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San Jose, Californie, USA

E-42 (101) Je me tins là une minute, pas d'écureuil. Je regardai encore. Environ cinq minutes passèrent, pas d'écureuil. "Eh bien, dis-je..." Je pensai: "Eh bien, c'est assez. De toute façon, il est temps que je m'en aille, dis-je, je ferais mieux de partir." Et je commençai à m'éloigner.

(102) Et à ce moment-là, Quelque chose dit: "Mais tu l'as déjà prononcé." Et l'Ecriture dit: "Si tu ne doutes pas dans ton coeur, mais crois que ce que tu as dit..." Alléluia! Je suis resté à attendre debout contre un arbre. Je regardai ailleurs, puis regardai à nouveau; il n'y avait pas d'écureuil. J'attendis encore dix minutes, pas d'écureuil. Je dis: "Comment un écureuil pourrait-il venir là?" Je dis donc: "Eh bien, je pense que je n'ai plus qu'à m'en aller. Je vais rentrer parce qu'il est l'heure de rejoindre monsieur Sothmann et les autres. Je vais donc simplement reprendre ma marche." Je commençai à m'éloigner comme cela... Il dit: "Est-ce que tu doutes?" Dieu sait comment vous former.

(103) "Est-ce que tu doutes de ce que tu as dit?" Je dis: "Non, je ne doute pas." Et juste quand je disais cela, un jeune écureuil apparut sur cette branche, s'avaa jusqu'à son extrémité, s'arrêta et regarda les fermiers. Je le tirai de cet endroit même. Cela faisait mes trois écureuils. Puis je dis: "Je vais voir s'il n'y a pas un autre écureuil sur ce territoire." Et j'étais en retard d'environ trois heures pour rejoindre monsieur Sothmann et les autres, et je n'ai même pas pu entendre l'un d'eux.

(104) Je rentrai chez moi et je le leur racontai. Cela me tracassait; je ne savais pas ce qu'il fallait en penser.


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E-43 Environ deux semaines plus tard, j'étais descendu dans l'Etat du Kentucky, où c'était toujours la saison des écureuils, avec des amis, monsieur Wood et son beau-frère. Et je me tenais là-bas, et nous sommes allés chasser ce matin-là. Et, oh! il y avait un de ces vents, et les feuilles étaient toutes tombées des arbres. Ce n'était pas un temps favorable pour la chasse à l'écureuil. Donc nous... Les bons chasseurs n'en attrapaient pas plus d'un environ par jour. Et - et vous deviez être... avoir alors un fusil de chasse pour les attraper, et moi je chassais... [Blanc sur la bande - Ed.] "...et tu les auras!" Et je pensai: "Maintenant ici, je ne... je ne sais qu'en penser maintenant. C'est trop invraisemblable ce matin. Pour sûr, il n'y a pas d'écureuils ici à cette période de l'année. Et il fait si froid." Bien que nous soyons revêtus d'une bonne couche de vêtement, je tremblais aussi fort que je pouvai.

(105) Je pensai: "Pas d'écureuil. Il y a à peu près cette épaisseur de feuilles sur le sol." Vous pouviez vous entendre arriver comme un troupeau d'antilopes. J'avaais donc comme cela, et cela me frappa à nouveau, en disant: "Demande ce que tu veux." Et je m'arrêtai, et posai mon fusil, enlevai mon chapeau, et je dis: "Père céleste, je suis venu ici dans ces montagnes... que - que signifient ces choses? Est-ce Toi qui me parles? Est-ce Toi, Seigneur? Où es-Tu? D'habitude je vois cela, Ta Lumière; où es-Tu? Parle-moi, Seigneur. S'il y a quelque chose que Tu veux que je fasse, je le ferai. Ai-je trouvé grâce à Tes yeux?"

(106) Je dis: "Je... parle-moi!" Et Il dit: "Demande ce que tu veux, et cela te sera donné." Je dis: "Alors, si c'est Toi, j'aurai mes trois écureuils ce matin, des écureuils gris." Ils sont roux en Indiana. Et je dis: "J'aurai mes trois écureuils." Quelque chose dit: "De quel côté viendront-ils?" Je pensai: "C'est bien cela!" Je pouvais L'entendre aussi distinctement que vous m'entendez. Et je dis: "L'un viendra de ce côté-ci, un autre de ce côté-là, et le dernier de là-bas."


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E-45 (109) Et puis - puis, cet autre écureuil a couru, a sauté sur une branche, en est redescendu rapidement, a ramassé une noix et a commencé à la manger. C'était un tir parfait, à cinquante mètres environ. J'ai pensé: "Voilà mon deuxième écureuil. Cela fait un, deux, trois, juste ce que j'ai demandé." J'ai baissé mon fusil et j'ai tiré; et j'ai touché une souche. Or, sur environ cent quarante-neuf écureuils cette année, j'ai seulement manqué cinq coups. J'ai donc pensé: "Comment ai-je pu manquer cet écureuil-là?" Cela ne l'avait pas effrayé. Il sauta, courut à l'autre bout de la branche et se tint là, et regarda autour de lui.

(110) J'ai introduit une autre cartouche, j'ai pensé: "Je suis sûr de l'avoir cette fois-ci." J'ai mis en joue, je visai en plein dans son oeil, et appuyai sur la gâchette. Le coup arriva à environ soixante centimètres en dessous de lui. Je dis: "Oh! la la! ce fusil est fichu. Ce fusil a quelque chose qui ne va pas", sans réfléchir.

(111) Et alors il sauta de la branche et courut tout à fait de flanc devant moi. Je dis: "Eh bien, cela fait longtemps que je n'ai pas tiré un écureuil de côté. Mais je vais voir si ce fusil est fichu ou pas." Je dis: "Je vais certainement l'avoir cette fois-ci. Peut-être que j'ai simplement froid et que je tremble."

(112) Je pris donc un petit arbuste, j'appuyai le fusil contre l'arbuste, et je mis en joue jusqu'à ce que je l'aie tout à fait de flanc, pas à plus de trente-cinq mètres; l'écureuil descendait la colline en courant. Je visai juste en son plein milieu, j'appuyai sur la gâchette, et je ne sais pas où le coup est parti; j'ai manqué l'écureuil.

(113) Et je n'avais plus de cartouche dans mon vieux petit fusil. L'écureuil s'en alla par-dessus la colline. Et je pensai: "Là, j'ai manqué trois tirs à la file, et de toute la saison je n'en ai manqué que cinq. Comment cela se peut-il?" Alors je pensai: "Je ne pouvais pas atteindre cet écureuil. J'ai dit que l'autre devait venir de ce côté-ci." Deux étaient là.

Mais Sa Parole est parfaite. Voyez-vous?


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E-46 (114) Alors j'ai commencé à attendre jusqu'à la tombée de la nuit, presque. Je dis: "Si l'autre écureuil arrive, il va falloir que je le tire de très près parce qu'il y a un fourré ici. Et il faut qu'il arrive à travers ce fourré, c'est la seule manière possible." "Eh bien, pensai-je, eh bien, ce n'était pas pareil cette fois-ci, cette - cette onction, peut être... peut-être qu'il s'est simplement trouvé que j'attrape ces deux-là." Je suis donc allé ramasser mes écureuils et j'ai commencé à m'en aller. Et il faisait très sombre dans la combe. Et je commençai à descendre à travers la combe et Quelque chose me dit: "Qu'en est-il de cet autre écureuil?"

(115) Et je dis: "Eh bien, je - je - j'en ai déjà deux, et il est donc trop tard maintenant. Il m'est même difficile de voir à travers ma lunette, (Voyez?), c'est trop tard pour en avoir un maintenant...", et je continuai à descendre. Quelque chose me dit: "Fais demi-tour et va attraper l'autre écureuil, tu l'as déjà dit." Je retournai donc, et je n'avais pas fait dix pas (Ecoutez bien maintenant,) que je vis l'écureuil grimper rapidement à un arbre à soixante ou soixante-dix mètres de moi. Il faisait si sombre que, s'il n'y avait eu un peu de lumière au sommet de la montagne, je ne l'aurais pas vu. Et je - je mis en joue, je ne voyais pas l'écureuil, je continuai à regarder de haut en bas. Je pensai: "Où est-il?"


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E-48 (118) J'allai donc plus loin pour ramasser l'autre écureuil, et il n'était pas là. Et pourtant je savais que j'avais tué cet écureuil-là. Eh bien, j'ai fouillé tout ce qu'il y avait par là, j'ai attendu, j'ai tâté avec mes mains dans les ténèbres, dans les feuilles, j'ai ouvert une vieille souche et ainsi de suite. Je pensais qu'il pouvait n'être que blessé et s'était caché. Finalement, j'ai trouvé un petit trou dans un chicot d'arbre, et j'enfilai mon bâton là-dedans et commençai à fourrager.

(119) J'ai senti quelque chose qui tombait, j'ai dit: "C'est l'écureuil!" Mais le trou était trop petit pour que mes mains puissent y entrer. Il me fallait une hache ou quelque chose pour le couper. J'ai donc posé un gros caillou, ou un gros bout de bois contre cela, et je suis redescendu. Arrivé au bas de la colline, je racontai cela à mes frères. Ils ont commencé à louer le Seigneur et à crier.

(120) Ce soir-là, je le racontai à un groupe de montagnards qui étaient venus et s'étaient rassemblés là. Et tous nous étions en train de louer le Seigneur. Et l'un de mes diacres, qui s'appelle Tony, qui est dans mon église, il était - il était avec moi, et ce soir-là, quand nous sommes partis pour nous coucher, il a prié devant ces gens-là, en disant: "Maintenant, Seigneur..." (Nous lui avions demandé de conduire la prière), il a dit: "Maintenant, Seigneur, pour confirmer que notre frère a dit la vérité, fais-lui trouver cet écureuil-là demain dans le tronc, pour que nous sachions qu'il a dit la vérité." Il me sembla tout simplement que mon coeur allait s'arrêter de battre. Pour savoir que j'ai dit la vérité! Quelque chose comme cela, et j'aurais menti à ce sujet? Dieu me préserve d'être hypocrite à ce point. Je pensai: "Comment un homme qui m'aime, un homme de ce calibre, un homme dont la femme était en train de mourir sur le plancher, et les docteurs étaient repartis; j'étais allé et j'avais offert une prièr pour elle. Elle s'était levée, et elle était allée à l'église avec moi. Comment pourrait-il mettre ma parole en doute? Comment a-t-il pu dire cela?" Et les autres frères avaient saisi cela.


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E-49 (121) Le matin suivant, à table, tôt avant le lever du jour, il dit: "Eh bien, frère Branham, nous allons monter chercher votre écureuil. Nous en aurons un aujourd'hui de toute façon, parce qu'il sera là." J'ai dit: "Frère Tony, tu n'as simplement pas compris. Lorsque j'ai parlé sous l'inspiration, j'ai dit trois écureuils. Ce quatrième n'avait rien à faire avec cela."

"Oh, dit-il, il est dans ce tronc de toute manière. C'est comme cela que nous saurons."

(122) Je regardai par-dessus la table, et je pensai: "Frère Tony, est-ce que - est-ce que tu douterais que je dise la vérité?" Et je n'ai rien dit. Les frères se regardaient. Et nous sommes allés dans les bois. Et quand nous avons commencé à laisser les voitures pour partir dans différentes directions, eh bien, j'ai pensé que je monterais chercher mon écureuil, s'il était là. Et je pensai retourner le dire à frère Tony, mais quelque chose me poussait à aller de l'avant. Et je continuai jusqu'à... Bon, c'était il y a environ une semaine avant que je vienne ici.

(123) Et je continuai à monter. Et comme j'arrivais là-haut, Quelque chose me dit: "Et si cet écureuil n'était pas là-dedans? Qu'est-ce qui va alors se passer? Ton propre diacre dira que cela n'était pas vrai."

(124) Bon, le Seigneur sait que ce que je dis est vrai, parfaitement, exactement au mieux de ma connaissance dans mon coeur. Et je continuais à marcher, je pensai: "Eh bien, il y a une chose de sûr, c'est que j'espère bien qu'il est là. Ça, c'est sûr que je l'espère." Je n'avais rien dit au sujet de cet écureuil-là, c'était... Vous comprenez tous... Combien comprennent de quoi - de quoi il s'agit? C'est certain. Les trois écureuils, c'était de ceux-là que j'avais parlé. Le quatrième n'avait rien à faire là-dedans.

(125) Mais le Seigneur sait comment vous former et ce qu'il faut faire.


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E-50 Donc, pendant que je montais là-haut, cette onction me frappa à nouveau, et Il dit: "S'il n'y est pas, dis qu'il y soit. Et tu trouveras l'écureuil." Et je dis: "Seigneur, je Te prends au mot maintenant." Je dis: "Et je trouverai l'écureuil." Et je montai sur la montagne. Je pensai: "Je n'ai plus besoin d'avoir peur, parce que je vais le trouver, c'est tout. Je l'ai dit, et le Seigneur a dit que lorsque cette onction était sur moi et que je disais quelque chose, il en serait ainsi, donc j'y vais."

(126) Je fouillais tout autour. Je regardais. Il fallait environ quinze minutes pour redescendre de la montagne. Je pensai: "Je ferais mieux d'aller prendre mon écureuil." Je montai là-haut, j'enlevai le bout de bois recouvrant le trou, et je commençai à tâter là-dedans. Je pouvais tâter cela. Comme je le soulevai, je sentis comme quelque chose qui retombait comme cela, comme si je retenais l'écureuil à l'extrémité du bâton et qu'il retombait ensuite. J'avais un grand couteau de chasse. Je me procurai une grosse pierre et j'agrandis suffisamment le trou pour y passer ma main.

(127) Et en regardant là-dedans, je vis que j'étais en train de soulever des racines et ça tombait, ces racines sous... qui se trouvaient dans cette vieille souche. Je pensai: "Oh! la la! or nous sommes censés être là-bas à neuf heures précises, pensai-je alors, sans écureuil maintenant!"


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E-52 Je pensai: "C'est juste." Je dis quand l'onction était sur moi: "Je trouverai l'écureuil. Et si c'est une confirmation de mon ministère qui recommence, alors l'écureuil doit se trouver quelque part par ici."

(129) Je dis: "Je ne peux pas le trouver, où est-il?" Quelque chose dit: "Regarde sous ce morceau d'écorce." Et j'allai ramasser - je commençai à ramasser - je dis: "Oui, gloire au Seigneur, c'est sous cette écorce." Et je m'avaai pour ramasser le morceau d'écorce, et Quelque chose me dit: "Et s'il n'est pas là-dessous?" "Oh, dis-je, ce sera là-dessous." Et je le ramassai, et il n'y avait pas d'écureuil. Et j'ai pensé: "C'est bizarre."

(130) Bon... "Mais, dis-je, c'était la même inspiration qui m'avait dit que les trois seraient là. La même inspiration était sur moi quand j'avais dit que ce serait là. Ainsi cela doit..." Je regardai encore, je vis juste un peu... quelques poils gris qui dépassaient de dessous les feuilles. Je soulevai cela, et mon écureuil était là. Maintenant, parlez-moi d'un petit Irlandais en train de pousser des cris! Vous auriez dû m'entendre descendre cette colline! J'étais vraiment un homme heureux.

(131) Je rentrai et j'en parlai aux miens, et, oh! la la! comme on se réjouissait tous! Frère Tony dit: "Frère Branham, je ne savais pas que j'avais prié de cette manière-là." Et j'ai dit: "Mais tu l'as fait." Et frère Charlie et les autres en parlaient, disant qu'il - il avait effectivement prié de cette manière-là.


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E-53 (132) Donc le second... puis le jour avant que je vienne ici pour les - pour les réunions... Nous sommes partis dimanche après-midi. Samedi après-midi, je m'étais rendu dans la maison d'un homme qui a une fille infirme. Elle était liée par la polio depuis qu'elle était toute petite; et elle avait une trentaine d'années. Oh, c'est l'enfant la plus affligée que vous ayez jamais vue; j'ai prié plusieurs fois pour elle. Et j'ai vu des infirmes presque dans le même état qu'elle être guéris, alors qu'ils étaient assis juste à côté d'elle. Une famille vraiment bien. Si j'avais le temps de vous raconter l'histoire de son père, quand les médecins les avaient abandonnés. Quatre médecins étaient passés et avaient dit: "Il n'y a plus d'espoir." Je m'étais consacré à lui, j'avais prié et demandé au Seigneur de le prendre. En rentrant à la maison, j'eus une vision. Et il y avait là un prédicateur qui se moquait de lui parce qu'il croyait à la guérison divine. Il me dit: "Dis à monsieur Wright que, AINSI DIT LE SEIGNEUR, il crusera la tombe de ce prédicateur qui se moque de lui." Et il l'a fait. Et aujourd'hui, il est vivant, en bonne santé et heureux.


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E-54 (133) Et ce qui est arrivé... Mais cette petite fille affligée, assise là, je n'ai jamais pu comprendre pourquoi Il ne me donnait pas de vision pour cette fille-là. Nous étions... Monsieur Wood et moi nous prenions le dîner là, et je suis descendu - il fait le vin de la communion, pour la table, à l'église - je suis descendu pour le prendre, et cette petite fille me dit, elle dit: "Frère Branham, est-ce que vous voudriez m'apporter un lapin avant de repartir?"

Et je dis: "Bien sûr, Edith, frère Wood et moi nous irons te trouver un lapin."

(134) Et nous avons pris le fusil et nous sommes partis. Nous nous sommes absentés un moment et avons attrapé deux lapins. Et nous sommes revenus. Madame Wright nous avait préparé à dîner. Maintenant, sa fille est veuve. Ils sont pauvres. Vous ne pouvez pas savoir combien ils sont pauvres. Vous, par ici, en Californie, vous ne savez pas ce que c'est que de pauvres gens, tant que vous ne passez pas par quelque chose comme cela. Elle vit dans une petite masure de deux pièces, tout en haut de la colline. Son mari s'est tué il y a deux ans, sous son propre tracteur, un alcoolique; il s'est renversé, et lui a brisé le cou. Et le petit garçon l'a trouvé. Elle a deux adolescents qui sont en train de prendre le mauvais chemin, n'ayant plus de père. Et cette pauvre petite femme, une petite chrétienne humble et tranquille, oh, je ne l'ai jamais entendue élever la voix de sa vie. Et elle bêchait sur ces collines, là-haut, cultivant ce sol ingrat, pour essayer de préparer un petit lopin de maïs pour nourrir ses enfants. Oh! c'tait si déchirant de voir cela.


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