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Hammond, Indiana, USA

E-24 Oh! la la! je me rappelle que jadis en ce temps-là, je fréquentais l’école, je me rappelle que mon frère et moi, celui qui vient après moi (il est aussi dans la Gloire), et nous allions à l’école ensemble. Et nous fréquentions l’école, et nous étions les enfants les plus pauvres. Nous traversions la rivière en venant du Kentucky, et les habitants de l’Indiana sont un peu plus riches que ceux de la région montagneuse du Kentucky, de toute façon, là où je suis né. Et–et je... comme j’étais l’unique Kentuckien parmi eux, j’ai assurément enduré des difficultés; c’est ce que j’ai enduré. Les gens me taquinaient tout le temps sur le fait d’être un Kentuckien... Et ainsi, mon expression était très drôle, vous savez. Je... Cela... même... Je ne parlais pas sans détours, peut-être pas encore, mais je... de cela un petit travail meilleur. J’étais comme qui dirait peu communicatif, vous savez, et je parlais drôlement, et les gens se moquaient, on se moquait de moi. Oh! j’ai connu un temps horrible. Et j’étais vêtu de lambeaux, oh! la la!


Hammond, Indiana, USA

E-25 Et je me rappelle, il y a une chose au sujet de mon papa, il voulait... Eh bien, s’il devait une facture d’épicerie, il allait payer cette facture. Mais s’il lui restait dix cents, il l’utilisait pour boire. Tout ce qu’il avait, il le dilapidait dans la boisson. Et c’est la raison pour laquelle je suis si fermement opposé au fait de boire. La raison pour laquelle je suis si fermement opposé à la boisson, c’est parce que je sais que cela avait ruiné ma famille, et cela m’a privé de l’amour que... J’ai toujours voulu être aimé, que quelqu’un m’aime. Et même les membres de ma famille dans ce...?... au moment où, j’étais... je–je... cela n’en avait simplement pas. Et nous allions à l’école à moitié nus. Et quelle horrible vie nous menions tous à cause de la boisson! Mon papa était un–était un vrai homme, si seulement il n’avait pas eu cette habitude de boire.

Et je sais que c’est l’une des malédictions sur cette nation, et je suis opposé à cette chose. Vous dites: «Est-ce qu’un peu de bière peut faire mal à quelqu’un?» Naissez simplement de nouveau, et puis, allez de l’avant et buvez toute la bière que vous voulez boire après être né de nouveau. C’est vrai. Vous pouvez simplement boire tout ce que vous voulez après que vous êtes né de nouveau. Mais naissez premièrement de nouveau, et ce–c’est tout ce qu’il vous faut.


Hammond, Indiana, USA

E-31 Et je suis allé à l’école portant une chaussure de maman à un pied et une chaussure de papa à l’autre pied. C’est tout à fait vrai, le boot-n-gegger... si vous savez de quoi je parle. Comme un... Et quand on est devenu de très grands garçons, juste à cause de Satan et du péché...

Et lorsque nous mangions, je me rappelle, nous ne pouvions pas manger au même endroit que les autres enfants. Ils avaient tous des sandwiches, du pain léger. Vous vous rappelez quand on prenait du vieux pain, on l’achetait et on conservait les–les étiquettes qu’on arrachait de derrière cela, pour certains articles, pour des rasoirs mécaniques et tout? Et je me rappelle quand on utilisait cela, et les femmes... et la plupart faisaient cuire leur pain. Nous ne pouvions pas faire cela. Nous n’en avions pas les moyens. Ils prenaient tous des sandwiches, et faisaient de petits sandwiches. Mais mon frère et moi ne pouvions pas faire cela. Nous devions... Nous avions un petit seau d’un demi-gallon [1,9 litre] de mélasse, à peu près comme ça. Et là-dedans, nous avions un petit bocal, et c’était plein de légumes verts, l’autre était plein de haricots, deux morceaux de pains de maïs, avec deux cuillères. Nous nous éclipsions. Nous avions honte de manger en présence des autres enfants qui avaient des gâteaux, des biscuits et autres.


Hammond, Indiana, USA

E-32 Et nous descendions près de la rivière, nous nous asseyions là, nous déposions cela sur un rondin, et–et–et nous nous asseyions là et mangions, nous deux. Nous... Je prenais une bouchée de haricots dans le–dans le petit bocal, et mon frère faisait autant. Ensuite, nous prenions une bouchée de légumes verts. Ce n’était pas beaucoup, nous devions réussir à nous le partager entre nous. Et deux morceaux de pain de maïs, des crêpes, du pain de maïs que maman faisait cuire pour le petit déjeuner, et elle coupait cela en petites tranches comme cela, et nous devions simplement aller de l’avant avec les autres enfants.

Oh! je me rappelle une fois à la Noël, je déteste parler de ces choses, mais vers la Noël, nous avons eu un arbre de Noël. Et les enfants là à l’école prenaient et découpaient de petites bandes de papier, des blanches, des bleues et des vertes, et ils en faisaient de petites chaînes; vous savez comment on le faisait à l’école. Et nous avions amené les nôtres à la maison. Alors maman s’est dit... Elle est allée dans les champs, c’est ce que nous avions fait et elle a coupé un petit arbre de Noël d’à peu près cette taille.


Hammond, Indiana, USA

E-40 Je suis sorti au salon en titubant. Elle s’est mise à pleurer. Elle est allée s’asseoir. J’ai dit: «Maman, croyez-vous?» Et elle... Nous avions deux petites pièces où nous vivions. Et elle avait couché l’enfant là sur la table. Et j’ai dit: «Agenouillons-nous autour de la table.» Et nous avons commencé à prier.

Alors que nous étions encore en prière, le petit enfant a arrêté de pleurer. Environ une heure après, ils sont partis. Il gazouillait et souriait à sa mère. Ils sont allés, il était un peu différent. Elle a dit: «Avant qu’on se retrouve avec des foules ici, je vais t’emmener quelque part.» Alors, nous sommes entrés dans la voiture et nous sommes allés quelque part, jusqu’à Green’s Mill, là où j’avais eu la vision, où j’avais reçu la commission. Nous ne sommes rentrés que vers le soir. Nous sommes passés près de cette vieille école, là où elle se trouvait. Je me suis arrêté là.

Je me souviens du vieux puits où je buvais. Et les enfants étaient... La petite fille, ma petite Rebecca était en train de cueillir des violettes. Elle avait à peu près un an, ou quelque chose comme cela, un an et demi. Elle cueillait des violettes là, en jouant. Je suis allé et j’ai bu à ce vieux puits. Je me suis dit comme avait dit David: si seulement il pouvait boire l’eau de ce puits-là.


Hammond, Indiana, USA

E-41 Je suis alappuyer mes bras contre la vieille clôture en bois. J’ai regardé là de l’autre côté. J’ai regardé de l’autre côté du champ où je jouais. Je me rappelle que là un jour, pendant la Première... en 1917, lorsque beaucoup de neige était tombée au sol, je me rappelle alors que tous les garçons conduisaient des luges. Ils pouvaient conduire. Mon frère et moi n’avions pas de luge.

J’ai vu la vieille colline que nous avions l’habitude de descendre en roue libre. Je n’avais pas de luge. Savez-vous ce que nous utilisions comme luge? Nous sommes allés là à la vieille décharge de campagne et nous avons trouvé une vieille bassine. Alors, je me suis assis, nous nous sommes assis dans cette bassine, nous avons passé les jambes l’un autour de l’autre. Il y avait du verglas sur le sol. Beaucoup parmi vous se souviennent de la neige de 1917. Alors, je me suis assis dans cette bassine; nous nous sommes entourés les bras l’un autour de l’autre, et nous voilà dévaler la colline, tournoyant sans cesse dans une bassine. Nous n’avions pas autant de classe que les autres, mais nous glissions malgré tout. Alors, quelle différence cela faisait-il?


Hammond, Indiana, USA

E-49 Elle a dit: «Eh bien, ne pense pas à cela.» J’ai une vraie femme. Et elle m’a appelé ailleurs, elle a pris l’enfant et elle l’a placé sur mes épaules, et nous nous sommes dirigés vers le véhicule et nous sommes partis.

Oh! en pensant à ces choses, des fois vous regardez, vous dites: «Oh! Frère Branham, je parie...» Vous pensez, vous ne savez pas ce qu’il y a ici derrière, frère. Vous ne savez pas combien de fois ce pauvre coeur a été broyé, écrasé, brisé, tordu. Vous ne comprenez pas cela. C’est ça. Cela paraît comme un lit fleuri d’aisance, mais ne pensez pas que Satan me laissera m’en tirer comme cela.

Cela prendrait une semaine de me tenir ici pour vous raconter tout ce qui s’est passé, j’ai frôlé la mort, ensuite Dieu m’a épargné. Satan a dressé des pièges partout, et il les dresse encore, tout droit jusqu’à la porte. Mais il ne pourra pas me prendre avant que Dieu ait fini avec moi. Alors, j’aimerais partir quand Il aura fini.

Quand j’aurai prêché mon dernier sermon, et que la Bible sera fermée pour la dernière fois sur la chaire, et que ma dernière prière aura été offerte à Dieu, quand je ne pourrai plus rien faire pour Lui, alors, j’aimerai qu’Il vienne m’emporter. C’est ça.


Hammond, Indiana, USA

E-50 Quand j’étais jeune, il m’était arrivé une chose très particulière, quand j’étais petit. Un jour, après l’école, alors que j’avais environ sept ans, un Ange m’a appelé et m’a dit de ne jamais boire, ni fumer, ni souiller mon corps.

Et je–je–je ne dis donc pas ceci à vous les soeurs (Voyez-vous?), mais si jamais il y a eu un misogyne, j’en étais un. Oh! la la! j’ai vu comment elles venaient quand mon papa gérait ce débit de boissons. Et je voyais des femmes venir là, des jeunes femmes, avec le mari d’une autre. Et la façon dont elles se comportaient, je disais: «Si les choses sont ainsi, je n’aimerais pas avoir l’une de ces vermines, même si la loi me liait à l’une d’elles.» C’est ça. Je... C’est vrai, c’est ce que je me disais. Et même que je...

Je n’avais du respect que pour une femme, c’était ma mère. C’est juste, et je savais qu’elle était une dame. Je l’ai vue s’asseoir sur le seuil de la porte avec des enfants dans ses bras, pleurant sans arrêt parce qu’on l’avait enfermée hors de la maison.


Hammond, Indiana, USA

E-51 Lorsque mon papa, lequel était un vrai homme quand il était sobre, mais qui après avoir bu, oh!... ce qu’il faisait. Et j’ai eu une vie difficile en grandissant.

Je me suis dit: «Non, je n’aurai pas...» Je n’avais... Quand j’avais même dix-sept, dix-huit ans, je descendais la rue, et si je voyais une jeune fille à qui je...?... ou, je pensais qu’elle allait parler, non pas parce que... Je ne voulais simplement rien avoir à faire avec cela, je n’allais pas me mêler aux filles. J’allais de l’autre côté de la rue. Je n’avais rien du tout à faire avec tout cela. Je disais donc: «Je vais...»

Eh bien, voici ce que je pensais: «Quand j’aurai de l’âge, quand ma mère sera bien, que les garçons se seront installés, et tout, et que je pourrai avoir assez d’argent quelque part pour pouvoir m’occuper de ma mère, j’irai dans le Colorado, ou dans l’Etat de Washington, ou au Canada, et je deviendrai un trappeur. Je vais me procurer une meute de chiens; je vais me procurer un tas de pièges, et je vais prendre mon fusil, et je vivrai là jusqu’à ma mort, en plein dans les–les montagnes en train de faire la chasse.»


Hammond, Indiana, USA

E-52 Mon grand-père maternel était un chasseur. Et il... j’ai hérité sa nature. Et alors, je disais: «Simplement je... C’est ce que je vais faire.» J’avais cela à l’esprit. Je disais: «Il n’y aura pas du tout de femmes impliquées là-dedans.» Donc, n’est-ce pas drôle la façon dont on peut changer d’avis? C’est étrange.

Un jour, il y avait–il y avait... encore jeune, il y avait une jeune fille qui venait, et, vous savez, elle avait des dents comme des perles, des yeux comme une colombe, le cou comme un cygne, la créature la plus jolie qu’on ait jamais vue. Elle m’a regardé, elle a dit: «Bonjour, Billy.» C’était tout. Une autre... Elle connaissait un autre garçon, un de mes amis à moi. Celui-ci m’a parlé, il a dit: «Oh! elle t’aime.»

J’ai dit: «Eh bien, j’ai en quelque sorte fait une promesse, vous savez.» Eh bien, j’étais disposé à céder.


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