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New York, New York, USA

E-6 Maintenant, dans les réunions, maintes, maintes, maintes fois, des choses sont dites et faites, ainsi de suite, que nous ne pouvons guérir personne. Nous le savons. Nous ne prétendons pas guérir quelqu’un; nous soutenons seulement prier pour les malades. C’est Dieu qui opère la guérison. Un ministère que le Seigneur m’a donné; c’est un peu, on dirait, un tout petit peu différent du ministère des autres ministres, mais Dieu donne différemment selon Sa volonté. Croyez-vous cela? Juste tel qu’Il veut, c’est ce qu’Il–Il fait.

Ainsi donc, nous savons qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. Est-ce vrai? Maintenant, j’aimerais lire juste un petit passage des Ecritures, et nous allons directement aborder le service. Je crois que Dieu va nous accorder un grand service ce soir. Je priais juste avec mon jeune garçon, et le révérend Ford est venu me prendre. Que Dieu veuille faire quelque chose de spécial pour nous ce soir et qu’Il veuille bénir les gens. Généralement, la dernière soirée, il y a plus de gens guéris par rapport à toutes les autres soirées, c’est parce qu’il y a une grande pression, une force d’attraction et–et les gens veulent entrer dans la ligne.


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E-8 Maintenant, j’aimerais lire quelques passages des Ecritures à deux endroits, dans la Sainte Parole de Dieu. Si vous voulez les lire avec moi, ou me suivre, prenez Saint Matthieu, chapitre 4, à partir du verset 23. Et puis, allez, si vous le voulez, dans Saint Luc, chapitre 1, à partir de, je vous demande pardon, chapitre 2, verset 25. Et j’aimerais lire deux portions. L’une d’elles, c’est le commencement du ministère; l’autre, c’est Sa mort, ou pas Sa mort, Sa naissance plutôt, pardonnez-moi. Maintenant, dans Saint Matthieu, chapitre 4, verset 23, Jésus commence Son ministère.

Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie... toute infirmité parmi le peuple.

Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques, des lunatiques, des paralytiques; et il les guérissait.

Une grande foule le suivit, de la Galilée, de la Décapole, de Jérusalem, de la Judée, et d’au delà du Jourdain.

Et puis, au chapitre 2 de Saint Luc, voici ce que nous lisons, à partir du verset 25:

Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. Il avait été divinement averti par le Saint Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.

Car mes yeux ont vu ton salut,


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E-11 Bénis cette grande ville, envoie-leur un réveil, Seigneur. Envoie Tes serviteurs ici, venant de différentes parties des nations où ils prêchent maintenant, et donne à cette grande ville une secousse pour Dieu. Quand Tes serviteurs arriveront, Billy Graham et les autres, Seigneur, déverse Ton Esprit sur eux. Que littéralement des milliers soient sauvés et convertis à Christ.

Aide-nous, Seigneur, alors que nous préparons la voie, découpant les ronces, repoussant des pierres, enlevant les souches, sur la ligne de front, donne-nous du courage, Seigneur, et des coeurs très forts; resserre l’armure; donne-nous une grande force et la puissance de Ton Esprit.

Et maintenant, Seigneur, bénis soeur Brown, cette veuve; que Dieu soit avec elle et qu’Il lui vienne en aide. Aide frère Byrd, le pasteur; ces autres églises, des églises qui collaborent partout dans la ville, chaque membre laïc, bénis-les tous ensemble. Père, fais que nous revenions vite, donne-nous une grande victoire en Afrique et à des endroits là-bas, ramène-nous ici pour un autre réveil à l’ancienne mode, accorde-le, Seigneur.


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E-12 Bénis tous ceux qui sont ici ce soir. Bénis ma petite famille alors que je les quitte, Seigneur. Que Ta grâce les soutienne. Que l’Ange de Dieu nous fortifie et nous aide maintenant. Bénis la famille de frère Baxter et celle de frère Bosworth; ils sont en train de partir. Ces autres chers amis, frère Richey, et les autres ici, Seigneur, qui se tiennent près, beaucoup d’autres prédicateurs dans la prière, soutenant nos mains devant Dieu, comme Caleb d’autrefois avec Josué, et ceux qui soutenaient les mains de Moïse. Donne-nous une grande effusion de Tes bénédictions ce soir et manifeste-Toi et confirme que Tu es ici. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.


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E-13 Juste parler un moment. Je déteste même prendre ce temps, mais je dois simplement dire un mot ou deux avant de vous quitter. La première fois que j’étais venu à New York, je me disais: «Il y a un groupe de riches aristocrates qui ne recevraient jamais l’Evangile.» Mais j’étais certainement en erreur. Je pense–je pense que certains des gens les plus doux et les plus humbles que j’aie jamais rencontrés, sont ici même à New York. C’est vrai; il y en a beaucoup dans les rues, c’est à peine que vous pouvez rencontrer quelqu’un...

Ce soir, pendant que nous prenions un petit repas, il y a des gens qui sont entrés; ils ont regardé de ce côté-là, ils ont un peu souri, et je me suis dit: «Ça doit être des chrétiens.» Quelques instants après, ils m’ont serré la main; ils ont dit: «Oui, nous sommes du–du tabernacle, Glad Tidings Tabernacle.»

Eh bien, voici ce que je–j’ai trouvé; j’ai dit à ma femme une fois dehors, j’ai dit: «Tu peux aller en Finlande, en Suisse, en Allemagne, en France, en Belgique, où tu veux, quand tu trouves des gens nés de l’Esprit, ils sont les mêmes partout dans le monde. Car ils sont tous un en Jésus-Christ, concitoyens du Royaume, co-ouvriers dans ce champ de la moisson. Nous sympathisons les uns avec les autres.»


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E-16 Il n’y a pas longtemps, je me rappelle... Evidemment, mon père buvait et tout; nous n’avions pas une très bonne réputation dans la ville. Je descendais en ville, quand j’étais un petit garçon en lambeaux, me tenant là, les cheveux pendant, pratiquement sans habits. Je me rappelle avoir porté un vieux manteau pour aller à l’école tout l’hiver durant, pas de chemise en dessous. Je le boutonnais jusqu’en haut, comme ceci; et je ne pouvais pas enlever cela. Au printemps, la monitrice m’avait demandé si je n’avais pas chaud dans ce manteau-là; j’ai dit: «Non, madame.» Je ne pouvais pas l’enlever; je ne portais pas de chemise. Et je–je n’oublierai jamais cela, comment ces gens, vous savez, on a toujours été considéré comme de pauvres blancs rebus. Je descendais en ville, je me mettais à parler à quelqu’un. Si–s’il n’y avait personne d’autre à qui parler, il me parlait. Et je me disais: «Qu’ai-je fait? Je n’ai rien fait; je n’ai fait du mal à personne.» Si quelqu’un d’autre passait par là, pour lui parler il se détournait, me laissait seul et s’en allait.


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E-17 L’autre jour, j’étais assis sur le porche en train de parler à ma femme, il n’y a pas longtemps. Je disais: «Penses-y, chérie, il y a quelques années, je ne pouvais même pas avoir quelqu’un à qui parler; maintenant, il me faut aller quelque part dans le bois me cacher pour avoir un peu de repos.» Je sais. Qu’était-ce? Ma personnalité? Je n’en ai pas. L’instruction? J’ai l’instruction de l’école primaire, de septième primaire. Qu’était-ce? Le Sang de Jésus-Christ est descendu et m’a ramassé. Et je L’aime de tout mon coeur, d’un amour immortel. C’est par Son mérite, Son amour.

Et je vois des gens qui m’aiment; vous ne savez simplement pas quel sentiment j’éprouve vis-à-vis de vous. Je peux vous donner un rendez-vous, amis; je pourrais ne pas être en mesure ce soir de tenir cela, mais un glorieux jour, quand tout sera terminé, que nous monterons dans la Gloire... Si vous arrivez là avant moi, un matin, lorsque vous sortirez de votre palais, que le soleil se lèvera à l’horizon, regardez en bas dans une petite cabane, là en bas, quelque part sur le flanc de la colline, vous entendrez quelqu’un se tenant dehors sur la véranda de derrière, en train de chanter: Grâce étonnante, oh! quel doux son!, vous direz: «C’est frère Branham qui est arrivé.» Ça sera moi. Je n’ai jamais été capable de chanter, mais j’ai toujours voulu chanter Grâce étonnante. Je me tiendrai là en train de chanter Grâce étonnante, oh! quel doux son qui sauva un vil comme moi.


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E-18 Nous nous assiérons ensemble là-bas à côté du puits de Jacob; nous n’aurons pas à nous dépêcher, pour avoir des réunions de prière pour les malades; il n’y aura pas de malades là-bas; on sera tous biens portants alors. Nous nous assiérons et nous causerons pendant quelques milliers d’années ensemble, nous parcourrons les rues d’or. Ne sera-ce pas merveilleux? Ce n’est pas un rêve monté de toutes pièces; c’est la Vérité de l’Evangile. Nous verrons... Un ancien cantique baptiste que nous chantions dans le Kentucky, nous chantions:

Je Le reconnaîtrai, oui, je Le reconnaîtrai,

Et racheté, je me tiendrai à Ses côtés;

Je Le reconnaîtrai, je Le reconnaîtrai,

Par les empreintes des clous dans Ses mains.

Je Le reconnaîtrai. Ce que nous serons n’a pas encore été manifesté, mais nous aurons un corps semblable au Sien, car nous Le verrons tel qu’Il est. Et tant que je pourrais Le voir et être avec Lui, peu m’importe l’aspect qu’Il aura, tant que c’est Lui, ça sera le Ciel pour moi, où que ce soit. Et je sais que c’est le même sentiment que vous éprouvez. Un reste, que Dieu m’accorde le privilège d’être associé avec vous tous ce soir, un reste qui attend Dieu, comme c’était à l’époque de notre texte.


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E-20 Si vous croyez, tout ce que vous croyez... Si vous êtes venu à la réunion ce soir, rien que pour trouver quelque chose à critiquer, le diable vous le montrera; vous le verrez. Et si vous êtes venu trouver quelque chose au sujet de Dieu, de sorte que vous puissiez vous en aller, béni, Dieu vous le montrera. Tout ce que vous désirez, tout ce que vous êtes: «L’homme est comme les pensées de son âme.» Vous partirez et vous direz: «Eh bien, je–je ne m’attendais pas à être appelé dans la ligne de prière.» Bon. «Je–je ne m’attendais pas à ce que le Saint-Esprit parle et me désigne ici.» Si vous ne vous attendez pas à cela, vous ne recevrez pas cela. Mais, selon votre foi (Voyez?), l’expectative.

Une fois, ma mère m’avait envoyé quelque part pour rencontrer sa soeur. Je ne l’avais jamais vue. Elle m’a décrit, elle l’a décrite, disant: «Eh bien, elle a un front fuyant.» Elle a dit: «Elle a des cheveux noirs.» Ma mère est une métisse; c’est une Indienne. Et alors, elle a dit: «Elle a un front fuyant. Elle a des cheveux fins.» Elle l’a décrite, disant: «Elle est mince, une petite femme.» Elle a dit: «Tu la reconnaîtras par des traits donnés.»

Je parcourais l’assistance du regard, j’avais une idée de son aspect, et aussitôt que je l’ai vue, j’ai dit: «Tu es ma tante.»

Elle a dit: «Qui es-tu?»

J’ai dit: «Connais-tu Ella Branham?»

Elle a dit: «Oui.»

J’ai dit: «C’est ma mère.»

Elle a dit: «Ma soeur.» Et nous étions là. Voyez?


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E-24 Et s’il y a quelque chose dans le corps humain qui a un ardent désir de la guérison divine (Oh! la la!), nous voici partis, la guérison divine existe; il y a une fontaine ouverte quelque part. Il doit y en avoir. Si vous éprouvez un vif désir... Quand vous étiez là-bas, avec juste une expérience tiède, alors votre coeur a commencé à avoir un vif désir pour davantage de Dieu, il devait y avoir une fontaine ouverte quelque part. Est-ce vrai? Et Dieu a envoyé cela. Et comme vous éprouvez un vif désir pour la guérison divine, il doit... il y a un Créateur qui a placé cette création dans votre coeur. Elle réclame, la profondeur appelle la profondeur. Il y a une fontaine quelque part.

Alors, le Saint-Esprit avait promis à Siméon qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il y avait un appel dans son coeur. Présentons cela sous forme d’une saynète une minute. Disons qu’on était un lundi matin.


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