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New York, New York, USA

E-35 J’ai alors continué, j’ai appelé le prochain, et on était là, et l’Ange du Seigneur est descendu, Il lui montrait ce qui clochait. Et puis, juste à ce moment-là, j’ai entendu un bruit, j’ai regardé, et elle traversait l’estrade en courant, les appareils orthopédiques et les béquilles sur sa tête, martelant ses petits pieds, en montant les marches. Eux tous la regardaient, et elle est redescendue à toute vitesse. Oh! Je me suis dit:

Grâce étonnante! ô quel doux son!

Qui sauva un vil comme moi!

Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,

J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

C’était la grâce qui avait enseigné la crainte à mon coeur,

C’est la grâce qui m’a débarrassé de la peur;

Combien précieuse parut cette grâce,

Tout au début de ma foi!


New York, New York, USA

E-36 Inclinons la tête. Père céleste, un glorieux jour, quand la vie sera terminée, la dernière réunion de prière aura été tenue, un glorieux jour arrivera où l’Eglise se lèvera dans la victoire et le triomphe, Elle montera à la rencontre du Seigneur dans les airs. Et quand nous Le couronnerons Roi des rois, Seigneur des seigneurs, ô Dieu, j’aimerais m’avancer vers la porte de la petite véranda, quelque part là-bas, les voir remonter la route, Seigneur, venir se tenir autour du porche. Nous nous tiendrons la main les uns les autres, et nous marcherons le long de la mer de la Vie sans être pressés. Il n’y aura plus de réunions de prière; nous n’aurons plus à nous précipiter ici et là. En effet, pour ces milliers de bien-aimés, Seigneur, qui ont reçu Ta grâce et qui ont été guéris.

Maintenant, Père, alors que je me souviens de cette pauvre petite créature en lambeaux, marchant dans les rues avec des béquilles, sans doute que souvent ses petites mains sales se tordaient, et ses yeux réclamaient avec larmes un morceau de pain. Et ici, nous en jetons beaucoup à la poubelle, qui subviendrait à ses besoins. Oh! Aie pitié, Dieu bien-aimé. Un glorieux jour, Jésus viendra.


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E-37 Nous sommes sur le point d’aller dans le pays des Noirs, là-bas, vers le sud de la terre, là où ces lépreux seront assis aux portes, les pauvres petits Noirs, qui vivent de la graisse des animaux et de tout ce qu’ils peuvent trouver. Viens en aide, Père bien-aimé.

Et maintenant, ce soir, ici dans cette très vaste ville où s’entasse presque la richesse du monde, des tours des bâtiments comme de grands crayons, pendant qu’on parcourt les rues. Mais un jour, là, nous verrons le Fils de Dieu s’avancer là et dire: «Il n’y a plus de temps.» Alors, les tremblements de terre, et il ne restera pas pierre sur pierre. Oh! De penser, Seigneur, que nous retournerons à la Maison, tout sera alors terminé, ce glorieux évènement.

Mais pendant que nous sommes ici ce soir, proclamant, à notre humble manière, au mieux de notre connaissance, l’amour rédempteur de Christ qui est descendu de la Gloire, depuis tout là-bas jusqu’ici, qui s’est livré, un Substitut innocent pour nous les pécheurs coupables... Et ce soir, Ton Sang plaide pour nos péchés: «Père, pardonne-leur; ils ne savent pas ce qu’ils font.»


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E-38 Regarde ce soir, Seigneur, ce groupe de malades, certains parmi eux ici souffrent du cancer, de la maladie du coeur, des maladies qui vont les tuer tout de suite. Ils ne peuvent pas vivre, Seigneur, si Tu ne les aides pas. Les médecins les ont abandonnés. Ô Dieu, aie pitié et guéris-les. Il y a aussi des estropiés qui sont assis ici, ils peuvent avoir une durée normale de la vie, Seigneur, mais ils sont prisonniers. Aide-les à accepter ce soir, afin qu’ils soient aussi guéris.

Et que le pire des prisonniers qu’il y a dans la salle, ce pécheur-là, très éloigné, un prisonnier de...?... Comme un aigle qui battait ses ailes au point que ses yeux las se rabattaient, et il retombait dans la cage; il était capturé. C’est un oiseau céleste, il navigue haut dans les airs, et ici, il est emprisonné dans une cage, il lève les yeux vers les cieux, là où autrefois il pouvait se retrouver et être libre. Puis, on le voit retomber, épuisé d’avoir battu ses ailes. C’est une scène horrible, mais, oh! quelle scène plus horrible que de regarder dans ces rues ce soir et de voir des hommes et des femmes qui ont été créés pour être des fils et des filles de Dieu, les voir entrer en hâte dans des débits de boisson, et des maisons closes, cognant la tête et les ailes contre des barres, cherchant à trouver un soulagement, alors qu’ils devraient être en train de voler au ciel, par le Saint-Esprit. Oh! Quels prisonniers, Seigneur! Que quelque chose soit fait ce soir qui les amènera à lever les yeux et dire: «Seigneur Jésus, ouvre cette prison; laisse-moi déployer mes ailes, m’envoler loin de cet endroit.» Accorde-le, Seigneur.


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E-40 [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ce qu’Il est, mon frère, s’Il me rejette en ce jour-là et me dit, Il dit: «William Branham, tu ne peux pas entrer», et si on peut avoir ceci, et que je dois partir dans des régions les plus basses des perdus, je–je–je crois que cet amour qui s’est ancré dans mon coeur continuera à vivre, et je lèverai les yeux et dirai: «Je T’aime, Seigneur Jésus», malgré tout. Car, s’il n’y avait pas de Ciel où aller, je ferais toujours mon choix de servir le Seigneur Jésus. A cause même de la récompense qu’il y a ici sur terre, à partir de Ses bénédictions, je désirerais toujours ardemment Le servir.

J’aimerais que tout le monde soit respectueux. J’aimerais que vous entriez directement maintenant dans la sphère spirituelle. J’aimerais que vous croyiez, que vous priiez, que vous teniez ferme avec moi maintenant pendant que je suis ici. Ceci est une église. Les réunions doivent s’élever à un niveau, maintenant, qui dépasse de loin celui d’ailleurs. Et vous qui êtes là, priez, vous là-bas dans l’assistance. Croyez en Dieu. Croyez que Dieu ira là-haut à ces balcons ce soir, et là derrière, et de ce côté-ci, là dans l’assistance, partout, qu’Il enveloppera ce bâtiment. Je crois qu’Il le fera. Je crois qu’Il le fera.


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E-41 Maintenant, Il est disposé à le faire plus que vous, vous ne l’êtes à recevoir cela. Voyez? Pouvez-vous vous imaginer, frère Bosworth a exprimé cela en rapport avec cet océan ici, entassé dans un tube de deux pieds [60,9 cm] de hauteur à peu près ou de deux pieds de largeur? Quelle pression il y aurait pendant que cela cherche à trouver une petite fissure par laquelle jaillir? Eh bien, divisez cela par dix milliers de fois, vous trouverez la pression du Saint-Esprit qui cherche à trouver cette petite fissure dans le coeur, cette véritable foi qui peut faire jaillir vers là et vous guérir. Comment glorifier le Père pour la mort du Fils de Dieu...

[Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et je vous donnerai...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] et ne–ne dites simplement pas cela, soyez sérieux là-dessus (Voyez?) et mettez-vous donc à prier. Maintenant, c’est votre–c’est votre témoignage. Ensuite, mettez-vous à prier jusqu’à ce que la foi convenable entre dans votre coeur. Et quand votre... quand la foi sera entrée dans votre coeur, alors Dieu me tirera d’ici vers vous. Et si je vous parlais, vous là dans l’assistance, de vos maladies, et de ce qui clochait chez vous, de ce que Dieu a fait et de ce qu’Il fera, croirez-vous cela? Vous le devriez, si c’était la vérité, n’est-ce pas?


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E-42 Si donc le Saint-Esprit descendait et me disait de vous dire... Eh bien, si je dis: «Poursuivez votre chemin, que le Seigneur vous bénisse», je ne sais pas ce qui arrivera, il n’y a rien qui est arrivé. Mais quand je vous parle, disant: «Le Seigneur Jésus vous a maintenant, AINSI DIT LE SEIGNEUR, guéri; c’est que vous êtes guéri.» Peu m’importe l’état dans lequel vous êtes, observez ce qui arrive alors. Tout ce qui vous est ordonné de faire, mettez-vous à le faire, peu importe ce que c’est, mettez-vous à le faire.

Il y a quelques jours, il a été dit à une dame qui était à l’article de la mort, et–et c’était horrible, et alors elle était... j’ai dit: «Maintenant, partez.» Et il lui a été dit ce qui arriverait. Elle tremblotait; et elle a dit: «Oui, oui, monsieur; oui, oui monsieur.»

J’ai dit: «Regardez, dans environ trois jours, vous serez en train de traverser la rue, un petit vendeur de journaux va se cogner contre vous et pratiquement vous faire tomber. Vous serez au départ très provoquée par cela. Et vous allez vous retourner, emportée, vous lèverez les yeux, et il y aura une grosse horloge dans une tour marquant douze heures.» J’ai dit: «Quand cela arrivera, sachez que je vous ai dit la vérité et que votre cancer... vous passez un temps avec cela, mais vous allez vous rétablir.»

Et cela est arrivé exactement ainsi. Voyez? Cette femme est bien en voie de rétablissement maintenant. Le médecin n’arrive plus à trouver le cancer...?... Ainsi donc, maintenant, soyez respectueux.


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E-43 Maintenant, je ne peux rien faire de moi-même, mais c’est ce que le Saint-Esprit dit que je peux faire. Combien comprennent cela donc, que je ne peux agir que quand le Saint-Esprit dit de le faire?

Eh bien, que l’organiste, le pianiste, ou l’orgue, ou tout ce que vous voulez, l’un ou l’autre, j’aimerais que vous jouiez doucement, si vous le pouvez, ce glorieux cantique Crois seulement.

C’est Paul Rader qui en est le compositeur. Il n’y a pas longtemps, en Californie, quand il rentrait à la Maison à la rencontre de Jésus, il a fait venir son frère Luc, il a dit: «Luc, nous avons été ensemble dans beaucoup de dures batailles, mais, a-t-il dit, le temps de séparation est proche, Luc.» Il a dit: «Mais, penses-y, dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Il a fermé les yeux et s’en est allé à Sa rencontre. C’est ainsi que j’aimerais partir. Laissez-moi mourir dans le harnais. Oui, monsieur. J’aimerais partir comme–comme un de ces frères de l’ancien temps, un des vaillants héros de Dieu, mourir en prêchant l’Evangile. Je crois cela, j’ai vécu de cela; j’aimerais mourir avec cela. Que Dieu soit béni maintenant pendant que nous inclinons la tête.


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E-45 Maman, ceci est certainement un beau tabernacle, n’est-ce pas? Elle est un tout petit peu nerveuse. Voyez-vous? J’aimerais simplement vous parler un petit moment. Ne soyez pas excitée. Eh bien, nous sommes–nous sommes inconnus. Je ne vous connais pas. Je ne pense pas vous avoir déjà vue de toute ma vie. Mais nous sommes–nous sommes inconnus, et nous–nous sommes ici cherchant à... Je cherche à être un serviteur de Dieu, à faire quelque chose avec le don de Dieu qui vous amènerait à croire en Dieu. Comprenez-vous cela? Oui, vous comprenez. Et si je peux faire cela, par le don divin de Dieu, j’aurai alors l’impression que beaucoup ont été accomplis.

Maintenant, vous–vous souffrez, ou vous êtes malade. Et, évidemment, Jésus vous a guérie jadis il y a mille neuf cents ans. Mais il–il faudra quelque chose pour vivifier votre foi, vous élever au niveau où vous pouvez accepter cela. Maintenant, beaucoup lisent la Bible ici et disent: «Oui, le Seigneur a dit cela.» Or, c’est la Parole du Seigneur, n’est-ce pas? C’est la Parole du Seigneur. Maintenant, c’est pour le grand nombre du Maître. C’est la Parole de Dieu, et nous devons croire Cela, car c’est la Parole de Dieu. Donc, c’est pour le grand nombre.


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E-46 Eh bien, si donc Il m’utilisait comme Son serviteur, et maintenant, Il ne vous L’a jamais directement adressée, mais cela vous est tout autant adressé directement. Seulement Il n’a jamais dit: «Madame Unetelle, à un tel âge, à tel moment...?...» Mais alors, Il a un don prophétique qu’Il a envoyé dans Son Eglise en ces derniers jours pour stimuler la foi des gens. Si donc Il parlait au travers de moi, cela serait secondaire, mais ça serait Sa Parole malgré tout. Maintenant, douter de cette Parole écrite serait un péché, et douter de Sa Parole parlée serait un péché. Voyez?

Maintenant, vous devez être préparée, et vous tous dans la ligne de prière, à croire. Et si vous ne croyez pas, je quitterai simplement la ligne, car, soyez-en sûrs, votre état s’empirera plus que jamais dans toute votre vie. Voyez? En effet, Il a dit: «Allez...» Ne faites plus quoi? C’est: «Ne soyez pas incrédule.» L’incrédulité, c’est le péché: «Allez et ne péchez plus, de peur qu’une chose pire vous arrive.» Il ne parlait pas d’un acte immoral; il parlait de votre incrédulité. Celui qui ne croira pas sera déjà condamné. Voyez? C’est votre incrédulité qui vous condamne. Dieu ne vous envoie pas en enfer parce que vous êtes un pécheur; Il vous envoie en enfer du fait d’avoir rejeté les dispositions qui ont été prises pour vous pour aller au Ciel. Voyez? Vous rejetez simplement... Vous n’avez rien à faire pour aller en enfer. Tout ce que vous faites, c’est simplement rejeter Jésus, manquer simplement de croire Sa Parole, c’est tout ce que vous avez à faire. Voyez, Satan a toujours mis un point d’interrogation à cela. Mais cela est AINSI DIT LE SEIGNEUR.


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