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E-32 Et puis, elle voulait en parler à quelqu’un. Vous savez, généralement, quand vous recevez quelque chose de la part de Dieu, vous voulez en parler à quelqu’un d’autre. La voici aller témoigner qu’elle allait avoir un Enfant sans avoir connu un–un homme, avant qu’il y ait la vie ni quoi que ce soit. Si Marie a pu faire cela pour quelque chose qui n’était jamais arrivé auparavant, à combien plus forte raison devriez-vous le faire lorsque vous êtes malade, et prendre Dieu au Mot. Des milliers sont guéris chaque année. Vous devriez Le prendre au Mot. Eh bien, Marie n’avait aucun exemple. Tout ce qu’elle avait, c’était la Parole. Vous, vous avez la Parole, plus des millions d’exemples chaque jour. Alléluia! Le mot alléluia veut dire Qu’il en soit ainsi. Ou plutôt je veux dire: Alléluia veut dire Gloire à notre Dieu. Il mérite toute louange.


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E-33 Maintenant, je la vois (Oh! la la!), toute heureuse, se réjouissant. Elle a eu des nouvelles d’Elisabeth et elle voulait partager la bénédiction. C’est généralement ainsi que les chrétiens s’y prennent. Elle est allée directement en Judée partager la bénédiction avec Marie, ou plutôt avec Elisabeth. Je la vois monter là en Judée, vous savez, pour partager la bénédiction. Je peux voir Elisabeth assise là, peut-être en train de tricoter. Et quand elle a vu Marie venir (Oh! la la!), elle a mis de côté les crochets ou le tricotage, je ne sais quoi c’était, elle est sortie en courant, l’a saisie dans ses bras et s’est mise à l’étreindre et à la baiser. Eh bien, elles sympathisaient.

Savez-vous le problème des gens aujourd’hui? Nous nous en éloignons: Nous n’avons pas de sympathie les uns pour les autres. Eh bien, autrefois, quand j’étais un enfant, si un voisin tombait malade, eh bien, nous allions là lui couper du bois et l’aider à remplir le silo, couper son maïs. Et maman allait laver les enfants et apprêter le petit-déjeuner pour eux lorsque quelqu’un tombait malade. Mais aujourd’hui, vous ne savez même pas que votre voisin est mort à moins de le lire dans un journal. Il n’y a pas de sympathie. La Bible dit que, parce que l’iniquité s’est accrue, l’amour du plus grand nombre se refroidira. Ça y est.


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E-34 Eh bien, quand mon papa avait besoin de cinquante dollars, il allait emprunter cela à son ami fermier. Il remboursait quand il vendait la récolte. Eh bien, aujourd’hui, vous ne pouvez pas emprunter cinq dollars sans donner une garantie de cinquante. C’est vrai. Pas de sympathie, pas de confiance. Que Dieu ait pitié de gens, il y a un relâchement. C’est vrai. C’est exact.

L’affection, l’amour des uns pour les autres. C’est vrai. Ils vont çà et là... Il n’y a pas longtemps, vous allez en ville, et vous voyez quelqu’un, vous savez, et au lieu de dire: «Bonjour», ou quelque chose comme cela, ils se lancent juste un petit sourire sans expression, vous savez, on dirait un opossum qui s’est retrouvé dans un carré de mûres quelque part. Regarder là comme cela, vous savez, juste un petit sourire sans expression: «Salut.» Peut-être comme cela. Oh! Vous savez ce que j’aime? J’aime une poignée de main à l’ancienne mode, avec pompe.


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E-35 Quand j’étais là à Miami avec docteur Bosworth, il y a là une concession que nous utilisions, la femme d’un duc ou l’une de ces noblesses de quelque... une duchesse, je pense que c’est comme ça qu’on l’appelait. Alors, elle avait fait don d’une concession, elle pensait qu’elle était tout aussi grande qu’on devait venir, vous savez. Et alors, on m’a fait passer derrière après l’onction, je prêchais ou priais pour les malades. C’était derrière dans une tente, dehors, cherchant à revenir à moi-même.

Frère Bosworth a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, nous n’aimerions pas vous surcharger, mais la duchesse voudrait vous voir.»

J’ai demandé: «Est-elle malade?»

Il a dit: «Non, elle voudrait simplement vous voir.»

J’ai dit: «Eh bien, elle n’est pas plus que quelqu’un d’autre. Qu’en est-il de ces pauvres gens là-bas qui ne peuvent pas entrer?»

Il a dit: «Eh bien, elle se tient ici à la porte, voudriez-vous juste...?»

J’ai dit: «Eh bien, faites-la entrer.» Et elle s’est avancée là. Je ne me moque de personne. Mais elle est entrée, portant sur elle assez d’habits pour enfermer dans une boîte d’aspirine. C’est vrai. Oh! la la! Elle tenait une paire de lunettes en main, au bout d’un bâton comme ceci, elle a tendu cela à distance pour regarder. Vous savez, cette femme ne pouvait pas regarder au travers des lunettes comme cela, à distance comme cela. Elle ne faisait que parader. Qu’êtes-vous après tout? Elle est apparue là avec ces lunettes tendues comme cela devant elle.

Elle a dit: «Est-ce vous docteur Branham?»

J’ai dit: «Non, madame.» J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

Elle a dit: «Docteur Branham, enchantée.» Elle tenait sa main.

J’ai dit: «Faites-la descendre afin que je vous reconnaisse quand je vous verrai.» C’est ça.


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E-40 Remarquez. Oui, au sujet de cette manne, une minute. Cette manne était un type du Saint-Esprit. C’est vrai. Dieu a parlé à Aaron, là, disant: «Sors et ramasses-en plusieurs omers pleins. Place cela dans le lieu très saint, et conserve cela là. Et chaque génération qui suivra celle-ci, l’une après l’autre, quand ils commenceront le sacerdoce, ils auront le droit d’entrer là-dedans et de goûter une bouchée de la manne originelle qui était tombée au début.

Quel parfait type du Saint-Esprit! Quand nous sortons du monde, nous avons traversé le Sang rouge de Jésus-Christ, tuant toutes les habitudes de fumer la cigarette, les habitudes de chiquer, les habitudes de boire, les habitudes de mentir, les habitudes de voler; cela est étendu derrière nous, nous commençons à chanter et à louer Dieu. Qu’allons-nous faire, survivre... Tous ces cinémas, ces soirées dansantes, de grands moments, des fêtes, des cocktails en club et tout, ne croyez-vous pas en cela? Alléluia! Je crois que quand vous traversez le Sang de Christ, cela vous sanctifie ou vous sépare des choses du monde. Jésus a dit: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous.» Vous ne pouvez pas mélanger l’huile avec l’eau. Absolument pas. Vous ne pouvez pas mélanger le christianisme avec le monde. Cela vous sépare.

Les gens aujourd’hui cherchent ceux qui mélangent. Dieu a dit: «Séparez-moi Paul et Barnabas.» Le Saint-Esprit nous sépare des choses du monde.


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E-41 Remarquez. Voici ensuite un très beau type du Saint-Esprit, notre Manne qui est descendu du Ciel, d’auprès de Dieu. Et alors, écoutez. Quand nous nous sépar-... l’église jadis, au début, quand le Saint-Esprit avait au départ commencé à descendre...?... Ils... sortaient de leurs églises et tout, pour servir Dieu. Et puis, quand le... Il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, il remplit toute la maison où ils étaient assis. La Manne descendit du Ciel, d’auprès de Dieu, et commença à remplir l’église. Et ils sortirent dans les rues en courant, criant et–et parlant dans d’autres langues et ils passèrent un très merveilleux moment, au point que les gens dirent: «Ces gens sont ivres. Regardez ça

«Oh! direz-vous, Frère Branham, je sais, mais c’était pour cette église-là d’autrefois.» Est-ce ça? Oh! Non. Pierre leur a dit de se repentir chacun d’eux et de se faire baptiser, et ils recevraient le don du Saint-Esprit, «car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Donc le... pas une bouchée–pas une bouchée, mais un vrai coeur plein du baptême originel du Saint-Esprit qui descendit le jour de la Pentecôte, c’est réel pour l’église aujourd’hui. Car chaque croyant qui passera derrière le rideau, là-bas, qui entrera dans ce sacerdoce, a le droit de manger la manne originelle qui était tombée le jour de la Pentecôte, une véritable bénédiction du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Alléluia! Très bien.


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E-45 Après des jours, Marie, ou Jean naquit. Et aussitôt qu’il est né, il est alau cimetière théologique, ou au séminaire théologique, n’importe comment que vous voulez appeler cela. C’est tout pareil. Eh bien, une place des morts. C’est exact. Vous savez, j’ai toujours considéré un prédicateur de séminaire comme un poulet de couveuse. Vous savez, un poulet de couveuse, il ne fait que piauler, piauler, piauler, il n’a pas de maman, pas du tout. C’est pratiquement pareil avec un prédicateur de couveuse aussi, il sort de ces séminaires, où il y a la lecture, l’écriture et l’arithmétique, il ne connaît pas plus au sujet de Dieu qu’un lapin ne le sait au sujet des raquettes de neige. C’est vrai. C’est exact. La lecture, l’écriture... J’espère que j’écorche quelqu’un. Je crois que je le fais, mais c’est en ordre.

Frère, laissez-moi vous dire quelque chose: Si cela ne vous rend pas malade, cela ne vous fera pas de bien. Ma mère me le disait au sujet des médicaments. Quand j’habitais dans le... là, nous étions très pauvres, il nous fallait faire bouillir des peaux de viande, ou les mettre dans le... un vieux récipient... un vieux... une casserole, les mettre là au fond, les faire bouillir, vous savez, ou les chauffer, et on fait fondre ces peaux de viande, on en tire de la graisse à mettre sur les–sur les gâteaux de maïs. Et chaque samedi soir, je savais ce qui arrivait. On avait une vieille cuve en bois de cèdre, et une grosse vieille cruche en fer, elle y déversait de l’eau. Tous les enfants, nous devions prendre bain dans cette cuve en bois de cèdre, et elle pouvait frotter plus durement que jamais vu avec ces anciennes serviettes en sac de farine. Elle nous frottait, vous savez, et puis, la chose suivante, c’était une dose d’huile de ricin chaque samedi soir. Vous savez, j’en avais vraiment marre de cette affaire, je n’arrive même pas à en parler maintenant, à peine. Chaque fois que j’entrais dans la pièce, j’avais un haut-le-coeur; et je me pinçais le nez. Elle en déversait dessus. Je disais: «Maman, ça me rend tellement malade que je n’arrive pas à supporter cela

Elle disait: «Si cela ne te rend pas malade, cela ne te fera aucun bien.» Donc, frère, tenez bon. C’est vrai. Si cela ne vous dérange pas un peu, cela ne fera pas fonctionner correctement vos organes digestifs, cela peut vous aider un peu. C’est vrai. Amen.


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E-46 Ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est d’un bon réveil à l’ancienne mode, à la Saint Paul, et du retour du Saint-Esprit de la Bible avec des hommes et des femmes qui vivent ce qu’ils professent être. Tout ce que je déteste, c’est un hypocrite. C’est vrai. Allez aujourd’hui voir comment les gens vivent, agissent et font des histoires.

J’étais là en Californie il y a quelques jours, et je suis allé à un endroit où on allait me recevoir; on m’avait dit: «Venez parler.» J’y suis allé. Eh bien, très bien, et revêtez-vous de votre jacket antichoc. J’allais là et le... Il a dit... Ce ministre a dit: «Eh bien, ma–ma femme est une sainte, Frère Branham.»

J’ai dit: «Je suis certainement content de le savoir.»

Il a dit: «Elle joue du piano.»Je suis monté là et elle portait assez de ceci ici, le manucure, sur son visage, je ne sais comment vous appelez cela. Et ses cheveux avaient des franges partout, comme cela. Et elle avait des ongles là au bout, comme cela, et de très longues boucles d’oreilles suspendues, on dirait un démon lui était monté sur le cou et allait se servir de ces boucles comme étriers. Je l’ai regardée comme ça, ses sourcils remontaient haut comme ceci. Elle s’est retournée et a dit: «Est-ce vous frère Branham?»

J’ai dit: «Frère, vous avez dit que c’était une sainte?»

Il a dit: «Oui, Frère Branham.»

J’ai dit: «Elle paraît comme un hain’t [Une qui ne l’est pas] plutôt qu’une sainte.» Evidemment, elle pouvait l’avoir été. J’ai dit... Oh! Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un nettoyage dans l’église (Alléluia!) du baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode revenant dans l’église, plutôt que beaucoup de ces credos et de ces comportements que nous avons. Amen.


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E-54 Puis, je peux voir là dans le passé, à l’époque, quand Jésus s’avaait, les démons criaient, des signes accompagnaient, on est presque arrivé au moment où commence notre texte là, et j’aimerais vous Le faire remarquer. Il était là, Il avait quitté la maison de Lazare. Et aussitôt qu’Il avait quitté la maison, la tristesse et les ennuis ont commencé. Et chaque fois qu’Il quitte votre maison, la tristesse et les ennuis arrivent. Ils viennent sur votre chemin quand Lui quitte votre maison.

Dans ce cas-ci, Il n’avait pas été chassé. Il était parti parce que Son oeuvre l’appelait, et Satan a vu en cela une occasion, aussi a-t-il frappé Lazare. Je pense que Jésus savait tout le temps que Lazare allait mourir. En effet, je peux le prouver par les Ecritures. Quand Il est arrivé à la tombe de Lazare, quand Il était revenu là-bas, Il a dit: «Notre pays... ami Lazare dort.» Mais Il a dit: «Je me réjouis à cause de vous de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais le réveiller.» A la tombe, Il a dit: «Père, Je Te loue de ce que Tu–Tu m’as déjà exaucé. Mais J’ai dit cela juste à cause de ceux qui se tiennent là.» Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père M’a montré.» Il Lui avait déjà montré la résurrection de Lazare, et c’est pourquoi Il avait quitté.


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E-57 C’était l’heure la plus sombre que la femme à la perte du sang avait jamais connue. Elle avait dépensé tout son argent; puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre que Schadrac, Méschac et Abed Nego avaient jamais connues; puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre que Jaïrus avait jamais connue; quand on disait que sa petite fille de douze ans était déjà morte; puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre que l’aveugle Bartimée avait jamais connue là-bas; puis Jésus vint. C’est vrai. Il est toujours là aux heures les plus sombres.

Aux heures les plus sombres, alors quelqu’un dit: «Le Maître est venu.» Je peux voir Marthe. Elle était lente à agir au sujet de beaucoup de choses de l’Evangile. Mais cette fois-ci, la foi s’est élevée et elle est allée là. J’entends certains parmi eux dire: «Eh bien, la voilà partir. Où est parti ce Prédicateur saint exalté, qui prêchait la guérison divine par ici, du Nom de Jésus de Nazareth? Quand Son copain est tombé malade (Voyez?), le travail était trop grand, Il a donc quitté la ville. Voyez-vous où on en est?»

Mais, peu lui importait ce qu’ils disaient. Je l’entends dire: «Oh! Regardez-la maintenant. On se demande où est ce Prédicateur saint exalté maintenant.» Et la voilà descendre la rue, dépassant directement ces vieux croyants. C’est ce qu’il vous faut aussi faire: Allez directement... Ces vieux incroyants, continuez donc tout droit et dépassez-les. Elle est entrée droit dans la campagne. Et quand elle a vu Jésus... Eh bien, on dirait qu’elle pouvait Le réprimander; on dirait qu’elle en avait le droit. Et si elle s’était approchée et avait dit: «Eh bien, regarde ici.» Au... Ceci est la version 1950 de la chose ou 51: «Pourquoi n’es-Tu pas venu quand je T’ai appelé? Je vais adhérer chez les méthodistes. J’avais plus... J’avais... Ils–ils–ils me traitaient mieux par-là qu’on ne le fait par ici.» C’est la raison pour laquelle vous ne pouvez rien recevoir. Si elle avait affiché cette attitude-là, le miracle ne se serait jamais produit. C’est votre–c’est votre attitude envers le don divin de Dieu qui détermine ce qui va arriver, toujours, toujours.


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