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Hammond, Indiana, USA

E-31 Il y en a qui, quand ils naissent de nouveau, s’assoient en plein milieu de la route, les yeux fixés sur Christ. Finalement, ils se retrouvent de ce côté, ici, avec beaucoup de connaissance et de sagesse, au point que, oh! ils connaissent tout cela. Vous ne connaissez rien. Et si vous ne faites pas cela, vous basculerez de l’autre côté, vers ce groupe de feu sauvage et de fanatisme. C’est vrai. Mais juste en plein milieu de la route, il y a le vrai Evangile pur, sans mélange, et la puissance de Dieu. C’est vrai. Juste par là...?... ça entraîne les rois et les monarques, là tout le monde peut se tenir, sonder, et peut voir que c’est la puissance du Dieu Tout-Puissant, pas du fanatisme, ni de formalité. C’est la puissance de Dieu.

Ainsi donc là, à ce sujet, frère Bosworth a dit: «Laisse-moi en débattre avec lui.»

Le deuxième jour, il est sorti, il a dit que je devrais être chassé de la ville, et que ça devrait être lui le gars qui le ferait. Eh bien, cela–cela était juste adressé, si vous permettez l’expression, cela m’a montré que cet homme n’avait pas encore été au Calvaire.

Vous ne prenez jamais un chrétien... Un chrétien n’affiche pas une telle attitude. Une fois que vous êtes né de nouveau, vous aimez votre frère. C’est vrai. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Je suis donc simplement allé de l’avant.

Frère Bosworth ne pouvait–ne pouvait toujours pas être satisfait. Il a dit: «Laisse-moi relever cela

J’ai dit: «Pas pour se disputer.»

Il a dit: «Frère Branham, je ne me disputerai pas; mais c’est... Nous le devons à la communauté de cette ville, ils ont publié cela dans le journal, et ils font penser aux gens que nous sommes un tas d’ignares et que nous ne savons pas de quoi nous parlons. Laisse-moi l’affronter.»

Je me suis dit: «C’est bien courageux.» Comme Caleb d’autrefois, de jadis: «Laisse-moi aller m’emparer de cette ville-là.» Voyez? J’ai plutôt admiré le vieux frère. J’ai encore regardé...? J’ai dit: «C’est en ordre, Frère Bosworth, si tu me promets de ne pas te disputer.» Eh bien, il est assis ici, il m’écoute.

Et il a dit: «Je ne me disputerai pas. Je lui donnerai simplement l’Evangile.»

J’ai dit: «C’est en ordre.»

Alors, le lendemain, nous avons... Les journalistes, on ne les laissait pas accéder à l’endroit où je restais, au Rice Hotel, ils n’accédaient pas à la chambre. Ainsi donc, ils voulaient savoir ce que j’allais dire à ce sujet.


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E-32 Mais alors, le lendemain, évidemment à la une dans le Houston Chronicle, et tous disaient: Le torchon ecclésiastique va brûler. Vous savez comment le journal doit parler de tout avec emphase. «Oh! J’avais lancé un défi pour un débat avec...?... et docteur Best, et ce qu’il allait faire.» Et comme cela.

Il est donc descendu au... Il a dit: «Je vais...» Il est allé louer le service des photographes professionnels de American Photographers Association [Association Américaine des Photographes] et il a dit: «Allez-y et prenez-moi six photos sur papier brillant pendant que je descends écorcher ce vieil homme. Je vais l’écorcher, frotter du sel sur sa peau et attacher cela à la porte, en souvenir de la guérison divine.»

Vous imaginez-vous un chrétien parlant comme ça? Je ne peux pas m’imaginer un homme né de nouveau parler comme cela. Je vais vous le garantir. C’est ce que va être...?... Monsieur Kipperman, un Juif orthodoxe, monsieur Ayers, un catholique romain, les deux jeunes gens qui travaillaient au studio. Ils sont descendus et monsieur Ayers avait tout dit sur moi. Un goitre avait quitté la gorge d’une femme pendant qu’elle était là devant. Il a dit: «Il l’a hypnotisée.» Et, oh! la la! comme il m’avait critiqué dans le journal la veille!

Alors, je suis descendu là cette soirée-là, frères. Il y en avait des milliers assemblés, et c’est là que je me suis rendu compte de ce que représentaient des amis. Ils sont venus de l’est et de l’ouest, ils ont pris des avions spéciaux, des trains et tout, venant au secours. Cela ne faisait donc aucune différence, que l’on soit de l’Eglise de Dieu, de l’Assemblée, ou qui on était, la vérité était mise en jeu.

Frère, un jour, quand la persécution surgira, vous verrez la grande Eglise de Dieu rachetée être soudée comme cela, une pierre s’attachera à une pierre. Vous oublierez si vous êtes un méthodiste, ou baptiste, ou qui que vous soyez, quand la persécution s’élèvera et que le communisme s’opposera, l’Eglise de Dieu s’unira, pierre sur pierre.

Salomon, quand il faisait tailler les pierres du temple, une pierre était taillée de telle façon, une autre de telle autre façon, et tout comme ceci. Mais quand on s’est mis à les rassembler, elles se sont emboitées comme cela, formant l’Eglise du Dieu vivant. Vos petites divergences seront alors complètement oubliées.

Là, alors, c’était une seule chose que tous les gens du Plein Evangile croyaient: La guérison divine. Ils ont pris des avions et des trains, depuis des lieux éloignés de cinq cents et six cents miles [804 km ou 965 km] ce jour-là pour assister. Qu’était-ce? Ce qu’ils croyaient était mis en jeu. Et leur ami là, qu’ils croyaient, se tenaient là pour affronter cela. Et la chose était là, ils voulaient venir voir cela. Juste recevoir cela avec vous. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Alléluia!

Je suis un véritable Kentuckien. L’union fait la force. La façon dont les chrétiens... Si jamais il y a un temps où nous devrions rester soudés, c’est maintenant. C’est maintenant.


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E-34 Best a sautillé, crié, séché, il a fait des histoires, il a grogné, il s’est fâché, il a giflé un prédicateur et tout comme cela, il a prêché un bon sermon campbellite là, et il n’a jamais dit... Il n’a jamais parlé de quand... toi...?... La guérison divine? 1 Corinthiens 15, quand ce corps mortel aura revêtu l’immortalité. Frère Bosworth a dit: «Je crois aussi cela, monsieur. Mais je parle de la guérison divine maintenant par l’expiation.» Alors, il était tout enflé et il a dit: «Faites venir ce guérisseur divin.»

Frère Bosworth a dit: «C’est ridicule.» Il a dit: «Frère Branham ne prétend jamais être un guérisseur divin; il affirme seulement pouvoir aider les gens en priant pour eux.» Il a dit: «Prêcher la guérison divine ne fait pas de lui un guérisseur divin, pas plus que prêcher le salut ne fait de vous un sauveur divin.» Il est donc allé de l’avant.

Et peu après, il a continué. Frère Bosworth a dit: «Je sais que frère Branham est dans la réunion.» J’étais assis à une distance deux fois celle de cette salle, là tout au fond. Il a dit: «Je sais qu’il est ici. Et s’il veut venir congédier l’assemblée, seul, qu’il vienne le faire, mais ce n’est pas nécessaire pour lui.»

Et les gens se sont mis à regarder tout autour. J’étais assis là comme cela, écoutant frère Bosworth et l’admirant. Et aussitôt qu’il avait dit cela, j’ai senti le Saint-Esprit descendre. Oh! Ce même Vent qui passait: Whoouush! J’ai regardé ma femme, j’ai regardé mon frère, derrière.

Il a dit: «Reste calme, Bill.»

J’ai encore senti Cela faire: Whoouush. Quelque Chose se mouvait. Vous pouvez me taxer de fanatique si vous le voulez, allez de l’avant, et vous réglerez cela à la barre du Jugement de Dieu. J’ai senti Quelque Chose se mouvoir. Je me suis levé.

Howard a dit: «Bill, assieds-toi.»

J’ai dit: «Laisse-moi tranquille, Howard, au Nom du Seigneur. Il est près.»


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E-35 A ce moment-là, les gens ont commencé à crier, des milliers d’entre eux là, des huissiers ont formé une longue ligne. J’ai marché jusqu’à l’estrade. J’ai dit: «Je ne prétends pas être un guérisseur divin, et je regrette que monsieur Best... et que personne parmi vous ne pense en mal de lui. Sa mère l’a aimé autant que ma mère m’aime. C’est tout à fait en ordre. C’est ce pour quoi nous sommes Américains et c’est ce pour quoi on meurt au front, c’est afin que nous puissions jouir de nos droits et tout. C’est en ordre. Mais, ai-je dit, je suis en désaccord avec lui sur les Ecritures.»

Il a dit: «En tant qu’homme, a-t-il dit, en tant qu’homme, je vous admire; mais en ce qui concerne les Ecritures, je suis en désaccord.»

J’ai dit: «C’est un sentiment réciproque.» Il est carrément allé de l’avant. Alors, nous sommes donc...

Il a dit: «Très bien.» Il a dit: «Maintenant, regardez.» Il s’est alors avancé là, après le petit rassemblement, on en était arrivé prêt à frapper le prédicateur.

Ainsi donc, j’ai dit: «C’est une honte que les gens cherchent à débattre sur pareilles choses, ici même.» J’ai dit: «Une chose que monsieur Best dit que j’aimerais dire, il a dit qu’il éprouvait de la pitié pour ces gens assis par ici souffrant du cancer et autres, qu’il éprouvait de la pitié pour eux.» J’ai dit: «Je ne crois pas que ça soit la vérité. Je ne crois pas qu’il le dit sincèrement, car juste là derrière dans cette assistance sont assis des gens qui, il y a quelques soirées, étaient assis ici malades et affligés à cause du cancer et de la cécité, comme ceux-ci, et ils sont là bien portants. Et il cherche à priver ceux-ci de l’unique espoir qu’ils ont de vivre, et ensuite il dit être sincère et éprouver de la pitié pour eux. Je ne crois pas cela

Il a dit: «Oh! Les baptistes ne croient pas pareilles choses.» Il a dit: «Il n’y a qu’une bande de cinglés comme vous qui croyez pareille chose.» Il a dit: «Un baptiste ne croit pas dans la guérison divine.»

Frère Bosworth a dit: «Je vous demande pardon. Juste un instant.» Il a dit: «Combien parmi vous ici dans cette église, dans cette salle, ce soir...»

Et là était assis tout un tas de ministres baptistes, assis là; en fait, frère Richey venait de les appeler. Il a dit: «Lequel parmi vous l’a envoyé ici?» L’église baptiste ferait mieux de faire donc attention. Il y avait des milliers et des milliers de membres assis là. Voyez?

Alors, il a dit: «Aucun d’eux ne l’a envoyé, il est venu de lui-même. La Conférence Baptiste n’allait pas être responsable de l’avoir envoyé; c’était lui-même. Très bien.»


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E-36 Frère Bosworth a dit: «Combien de baptistes y a-t-il ici présents, ceux qui fréquentent une bonne église baptiste et qui ont une bonne communion, peuvent dire que–qu’ils ont été guéris par la guérison divine depuis que frère Branham est ici? Tenez-vous debout.» Des centaines d’entre eux se sont levées. Il a dit: «Qu’en est-il de ça

Vous savez ce que frère Best a dit? Il a dit: «N’importe qui peut témoigner n’importe quoi, je ne croirais pas cela en tout cas.» Et il s’en est allé. Oh! la la! Alléluia. Suivez.

Alors, je me suis tenu là et j’ai dit: «Je ne prétends pas être un guérisseur. Quand je suis né, il m’a été rapporté qu’un Ange de Dieu s’était approché de moi. Il y a ici quelques deux ou trois ans, là, j’étais quelque part, Il m’a commissionné d’aller prier pour les malades, et tout, c’est ce qu’il me faut faire, prier.» Et j’ai dit: «J’ai une lettre ici même maintenant, un télégramme du roi George d’Angleterre qui souffrait de sclérose en plaques. Qui était cet homme qui avait été guéri à Fort Wayne qui est un ami à son secrétaire particulier? Et il a déjà envoyé deux télégrammes pour que j’aille prier pour lui, là-bas.»

Et j’ai dit: «Le roi George d’Angleterre, le plus grand roi, le plus élevé, le plus grand roi sur terre aujourd’hui.» Et j’ai dit: «Dieu m’avait parlé, cet Ange qui avait été envoyé par Lui a dit que je prierais pour des rois et de grands hommes et autres, comme des médecins et autres, ils sont guéris maintenant même dans la réunion.»

Et j’ai dit: «Je soutiens ne rien savoir au sujet de leur guérison, c’est seulement selon ce que je vois, Dieu me montre par Son Esprit, et si je dis la vérité, Dieu confirmera la vérité. Si je suis un menteur, Dieu n’aura rien à faire avec moi.»

J’ai dit: «Si je suis un menteur, Dieu ne soutiendra jamais un mensonge.» Dieu est toute la vérité. Est-ce vrai? J’ai dit: «Si c’est un mensonge, alors Dieu n’aura rien à faire avec cela. Mais, ai-je dit, si je dis la vérité, mon Père céleste parlera pour moi.» Et à ce moment-là, Il est venu là. Whoouush! Alléluia! Il est descendu là dans la salle, droit là où j’étais. Kipperman était là, il a pris la photo, celui qui avait pris six photos de monsieur Best.

J’ai dit: «Il a parlé; c’est tout ce qui importe.» Je suis parti.

Même les catholiques qui étaient assis là ont regardé et ont vu cette vision, ils ont dit: «Qu’est-ce qui était au-dessus de cet homme?» Ils sont venus donner leurs coeurs, ils ont dit: «J’aimerais désormais servir Jésus-Christ.»

Les hommes, en regardant dans l’assistance, se sont tus. Je suis sorti. Monsieur Kipperman est rentré; il a dit: «Eh bien, qu’en pensez-vous de cela, Ted, ou Ayers?»


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E-38 Le lendemain, frère Bosworth est venu, il m’a montré la photo d’un squelette. Il a dit: «Frère Branham, Florence Nightingale appelle depuis Durban, en Afrique du Sud, pour que vous alliez prier pour elle.» Il a dit: «Elle est l’arrière-arrière-petite-fille, quelque chose comme cela, de la regrettée Florence Nightingale de tout le...»

Je me suis dit: «En voilà une autre de ces célébrités.» J’ai dit: «Frère Bosworth, avec toutes ces choses qui se passent, je ne peux pas...» Je suis sur le point de terminer dans une minute. J’ai dit: «J’aimerais que vous receviez le dernier de ceci maintenant, afin que vous le sachiez, et vous allez m’entendre dire quelque chose juste dans une minute. J’aimerais que vous notiez cela.» J’ai dit: «Frère Bosworth, je ne peux pas aller, à l’allure où vont les choses maintenant. Je ne peux pas faire cela.» J’ai dit: «Prions.» Nous nous sommes agenouillés sur le pavement, lui et moi, ma fillette et ma femme, nous nous sommes agenouillés sur le pavement, et nous avons prié.

Et j’ai dit: «Ô Dieu, si Tu guéris cette demoiselle Nightingale, ça sera alors pour moi un signe pour aller en Afrique, car j’ai toujours voulu aller là-bas pour cela, ces gens, et leur apporter ceci.» Et j’ai dit: «Si Tu la guéris.» J’ai oublié cela. Des semaines se sont écoulées, six ou huit semaines. La femme devait être retenue. Vous avez vu sa photo dans Voice Of Healing, nous en avons ici juste... elle est là derrière dans le livre aussi, c’est juste un squelette qui se tient debout. Eh bien, c’était...

Elle ne pouvait pas manger, elle souffrait d’un–d’un cancer sur le duodénal de l’estomac, comme cela, le duodénal de l’estomac, et... une grande grosseur maligne qui faisait obstruction. Rien ne pouvait descendre. On lui avait tellement donné du glucose que ses veines s’étaient rétrécies et c’était tout. Et là, elle était étendue dans cette condition-là, mourante, priant que j’aille. Et j’ai dit: «Seigneur, si Tu la guéris...» Des semaines et des semaines plus tard, j’ai atterri à Londres, en Angleterre. J’allais là pour voir si le roi George voulait... était présent. Ainsi donc, je–je les ai entendus m’appeler, et frère Baxter est allé là; il a vu qui c’était. Florence Nightingale avait découvert d’une façon ou d’une autre, je ne sais pas, que je venais à Londres; elle était arrivée par avion juste peu de temps avant.

Et quand elle est arrivée là par avion, je suis alau... On voulait que je sorte pour voir à l’intérieur, et on ne pouvait même pas... Elle ne pouvait même pas sortir de...?... On pensait qu’elle n’allait pas mourir. J’ai demandé à un prédicateur de l’amener à la maison. Après, je suis parti au Palais Buckingham, je suis retourné à Westminster Abbey, et le lendemain matin, je suis allé à Londres. Je n’oublierai jamais ceci. Ecoutez attentivement maintenant.

Vous ne pourrez pas rentrer chez vous si on vous congédiait de toute façon. Il pleut averse. Alors, vous, écoutez juste un instant. Peut-être qu’il fera frais pour le service de ce soir. Grâces soient rendues à Dieu pour cela.


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E-39 Maintenant, regardez. Je suis rentré; je n’oublierai jamais cette expérience. Nous... Ils sont venus me prendre à l’hôtel Piccadilly, et nous sommes allés chez ce prédicateur. Et quand je suis monté là, oh! si jamais je n’avais vu un spectacle triste d’un malade, c’était là que je l’avais vu. Elle ne pouvait pas bouger ses mains. Elle était couchée là. Et elle essayait de bouger ses lèvres. Son infirmière s’est abaissée, deux d’entre elles, et elle a dit: «Dites à frère Branham de demander à Dieu de me laisser mourir.» Comment pouvais-je demander à Dieu de la laisser mourir?

Et l’infirmière a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, elle a beaucoup prié. Elle a toujours cru que si jamais elle pouvait arriver là où vous êtes, Dieu la guérirait.»

Oh! Quand je pense à cela... Je me tenais là. Frère Baxter, frère Lindsay, frère Moore, ces prédicateurs anglicans, eux tous se tenaient là ainsi que les infirmières, une femme mourante. Elle essayait de bouger ses lèvres, quelque chose d’autre, et les larmes lui coulaient sur les joues, juste des os.

L’infirmière s’est abaissée, elle a dit: «Elle veut que je soulève sa main vers vous.» Et on a soulevé cette main de squelette, on l’a placée dans la mienne, tout aussi dure que cet os-là. Quelle sensation! Elle a dit quelque chose. L’infirmière s’est abaissée: «Elle veut que vous voyiez son corps.» On est dans une assistance mixte ici, mais considérez-moi comme un médecin. On a enlevé le drap de dessus elle. Oh! Si votre coeur défaille... Comme une femme au niveau de son ventre, au niveau de son ventre ici, tout était enfoncé dans ses côtes, il n’y avait là que des côtes, juste une carcasse comme une momie. Et son corps, à ce niveau-ci, ses hanches, même le... si mince que l’anneau de la hanche, la peau était ratatinée, collée ensemble entre les deux là. Oh! Je ne vois pas comment on avait pu bouger la pauvre créature. Comment elle vivait, je ne sais pas. Ses parties les plus épaisses, c’était ici même, la partie d’estomac, c’était juste à peu près comme ça, je n’avais jamais vu... Ses jambes étaient à peu près grosses comme ça.

J’ai dit: «Peut-elle bouger?»

Ils ont dit: «Non, elle est totalement faible.» Ils ont dit: «Elle a besoin de vous.» Ils ont dit: «Elle–elle veut mourir, mais elle a cherché à vous voir.» Ils ont dit: «Je...» L’infirmière a dit: «Je pense qu’elle va mourir très bientôt, Frère Branham.» Elle a dit: «En effet, elle tenait à vous voir avant de mourir.»

Oh! la la! J’ai regardé la pauvre créature. Je me suis dit: «Oh! Je suis... Jésus.» J’ai dit: «Prions, frères.» Eux tous se sont assemblés, ils se sont agenouillés autour du lit, tout autour, dans la prière. Il y avait une petite fenêtre comme ceci. Eh bien, si je peux, sur le plan géographique, me mettre comme ceci, et la fenêtre était placée dans ce sens-là, et il y avait beaucoup de brouillards, et il faisait sombre en Angleterre. On était en avril. C’était un jour plutôt brumeux, et la fenêtre était en haut: deux étages. Et c’était en haut comme ceci, là. C’était du travail. Vous savez comment est l’Angleterre, vous venez bien de là.


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E-40 Alors, je–je me suis agenouillé comme ceci, je me suis positionné vers l’est, c’était de là, et eux tous se sont agenouillés, et je devais conduire la prière. Et j’ai dit: «Notre Père qui es aux cieux, que Ton Nom soit sanctifié.» Et à ce moment-là où j’ai dit cela, quelque chose est venu battant les ailes, battant les ailes, battant les ailes; cela a parcouru les buissons, comme cela. Et une petite tourterelle est venue se percher sur la fenêtre. Elle s’est mise à parcourir de part et d’autre, de haut en bas, juste au-dessus de moi, à peu près à cette distance, regardant là en bas, faisant: «Cou-cou, cou-cou.» Le petit oiseau agité parcourait le rebord de la fenêtre, marchant à pas mesurés.

Et j’ai dit: «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Donateur de tous dons excellents, je Te prie, que Tes bénédictions puissent reposer sur cette pauvre mortelle mourante. Et le Dieu Tout-Puissant, qui m’aparé de ma mère, qui m’a nourri tous les jours de ma vie, sait que dans mon coeur je ne peux pas réclamer sa mort, alors qu’elle a beaucoup prié, réclamant la vie. Ô Dieu, Tu as dit: ‘La prière fervente du juste a une grande efficace’, et je sais qu’un homme juste n’est pas juste par lui-même, mais par la confiance dans la grâce de Jésus-Christ. Je Te demande d’être miséricordieux envers elle.» Et j’ai dit: «Ô Dieu, je ne peux pas faire plus que Te la confier maintenant. Ô mon Père, exauce-moi, au Nom de Ton Fils Jésus.» Et j’ai dit: «Amen.»

Quand j’ai dit: «Amen», la petite tourterelle qui parcourait il n’y avait pas longtemps là, constamment très agitée, s’est envolée. Et quand elle s’est envolée, ces prédicateurs avaient déjà cessé de prier, ils observaient la colombe. Alors, quand je me suis relevé, ils ont dit: «Avez-vous vu cette colombe-là?»

Et j’allais dire: «Je...» Et a ce moment-là, Quelque Chose m’a saisi, j’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, cette femme vivra et ne mourra pas.» Alléluia! Je pouvais avoir été plus et je ne savais pas plus que ce que j’allais dire dans dix ans, à partir d’aujourd’hui, en ce moment-ci. Mais Il l’a dit. Et depuis ce moment-là jusqu’aujourd’hui, elle est en parfaite santé, elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg], tout aussi normale que n’importe quelle personne peut l’être. Vous y êtes.


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E-41 Quand on est arrivé en Afrique... Rapidement. Je me suis arrêté, c’était l’unique endroit que je connaissais, je me rendais à Durban, c’est de là qu’elle venait. J’avais promis à Dieu que j’irais. Quand je suis arrivé à Durban, frère Bosworth et moi, nous nous sommes disputés en chemin là, mais la vérité reste la vérité. Je suis allé, nous avions tenu une série de merveilleuses réunions. Et Dieu avait déjà accompli beaucoup de merveilleuses oeuvres, je vous assure, c’était assez pour alarmer n’importe quoi. Même deux prédicateurs de l’Eglise Hollandaise Réformée (Frère Jackson ici sait bien ce que je vais dire), deux prédicateurs de l’Eglise Hollandaise Réformée discutaient. J’ai la chemise, ils–ils me l’ont déjà envoyée, frère...?... Elle n’est pas encore arrivée, ni les peaux de zèbre, ni rien n’est arrivé. Mais ils ont envoyé cette chemise. Ce prédicateur de l’Eglise Hollandaise Réformée est alparler à un autre, il a dit: «C’est aujourd’hui le jour de notre visitation. Et tu devras écouter.»

L’autre prédicateur de l’Eglise Hollandaise Réformée a dit: «Il n’est qu’un spirite.»

L’autre a dit: «Avez-vous déjà vu un spirite guérir les malades?»

«Non.»

Il a dit: «Je vais prier pour ton âme», l’un parlant à l’autre. Il est retourné dans la cour, il s’est agenouillé, s’abaissant sous un pêcher, et il s’est mis à prier: «Ô Dieu, aie pitié de l’âme de mon ami.» Et alors, il a dit: «L’Ange du Seigneur est descendu devant lui dans un tourbillon.» Et là-dedans, cela s’est retiré, et un Ange est apparu et Il a posé Sa main sur son épaule, et Il lui a raconté de retourner auprès de son ami. Et quand il est rentré, il a dit ce qui était arrivé. Et le jour suivant, cela a été publié, ce prédicateur s’est retourné et il a regardé, et là sur la chemise de cet homme il y avait l’empreinte brûlée de la main de l’Ange, qui avait été posée sur sa chemise. Alléluia!


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E-42 De gros titres ont paru dans le plus grand journal de l’Afrique du Sud. Est-ce vrai, frère? Là, le frère, la soeur le connaissait. Il se tenait là, ça y est...?... très bientôt, cela m’a donc été envoyé pour être traduit en anglais. Là, les yeux des ministres, comme ceci. Et ils m’ont amené là, ils ont pris ma main gauche et l’ont posée dessus, la main gauche, cela a couvert parfaitement cela, exactement.

Eh bien, l’homme se tenait là, avec l’homme et la chemise, et le prédicateur le regardait. Et une seconde après cela, oh! pas une seconde, je dirais trois minutes après cela donc, là, il a dit: «Quelque Chose l’a frappé comme du feu au dos, et l’Ange de Dieu était là, Celui qu’il disait être dans le tourbillon; Il a été parfaitement exposé, témoignant; Il disait à l’homme la vérité.» Des signes et des prodiges de tout...

Finalement, il m’a parlé, disant: «Tu iras à Cape Town, et de ce côté-là, on a tracé un itinéraire.»

J’ai dit: «Ça m’arrange, Frère Baxter. Nous passons un merveilleux moment ici, des milliers et des milliers et des milliers affluent.» J’ai dit: «Pourquoi ne pas rester ici?» J’ai dit: «Où est Durban?» Je pensais que Durban était en Rhodésie. Ma femme m’écrivait: «Durban, Rhodésie du Sud.» C’est juste comme écrire: «Hammond, Canada.» Voyez? C’est un autre pays.

J’étais donc... J’ai dit: «Où devrions-nous...» J’ai dit... Frère Baxter a dit: «Eh bien, ils ont tracé un itinéraire pour vous, pour aller par là.»

J’ai dit: «C’est en ordre pour moi, ça ne me dérange pas.»


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