mais cela... Voyez, quand Dieu dit quelque chose, même si cela traîne, cela doit s’accomplir. Eh bien, je croyais que Dieu allait accomplir cela, et qu’il y avait ce grand jour moderne avec les hommes de science et tout qui étaient là et qui disaient: «Les jours des miracles sont passés», et tout. Mais Dieu a dit: «Vas-y.»

Maintenant, je... Comme David d’autrefois, il ne pouvait pas tuer tous les Philistins, mais si seulement il pouvait tuer ce vantard-là, Goliath. Et alors, dès que Goliath fut tué, tout Israël prit courage et ils foncèrent. Ils terrassèrent les Philistins jusqu’à leurs portails.

Eh bien, maintenant, c’est ce qui se passe maintenant. Les prédicateurs ont eu la vision. Et la guérison divine maintenant, même la–l’Eglise presbytérienne à New York, eux tous, ils pratiquent la guérison divine, ils tiennent des services de guérison le mercredi soir. Les collèges adoptent cela, à travers le monde. En Corée, il y a eu un service de guérison il n’y a pas longtemps, en Corée, et des milliers ont été guéris. Là au Japon, partout, en Australie, et de par le monde, des nouvelles affluent, de grandes choses se passent; les livres ont été publiés, les ministres lisent, ils prennent courage et ils sont partis. Et la guérison divine a balayé le monde. Grâces soient rendues à Dieu!


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E-18 Mais ça faisait douze ans que j’étais pasteur, je n’avais jamais reçu un sou comme salaire, de ma vie. Voyez? Et je–je–je travaillais pour subvenir à mes besoins. J’étais jeune et capable; pourquoi ne pas travailler? J’ai été placé ici pour faire quelque chose, je prêchais donc l’Evangile la–la nuit et je travaillais la journée. Souvent, je passais directement avec mes habits de patrouille, déchiquetés, j’allais à une maison d’un fermier, je lui parlais du Seigneur; il disait: «Oui, je crois», et il se repentait. Je prenais mes habits, je descendais droit à la rivière–la rivière et je les baptisais tous dans la foi chrétienne, et je ressortais, je longeais la ligne, reprenant la marche.

J’ai croisé un jour un clochard sur la voie ferrée et je l’ai conduit à Christ. On a marché sur environ un demi-mile [804 m] vers un ancien étang, j’ai enlevé la traînée de crasse, comme cela, il a fallu le maintenir longtemps en bas pour mouiller tous ses habits. Je l’ai relevé. Oui, oui, c’est bien. Il a poursuivi son chemin en se réjouissant. Là... Il était mouillé et moi aussi. Nous... Il a pris un chemin et moi, un autre, nous nous étions serrés la main et nous nous étions étreints avec des habits mouillés, nous sommes rentrés à notre travail.

Eh bien, le Seigneur est réel, Il n’a pas à être tiré à quatre épingles pour faire quoi que ce soit. C’est l’intérieur, ce qui doit être habillé pour faire quelque chose.


Erie, PA, USA

E-26 Eh bien, beaucoup parmi vous les oignent, les mouchoirs. C’est en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je le soutiens. Mais veuillez me rendre témoignage, Actes 19, Paul n’avait pas oint les mouchoirs, on prenait les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul. Voyez-vous? Et alors, nous les envoyons et vous pouvez bien les recevoir. Si vous n’en avez pas besoin, envoyez, recevez-le et gardez-le dans la Bible, dans Actes 19. Si un enfant attrape une espèce de diphtérie, ou quelque chose comme cela, ou que quelque chose arrive, déposez ce ruban-là sur lui et voyez ce qui arrive. Soyez sincère. C’est un signe de la foi.

Mais maintenant, comme ces mouchoirs sont ici, j’aimerais offrir une prière pour ça. Veuillons incliner la tête juste un instant.


Erie, PA, USA

E-28 Que Dieu vous bénisse. Qu’Il ajoute Ses bénédictions à chacun de vous. Et maintenant, juste un passage de la Parole, ensuite je vais directement former la ligne de prière, car nous aimerions prendre beaucoup de gens ce soir au point qu’on me portera pour me faire partir d’ici, s’il le faut. J’ai demandé à mon jeune garçon et aux autres de me laisser rester debout le plus longtemps possible. Et premièrement, j’aimerais lire un verset dans Esaïe 53:

Qui a cru à ce qui nous était annoncé?

Qui a reconnu le bras de l’Eternel?

Et dans Saint Jean 4.46:

Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin.

Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.

Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.

Maintenant, suivez cette histoire et voyez l’action.

Jésus lui dit: Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point. L’officier du roi lui dit: Seigneur, descends avant que mon enfant meure. Va, lui dit Jésus, ton fils vit... (Or, lui voulait qu’Il aille prier pour son fils. Mais ce n’est pas ce qu’Il a fait. Il a dit)... Va, ton fils vit. (Suivez.) Et (Et est une conjonction.) Et cet homme crut à la parole que Jésus avait dite... (Il lui avait parlé) et il s’en alla. (Obéissance.)

Comme déjà il descendait, son serviteur venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle: Ton enfant vit. (C’était le jour suivant.)

Il leur demanda à quelle heure il s’était trouvé mieux... (Son état s’était amélioré.) Et ils lui dirent: Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté.

Le père reconnut... c’était à cette heure-là... Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.

Jésus fit encore ce second miracle lors–lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.


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