New York, New York, USA
E-38 Regarde ce soir, Seigneur, ce groupe de malades, certains parmi eux ici souffrent du cancer, de la maladie du coeur, des maladies qui vont les tuer tout de suite. Ils ne peuvent pas vivre, Seigneur, si Tu ne les aides pas. Les médecins les ont abandonnés. Ô Dieu, aie pitié et guéris-les. Il y a aussi des estropiés qui sont assis ici, ils peuvent avoir une durée normale de la vie, Seigneur, mais ils sont prisonniers. Aide-les à accepter ce soir, afin qu’ils soient aussi guéris.
Et que le pire des prisonniers qu’il y a dans la salle, ce pécheur-là, très éloigné, un prisonnier de...?... Comme un aigle qui battait ses ailes au point que ses yeux las se rabattaient, et il retombait dans la cage; il était capturé. C’est un oiseau céleste, il navigue haut dans les airs, et ici, il est emprisonné dans une cage, il lève les yeux vers les cieux, là où autrefois il pouvait se retrouver et être libre. Puis, on le voit retomber, épuisé d’avoir battu ses ailes. C’est une scène horrible, mais, oh! quelle scène plus horrible que de regarder dans ces rues ce soir et de voir des hommes et des femmes qui ont été créés pour être des fils et des filles de Dieu, les voir entrer en hâte dans des débits de boisson, et des maisons closes, cognant la tête et les ailes contre des barres, cherchant à trouver un soulagement, alors qu’ils devraient être en train de voler au ciel, par le Saint-Esprit. Oh! Quels prisonniers, Seigneur! Que quelque chose soit fait ce soir qui les amènera à lever les yeux et dire: «Seigneur Jésus, ouvre cette prison; laisse-moi déployer mes ailes, m’envoler loin de cet endroit.» Accorde-le, Seigneur.