Phoenix, Arizona, USA
E-19 Presque à ce moment-là, Satan a regardé par-dessus bord, et il a vu la petite barque sur la mer, sans Jésus. Il s’est dit: «Voici une occasion pour moi.»
Il en est donc de même, ce soir, de chaque individu, de chaque église, de chaque membre ecclésiastique, lorsque Satan vous voit seul sans Jésus, c’est là l’occasion qu’il a de vous frapper.
Il a dit: «Je vais éliminer toute la bande maintenant. Je les ai eus exactement où je les voulais. Eh bien, je vais les couler tous.» Alors il s’est mis à inhaler et à souffler de ses narines de grands et puissants vents, afin que... et son souffle empoisonné a frappé la mer, et celle-ci a connu une dépression nerveuse.
Et le péché de Satan amènera n’importe quoi à une dépression nerveuse. C’est la raison pour laquelle nous avons tant de dépressions nerveuses, au point où les asiles d’aliénés sont remplis. Nous avons des gens qui filent à quatre-vingt-dix miles à l’heure [145 km/h] dans une zone où on doit rouler à trente miles à l’heure [48,28 km/h], en arrachant tout le goudron, ou plutôt tout le caoutchouc de leurs pneus lorsqu’ils prennent le tournant. Les gens sont dans un état névrotique. Ils ne savent que faire. Le monde entier est nerveux, agité. Les gens ne savent pas où ils se tiennent. Ils adhèrent à une église, et puis à une autre. A chaque petite chose, ils courent çà et là, faisant des allées et venues. C’est parce que Satan s’est mis à lancer son souffle empoisonné, il s’est mis à souffler ses vents de querelles, brisant les églises, divisant les frères, amenant les gens à penser qu’ils sont un peu meilleurs que les autres, qu’ils sont membres d’une meilleure classe, qu’ils sont membres d’une meilleure église. Il n’y a qu’une seule Eglise, et c’est l’Eglise de Jésus-Christ. Il n’y a qu’un seul moyen pour y entrer; c’est par la naissance. Vous entrez dans l’Eglise de Dieu en y naissant, il n’y a pas un autre moyen pour y entrer. Et cela importe peu que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, catholique, Juif orthodoxe, quoi que vous soyez. Dieu ne regarde pas à votre dénomination. Il regarde à la marque que vous portez, ou plutôt au Sang.