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Yakima, Washington, USA

E-11 Il n’y a pas longtemps en Inde, j’avais été reçu par dix-sept différentes religions un après-midi au temple des jaïns. Il y avait les bouddhistes, les musulmans, les sikhs, les jaïns et que sais-je encore, ce sont–ce sont des gens très drôles.

Mais, de toutes ces dix-sept religions, pratiquement elles toutes à part les musulmans et quelques-unes, croient dans la réincarnation. Ainsi, ils portent un petit balai-éponge, et ils épongent le plancher, juste pour se rassurer pendant qu’ils marchent, de ne pas piétiner une petite mouche ou un insecte, car ça pourrait être un oncle, ou une tante, ou quelqu’un qui est revenu. Comment peut-on donc prêcher une religion du sang à un peuple qui ne voudrait pas tuer une mouche? Voyez? Et alors, j’ai donc dû attendre et laisser Dieu Lui-même s’en occuper, mais Il a certainement accompli une grande oeuvre en Inde.


Yakima, Washington, USA

E-13 Il y a quelques mois... Eh bien, ça fera environ une année, ce... prochain environ quatre... dans trois semaines. J’étais là dans le Kentucky, à la chasse aux écureuils. Nous avions tenu une réunion tout près, environ deux ans avant cela, sur un camping méthodiste, pendant deux soirées. Le Seigneur avait fait de grandes personnes... de grandes oeuvres parmi les méthodistes. Et alors, ils...

Autrefois, les méthodistes croyaient dans la guérison divine. John Wesley croyait. J’ai son livre, son manuel et autres, ses notes. Ainsi donc, ils croyaient autrefois dans la guérison divine. Beaucoup parmi eux croient encore. Et alors, il y avait un grand réveil parmi les gens. Donc, à ce grand camping là-bas, là chez les méthodistes du sud... Ils m’avaient invité là pour une–une campagne, et j’avais passé le samedi et le dimanche avec eux.


Yakima, Washington, USA

E-14 Et monsieur Wood, un ancien témoin de Jéhovah, avait un fils estropié, dont la jambe était recroquevillée, un jeune homme; il était assis au fond, dans la réunion, et son père était assis là en train de critiquer; et sa mère, assise là, en train de prier. Le Saint-Esprit est allé à un endroit, alors qu’il y avait là, je pense, au moins huit ou dix mille personnes, et Il a dit: «Le jeune homme assis là au fond est estropié de jambe, son père est un témoin de Jéhovah, et c’est un–un entrepreneur, son nom est Banks Wood. Sa mère est une méthodiste. Le nom du jeune garçon est David. AINSI DIT LE SEIGNEUR, lève-toi; Jésus-Christ te guérit.» Il s’est levé; il ne reconnaît même plus aujourd’hui la jambe en question; du moins, c’est arrivé.

Alors, monsieur Wood, il était vraiment sauvé, il a amené tout le reste de sa famille dans... (son père, sa mère, tous les autres) dans l’alliance de Christ par le baptême du Saint-Esprit. Lui et moi, nous chassions ensemble, nous avions passé là environ deux semaines et il a dit... Il faisait terriblement sec. Il nous fallait descendre dans des vallées pour trouver là où il y avait assez d’humidité pour marcher, sinon les écureuils vous entendraient. Et alors, il a dit: «Je connais un homme qui a cinq cents hectares là.» Et il a dit: «Je doute très fort qu’il me permette jamais de chasser, parce que c’est un vrai incroyant.»

Et j’ai dit: «Ce serait pour nous un bon monsieur à rencontrer.»


Yakima, Washington, USA

E-15 Nous sommes donc allés, nous nous sommes approchés de sa maison, par devant. Il était assis dans la cour, causant avec un homme avancé en âge. Et après que nous nous sommes approchés en voiture, monsieur Wood est sorti, il a contourné le véhicule et il lui a dit: «Salut, Jim», ou je ne sais quel nom il portait.

Il a dit: «Bonjour.»

Il a dit: «Je pense que vous ne me connaissez pas.»

Il a dit: «Si, je vous connais. Vous êtes le fils de Jim Wood, je pense.»

Il a dit: «C’est exact.»

Il a dit: «Je me demande si je peux chasser par ici.» Il a dit: «C’est très sec; nous chassions sur l’autre rivière, appelée Dutton.» Il a dit: «Il fait très sec là.»

Il a dit: «J’ai cinq cents hectares ici. N’importe quel fils de Jim Wood peut se donner le loisir de chasser partout où il veut, à n’importe quel moment qu’il le veut.» Il a dit: «Je n’ai jamais de ma vie eu un ami plus honnête que Jim Wood.»

Il a dit: «Merci.» Il a dit: «Eh bien, j’ai mon pasteur avec moi.»

Il a dit: «Wood, tu ne veux pas dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur avec toi partout où tu vas?»

Il a dit: «Eh bien, je ne sais pas à ce sujet, mais je...»


Yakima, Washington, USA

E-16 Alors, je suis sorti du véhicule. Je suis descendu et j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»

Il a dit: «Bonjour. Eh bien, a-t-il dit, c’est vous le prédicateur?»

Le sang des écureuils, la saleté (Oh! la la!), des moustaches longues comme ça, et j’ai dit: «Oui, monsieur. Je suppose que oui.»

Et il a dit: «Eh bien, je pense que Wood vous a dit que je suis un incroyant.»

J’ai dit: «Eh bien, il a dit quelque chose à ce sujet, mais j’ai du mal à penser qu’un homme qui témoigne de la gentillesse comme vous le faites soit réellement un incroyant.» J’ai dit...

Il a dit: «Eh bien, je suis censé l’être.»

J’ai dit: «Je suis content que vous ayez dit que vous êtes censé l’être.»

Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vais vous dire quoi.» Il a dit: «Je n’ai jamais vu quelque chose qui soit donc... d’autre que la simple psychologie, pour me prouver que Dieu existe.» Il a dit: «J’entends ces prédicateurs vociférer en parlant de l’existence de Dieu.» Et il a dit: «Il est mort là il y a longtemps, il y a deux mille ans.» Et il a dit: «A quoi peut me servir un tel Dieu, mort il y a deux milles ans, après que je serai mort?» Voyez?

J’ai dit: «Oui, ça en était la fin. Vous avez bien raison.» J’ai dit: «Ça n’en était pas la fin.»

Et il a dit: «Eh bien, il y a... Je n’ai pas été à l’église, a-t-il dit, ça fait environ cinquante ans.» Il avait environ soixante-quinze ans.

J’ai dit: «Il n’y a pas tellement de quoi se vanter, n’est-ce pas, monsieur?»

Il a dit: «Non, je pense que non.» Il a dit: «Mais il y avait un prédicateur qui avait tenu une série de réunions par ici, au...» Il a dit: «A Acton, il n’y a pas longtemps, sur ce camping méthodiste.» Il a dit: «Si jamais ce gars revient dans la contrée, j’irai l’entendre.»

J’ai dit: «Oui, monsieur.» Frère Wood m’a regardé, il m’a cligné de l’oeil, vous savez. Et j’ai dit: «Oui, monsieur.» Et j’ai demandé: «Quel est son nom?»

Il a dit: «Je ne sais pas son nom.» Il a dit: «Mais une vieille tante, Melissie Unetelle, habitait ici sur la colline.» Il a dit: «Moi... Ma femme et moi allions là, deux semaines durant, la soulever et retirer l’alèse; elle n’arrivait même pas à bouger à cause du cancer de l’estomac.» Et il a dit: «Les médecins l’avaient abandonnée des mois avant cela.» Et il a dit: «Qu’elle... On n’arrivait même pas à la placer sur un bassin hygiénique.» Et il a dit: «Sa soeur est allée à cette réunion ce soir-là.»

Il a dit: «Il y avait, peut-être, quelque trois mille personnes là sur le camping.» Il a dit: «Ce prédicateur, c’était sa première soirée là, il a regardé au fond de l’assistance, il a désigné cette femme par son nom, il lui a dit qui était la femme pour qui elle priait. Alors, cette femme s’est mise à pleurer. Il a dit: ‘Eh bien, prenez ce mouchoir que vous avez baigné de vos larmes, allez le poser sur cette femme, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.’» Et il a dit: «Je pensais qu’on avait fait venir l’Armée du Salut là-haut sur la colline, ce soir-là, lorsqu’ils étaient rentrés là; il y avait des cris et des hurlements, a-t-il dit; nous avions pensé que la femme était morte.» Et il a dit: «Mon épouse et moi, nous nous sommes habillés, c’était vers vingt-deux heures, nous sommes montés là et elle était en train de frire des tartes aux pommes et de les manger.» Et il a dit: «Elle n’arrivait même pas à boire le sirop d’orgeat ce matin-là.» Il a dit: «Et à présent, elle fait non seulement son propre travail, mais aussi tout le travail des voisins.»

Et j’ai dit: «C’était merveilleux.»

Il a dit: «Eh bien, quand je... ce gars revient ici, j’irai l’écouter.»

J’ai dit: «Eh bien, et vous... Cela vous fera-t-il croire en Dieu si vous voyez quelque chose de semblable?»

Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, eh bien, je–je pense, c’est quelque chose qu’on peut voir.»


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E-17 J’ai dit: «Eh bien, c’était bien.» J’ai cueilli une petite pomme là. Combien savent ce que c’est une guêpe? Ainsi donc, une guêpe était sur cette pomme, je l’ai chassée et je me suis mis à manger la pomme. J’ai dit: «Ce sont des pommes délicieuses.»

Il a dit: «Oui, elles le sont.»

J’ai dit: «Quel âge a cet arbre?»

Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, c’est moi qui l’ai planté là.» Il a dit: «Je pense que cet arbre a environ trente-cinq ou quarante ans.»

J’ai dit: «Il produit des pommes chaque année?»

Il a dit: «Oui, assurément.»

Il pensait que je cherchais à changer de sujet. Voyez-vous? Alors, j’ai dit: «Eh bien, j’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «On est en mi-août, ou la dernière semaine d’août.» Et j’ai dit: «J’ai vu des feuilles tomber de cet arbre-là.»

Il a dit: «Oui, oui.»

Et j’ai dit: «Pendant... Je me demande qu’est-ce qui fait tomber ces feuilles de cet arbre-là.»

Il a dit: «La sève descend.»

J’ai dit: «Où est-elle partie?»

Il a dit: «Elle est allée dans les racines.»

J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce qui la fait descendre là en bas?»

Il a dit: «Où voulez-vous en venir?»

«Eh bien, ai-je dit, assurément, avant qu’il y ait le gel ou n’importe quoi, quelque chose aavertir la sève de descendre dans les racines.»

«Eh bien, a-t-il dit, ce n’est que la nature.»

«Eh bien, ai-je dit, placez un bidon d’eau sur un poteau et voyez si elle descendra.» Voyez?

Et il a dit: «Eh bien, que voulez-vous dire?»

J’ai dit: «Monsieur, vous admettrez bien qu’il y a quelque chose qui s’empare de cette sève qui restait là-haut, sinon cela tuerait l’arbre. Vous n’aurez plus une autre pomme. Donc, quelque chose avertit cette sève, et elle descend dans les racines de l’arbre jusqu’au printemps et se cache; et puis, elle remonte et vous produit une autre moisson de pommes.»

Il a dit: «C’est exact.»

«Eh bien, ai-je dit, la même Intelligence qui a dit à cet arbre, à la sève de cet arbre: ‘Descends dans les racines, l’hiver arrive (avant qu’on ait même un coup de froid ou le gel), descends te cacher là’, c’est la même Intelligence qui m’avait dit que cette femme vivrait.»

Il a dit: «Vous n’êtes pas ce prédicateur-là?»

J’ai dit: «Si.» Là... Voyez?

Eh bien, il a dit: «Vous savez quoi? Venez ici, j’aimerais vous serrer la main.» Il a dit: «Je n’y avais jamais pensé.»

J’ai dit: «Monsieur, Dieu est tout autour de vous. Qui peut fabriquer les fleurs d’une même espèce, l’une d’une couleur et l’autre d’une autre couleur, sous le même soleil, sur le même...? Voyez? Rendre l’une rose, l’autre rouge, et l’autre blanche, et ainsi de suite? Dieu. Dieu est dans la nature. Si seulement vous méditez sur Lui, Il–Il habite dans la nature.»


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E-23 J’aimerais donc que vous remarquiez autre chose. Un aigle renouvelle sa jeunesse. Le saviez-vous? Un aigle renouvelle en fait sa jeunesse. Eh bien, il devient tellement vieux qu’il a du mal à voler et puis, tout d’un coup, quelque chose lui arrive. Eh bien, il a juste le même âge, mais il se sent jeune, et il se restaure simplement. Il devient de nouveau un bon aigle. Eh bien, la Bible dit que l’aigle renouvelle sa jeunesse.

Je me rappelle la première fois que j’ai été dans une réunion des pentecôtistes, c’était à Mishawaka. J’étais un jeune prédicateur baptiste. Et je... là... J’avais entendu parler de ces gens. Ils avaient des signes derrière leurs véhicules, et je me suis dit: «Je pense que je vais y aller; c’est une réunion d’évangélisation.» Et je me suis assis au fond, dans la réunion, et je les ai entendus prêcher là. Oh! la la! Jamais de toute ma vie je n’avais entendu pareille prédication. Et ce soir-là, je me suis dit: «Je pense que je serai sur l’estrade.»

Ils ont dit: «Que tous les prédicateurs viennent à l’estrade.» Il y en avait des centaines. Et alors, je... Ce jour-là, j’avais constaté que tous les jeunes prédicateurs avaient prêché sur ce que Jésus avait fait et tout à ce sujet, et–et, oh! je me suis dit: «Ils ont un merveilleux message.» Je n’avais jamais rien entendu de pareil auparavant.

Ils parlaient en langues, criaient, dansaient et couraient çà et là. Je me suis dit: «Ouf! Ils ont de piètres manières, mais ils–mais ils passent certainement un bon moment avec cela; alors, je–je pense que c’est en ordre.»

Alors, ce soir-là, à l’estrade, on a dit: «J’aimerais que chaque prédicateur se lève simplement et dise d’où il vient, quel est son nom.» Ainsi, à mon tour, j’ai dit: «William Branham, évangéliste, Jeffersonville, Indiana, baptiste.» Je me suis assis.


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E-24 Et puis, ce soir-là, on a fait venir, pour la réunion du soir, un vieil homme de couleur, portant un long manteau très large, la vieille redingote des prédicateurs qu’on portait autrefois dans le Sud, à col en velours; il avait juste une petite couronne de cheveux blancs autour de sa tête. Le pauvre vieil homme pouvait à peine monter là. Il a dit: «Eh bien, c’est moi qui vais vous parler.» Il a dit: «Je vais tirer mon sujet de ce soir (je pense que c’était dans Job 7.27, ou quelque chose comme cela): Où étais-tu, lorsque je posais le fondement de la terre? Dis-le moi... car, leurs bandes. Lorsque les étoiles du matin chantaient ensemble, et que les Fils de Dieu éclataient en chants d’allégresse?»...

Et je me suis dit: «Oh! la la! Pourquoi n’aligne-t-on pas un de ces jeunes hommes là? Un vieil homme comme cela, devant environ trois mille personnes? Eh bien, ils ne devraient pas aligner ce vieil homme là. Il est si raide qu’il a du mal à marcher.»


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E-28 Oh! Dieu est merveilleux, n’est-ce pas? Il renouvelle notre jeunesse. Il renouvelle notre jeunesse comme l’aigle.

Eh bien, l’aigle est un gros oiseau. Je peux traîner là-dessus jusqu’au matin, rien que sur l’aigle.

L’une des choses les plus tristes que j’aie jamais vues de ma vie, je crois, c’est quand j’étais à Cincinnati il n’y a pas longtemps, il y a environ quatre ou cinq ans, j’avais amené mes enfants là-bas pour visiter le zoo. Et je–j’avais mes petits enfants, je les promenais, je leur montrais le zoo, pendant que leur mère prenait le dîner à table, et nous effectuions une sortie de samedi après-midi. Et je suis allé à une grande cage. Et là, j’ai vu quelque chose...

J’ai toujours eu pitié d’un animal enfermé dans une cage. Je ne peux même pas avoir un canari chez moi. Voyez? Je n’aime pas voir quelque chose être enfermé. Absolument pas. Je n’aime pas voir quelque chose dans la servitude. Je crois à la liberté.

Je suis alau zoo et j’ai vu ces lions parcourir une pièce. Et lorsque j’étais en Afrique, on m’avait offert deux petits lionceaux, et je pouvais les ramener, mais je disais: «Si j’avais...» J’ai dit: «Qu’en ferai-je?»

Il a dit: «Un autre... Dans un an, ils deviendront très gros.» Il a dit: «Placez-les dans un zoo.»

J’ai dit: «Libérez-les ici même dans le désert.» Je ne mettrai jamais quelque chose en prison. Je n’aime pas voir quelque chose dans la servitude.


Yakima, Washington, USA

E-32 Une dame m’a dit... Je disais quelque chose de ce genre une fois, cette femme m’a dit, elle a dit: «Eh bien, Frère Branham, on ne vend plus un autre genre d’habits à part celui-là.»

J’ai dit: «On vend toujours des tissus, et on a des machines à coudre. Il n’y a pas du tout d’excuses.» C’est vrai.

Frère, lorsque ce vieux coeur se sera mis en ordre avec Dieu là et que cet esprit d’aigle commencera à s’éveiller, vous monterez au-dessus de ces choses du monde. Le problème, c’est que nous ne participons pas aux réunions de prière, nous ne fréquentons pas l’église, et nous ne faisons pas ce qui est bien. Nous restons à la maison pour voir un film ou quelque chose comme cela à nos télévisions, des émissions non censurées, certaines plaisanteries malsaines et tout qu’on raconte. Et c’est une chose mauvaise à placer devant une–une jeune... notre jeune génération. Le... Autrefois, c’était mauvais pour les gens, les gens de la sainteté, d’aller au cinéma. Le diable leur en a flanqué un, il a carrément placé cela dans leurs maisons. C’est tout à fait vrai.

Oh! C’est vraiment dommage! Mais, frère, permettez-moi de vous dire, cela... on peut vous enfermer dans une cage, mais vous êtes toujours un aigle. Je peux vous rassurer, il y a une issue ce soir. Oui, certainement. Absolument.


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