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Yakima, Washington, USA

E-15 J’ai regardé devant moi, et j’ai vu la vision du petit garçon qui me regardait, comme ceci, et ses yeux étaient tout aussi droits. Les Indiens étaient simplement assis et regardaient. Et j’ai dit: «Maintenant, avant que je retourne le petit garçon (Et il avait posé sa tête sur mon épaule), si les yeux de cet enfant ne sont pas redressés, alors je suis un faux prophète; chassez-moi de la réserve. S’ils sont redressés, combien vont recevoir le Seigneur Jésus?» Ils ont tous levé la main. J’ai dit: «Qu’en pensez-vous, mère?» à cette femme comme cela.

Et comme réponse, elle a hurlé quelque chose à l’interprète, qui a dit: «Elle a dit: ‘Si elle a pu... si Dieu a pu guérir la mort à Durham, Il peut redresser les yeux.’» C’est une bonne philosophie. C’est... J’ai alors retourné le petit garçon; ses yeux étaient aussi droits que les miens. Oh! la la! vous parlez d’une ligne de prière, nous avons eu une ruée. Cela venait de partout. Et j’ai posé la question à l’interprète qui m’a dit: «Ils ont d’abord pensé que vous étiez un trompeur. Mais ils comprennent maintenant que c’est la vérité.»


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E-17 Eh bien, la suivante à venir, c’était une vieille Indienne; elle paraissait avoir environ soixante-quinze ans, elle avait des manches à balai coupés comme béquilles, et des loques recouvraient le manche qui passait au-dessus–la partie du manche qui passait au-dessus de ses bras. Et elle se tenait comme ceci dans la porte. Et je lui ai fait signe. Et elle a avancé un bâton comme cela, et elle a déplacé son pied, puis l’autre. Et j’ai simplement pris mon temps, et je l’ai attendue. Et elle s’est approchée de là où je me tenais, et je me suis dit: «Que va faire la vieille dame?» Et j’ai vu ses cheveux qui pendaient, un vieux [morceau de] cuir y était plaqué, vous savez, et ils grisonnaient. Je me suis dit: «Pauvre vieille créature, elle a probablement élevé une ribambelle d’enfants. Que c’est pitoyable! J’aurais souhaité parler sa langue.»

Et elle a levé les yeux vers moi comme cela, et ces tout petits yeux enfoncés promenaient un regard plutôt pâle, avec de très grosses rides aux joues, et les larmes coulaient à travers ces rides. Oh! j’ai eu beaucoup de compassion pour la vieille. Et elle m’a regardé comme cela, elle a un peu souri, elle a tendu le bras et a saisi une béquille et l’a mise dans l’autre main, puis elle me les a remises et elle a quitté l’estrade en marchant juste comme n’importe qui d’autre. Eh bien, je vous assure, sans prière, elle n’en a pas du tout demandé. Sa foi t’a guérie.

Eh bien, mes amis, voici la Bible de Dieu. Ça, c’est la vérité. J’ai exactement cette même Bible, cette Bible que vous–qu’on m’a offerte à Houston, au Texas, autrefois en 1947. Et j’avais alors la même Bible. Le Dieu qui a écrit la Bible sait que c’est la vérité.


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E-19 J’ai donc regardé, et là se tenait un très grand guerrier costaud, ses lèvres étaient vraiment bleues, et il grelottait. Puis j’ai regardé; il y avait un vieil homme que lui et un autre gaillard portaient sur une–une planche. Et ils avaient une planche placée comme ceci, avec un bois placé dessus en travers, et ils avaaient comme ceci, et ils avaient posé les jambes du vieil homme sur la... les deux bâtons se croisaient comme ceci, et deux se croisaient comme ceci. Ils retenaient ses bras, et le vieil homme tremblait de suite d’une paralysie comme cela, grisonnant au possible. Et je lui ai dit, j’ai dit:»Parlez-vous anglais?»

Il a dit: «Un peu.»

J’ai dit: «N’avez-vous pas peur d’attraper la pneumonie comme cela

«Non, a-t-il dit, Jésus-Christ a pris soin de moi, j’ai amené mon papa.» Une foi simple...

J’ai dit: «Oh!» J’ai dit: «Croyez-vous que Dieu va guérir votre père?»

«Ouais, sinon je ne l’aurais pas amené.»

J’ai dit: «Faites-le passer.» Cela devait être son frère là derrière. Il lui ressemblait beaucoup. Et ils sont passés, et je suis allé imposer les mains au vieil homme; j’ai dit: «Dieu du Ciel, bénis ce vieil homme. Donne-lui le désir de son coeur.» Je l’ai fait passer. Le suivant est venu, je lui ai imposé les mains. Tout à coup, j’ai entendu beaucoup de bruit là-bas. Voilà que le vieil homme portait la planche sur ses propres épaules, allant là tout en saluant tout le monde d’un signe de la main comme cela. Juste une foi simple. C’est tout. Ils ne–ils ne sont pas entièrement attachés à ceci et à cela. Ils–ils croient tout simplement, c’est tout.


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E-20 Eh bien, que Dieu nous aide ce soir à avoir la foi des Indiens (C’est juste) pour croire. Que Dieu guérisse la petite fille, ce sera un signe. Ça, c’était avant que je n’aille pour la première fois à San Carlos; je suis allé là parce que Dieu avait guéri une–une femme qui était venue dans la ligne de prière; elle était alcoolique, et la suivante à venir était une tuberculeuse. Les deux étaient des Indiennes, et elles avaient ramené le certificat médical attestant que (environ un mois plus tard, quand j’étais en Californie) que le médecin a libéré cette femme. Sa tuberculose était terminée. Et l’alcoolique n’a plus jamais pris un autre verre.

En passant, cette femme qui avait levé la main ici l’autre soir a été guérie. Etes-vous encore ici, soeur? La dame qui avait levé la main là derrière, la jeune dame? Très bien. C’est bien. D’accord. C’est bon. Comment vous sentez-vous maintenant? Comment va votre mari? Très bien? Il se porte bien maintenant? Bien. Que Dieu vous bénisse. Je vous souhaite un foyer heureux. Son mari qui était un alcoolique a été aussi guéri. Et–et simplement... ç’a été glorieux de savoir que vous faites confiance au Seigneur Dieu. Il n’y a rien de pareil. Maintenant, si Dieu fait cela pour ce foyer-là, Il fera la même chose pour votre foyer. Il va ôter la maladie, Il va ôter tout. Dieu ne fait acception de personne. Il ne demande qu’une foi simple pour croire la chose. Que Dieu vous bénisse.


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E-25 Ainsi donc, hier soir, nous avons laissé Abraham, lorsqu’il était ramené à l’état d’un jeune homme. Je ne vais pas vous demander si vous croyez cela ou pas. Mais moi-même, je–je crois cela. Néanmoins, ce n’est pas ça qui fait que ce soit juste. Mais quelque chose est arrivé à Sara et à Abraham. Nous le savons, n’est-ce pas? Quelque chose est arrivé, parce qu’il était stérile, et elle n’était pas féconde. Et ils étaient âgés de cent ans; il l’était, et elle aussi. Et comment un homme pourrait-il tomber amoureux d’une vieille femme de cent ans? Je n’arrive simplement pas... Eh bien, quelqu’un a dit: «Oh! en ce temps-là, les gens vivaient plus longtemps.»

Mon frère, lisez là l’Ecriture; il est dit: «Ils étaient tous deux avancés en âge.» Ils étaient vieux. Et nous voyons que non seulement cela, mais sa force était renouvelée, et elle était redevenue une jeune belle femme; et Abraham était redevenu un jeune homme; et ils jouissaient de la vie. Et, rappelez-vous, aussitôt après leur départ, là à Guérar, Sara est devenue mère et a enfanté un fils à Abraham. N’êtes-vous pas si heureux de savoir que nous allons rajeunir? Je ne sais quoi dire ici; j’en suis tellement heureux. Je sais que je–je promets de vous laisser sortir un peu tôt, mais il y a quelque chose sur mon coeur. Il me faut vraiment le dire.


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E-26 Eh bien, je voudrais rendre cela clair avant de le dire. Je crois que les dons et les appels sont sans repentir. Eh bien, c’est ce que la Bible déclare. Voyez-vous? Vous, vous ne faites rien. Il s’agit de quelque chose que Dieu fait. Voyez-vous? Nul... Vous–vous direz: «J’ai cherché et cherché Dieu.» Non, vous ne l’avez pas fait. C’est Dieu qui vous a cherché et cherché. Ce n’est pas vous qui avez cherché Dieu. C’est Dieu qui vous a cherché. Voyez-vous? Ce fut le cas au commencement, lorsque l’homme essayait de se cacher, et Dieu l’appelait, et Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire premièrement. (Voyez-vous?) Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.»

Maintenant–maintenant, remarquez. Depuis que j’étais un tout petit garçon d’environ deux–deux ans, j’ai commencé à voir des visions. J’ai vu ma première vision dans un buisson, l’Ange du Seigneur était là-dedans comme un vent, et Il m’a dit que je vivrais près d’une ville appelée New Albany. J’avais deux ans, je vivais dans les montagnes du Kentucky, et j’ai passé ma vie à trois ou quatre miles [environ 3 ou 5 km–N.D.T.] de New Albany, dans l’Indiana, à deux cents, trois cents miles [environ 300, 500 km.]. Et alors, cela est parti de là et a continué toute ma vie, et pas une seule fois cela n’a été faux. Mais ceci, je ne crois pas que ce fût une vision.


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E-30 Eh bien, et ainsi, Quelque Chose a commencé alors à me parler et a dit: «Continue simplement à persévérer.»

Et j’ai dit: «Eh bien, j’ai persévéré.»

Et Cela a dit: «La récompense est au bout du chemin. La récompense est au bout du chemin.»

J’ai dit: «Je crois que le... Attends, à qui suis-je en train de parler?»

J’ai regardé tout autour, j’ai dit: «Meda? (Ma femme) Meda, es-tu réveillée?»

Elle a fait: «Hein?»

Et j’ai dit: «OK.»

Et ceci a continué, je pense, pendant une heure; j’ai pensé: «Père, était-ce Toi? Etait-ce Toi qui me parlais?» Et vous avez entendu l’histoire, sur l’opossum, les petits poissons, et les choses qui sont arrivées dans le naturel, dans ma vie et tout. C’est exactement ainsi que Cela commence à parler. Exactement comme vous entendez ma voix.

Et lorsque cet Homme s’est dirigé vers moi, la première fois qu’Il m’avait visité sous une forme humaine, ce n’était pas une vision. Il... Je sais ce qu’est une vision; l’Homme s’est tenu là et m’a parlé. Il a dit–m’a dit qu’Il était envoyé de Dieu, que je devais prier pour les malades et ce devait être... Il n’était pas une vision. Il était un Homme. Je–je ne savais pas qui Il était. Et Il a dit qu’Il était envoyé de Dieu. Et Il se tenait là, aussi près de moi que ma main est juste ici. Et je L’ai regardé, je Lui ai parlé, je Lui ai adressé des paroles, alors cette Lumière qui était suspendue au-dessus de Lui est descendue sur Lui, et L’a pris par les pieds, et Il a disparu de ma vue. Et tout ce qu’Il avait dit s’est accompli parfaitement. Juste parfaitement. Voyez-vous? Je–je sais donc que c’est la vérité.


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E-32 Et maintenant, alors que j’étais étendu là, je L’ai entendu dire: «Continue à persévérer. La récompense est à la fin.» Et je–j’ai senti que quelque chose m’arrivait. Et j’ai entendu ce cantique être chanté, nous le chantons dans notre église:

J’aimerais entendre les cloches du port, le doux carillonnement;

Cela illuminerait ma foi et dissiperait chaque larme;

Seigneur, laisse-moi regarder au-delà du rideau du temps.

Beaucoup d’entre vous ont déjà entendu ce glorieux vieux cantique. Et cela a fait... J’ai senti que quelque chose arri-... Je pensais que je mourais, et j’ai regardé derrière, et j’étais étendu là sur le lit. Et je me suis retourné de ce côté, et c’était comme une–une colline qui descendait, juste devant moi, où que ce fût. Rappelez-vous, ma Bible est sur mon coeur, je dis la vérité. Quel bien cela me ferait-il de dire cela si ce n’était pas vrai? Quel bien ma prédication ferait-elle? Tous mes sacrifices et toutes mes souffrances, quel bien cela ferait-il, si je suis un menteur? Voyez-vous? Cela ne ferait pas le moindre bien. Je ne suis pas obligé de dire ceci. Mais je le dis afin que cela puisse vous aider, parce que c’est la vérité.


Yakima, Washington, USA

E-33 Où que soit cet endroit, si c’est une autre dimension, je ne peux pas vous le dire, mais j’étais quelque part où je pouvais regarder derrière. Et tout le monde m’a toujours accusé d’être un misogyne. Je–je ne déteste pas les femmes. Non, non. Ce n’est pas le cas. Je–j’aime mes soeurs, mais je n’aime pas la façon dont certaines de ces Américaines modernes s’habillent, agissent, fument, boivent et se comportent. C’est une honte pour cette nation. C’est la plus grande cinquième colonne que nous ayons jamais eue, la façon dont ces femmes modernes agissent et tout, quand elles ne peuvent même pas nourrir au sein leurs bébés; elles sont obligées de leur donner du lait de vache. Le bébé mourrait avant dix-huit mois à cause du poison de la nicotine. Oui, oui. Vous parlez d’une cinquième colonne; en voilà une. C’est ce qui brise le dos de chaque nation, la maternité, il en a toujours été ainsi.

J’aime les véritables femmes, les véritables mères. Que Dieu nous donne davantage de véritables mères à l’ancienne mode, afin que nous n’ayons pas tant de délinquance juvénile, si nous avions des mères qui restent à la maison pour s’occuper de leurs enfants, au lieu d’aller quelque part à un cocktail, pendant que ces petites gardiennes d’enfants essayent de s’en occuper quelque part. C’est juste. C’est ce qui empoisonne l’esprit des enfants. Les... Avec ça, l’Amérique est complètement pourrie, elle va de mal en pis sans cesse, et elle continuera à aller de mal en pis. Il n’y a rien... Je parle contre cela, mais cela continue, parce que les Ecritures le déclarent. Cette nation mourra dans sa jeunesse.

Maintenant, rappelez-vous, dans Apocalypse 13, lorsqu’elle apparaît, elle est toujours jeune. C’est le jeune... l’Agneau qui est monté.


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E-37 Et j’ai continué ainsi pendant quelques instants, et juste alors, quelqu’un... lorsque j’en ai parlé il y a quelques semaines, quelqu’un a pratiquement pris cela à la légère. Je regardais. J’avais un vieux chien qui me faisait étudier, m’aidait à nourrir ma famille. J’ai fait la chasse toute ma vie; ce vieux chien attrapait des opossums, des ratons laveurs, des moufettes, et tout pour moi. Et je chassais, et ensuite je–je vendais ces peaux, et je m’achetais des habits pour l’école, et j’aidais à nourrir notre famille de dix enfants. Et alors, un policier l’a empoisonné lorsque nous avons emménagé en ville. Oh! pendant que je caressais sa tombe, j’ai dit: «Fritz, s’il existe un ciel pour les chiens, tu y seras.» Et je me souviens de mon petit cheval, Prince, comment je le montais quand j’allais à la chasse, visitant mes pièges et tout. Et il était parti. Et lorsque j’ai regardé, j’ai vu descendre la colline, voilà venir effectivement le vieux Fritz. Je peux le voir venir maintenant. Il a sauté et m’a léché la main comme cela. Voilà venir le vieux Prince; il a henni doucement et a mis sa...


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