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Long Beach, California, USA

E-36 Elie monta et se tint sur la route. Ces hommes arrivèrent là, et dirent... ils arrivèrent auprès d’Elie et ce dernier leur dit: «Rentrez dire au roi: AINSI DIT L’ETERNEL, il ne descendra pas de ce lit-là. Demandez-lui pourquoi il n’a pas envoyé ici; c’est un Israélite. Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël? Est-ce parce que nous n’avons pas de prophète? Israël n’a-t-il pas un prophète, n’a-t-il pas de Dieu? Pourquoi avez-vous envoyé là à Ekron? Israël n’a-t-il pas un prophète? Israël n’a-t-il pas de Dieu? Pourquoi donc envoyez-vous auprès de Baal-Zebub, ou plutôt auprès–ou plutôt auprès de Baal? Pourquoi consultez-vous pareilles choses? Est-ce parce que nous n’avons pas de prophète ni de Dieu?»

C’est ce que Dieu va demander aux Etats-Unis l’un de ces jours: «Pourquoi faites-vous ce genre des choses?» C’est ce que Dieu va demander à l’Eglise pentecôtiste l’un de ces jours: «Pourquoi alliez-vous aux danses? Pourquoi agissiez-vous comme cela? Pourquoi les femmes se coupaient-elles les cheveux? Pourquoi les hommes faisaient-ils ces choses? Pourquoi s’habillaient-elles comme le monde? Pourquoi agissaient-ils comme le monde? Etait-ce parce qu’il n’y avait pas d’Evangile? Pas de joie? Pas de Saint-Esprit déversé sur vous? Est-ce parce qu’ils n’avaient pas de prédicateur qui prêchait cela


Long Beach, California, USA

E-37 Oh! C’est à cause, exactement comme du temps du roi, c’était à cause de son propre entêtement. Il haïssait le prophète, parce que sa maman l’avait haï. Il était le fils de Jézabel. C’est pourquoi Achab, un croyant frontalier... C’était ça la raison: Une vieille église froide et formaliste d’où il était sorti. Et c’est pourquoi il haïssait le prophète, parce que le prophète lui disait la vérité. Et il ne ménageait rien à ce sujet. Alors, il le haïssait. Sa mère avait haï ce prophète-là. Son papa avait haï ce prophète-là. Son papa a dit, quand–quand Josaphat était descendu là, qu’il était allé là s’asseoir avec Achab, il a dit: «Montons à Ramoth en Galaad et emparons-nous de ce territoire-là.» Il a dit: «Ça appartient à Israël.» Et évidemment, il lui a montré toutes les grandes choses que–qu’il avait, il... Evidemment, c’est ainsi que le diable s’y prend, il vous montre toutes les grandes choses. Et cela lui avait aveuglé les yeux, et il a dit: «Eh bien, notre peuple, c’est votre peuple.» Il a dit: «Mais ne pensez-vous pas qu’il nous faudrait premièrement consulter l’Eternel à ce sujet?»

Il a dit: «Assurément, certainement, Josaphat. C’est tout à fait vrai, il nous faudrait le faire. J’ai quatre cents prédicateurs de séminaire par ici, les meilleurs...» Ils avaient les meilleurs du pays. «Oh! Je vais les prendre tous, les amener ici.» Eux tous prophétisèrent de commun accord, disant: «Montes-y, montes-y, l’Eternel est avec toi.»


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E-39 On est allé le prendre, et alors... Evidemment, on avait envoyé le conseil des diacres le chercher pour tenir ce réveil-là; on lui a dit: «Eh bien, un instant, ne prêche donc pas contre telle chose ni contre telle autre. Ne dis pas aux femmes qu’elles ne devraient pas se couper les cheveux ni qu’elles ne devraient pas se maquiller, parce que toutes nos femmes le font.» Je les ai amenés à dire cela. Et je dirais: «Taisez-vous. Vous avez besoin de moi–vous avez besoin de moi, voici, je vais venir.» Voyez?

Alors, on a parlé à Michée, disant: «Eh bien, répète la même chose que les autres, car un jour, tu sais quoi, tu deviendras le surveillant général. Si seulement tu m’écoutes, je vais... On t’amènera à la conférence si tu es d’accord avec eux.» Non, cela n’est pas dans le coeur d’un vrai prophète de Dieu. Absolument pas. Il n’allait pas tomber d’accord avec eux; il n’avait pas de relations à faire jouer, il n’avait pas non plus de bon de repas à acheter. Aussi a-t-il juste dit: «Je vais simplement annoncer ce que Dieu mettra dans ma bouche, et c’est tout.» Il est donc descendu là, il a dit: «Donnez-moi ce soir, laissez-moi voir ce que l’Eternel dira.» Il est revenu le lendemain, vous savez ce qu’il a dit: «J’ai vu Israël dispersé sur les collines comme des brebis sans berger.»

Il lui a dit: «Que t’avais-je dit?» Et alors, le chef de l’association des prédicateurs l’a giflé à la bouche, il l’a carrément terrassé. Oui, c’est vrai. Il a dit: «Par où l’Esprit de Dieu est-Il allé en sortant de moi?»

Il a dit: «Tu le verras lorsque ma prophétie s’accomplira

Il a dit: «Mettez-le dans la prison intérieure. Mettez-le là-dedans et nourrissez-le du pain et de l’eau d’affliction, a dit Achab, jusqu’à ce que je revienne en paix.»

Michée a dit: «Si tu reviens en paix, Dieu ne m’a pas parlé.»


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E-40 Eh bien, pourquoi avaient-ils accepté... Pourquoi n’avaient-ils pas accepté la parole de ce seul homme (voyez?), un seul homme, dans tout le pays, se tenant contre la fausseté? Et les autres... Pourquoi? C’est parce qu’ils croyaient dans le groupe classique. Ils croyaient au doctorat en philosophie, au doctorat en droit, au QSD, et toute espèce de doctorat en théologie et toute sorte, tout ce qui allait avec. Ils voulaient croire cela parce qu’ils pensaient que les autres étaient plus intelligents et plus instruits. Mais, suivez. Qui avait raison? C’était Michée qui avait raison; en effet, il s’était accroché à la Parole de l’Eternel; il était resté fidèle. Comment pouvait-il bénir ce que la Parole de Dieu avait maudit?

Comment puis-je vous dire, vous les femmes, que vous êtes en ordre avec les cheveux coupés, avec les maquillages, avec des habits dans lesquels vous êtes moulées comme les saucissons épluchés de Francfort, et quelque chose de ce genre par ici, alors que la Parole de Dieu condamne cela? Pourquoi ne pourrais-je pas vous dire que vous êtes en ordre, vous les Assemblées de Dieu, les Eglises de Dieu, le Foursquare, quand vous faites venir les gens et que vous les faites adhérer, que vous les faites entrer comme cela, que vous les laissez agir comme le monde, et un tas d’histoires, il y a toutes sortes de choses, alors que c’est faux? Exact, c’est faux. Ce dont nous avons besoin, ce n’est pas d’une nouvelle adhésion, c’est d’un nouveau retour de la puissance du Saint-Esprit dans l’église: Le réveil de la Pentecôte à l’ancienne mode avec la puissance et les démonstrations du Saint-Esprit. On en a assez de cette histoire...


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E-41 L’Eglise Foursquare est l’un de mes grands sponsors. Ils ont là certains de meilleurs hommes, docteur Teeford, beaucoup de ces hommes vraiment pieux. Mais lorsque soeur McPherson, Rolf et moi étions assis un jour en train de manger, nous parlions d’une certaine organisation, ou d’un certain homme sur cette côte qui avait pris pratiquement leurs membres. J’ai dit: «Vous avez vraiment une mauvaise presse.» Pourquoi sont-ils allés là où ils vont pour dire qu’ils construisent une église de quatre, cinq millions de dollars, alors que vous avez déjà construit la vôtre, là, pour payer cette dette-là? J’ai demandé: «Qu’est-il arrivé?»

Vous savez quoi? J’ai dit: «Lorsque soeur McPherson était ici, elle a eu un réveil. Elle s’en est tenue à l’Esprit. Les gens affluaient de partout, ils étaient remplis du Saint-Esprit. Mais qu’est-il arrivé après sa mort? Vous avez commencé à former des docteurs en philosophie, des DDD, des docteurs en droit, des QSD, toutes sortes de choses. Et qu’avez-vous présentement? Un éléphant blanc d’un million de dollars entre vos mains. C’est exact. Ce dont nous avons besoin, c’est de retourner au Message de la Pentecôte, retourner au Saint-Esprit; c’est vrai.


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E-45 Et elle s’est engagée dans la–dans la pièce, et elle avait allumé une vieille radio, qui jouait cette histoire de Clayton Matt Mitchell, ou je ne sais quoi, une espèce de l’une de ces histoires des chats matous de Géorgie, des chats sauvages, ou quelque chose comme cela... Elle avait une espèce de–de... raclant juste ce vieux violon, vous savez, allant en chantant cette petite chanson, d’environ cinq pieds deux et recouverte de fourrure et tout comme...?... et toute cette espèce de non-sens. Et il continuait à jouer comme ça. Et elle traversait la pièce, et cette pauvre créature était tellement possédée par cette espèce d’esprit qu’elle faisait: «Tootlely, tootlely, tootlely», dans toute la pièce. Eh bien, je ne dis pas cela pour plaisanter; je–je dis la vérité. Et elle s’en est allée, criant: «Tootlely, tootlely, tootlely, tootlely.» Et elle avait oublié que j’étais à la porte. Et alors, quand ce danseur, vous savez, qui jouait du violon a dit: «Maintenant, vous tous, rendez-vous ce soir à l’ancien Greenbrier Ridge, nous y serons, et nous allons faire du rock and roll, ou je ne sais quoi c’était, elle s’est agenouillée, elle lui a donné un baiser, a dit: «Au revoir, au revoir mon vieux chéri»; elle a ajouté: «J’y serai.»

Je suis juste resté planté là, attendant, et je me suis dit: «Pauvre enfant!» Voyez? C’est une honte, une jolie petite fille. J’ai attendu un peu, elle a dit: «Oh! Excusez-moi», a-t-elle dit. Elle est venue avec de l’argent, vous savez, elle a dit: «J’aime beaucoup donser», se pavanant. Eh bien, vous savez, ce n’est pas la donse. Elle parlait donc de, on ne dit pas d-o-n-s-e. Elle a donc dit: «J’aime beaucoup.» Elle a dit: «Vous savez quoi?» Elle a dit: «Je viens de perdre...»

J’ai dit: «J’ai vu çaAinsi donc, je...?... J’ai dit: «Merci beaucoup», et je suis parti.


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E-48 J’ai dit: «Tu sais quoi, Frère Brown? J’aimerais te raconter un petit quelque chose qui est arrivé il y a quelque temps.» J’ai dit: «J’étais là à New Albany», j’habitais alors Jeffersonville. J’ai dit: «J’étais là à New Albany (C’est juste à trois miles [4,8 km] vers le sud)», et j’ai dit: «J’étais en train de couper le courant là chez quelqu’un qui n’avait pas payé sa facture. Je me suis avancé et j’ai frappé à la porte», et je lui ai parlé de la jeune fille. Puis, j’ai dit: «Cette jeune fille était tellement emballée qu’elle traversait la pièce après m’avoir parlé, et cette musique exerçait un tel effet sur elle qu’elle traversait la pièce en faisant: ‘Tootlely, tootlely, tootlely’, et–et elle a donné un baiser à ce Clayton Matt Mitchell, je ne sais quel est son nom, celui qui est à Greenbrier Patch, ou je ne sais quoi il allait faire là.» J’ai dit: «Penses-tu que quelqu’un lui fera signer une carte pour l’amener là le samedi soir?»

Il a dit: «Eh bien, non.»

J’ai dit: «Elle donnerait en gage ce que... les quelques habits qu’elle portait; elle irait là.» C’est vrai. «Pourquoi?» J’ai dit: «Parce qu’elle a l’esprit de la danse.» J’ai dit: «Eh bien, Frère Brown, excuse mon ignorance, et ne va pas penser que je cherche à te dire quelque chose, mais j’aimerais te dire quelque chose maintenant même.» Voyez? J’ai dit: «Le... Si ces gens aimaient Dieu comme cette jeune fille aimait la danse, ils se retrouveraient à l’église; on n’a pas à leur faire signer une carte pour les amener à y aller.» C’est là le problème, frère. L’église a perdu son zèle, son amour pour l’Evangile, pour la puissance, pour le Saint-Esprit. Elle a perdu cela: «N’y a-t-il pas de baume en Galaad? N’y a-t-il pas de médecin là? Alors, pourquoi la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas?»


Long Beach, California, USA

E-49 Cela me rappelle un–un homme qui se meurt sur le seuil du cabinet du médecin, alors que ce dernier a un médicament contre la maladie dont il souffre: c’est la même chose. Exact. Si un homme souffre d’une maladie et qu’un médecin a le médicament contre cette maladie-là, mais que cet homme s’approche et refuse de prendre le médicament qu’a le médecin, alors, si cet homme meurt sur le seuil du cabinet du médecin, pouvez-vous blâmer le médecin? Pouvez-vous blâmer le médicament? Qui est à blâmer? Lui-même. C’est exact. On ne peut pas blâmer le médecin, il a le médicament; il est disposé à l’administrer. Ne blâmez pas le médicament, la science a trouvé un médicament contre cette maladie. Alors, il meurt là même sur le seuil, mais ne blâmez pas le médecin. C’est tout à fait vrai.

C’est exactement la même chose aujourd’hui. Les gens meurent de péché juste sur les bancs de l’église. Ce n’est pas parce nous n’avons pas de médicament; ce n’est pas parce que nous n’avons pas de médecins, c’est parce que les gens ne veulent pas prendre cela.


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E-51 Je prêchais là-dessus une fois, et quelqu’un a dit: «Qu’en est-il alors de la pénicilline, Frère Branham, contre le–contre le... une–une grippe?» J’ai dit: «Eh bien, c’est juste comme si vous aviez une maison pleine de rats, et que vous mettiez du poison, ça tuerait les rats; cela ne refermerait pas les trous.» J’ai dit: «La pénicilline ne fait que tuer les germes. Ça ne... Ça ne reconstruit pas des cellules de sang et autres.» Dieu est le seul Créateur qui peut créer les cellules de sang, et–et le calcium et autres... le médecin remet le bras en place, il ne le guérit pas.

Et si, en démarrant mon véhicule, je me fracturais le bras, et que j’allais dire: «Docteur, guéris très vite mon bras, j’aimerais terminer de démarrer mon véhicule.» Voyez? Il ne peut pas le guérir; il le remettra simplement en place pendant que Dieu le guérit. C’est vrai. Il ne fait qu’assister la nature. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Il n’y a donc...

Il y a des médicaments, et c’est bien. Si vous ne prenez pas ces médicaments-là, alors, c’est dangereux. Eh bien, vous direz: «Croyez-vous donc à la guérison divine?» Eh bien, écoutez, frère, je prie constamment, chaque jour et chaque nuit, pour qu’on trouve quelque chose contre le cancer. Regardez les pauvres gens. Tout... Toute bonne chose ne peut que provenir de Dieu. C’est vrai. Qu’aurions-nous fait aujourd’hui si nous n’avions pas ces institutions? Je sais que tout au début, lorsque j’avais commencé parmi certains pentecôtistes, ils–ils m’avaient fermé la porte. Mais vous voyez ce que Dieu a fait; Il est simplement allé de l’avant, Il m’a aimé et Il les a laissés simplement aller de l’avant, malgré tout. Il guérit malgré tout, ainsi ne prenez pas... ça ne change rien... Oui, assurément, toute guérison vient de Dieu: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»


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E-52 Je l’ai dit plus d’une fois. Et si je me coupais la main ici? On n’a pas un médicament au monde qui puisse guérir cette entaille faite avec un couteau, il n’y en a aucun. Si cela guérissait une entaille faite avec un couteau, cela guérirait une entaille faite avec un couteau sur mon manteau ou sur cette chaire. Vous direz: «Cela n’a pas été fait pour votre manteau, ni pour la chaire, cela a été fait pour votre main.» D’accord.

J’attrape une entaille faite avec un couteau à la main et je tombe mort. On m’amène à la morgue, on embaume mon corps avec un liquide qui fait que j’ai un aspect naturel pendant cinquante ans. On me donne une piqûre de pénicilline chaque jour, on met le merthiolate, et le mercurochrome, et on suture cela. Que les médecins de l’Allemagne me donnent des bains de vapeur et je ne sais quoi qu’ils veulent, cette entaille sera exactement telle qu’elle était lorsqu’elle a été faite il y a cinquante ans.

Eh bien, si le médicament guérit le corps humain, pourquoi ne guérit-il pas cela? «Eh bien, direz-vous, c’est parce que vous n’avez pas de vie.» Donc, ce n’est pas le médicament qui guérit; c’est la vie qui guérit. Dites-moi alors ce qu’est la vie, je vous dirai qui est Dieu. Dieu est la Vie. Tout à fait.


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