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Hammond, Indiana, USA

E-21 Je me rappelle avoir fait une sortie un soir dans un carnaval, j’avais environ dix-huit ans. Mon cousin, quelques autres et moi, on passait par là, il y avait une drôle de petite tente de diseurs de bonne aventure bohémienne, dressée là. Je passais là à côté, et une petite–une petite femme bohémienne a dit: «Dis donc, toi, viens ici!» Eh bien, nous tous trois, nous nous sommes retournés. Elle a dit: «Toi en tricot rayé.»

J’ai dit: «Moi?»

«Oui!»

Je pensais peut-être qu’elle voulait que je lui prenne un coca. Et j’ai dit: «Oui, madame.»

Elle a dit: «Sais-tu que tu es né sous un signe?»

J’ai dit: «Regardez, femme. Taisez-vous.» Je me suis très vite éloigné de là. Puis, oh! ils ont commencé à me taquiner, allant de plus belle.

Et un jour, pendant que j’étais garde-chasse, je suis monté à bord d’un bus, je me tenais là. Et j’ai toujours été sensible aux esprits. J’ai éprouvé une sensation étrange. J’ai regardé tout autour, une femme costaude était assise là, bien habillée, elle a levé les yeux vers moi et a dit: «Bonsoir.»

«Bonsoir.» Elle a levé les yeux, comme ça.

Et elle a dit: «Tu es solitaire, n’est-ce pas?»

Et j’ai dit: «Non, madame.»

Elle a dit: «Eh bien, tu n’es pas à l’aise.»

J’ai dit: «Tout aussi à l’aise que possible.»

Elle a dit: «Tu es né pour l’ouest.»

J’ai dit: «Dites donc, de quoi parlez-vous?»

Elle a dit: «Peut-être que je ferais mieux de me faire comprendre.» Elle a dit: «Etes-vous un agent de l’Etat?»

J’ai dit: «De la conservation de la nature.»

Et elle a dit: «Peut-être que je ferais mieux de me faire comprendre.» Elle a dit: «Je suis une astrologue.»

Et je me suis dit: «Oh! L’un de ces gens bizarre.» Ainsi donc... J’ai dit: «Oui, madame.» Et je continuais à regarder... Je me suis approché de... il y avait un marin qui se tenait juste derrière moi, comme ça, le bus était plein à craquer. Je me suis dit que c’était juste une femme qui voulait parler.

Et elle a dit: «J’aimerais vous parler quelques minutes.» Et j’agissais comme si je ne l’écoutais point. Je continuais simplement à regarder, vous savez. Et alors, elle a dit: «Puis-je vous parler juste un instant?»


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E-22 Et je me suis dit: «Ça n’a pas l’air d’un gentleman, mais je–je n’aimerais pas lui parler.» Voyez? Et j’ai attendu là. Puis, elle a dit: «Dis donc, tu es un agent de la conservation de la nature, a-t-elle dit. Puis-je te parler juste un instant?»

J’ai dit: «Que vouliez-vous?»

Elle a dit: «Puis-je vous parler juste un instant?»

J’ai dit: «Que voulez-vous?»

Et elle a dit... je me disais: «C’était discourtois de votre part d’agir comme un homme», alors très indifférent, vous savez. Et elle a dit: «Etes-vous chrétien?»

Et j’ai dit: «Non. Qu’est-ce pour vous?» Voyez-vous?

Elle a dit–elle a dit: «Eh bien, je me posais simplement la question.» Elle a dit: «Saviez-vous que vous êtes né sous un signe?»

Oh! la la! J’ai dit: «Regardez, madame, je n’aimerais rien savoir à ce sujet-là.» Voyez? J’ai dit: «Sans vous couper court, j’ai une mère à la maison.» Voyez? Et j’ai dit: «Je n’aimerais rien savoir à ce sujet-là.»

Elle a dit: «Oh! Ne soyez pas si dur.»

Et j’ai dit: «Eh bien, je n’aimerais rien savoir au sujet de cette histoire-là.» Voyez? J’ai dit: «Je n’en sais rien; je ne connais rien au sujet des choses religieuses, et je–je n’aimerais rien savoir à ce sujet.» Et j’ai dit: «Je n’aimerais pas vous blesser.» Je continuais simplement à regarder devant.

Elle a dit: «Oh! la la!» Et elle a dit: «Vous ne devriez pas agir comme cela

Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’est pas que je–je ne veuille pas être un gentleman; mais je–je...»

Elle a dit: «Regarde! Ceci n’a rien à faire avec la religion.» Elle a dit: «Je vais à Chicago.» Nous étions à bord du bus Greyhound. Elle a dit: «Je vais voir mon fils qui est un prédicateur baptiste.» Elle a dit: «Je travaille à la Maison Blanche.» Et elle a dit: «Connaissiez-vous la première chose, connaissiez-vous ces Etats-Unis d’Amérique, et toute l’astronomie, et comment ils font?»

J’ai dit: «Je n’en sais rien.» Voyez?

Elle a dit: «Eh bien, je travaille à la Maison Blanche.» Et elle a dit: «Juste en montant les marches de la Maison Blanche, il y a un calendrier de l’astronomie.» Elle a dit: «Il y a un marin qui se tient debout derrière toi. Demande-lui si la lune ne contrôle pas les vagues.»

J’ai dit: «J’ai assez de bon sens pour savoir cela.» Voyez?

Et elle a dit: «Eh bien, c’est vrai.» Elle a dit: «Et ta naissance a quelque chose...» Elle a dit: «Peut-être, je vais te dire exactement quand tu es né, me croiras-tu?»

Et j’ai dit: «Vous ne pouvez pas le faire pour commencer.» Voyez?

Elle a dit: «Oh! Si, je le peux.»

J’ai dit: «Dites-le-nous.»

Elle a dit: «Tu es né le 6 avril 1909, à cinq heures du matin.»

J’ai dit: «C’est vrai.» J’ai dit: «Dites à ce marin quand il est né.»

Elle a dit: «Je ne le peux pas.»

«Eh bien, ai-je dit, pourquoi ne pouvez-vous pas le lui dire, si seulement vous... si vous avez pu me le dire?»

Elle a dit: «C’est parce que tu es né sous un signe; je ne sais pas quand cela devait apparaître.» Elle a dit: «Les prédicateurs ne t’ont jamais dit cela


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E-23 J’ai dit: «Je n’ai rien à faire avec les prédicateurs.» J’ai dit: «Je n’ai rien du tout à faire avec eux, pas du tout.» Je fuyais toujours cela, vous savez. Je... J’ai pensé à cela, pendant que cela me parlait, et je savais que c’était la même chose; maman m’avait dit que ces choses étaient du diable, et je m’en gardais.» Voyez? Et j’ai dit: «Non, non. Je n’ai rien à faire avec cela

Et elle a dit: «Eh bien, personne ne t’a donc dit cela?» Elle a dit: «N’est-ce pas étrange que les prédicateurs n’aient pas reconnu cela

J’ai dit: «Je ne perds pas mon temps là où ils sont.» Et j’ai dit: «Je–je vous remercie beaucoup.»

Elle a dit: «Eh bien, regarde. Tu es né sous un signe, et j’aimerais te dire ceci, sous forme d’un don.» Et elle a dit: «Si seulement tu peux reconnaître cela

J’ai dit: «Oui, madame.» J’ai dit: «Peut-être que je deviendrai un Daniel Boone, j’aime chasser et je suis né dans le Kentucky.» Et alors... Elle a dit... comme cela.

Et elle a dit: «Non.» Elle–elle–elle m’a appelé. Elle a dit: «Non, ce n’est pas ce dont je parle.»

J’ai dit: «Eh bien, peut-être que je deviendrai un homme d’affaires. J’ai l’instruction de l’école primaire.»

Elle a dit: «Ce n’est pas ce dont je parle. Je ne sais pas ce que tu deviendras. Mais je sais que, d’après l’astronomie en ce temps-là, ils étaient...» Elle a essayé de me parler de...?... des cycles et, en commémoration du Fils de Dieu, quand les trois étoiles s’étaient assemblées. Elle a dit: «Trois mages, les mages suivaient trois différentes étoiles, ils ne savaient pas quand ils venaient.» Elle a dit: «Quand ils se sont assemblés, ils se sont rencontrés à la porte de Bethléhem, suivant trois différentes étoiles, et elles ont formé une seule étoile du matin, qui s’est suspendue au-dessus de Christ...»

Et elle a dit: «L’une, c’était la descendance de Cham, de Sem, et de Japhet, les trois fils de Noé.» Et elle a dit: «Ces trois étoiles ont fusionné et ont formé une seule étoile qui s’est suspendue au-dessus de Christ.» Elle a dit: «Alors, quand elles se sont séparées, elles n’ont jamais regagné leurs orbites, elles n’y ont jamais été depuis lors.» Elle a dit: «Eh bien, tous les astrologues du pays n’ont jamais vu cela depuis lors. Ils n’ont jamais observé cela; cela a été donné de façon surnaturelle», et elle a continué à parler comme cela, de toute son histoire.

Eh bien, je ne pouvais pas comprendre de quoi elle parlait. Et elle a dit: «En commémoration du plus grand don que Dieu ait jamais donné à la terre, Il envoie encore quelque chose de moindre en commémoration de ce temps-là.»

«Eh bien, ai-je dit, madame, je ne suis pas chrétien. Je n’ai rien à faire avec les prédicateurs. Je n’ai rien à faire avec ce que vous... Je ne connais rien sur les étoiles. Tout ce que je sais, c’est que je suis garde-chasse de l’Indiana. Je fais de mon mieux, autant que possible. Merci.» Et j’ai continué comme cela.


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E-24 Eh bien, c’était à peu près l’attitude. Mais étrange que cela... Puis, j’ai... après ma conversion et tout, tard dans la vie, après ma conversion, cela a commencé, et puis, cela a empiré davantage, et ça m’affectait tellement que je priais, disant: «Ô Dieu, ôte cette histoire. Je n’aimerais plus voir cela, jamais. Ô Dieu, je suis maintenant un chrétien. Je T’appartiens. S’il Te plaît, ne laisse plus cette histoire m’arriver. Ne me montre rien de pareil, Seigneur. Laisse-moi simplement évoluer tel que je suis maintenant. S’il Te plaît, laisse-moi simplement étudier la Parole comme j’ai appris à le faire ici et étudier la Parole.» Mais Cela venait continuellement.

Alors, un jour, j’étais rentré à la maison, j’ai ôté mon manteau, je contournais la maison, de côté. Il y avait un homme assis là devant, il m’attendait, le frère de ma pianiste du tabernacle à Jeffersonville. Il a dit: «Je vais à Madison cet après-midi, Billy. Voudras-tu aller avec moi?»

J’ai dit: «Non. Je ne peux pas aller. Je dois faire la patrouille.» Et j’ai dit: «Je ne peux pas aller.» Je faisais la patrouille des lignes à haute tension à l’époque. Et j’ai dit: «Je ne peux pas aller.» Je me suis mis à contourner la maison, et alors, on dirait que tous les sommets de ces arbres, là même, Frère Ryan, là où vous et moi, nous nous étions agenouillés pour prier, descendaient comme cela, et j’ai failli m’évanouir. Je suis tombé par l’arrière sur les marches, et je me suis arrêté là. Et je me suis dit: «Hmmm!»

Ma femme est sortie en courant, elle a pris de l’eau. Elle a dit: «T’es-tu évanoui, chéri?»

J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «Juste un instant.»

Après tout... Il était... Monsieur Gibbs est venu en courant, puis il est rentré, il a regagné sa place. Et j’ai dit: «Va de l’avant, je me porte bien.»

Elle a alors dit: «Que t’est-il arrivé? Es-tu tombé malade?»

J’ai dit: «Non, chérie. C’est encore cette même histoire.» J’ai dit: «Regarde, j’ai dix-sept dollars là à l’intérieur. Je vais avoir une confrontation avec Dieu. J’en ai marre. J’ai un lieu où je me rends, là au Green’s Mill.» Beaucoup parmi vous le savent, c’est ma cachette, là, le FBI ne peut pas me retrouver, en retrait dans une cave, là où je vais. Je vais là quand des choses tournent mal, et je règle cela avec Dieu là-dedans.

Je suis retourné à cet endroit-là, une drôle de petite cabane là où j’avais l’habitude de rester quand je pêchais, chassais et dressais des pièges là derrière. J’ai dit: «Meda, je ne sais quand je reviendrai à la maison. Je ne peux pas te le dire. Je peux être à la maison dans une, deux heures; je peux être à la maison dans trois jours. Je peux ne pas être à la maison dans deux semaines ou deux mois. Je ne sais quand je reviendrai à la maison. Mais j’en ai marre. Je ne peux pas vivre prisonnier.»

J’ai dit: «Tout le monde me dit, je vais... que je suis un démon, et tout comme cela, à cause de ça, alors que je cherche à mener une vie chrétienne. Et dans mon coeur, j’aime–j’aime le Seigneur Jésus et je m’attends à aller à la Maison, au Ciel. Et je n’aimerais pas être en proie comme ceci.»


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E-25 Je suis remonté là, je suis entré dans un lieu. J’ai lu la Bible. J’ai pleuré... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... pas de lumière à l’intérieur, j’ai donc été obligé de fermer la Parole et de rentrer. Et je me suis mis à prier; j’ai dit: «Ô Dieu, s’il Te plaît. Je suis chrétien. Je T’aime. Tu sais que je T’aime. Tu connais mon coeur, Tu me connais mieux que je ne me connais moi-même, je T’aime. Et les membres du clergé et les autres me disent que le démon, un mauvais esprit rôde autour de moi et, Seigneur, je n’aimerais pas avoir cela autour de moi. Tu sais que je ne le veux pas. Tu sais que je T’aime. Et je Te crois de tout mon coeur. Pourquoi donc laisses-Tu ma vie être en proie comme ceci? Pourquoi fais-Tu cela? Pourquoi ne me libères-Tu pas de cela afin que je puisse aller prêcher et me sentir libre de cela?» Et j’ai continué comme cela. Je L’implorais.

J’avais traîné jusque vers deux ou trois heures du matin; je priais, je pleurais, j’implorais. Je me suis tenu là un tout petit peu, et je me tenais là, j’ai regardé par une fenêtre, je suis rentré. Je me suis dit: «Eh bien, d’ici peu, c’est l’aurore. Je... A l’aurore, ai-je dit, je vais quitter la cabane et monter dans ces monticules et retourner dans ma cave. Et je resterai là.» Comme Buddy Robinson avait dit: «Jusqu’à ce qu’Il vienne trouver un tas d’os à Son retour. Ou quelque chose devait arriver.»

Je suis resté là et j’ai prié; je suis rentré, et pour la première fois de ma vie, on dirait que quelque chose était alors... Ecoutez cela maintenant. Ce n’était pas une vision, mais on dirait que quelque chose me disait: «Est-ce que ces prédicateurs-là peuvent être en erreur? Peut-être que ceci est vrai.»

Eh bien, je me suis mis à réfléchir. J’ai pensé: «Peut-être qu’ils sont en erreur.» Eh bien, je me suis dit: «Eh bien, s’ils pouvaient être en erreur, comment ces gens possédés de démons, ces diseurs de bonne aventure et autres me disent tout à ce sujet, alors que ces saints hommes de Dieu n’en savent rien?»

Puis, ceci m’est venu à l’esprit. Quand Jésus était né, c’étaient les astrologues, les mages qui avaient vu l’étoile et qui l’avaient suivie jusqu’à Bethléhem. Est-ce vrai? Ce n’étaient pas les saints hommes qui l’avaient vue. Les mages, les astrologues, les mages, et ceux dans le... ceux qui étaient sur des tours des astronomes, qui observaient les étoiles tout le temps, ils n’avaient jamais vu l’étoile. Mais la Bible dit qu’il y avait une étoile là. Il avait été donné aux mages de voir. Est-ce vrai?

Cela était déjà apparu pendant que je baptisais là-bas; c’est juste au bout de l’Indiana, à l’autre bout de l’Indiana, là où des milliers se tenaient sur le rivage, quand je me tenais là, baptisant. J’allais dire: «Père, alors que je baptise ce garçon d’eau pour le pardon de ses péchés, alors Seigneur Jésus, donne-lui le Saint-Esprit.» La dix-septième personne, j’allais baptiser, une Voix s’est fait entendre du ciel par un après-midi clair, Cela est venu des cieux en tourbillonnant. Voici venir cette Lumière, faisant: Whoouush. Les journaux ont publié: «Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un pasteur baptiste local pendant qu’il baptisait.» Cela est descendu directement et s’est tenu au-dessus de là où j’étais et ça s’est tenu là. Les gens s’étaient évanouis, et tout, puis Cela est remonté directement au Ciel, tous ceux qui se tenaient là regardaient Cela. C’était là.


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E-26 Mon premier réveil, j’ai regardé tout autour. Je ne savais pas. Cela était là. Les hommes d’affaires de la ville, un groupe d’entre eux, m’ont rencontré cet après-midi-là et m’ont paraprès que j’eus baptisé. J’ai eu à baptiser cinq cents, suite à mon premier réveil. Ils ont dit: «Qu’est-ce que cela veut dire?»

J’ai dit: «Je ne sais pas.» J’ai dit: «Moi, je suis un croyant. Je ne sais pas. C’est peut-être pour vous, les incroyants. Je ne peux pas vous le dire.» Mais pendant que j’étais dans cette pièce-là, j’ai commencé à me poser des questions.

Regardez. Tous ces hommes, personne ne pouvait dire que ces sacrificateurs, à l’époque de Jésus, n’étaient pas des saints hommes. Est-ce vrai? Ils étaient des saints hommes, les hommes de bien, des hommes justes, des érudits versés dans les Ecritures. Mais pendant qu’ils étaient là en train de discuter sur le genre de boutons qu’il leur fallait sur leurs manteaux, des mages venaient adorer le Christ, qui était déjà né. Est-ce vrai?

Regardez. Et quand Son ministère public a commencé... Maintenant, écoutez, quand Son ministère public a commencé, ils ont dit: «Il est un démon, Béelzébul, le chef de diseurs de bonne aventure, le meilleur médium qu’il y a. Il connaît leurs fautes. Et Il sait toutes ces choses. Il est un démon.» Est-ce vrai?

Qui dit que c’est l’Ecriture? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

Mais chose étrange, c’étaient les démons, en revanche, qui disaient: «Non, Il ne l’est pas. Il est le Fils de Dieu.» Alléluia! Dieu amènera le diable à témoigner, Son ennemi, qu’Il est le Fils de Dieu.»

Ce démon-là a dit: «Je sais qui Tu es, Toi le Saint d’Israël. Je sais qui Tu es; Tu es le Saint d’Israël.»

Et les prédicateurs, ces saints hommes, disaient: «Il est un démon, Il est un démon.»

Le démon disait: «Il est le Saint d’Israël.»

J’ai vu cela. J’ai vu quand Paul et Barnabas étaient allés là pour prêcher une fois. Le prédicateur a dit: «Ces gars sont des imposteurs. Ce sont des démons. Ils troublent les gens. Ne les écoutez pas. Ils bouleversent le monde. Ils sont en erreur.»

Et la drôle de petite diseuse de bonne aventure les suivait dans la rue en disant: «Ce sont des hommes de Dieu qui nous annoncent la Voie de la Vie.» Les prédicateurs disent que ce sont des démons, tandis que le démon dit qu’ils annoncent la Voie de la Vie... Alléluia!


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E-27 Ne pensez pas que je sois excité. Eh bien, on en arrive au point où vous ne pouvez écouter personne. Vous devez écouter Dieu. Que toute parole d’homme soit un mensonge. Je connais plus à ce sujet maintenant que je n’avais connu de ma vie. Cela ne change rien, ce que les gens disent; c’est ce que Dieu dit qui compte. Si c’est conforme à la Parole, alors c’est vrai. S’il y a là de quoi produire cela, c’est parce que Dieu rend témoignage à Son don.

Vous écoutez le prédicateur, parfois, vous avez des ennuis, certains d’entre eux de toute façon.

Remarquez. Ils étaient tout embrouillés là, dans leur doctrine. Et les démons ici, les diseurs de bonne aventure étaient les seuls... Ils étaient...?... là, c’étaient eux qui reconnaissaient en Lui ce qu’Il était, et ils reconnaissaient dans les apôtres ce qu’ils étaient, les hommes de Dieu. Les diseurs de bonne aventure et les démons...

Alors, Paul s’est retourné, a réprimandé et chassé l’esprit de divination de cette femme; elle ne pouvait plus dire de bonnes aventures. Il n’avait pas besoin que le diable témoigne qui il était. Il savait qui il était. Il était un saint de Dieu. Il n’avait pas besoin de l’assistance du diable. Mais le diable disait la vérité à son sujet de toute façon.

Jésus a dit à ce démon, Il a dit: «Tais-toi, et sors de lui.» Oui, oui. Il n’avait pas besoin de l’aide des démons, mais les démons criaient. Beaucoup de gens parlent...

Eh bien, l’un de ces jours, avant que je quitte donc, je vais vous prêcher la démonologie et vous faire savoir ce que sont les démons. Vous ne savez pas comment ils viennent droit face-à-face avec Dieu, implorent de descendre et faire quelque chose à ce sujet. Eh bien, c’est scripturaire, outre qu’on le sait autrement. Comment ici même dans des réunions le soir, quand quelqu’un monte à l’estrade avec un tant soit peu de foi, vous entendez un autre là appeler au secours. Celui qui se tient ici à l’estrade, peut-être, se meurt d’un cancer; il y a un autre assis là dans l’assistance qui souffre d’un cancer. Et ce cancer sait qu’il est combattu là en bas. Si seulement cette femme croyait ce que je dis et croyait Jésus-Christ, elle sera guérie aussi certainement que deux fois deux font quatre. Alors, pour désarçonner la foi de cette femme, cet autre démon crie là à son endroit. Et je perçois cela entre eux, et je dis: «Vous y êtes. Vous tous deux, vous croyez.»


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E-28 Oh! Nous vivons au jour de Christ, la puissance, la résurrection et le Saint-Esprit. Les gens sont... Il est temps d’arrêter de faire la religion. Ce formalisme et ces idées ritualistes, c’est bien. L’heure viendra où vous verrez que je vous ai dit la vérité. C’est vrai. Evidemment, c’est difficile maintenant. Je sais que ça l’est. Mais je parle au Nom du Seigneur. Et je sais de quoi je parle. Dieu le confirme, que c’est la vérité. Très bien.

Alors, à propos, je me suis dit: «Oh! Alors, peut-être que je suis en erreur. Peut-être que je suis en erreur. J’aurais dû embrasser cela; j’aurais dû dire quelque chose.» Mais je me suis agenouillé et j’ai dit: «Ô Dieu, si je suis en erreur et que j’ai rejeté quelque chose que je ne comprenais pas, cherchant à écouter ce que les prédicateurs me disaient... Peut-être, si je suis en erreur, alors, Seigneur, je ne comprends pas cela d’après la Bible. Mais si je suis en erreur, pardonne-moi.»

Et je me suis relevé et je pleurais. Je me suis assis, j’ai regardé tout autour. J’ai vu une Lumière briller dans la pièce, un peu comme ce jeune homme qui a allumé cette lampe. Et je me suis dit: «Quelqu’un doit être en train de venir.» Et ici sur le plancher, il y avait une forte Lumière qui se répandait. Juste au-dessus se tenait ce Halo, la Colonne de Feu, se mouvant, Elle se déplaçait, et c’est par là qu’est venu l’Ange de Dieu. Pas une imagination, Il était là. Je L’ai regardé, je Lui ai parlé.

Il s’est approché, avec Ses bras croisés, un Homme grand et très beau à voir. On dirait que si... on dirait que s’Il avait parlé, le monde éclaterait. Il a dit: «Je suis envoyé de la Présence du Dieu Tout-Puissant pour t’annoncer que tu es né dans ce but-là, afin de prier pour les malades, d’aller dans les régions du monde. Tu prieras pour des monarques et des grands hommes; et des guérisons et autres se produiront. Et ces choses se produiront. Et de grandes assemblées se réuniront, et cela causera un réveil qui va balayer le monde.»

J’ai dit: «Monsieur, je ne suis pas instruit. Je... Ils ne me croiront pas.» J’ai dit: «Ils ne vont pas...»

Il a dit: «De même qu’il a été donné au prophète Moïse deux signes pour confirmer son ministère, sa main devenait lépreuse, et puis, Il la guérissait, et le–et le bâton se transformait en serpent, ainsi de suite, a-t-Il dit, il te sera donné deux signes. L’un d’eux, tu placeras ta main sur quelqu’un. Alors, il sera donné... Ne pense à rien de toi-même, cela te sera donné. Ensuite, il arrivera, après un long temps, si tu es respectueux, si tu es respectueux, il te sera alors donné de connaître les secrets mêmes de leurs coeurs, et des choses qui clochent chez eux.»


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E-29 Beaucoup parmi vous ici savent quand ce premier était l’unique qui était en opération, et pas le deuxième. Est-ce vrai? Mais j’avais prophétisé que cela sera là. Et j’avais dit: «C’est pourquoi je suis ici.» J’ai dit: «C’est pourquoi je suis ici.» J’ai dit: «Eh bien, c’est ce qui me préoccupe.» J’ai dit: «Je suis venu ici, Monsieur, et on me dit que c’est du diable, que je... que–que c’était faux. Mais il y a juste quelques instants, j’ai vu cela.» Evidemment, c’était Sa Présence dans la pièce qui avait changé cela, évidemment. C’était donc...

J’ai dit: «On m’a dit que c’était faux.» Et Il m’a parlé des Ecritures concernant Jésus qui savait où était Nathanaël. Et la femme au puits, et Jésus qui avait affirmé qu’encore un peu de temps, et le monde ne Le verrait plus, mais qu’Il serait avec nous, même en nous jusqu’à la fin du monde. Et que cette vie et autres étaient juste une confirmation et tout.»

Alors, j’ai dit: «J’irai.» Et Il m’a béni et Il est rentré. Il ne m’a jamais dit de guérir les malades. Il a dit: «Prie pour les malades.» Mais Il m’a dit: «Sois...?... secrets de leurs coeurs, et les gens pourront croire.» Voyez? Non pas rien... Eh bien, c’est un don divin. Puis, de là, ça avait commencé. Et vous en connaissez la suite, comment ça évolue.

Maintenant, pour l’Afrique, rapidement. Eh bien, quand j’étais là avec frère Bosworth sur l’estrade, un soir à Houston, au Texas, là où des milliers s’étaient assemblés, Raymond Richey est entré là l’autre soir, il a regardé, il a dit: «Dites donc, ça n’a pas l’air d’être ta réunion, avec tous ces sièges vides.»

J’ai dit: «Mais, Frère Richey, Dieu m’a envoyé à Hammond.»

Il a dit: «Mais alors, je te manque de tout–de tout mon coeur.»

J’ai dit: «D’accord, priez pour moi, Frère Richey.» J’ai dit: «Je vous parlerai, mais c’est juste quelques...»

Il a dit: «Je comprends.» Il se tenait dans le couloir. Il est parti.


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E-30 Et là, cette nuit-là, quand un membre du clergé, un vrai gentleman, se dresse et publie dans le journal que j’étais un imposteur et qu’on devrait me chasser de la ville, et que je me faisais passer pour un chrétien, ou un homme de Dieu, il a dit qu’on devait me chasser de la ville, aussi comme cela, et qu’il me défiait à un débat public. Il a dit que je ne pouvais pas prouver par les Ecritures ce que j’étais... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] doutait de miracles de Christ, que même Lazare, il était encore mort. Il contestait donc cela.

Frère Bosworth est arrivé, il a dit: «Regarde ça, Frère Branham.»

J’ai dit: «Ça ne me dérange pas, Frère Bosworth. Les épines et des pierres peuvent me fracturer les os, mais les paroles ne me dérangent jamais.» Voyez?

Il a dit: «Eh bien, Frère Branham...» Frère Bosworth, à une soixante-dizaine d’années, était tout feu tout flamme. Il a dit: «Ce n’est pas correct, et cela devrait être redressé.»

J’ai dit: «Nous ne discutons pas avec les gens. Il y en a là des milliers pour qui prier, un grand colisée plein de gens, ai-je dit. Bonté divine! A quoi sert-il de discuter avec un critiqueur là-bas? Laissez-le tranquille, pendant que les autres reçoivent la guérison, laissez-le continuer.» Jésus a dit: «Laissez-les aller. Qu’un aveugle conduise un autre aveugle, ils tomberont tous dans la fosse.»

Je vous le dis, je ne critique pas les baptistes. Mais les baptistes, sur le plan des principes, savent de quoi ils parlent sur la Parole. Mais ils ne savent rien du surnaturel. Et, mes frères, c’est là que vous perdez la bénédiction. Vous avez raison sur la Parole. Je vous crois. Je–je suis d’accord avec vous sur des choses que vous croyez, côté position, en Christ, que le croyant occupe sa place en Christ par la foi et qu’il devient un enfant de Dieu par la grâce de Dieu. Je crois cela, et je suis d’accord avec vous. Mais vous avez déjà trop basculé de ce côté-ci.

Esaïe a dit: «Il y a un chemin et une route (et est une conjonction), et une route.» Cela ne sera pas appelé le chemin de la sainteté. Ce sera appelé la voie de la sainteté. En plein milieu de la route, de ce côté-ci, il y a ce ...


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