E-97 Ce soir-là, une de ses amies, qui habitait dans le voisinage, était la troisième ou la quatrième derrière elle, et elle avait une énorme grosseur au cou. Et voici qu'elle s'avance, tressaillant de joie pour sa voisine qui allait être guérie de cet ulcère qui lui avait causé tant de douleur. Ceci était un cas parmi les centaines, les milliers du genre. Et cette énorme grosseur lui faisait saillie au cou, elle s'avança. Je lui dis: "Personne n'a besoin de discerner ceci. Mais vous vous réjouissez de quelque chose, vous avez été profondément émue parce que cette femme assise là-bas est votre voisine."
E-134 Et là, elle... Ses pauvres petites jambes avaient à peu près la grosseur d'une manche à balai. On ne pouvait même pas la mettre sur son bassin hygiénique. Sa mère, qui n'était pourtant qu'une jeune femme, était assise là, atteinte de paralysie, toute grisonnante à force de veiller sur sa fille qui était couchée là, en train de mourir à petit feu, la tuberculose des glandes féminines s'était propagée partout en elle. Elle pesait quelque trente-sept livres [environ 17 kg - N.D.T.], je pense que c'était cela, d'après les estimations. On ne pouvait pas la soulever assez haut pour mettre le bassin hygiénique sous elle; on devait donc faire passer sous elle une alèse, une alèse en caoutchouc. Depuis neuf ans et huit mois, elle avait été couchée là, incapable même de soulever sa tête pour voir un arbre qui était près de la fenêtre.
E-147 Ce matin-là, je m'apprêtais à partir chasser l'écureuil. J'ai regardé dehors avant le lever du jour, il n'y avait personne dans la cour; j'ai pris ma carabine et j'ai traversé la maison pour sortir. Il y avait une vieille pomme ratatinée suspendue au mur. Je me suis demandé: "Pourquoi Medaa-t-elle accroché celaau mur?" J'ai regardé et il y en a eu une autre, et une autre, et une autre, jusqu'à ce qu'il y en avait six de suspendues là. J'ai promptement ôté mon chapeau et je suis agenouillé sur le plancher. J'ai levé les yeux, et alors une très grosse et belle pomme est descendue et a dévoré toutes ces autres pommes. J'ai regardé là au-dessus, et voici que cette même Lumière que celle qui se trouve sur cette photo se tenait là-bas. Elle se tenait là, tournoyant. Elle m'a dit: "Lève-toi! Va dire à M. Hall: 'AINSI DIT LE SEIGNEUR', il ne mourra pas, mais il vivra."
E-149 Je remarque Mme Weaver, assise juste ici, si je ne me trompe pas. Lorsque sa fille est venue, après la guérison de Margie Morgan, je suis allé là-bas, et il n'y avait rien que cette femme pouvait faire. Elle allait mourir dans les heures qui suivraient. On pouvait lui faire une injection ou deux, et ce serait tout. Elle avait subi une opération des organes féminins, le cancer avait atteint sa colonne vertébrale. On l'avait propagé quand on l'avait opérée, et il n'y avait rien à faire pour cette femme. Je désirais lui parler de la guérison.
E-154 Elle ne pouvait pas se fier à ce qu'elle ressentait; le cancer l'avait rongée. Elle ne pouvait pas suivre ce que disait le médecin, comme elle allait mourir. Et cela fait, je pense, quatorze ou quinze ans de cela, Mme Weaver. [Mme Weaver dit: "Quatorze." - N.D.E.] Il y a quatorze ans de cela. Elle vint ici au Tabernacle en chancelant, alors qu'elle était malade; elle ne semblait pas être à mesure de sortir du lit, avec ses petits bras décharnés; parce qu'elle avait promis à Dieu qu'elle viendrait pour être baptisée au Nom de Jésus. Nous l'avons tirée du fauteuil roulant, pratiquement, de la chaise roulante... ou de sa chaise; nous l'avons descendue dans le baptistère et l'avons baptisée au Nom de Jésus. Et la voici assise ici ce soir. Regardez-la si vous voulez voir un spécimen de santé. Pourquoi? Renversant les raisonnements et les recherches scientifiques et tout le reste, parce que le sixième sens s'est mis à l'oeuvre. Voilà.
E-7 Notre soeur Arnold a certainement une - une brassée, non pas une poignée, mais une brassée. Et ma petite fille me parlait, disant: "Papa, c'est vraiment dur pour soeur Arnold, a-t-elle dit, parce que pendant qu'elle nous parle dans un langage tel que nous puissions comprendre, alors les tout-petits font quelque chose et elle est obligée de s'arrêter afin de les corriger pour cela." Voyez-vous? Alors c'est dur pour cette seule femme d'avoir toute cette classe. Nous l'apprécions donc, ainsi que sa - sa bonne coopération, en faisant ce qu'elle peut en ce temps de besoin. Que le Seigneur la bénisse.
E-10 Et je suis sûr, en tant que pasteurs, bergers... Le mot "pasteur" signifie un berger, celui qui garde les brebis. Je suis sûr que nous vous en sommes reconnaissants, à chacun de vous, parce que c'est - c'est votre bienveillance, et votre considération, ainsi que votre argent, qui ont placé - ont permis que nous recevions ce cadeau ce matin. Et par la grâce de Dieu, nous nous engageons à être votre pasteur, à faire tout notre possible pour vous conduire dans la bonne voie. Peut-être que quelquefois notre façon de parler et tout, cela pourrait être difficile à comprendre. Mais nous le faisons tout simplement comme des guides, essayant de vous guider vers ce lieu-là, de sorte qu'à la résurrection vous nous apprécierez alors beaucoup. Car nous ne nous sommes pas considérés nous-mêmes, nous n'inventons pas ce que nous vous disons, ce ne sont pas nos propres pensées, nous essayons plutôt de faire exactement ce que le Saint-Esprit nous conduit à faire. Et c'est cela que nous - c'est à cela que nous nous sommes efforcés, et nous continuons à nous efforcer à faire la même chose; c'est juste et pour le pasteur et pour moi-même.
E-13 Je me demande si le petit garçon qui vient d'entrer voudrait bien s'asseoir avec ses parents. Ou bien, il y a une classe de l'école du dimanche à l'arrière, mon petit ami, au cas où tu aimerais aller là derrière. Frère Taylor, voulez-vous bien conduire le petit monsieur vers cette classe. C'est bien. Quelques fois, ils aiment être avec leurs camarades, vous savez. Ils - ils ont des choses en commun, dont ils aiment parler. Et il en est simplement ainsi.
E-17 Et les chrétiens ont des choses au sujet desquelles ils s'entretiennent. C'est pourquoi nous nous réunissons dans des endroits comme celui-ci, dans les lieux célestes en Jésus-Christ, parce que nous sommes citoyens du même pays. Nous sommes pèlerins et étrangers ici, vis-à-vis de ce monde. C'est pourquoi nous aimons nous rassembler en ces matins de sabbat et lors des réunions de prière, pour nous réunir, parce que nous avons des choses en commun. Nous aimons parler de... commun... des choses que nous avons en commun et que nous aimons: le Seigneur, Ses oeuvres. Quelqu'un que le Seigneur a guéri a quelque chose qui brûle dans son coeur, et voudrait simplement se présenter là-bas et dire: "Voyez-vous ce que le Seigneur a fait?" Quelqu'un qui a reçu une grande bénédiction veut simplement aller à l'église afin de partager ces bénédictions avec quelqu'un d'autre. Voyez-vous? C'est pour cela que nous avons des choses en commun.