San Jose, California, USA
E-25 Il y eut un temps où, dans ce pays, on ne disposait pas d’un vaccin contre la variole. Beaucoup de gens en sont morts. Mais aujourd’hui, il n’y a pas de quoi. On dispose de beaucoup de vaccins contre la variole. Et on en a contre d’autres maladies.
Il y eut un temps où le... on ne disposait pas de beaucoup de–de Toxine contre le péché. Mais aujourd’hui, il y En a. Il y a beaucoup de Toxine contre le péché. Sous l’ancienne alliance, jadis, dans l’Ancien Testament, il y avait une ombre ou un type, c’est qu’on offrait un agneau pour le péché.
Alors, quand l’agneau mourait, le sang était versé. La cellule de sang était brisée, l’esprit qui était dans l’agneau ne pouvait pas revenir sur le croyant. Dans l’Ancien Testament, quand un homme commettait un péché, il s’avançait là et posait la main sur l’agneau. Alors, le sacrificateur tranchait la gorge à l’agneau. Et pendant que ce petit animal se mourait, gigotant, bêlant, sa petite laine blanche baignant dans le sang rouge, le pécheur maintenait sa main ... ses mains sur l’agneau jusqu’à ce que celui-ci se raidissait et mourait; il se rendait compte que l’agneau mourait à sa place. Il regrettait que ce petit animal eût à mourir pour ses péchés. Mais cependant, l’esprit de cet agneau ne pouvait pas revenir sur le croyant. C’est pourquoi, on se souvenait continuellement du péché.
Et quand un homme s’avance et pose ses mains, par la foi, sur la tête de Jésus-Christ, et qu’il sent les douleurs du péché pour lequel Christ est mort pour lui au Calvaire, avec des larmes et des–des crachats sur Son visage, les épines sur Son front, et qu’il peut voir ce que Jésus-Christ a fait pour lui et accepter cela sur cette base, l’Esprit de Dieu revient dans le croyant. Il tue la nature même du péché en lui. Il fait de lui une nouvelle créature. Il ne peut pas continuer tel qu’il était, parce qu’il est devenu une nouvelle créature.