Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Yakima, Washington, USA

E-43 Ainsi remarquez, pendant qu’il était là, la radio était allumée dans cette petite confiserie de Henryville, dans l’Indiana, où nous étions... Et le vieux docteur Spurgeon, un très grand ami à moi... Et la radio était donc allumée, et l’émission L’heure de l’agriculture passait, c’était le petit club 4-H de Louisville, dans le Kentucky, ils avaient une machine là-bas qu’ils avaient fabriquée, une machine qui pouvait reproduire un grain de maïs si parfaitement que vous ne pourriez pas le distinguer de celui qui a été cultivé dans le champ. On disait: «Prenez une poignée dans le sac de ce qui a poussé dans le champ, une poignée dans le sac de ce que la–la machine a produit, mélangez-les, et vous ne saurez plus les distinguer.» On disait: «Scindez-les, il y a la même quantité de calcium, la même quantité d’humidité, le même germe, parfaitement comme il faut, cela donnera la même farine de maïs, le même pain de maïs, les mêmes flocons de maïs, très exactement.» On disait: «Il n’y a qu’une seule manière pour vous permettre de les distinguer, c’est en les enterrant. Celui que la machine a fabriqué pourrit et ne revient jamais à la vie, mais celui que Dieu a créé revient à la vie parce qu’il a la vie en lui.»


Yakima, Washington, USA

E-44 Vous pouvez prendre un homme qui a l’air d’un chrétien, qui se comporte comme un chrétien, mais si cet homme n’a pas la Parole de Dieu en lui, si le germe de Vie n’est pas à l’intérieur pour le féconder, il ne ressuscitera pas à la résurrection. C’est juste. En effet, il ne peut pas ressusciter; il n’y a rien à l’intérieur pour le ressusciter; une semence.

Eh bien, quand vous mettez une semence en terre, vous les fermiers, vous prenez votre maïs et vous allez là le semer; vous n’allez pas chaque matin déterrer cela, en vous disant: «Voyons maintenant, est-ce que ça pousse? Quelque chose est-il arrivé à cela?» Non. Puis vous remettez cela. Tard le jour suivant, vous vous dites: «Je vais voir si ça évolue bien.» Vous déterrez de nouveau cela; cela ne poussera jamais de cette façon-là. Eh bien, ce que vous faites avec une semence, vous la confiez à la terre, vous l’ensevelissez; c’est tout ce que vous pouvez faire à ce sujet. C’est à Dieu de faire le reste.

Eh bien, c’est pareil avec la Parole de Dieu. Si vous prenez n’importe quelle promesse divine que Dieu a faite dans Sa Bible, et que vous mettiez cela dans votre coeur, et que vous l’arrosiez chaque jour avec des louanges adressées à Dieu, elle va s’accomplir, cela va pousser, si vous cessez de tripoter cela, si vous laissez simplement cela tranquille. Ne dites pas: «Je vais voir, est-ce que je peux bouger mon doigt un peu mieux aujourd’hui, est-ce que je me sens mieux, est-ce que mon mal de tête s’est un petit peu calmé?» Oh! Non! Ça ne fera jamais l’affaire, confiez tout simplement cela à Dieu, et partez, laissez cela tranquille. Voilà la semence de Dieu. Elle va croître.


Yakima, Washington, USA

E-46 Je suis donc entré et il y avait là une lettre de vingt-deux pages provenant d’un certain doyen d’une université. Oh! Qu’est-ce qu’il m’a rabroué! Il a dit: «Monsieur Branham.» Il ne voulait pas m’appeler frère. Il a dit: «Monsieur Branham, de penser que vous vous tenez devant tant de gens comme vous le faites, et puis avec une théologie aussi pourrie, je n’ai jamais entendu cela de ma vie.» Et il a dit: «Vous vous vantiez d’être un prédicateur depuis trente et un ans.» Il a dit: «Jeune homme, moi je prêchais avant votre naissance.»

Et je me suis dit: «Eh bien, c’est... Je respecte certainement un homme qui prêche depuis si longtemps.» Ainsi donc je me suis dit: «Bien, c’est tout à fait en ordre.»

Alors, il a dit: «De penser que vous avez dit hier soir qu’un–qu’un... le serviteur de Dieu...» Il a dit: «J’ai roulé sur quinze miles [24 km] à travers une tempête de neige aveuglante pour entendre un serviteur de Christ, et qu’ai-je trouvé sinon un devin raffiné.» Il était venu...

Il a dit: «Et vous avez dit: ‘Le diable ne peut pas guérir.’» Il a dit: «Un homme qui prêche à autant de monde comme vous et qui n’en sait pas plus sur la Bible que cela, et qui n’en sait pas plus que–que dire que le diable ne peut pas guérir.» Il a dit: «Je vais vous faire savoir que je vis dans une communauté ici, où il y a une femme qui a un esprit de divination.» Il a dit: «Les gens viennent consulter cette femme; elle a sur elle un grand tablier, elle les tâte partout comme ceci, et on laisse tomber de l’argent dans ce tablier.» Il a dit: «Ensuite, elle arrache quelques cheveux de sa tête, elle leur pique dans les veines et applique du sang sur ces cheveux. Elle descend à un petit ruisseau derrière sa maison, et elle y jette cela. Les gens se tiennent devant elle. Elle monte comme ceci, et si elle est contrainte de regarder derrière, eh bien, a-t-il dit, alors la maladie revient sur la personne, si elle ne se retourne pas, elle jette cela, à travers son... le sang des gens, et ses propres cheveux, dans le ruisseau...» Et il a dit: «Nous avons gardé des témoignages là-dessus.» Il a dit: «Au moins vingt ou trente pour cent de ces gens sont guéris. Et puis, vous voulez me dire que vous ne croyez pas qu’un démon puisse guérir.»


Yakima, Washington, USA

E-48 Mais j’ai dit: «Et puis, vous étiez... ne cessez de m’acculer au sujet de ma théologie, quand je dis: ‘Un démon ne peut pas guérir.’» J’ai dit: «Je vais vous citer Jésus.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous ne pouvez pas mélanger les Ecritures, vous devez Les garder bien claires. C’est juste. J’ai dit: «Jésus a dit: ‘Satan ne peut pas guérir’, et vous, vous avez dit: ‘Il guérit.’» Eh bien, j’ai dit: «Maintenant, si vous voulez bien m’excuser.» J’ai dit: «Je–je vais vous dire ce qu’il en est de votre sorcière qui est dans votre voisinage.» J’ai dit: «Si... Il est évident que ces gens sont guéris.» En effet, j’ai dit: «En Afrique, j’ai vu les gens aller vers des idoles et être guéris. A Las Alderaines, ils ont un monument là-bas d’une certaine femme qui est morte, dans une église catholique. Les gens y vont et regardent cette femme morte en récitant Je vous salue Marie, et ils sont guéris. Certainement, parce que les gens pensent qu’au travers de cela ils s’approchent de Dieu, et Dieu les guérit sur base de la foi. Et chaque fois qu’on a la foi, Dieu doit honorer cette exigence.» C’est juste.

J’ai dit: «Il y a beaucoup de gens dans le pays aujourd’hui qui se disent des guérisseurs divins.» Ils disent: ‘J’ai la puissance dans mes mains. Gloire! Alléluia! Woooo! Sentez cela.’» Et les Américains se laissent prendre par cela comme je ne sais quoi, comme un clochard devant des gâteaux chauds. Et ils–et–ils–ils pensent que c’est juste. Ils sont guéris parce qu’ils sont... Il ne s’agit pas de ça. C’est votre foi dans l’oeuvre achevée de Jésus-Christ. C’est là-dessus que repose la guérison. Ne laissez jamais quelqu’un vous persuader qu’il a le pouvoir de guérir. C’est faux.


Yakima, Washington, USA

E-49 Jésus-Christ a déjà payé la dette. Comment pourriez-vous encore racheter cela? Il vous donne un reçu payé de la maison de prêt sur gage, où vous vous trouviez. Vous êtes racheté par le précieux Sang de Jésus. Vous n’avez pas la puissance de guérir. Ce que vous faites c’est avoir... Vous pourriez avoir un don pour manifester Dieu. Vous pourriez avoir un don pour Le manifester au travers d’un grand prédicateur, comme certains de mes frères ici qui pourraient se tenir ici et faire ce travail de loin mieux que moi, parce que c’est leur appel. Mon appel à moi c’est quelque chose d’autre. Mais chacun d’entre nous a un don pour essayer de vous déclarer que Christ vous a guéri quand Il est mort pour vous. Il a été blessé pour vos péchés, c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri. C’est quelque chose pour vous amener à comprendre, si vous ne pouvez pas croire la Parole; alors Il envoie des signes et des prodiges pour prouver qu’Il est le Christ ressuscité. Voyez-vous? Par conséquent, c’est là que vous obtenez votre guérison, en croyant en Lui.


Yakima, Washington, USA

E-51 Peu de temps après cela, j’ai reçu une invitation pour aller chez lui. Monsieur Moore m’a accompagné, car je savais que cet homme était intelligent. Et ainsi, il... Après que nous avons pris notre dîner là, à cette grande et célèbre université... Ils avaient là des centaines d’hectares de maïs où les étudiants pouvaient travailler pour se prendre en charge. Ce jour-là, après le dîner, il a repoussé son assiette, ce doyen de l’université, et m’a parlé, disant: «Monsieur Branham, nous sommes venus ici pour vous poser quelques questions.»

J’ai dit: «Je pourrais ne pas être en mesure d’y répondre, monsieur.» J’ai dit: «Je ne suis pas un théologien; je suis juste un frère qui prie pour les malades.»

Et il a dit: «Bien», a-t-il dit.

Et monsieur Moore, qui est un théologien et qui était à côté de moi, a dit: «S’il devient trop incontrôlable pour vous, touchez-moi simplement au genou, donc avec mon genou.»

J’étais donc assis là et il a dit: «Monsieur Branham, je vois que vous... par votre passé, vous êtes un baptiste.»

J’ai dit: «Je l’étais.»

Et il a dit: «Que s’est-il passé, pourquoi avez-vous quitté l’Eglise baptiste?»

J’ai dit: «Je ne l’ai jamais quittée; c’est elle qui m’a abandonné.» Voyez-vous? J’ai dit: «Elle m’a abandonné quand elle a renié le Message que je prêchais selon la Bible.»

Et il a dit: «Un... eh bien, monsieur Branham, il y a une chose que j’aimerais vous demander.» Il a dit: «La voici.» Il a dit: «Eh bien, si c’est ce que vous avez fait, j’aimerais dire une chose, qu’est-ce qui vous a amené à vous associer aux pentecôtistes?»

J’ai dit: «Ils croient la Parole.»

Il a dit: «Qu’est-ce qu’ils ont?» Il a dit: «J’ai été parmi eux, et je les ai vus donner des coups de pieds dans les tables et dans les chaises.»

Et j’ai dit: «Oh! Certainement. C’est juste.»

«Ils ont cassé une fenêtre ou fait quelque chose comme ça

J’ai dit: «Certainement.»

Il a dit: «Qu’est-ce que c’est?»

J’ai dit: «Le Saint-Esprit.»

Et il a dit: «Le Saint-Esprit?»

J’ai dit: «Certainement, s’ils ne font pas tourner la roue correctement, ils doivent faire échapper la chose par le sifflet d’une manière ou d’une autre. Ils ont beaucoup de vapeur.» J’ai dit: «Et c’est la vérité.» Si cette Eglise pentecôtiste prenait un tas de ses louanges et les mettait à l’oeuvre, cela ferait quelque chose pour le Royaume de Dieu. Dieu vous a donné le Saint-Esprit. Vous aimez crier et louer par ce Dernier, mais placez tout simplement Cela dans des dons et des prodiges, sortez dans la rue et faites entrer des pécheurs et tout comme cela. Votre église va croître et tout ira très bien. Ne faites pas sortir la chose par le sifflet; mettez-la en action et laissez... faites tourner la roue, le train de l’Evangile.


Yakima, Washington, USA

E-52 Et il a dit: «Eh bien,... que pensez-vous que nous avons, nous les luthériens? Pensez-vous que... Nous croyons que nous avons reçu le Saint-Esprit quand nous avons cru.»

J’ai dit: «Paul serait en désaccord avec vous, selon Actes 19. Il a dit: ‘Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru.’ Il n’a pas dit: ‘Eh bien, prenez cela en Grec, en Hébreu ou dans la langue que vous voulez, c’est ‘depuis que vous avez cru’.»

Eh bien, ils croient... notre Eglise baptiste enseigne qu’on reçoit le Saint-Esprit quand on croit, mais ce n’est pas juste. Paul a dit: «Vous–avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Et ces gens poussaient des cris, eh bien, Aquilas et Priscille tenaient de grandes réunions où toutes sortes de choses se produisaient, mais il a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

Ils ont dit: «Nous ne savons même pas qu’il y ait un Saint-Esprit.»

Après que Paul les eut tous rebaptisés et qu’il leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, ils parlèrent en langues et prophétisèrent. C’est alors qu’ils avaient reçu le Saint-Esprit.


Yakima, Washington, USA

E-56 Quand autrefois celui qui rendait un culte prenait un agneau, et qu’il allait à l’autel pour adorer, il le posait dessus, il plaçait ses mains dessus et confessait ses péchés. On l’égorgeait en brisant la cellule de sang; l’agneau mourait. Or, l’homme s’en allait dans le même état que lorsqu’il était venu. Ses péchés étaient pardonnés, mais il s’en allait avec le même désir: s’il avait volé, abattu quelqu’un, commis adultère, ou que sais-je encore, il s’en retournait avec le même désir. Mais une fois qu’un homme place ses mains sur la tête du Fils de Dieu... Pourquoi ne s’en allait-il pas–s’en allait-il dans l’état où il serait s’il plaçait ses mains sur le Fils de Dieu? La cellule de sang de l’agneau contenait une vie animale. Et cette vie animale ne correspondait pas avec la vie humaine; par conséquent, quand cette vie revenait, c’était une vie animale qui venait sur une vie humaine, et cela ne pouvait rien faire pour lui. Mais quand la Cellule de Sang de Dieu fut brisée, l’Esprit de Dieu qui vivait dans cette Cellule retournait sous la forme du Saint-Esprit; cet homme est libre du péché. La conscience même du péché a été condamnée. Amen. Je le crois de tout mon coeur.

«Celui qui rend le culte une fois purifié n’a plus le désir du péché.» La Bible dit: «Conscience», ce qui, en fait, veut dire «le désir». Une fois que celui qui rend le culte place ses mains sur la tête de Jésus-Christ par la foi et qu’il sent cette chair frémir (comme l’homme le sentait quand il plaçait ses mains sur l’agneau qui mourait et bêlait, un agneau innocent) et qu’il croyait de tout son coeur que le Fils de Dieu est mort à sa place, quand vous faites cette confession, le Saint-Esprit qui provient de la Cellule de Sang qui vous a sanctifié, entre dans votre vie, et vous devenez une nouvelle création en Jésus-Christ. La Vie de Dieu est en vous, et Elle vous a adopté, vous êtes un fils de Dieu. Amen. N’ayez pas peur. Amen signifie ainsi soit-il. Cela ne vous fera pas de mal.


Yakima, Washington, USA

E-78 Commençons cet après-midi là quelque part ailleurs dans cette tranche. Nous en avons donc quelques-uns ici, peut-être, pour le discernement ou quelque chose comme ça. Commençons ailleurs dans cette tranche de cent cartes. Voyons, hier soir nous sommes arrivés vers 15, 20 ou quelque chose comme cela, et les gens en sont arrivés au point où ils ne venaient plus, et alors je... Disons, commençons à 51. Cette carte est-elle là? 51, qui a la carte de prière 51? Levez la main. Une femme, très bien, c’est bon de commencer par elle. Venez ici, madame. 52, qui a la carte de prière 52? Nous allons les prendre toutes, mais nous... simplement. Très bien.


Yakima, Washington, USA

E-79 Mon fils me fait savoir que les gens n’entendent pas dans la salle. Est-ce juste? M’entendez-vous en haut au balcon? Vous n’entendez pas? M’entendez-vous par là? Eh bien, que Dieu bénisse vos coeurs, vous êtes restés assis ici tout l’après-midi et vous n’entendez même pas. Ils n’entendent rien au balcon. Vous ne... entendez-vous là au fond? Là-bas derrière, ils entendent, mais en haut au balcon, ils n’entendent pas. Oh! Que vos coeurs loyaux soient bénis. Que Dieu, mon Sauveur, exauce la requête de chacun de vous cet après-midi. Entendez-vous cela? Que Dieu exauce votre requête, quelle qu’elle soit, puisque vous êtes restés assis là tout ce temps, pendant que je parlais et que vous n’entendiez rien. Que Dieu vous le révèle d’une autre manière, que je vous dis la Vérité.

Très bien, nous allons appeler la ligne de prière maintenant. Je vais devoir parler fort comme ceci, parce que les gens qui sont là-haut peuvent avoir des cartes de prière. J’appelle à partir de la carte de prière... Où en étais-je... Qu’était... 50... La carte de prière 52? Très bien, la carte de prière 52, qui l’a? 53? Venez directement ici, madame. Cinquan-... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]


Up