Shreveport, LA, USA
E-11 Eh bien, à sa mort... Vous avez appris sa mort, évidemment. Et je suis vite allé en hâte à Miami pour le voir. J’ai franchi précipitamment la porte, et il s’est levé là, je l’ai vu se lever, il avait des cheveux blancs, une petite tête chauve, et il a tendu ses petits bras minces vers moi. J’ai couru, je l’ai saisi au cou, et je me suis écrié: «Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie.» Car s’il y a eu un homme, à ma connaissance, qui a ajouté de la dignité à l’Eglise pentecôtiste, c’était F.F. Bosworth, un grand homme de foi.
Alors, il m’a parlé, disant: «Frère Branham, j’ai un message pour toi, et je suis très content de ton arrivée ici avant mon départ.»
J’ai dit: «Qu’est-ce?»
Il a dit: «Hâte-toi d’aller dans les champs missionnaires à l’étranger, tout de suite.» Il a dit: «C’est là qu’il y a du succès pour toi dans l’oeuvre du Seigneur.» Il a dit: «Va, avant que certains de ces jeunes gens y aillent abîmer la voie.»
Et j’ai dit: «Frère Bosworth, j’aimerais te poser une question, mon précieux saint frère. De tout le temps de ton ministère, quel a été le moment le plus glorieux? Quand tu as reçu le Saint-Esprit ou quand une certaine personne a été guérie, ou...?...»
Il a dit: «C’est maintenant même l’expérience la plus glorieuse que j’aie jamais eue de toute ma vie.»
J’ai dit: «Sais-tu que tu te meurs?»
Il a dit: «Tout ce pour quoi j’ai vécu pendant plus de cinquante ans, Frère Branham, c’est Jésus-Christ.» Et il a dit: «A n’importe quel moment, Il peut franchir la porte pour me ramener à la Maison.»