Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Chicago, Illinois, USA

E-7 Je me rappelle lorsque j’avais été guéri du trouble d’estomac. Lui, Satan, me disait: «Eh bien, tu ferais mieux de ne pas manger.» Il disait: «En effet, le médecin a dit: ‘Si tu manges, tu mourras. Tu souffres d’un ulcère de l’estomac.’» Et il a ajouté: «C’est un très gros ulcère saignant.»

Mais le Seigneur a dit qu’Il m’avait guéri. Alors, il me fallait prendre la parole de quelqu’un? J’ai–j’ai donc pris la Parole de Dieu.

Ainsi donc, oh! cela a failli me consumer. J’étais juste... de l’eau chaude me sortait par la bouche; et alors, deux ou trois jours, j’allais çà et là me tenant l’estomac comme ça. Les gens me demandaient: «Comment vous sentez-vous, monsieur Branham?»

Je répondais: «Oh! je me sens bien», pressant comme cela. Quelqu’un a dit: «Tu mentais.»Je ne mentais pas, je confessais. Confesser signifie dire la même chose. C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. C’est donc... C’est ça. Voyez? Je confessais. Et alors, Satan me disait, il disait: «Tu jettes l’opprobre.»


Chicago, Illinois, USA

E-8 J’ai dit: «Eh bien, écoute ça, toi, vieux gars. Si–si tu prends plaisir à m’entendre témoigner, tiens-toi là. Mais si ce n’est pas le cas, tu ferais mieux de t’en aller, parce que je–je vais de toute façon témoigner.» C’est donc ça. Vous devez tout simplement lui faire savoir de quel côté vous vous tenez, et alors, vous prenez position, vous vous tenez donc là.

Et c’est ainsi qu’il nous faut toujours nous y prendre, arriver à savoir que nous sommes dans le vrai, et puis, avoir foi dans cela. Vous ne pouvez pas avoir la foi si vous n’êtes pas dans le vrai. Ne cherchez pas à faire cela pour le tromper donc. Il n’acceptera pas votre tromperie. Voyez? Ne le trompez pas.

Mais lorsque vous croyez réellement cela, alors vous ne trompez pas. Quelque chose vous a déjà rendu témoignage; et alors vous–alors vous êtes dans le vrai. Peu m’importe, vous pourriez ne pas... quelqu’un ne vous a jamais imposé les mains. Il se peut que vous n’ayez jamais entendu quoi que ce soit, mais tant que quelque chose a confirmé cela dans votre coeur, que c’est la Parole de Dieu et que c’est la volonté de Dieu pour vous, c’est tout ce qui importe. Et souvent, ces dons et autres, c’est juste pour encourager.


Chicago, Illinois, USA

E-10 Un jour, au tabernacle, il a vu le Saint-Esprit parler à une femme et lui dire: «Demande simplement ce que tu veux, maintenant même. Et Dieu m’a dit de vous le donner.»

Elle a dit: «Que dois-je demander?»

J’ai dit: «Eh bien, vous avez une soeur estropiée assise ici, estropiée de naissance.» Il y a un homme assis ici ce soir, Banks Wood, qui était là avec moi, le nom de cette femme, c’est madame Wright. Et j’ai dit: «Vous avez un père et une mère âgés. Votre revenu annuel est de moins de deux cents dollars, que vous retirez de cette pauvre petite ferme par là; une veuve.» J’ai dit: «Il y a beaucoup de choses que vous pouvez demander, soeur Hattie, mais, ai-je dit, le Dieu même qui m’a parlé de ces écureuils quand j’avais prononcé la parole, et ces écureuils se sont perchés là même...» Et j’avais fait ça sept fois d’affilée, ça se tenait là même, là où on regardait et on voyait cela, alors qu’il était tout à fait impossible qu’un seul se perche là sur le mur; c’était juste pour confirmer quelque chose.

Et j’ai dit: «Il me dit de vous dire de demander ce que vous voulez. Il a dit que vous demanderez cela, pour que moi, je le prononce.»

Elle a dit: «Eh bien, que devrais-je dire?»

J’ai dit: «Demandez tout ce que vous voulez, cela vous sera accordé sur place. Si ce n’est pas le cas, alors, je–je vous ai dit quelque chose de faux.»

Et elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, je ne sais quoi demander, Frère Branham.» Elle a dit... Elle avait deux adolescents. Vous parlez de renégats, ils l’étaient; et alors, ils ne faisaient que la chagriner tout le temps, une pauvre petite mère veuve. Et alors, son mari... C’est moi qui l’avais mariée à son mari. Et ils étaient... Son mari s’était fait tuer par un tracteur. Et ces jeunes gens étaient simplement devenus sauvages. Et elle a dit: «Eh bien, le salut de mes deux garçons.»

J’ai dit: «Je vous donne ces deux garçons au Nom de Jésus-Christ.» Et tous deux sont tombés sur ses genoux, ils sont venus à Christ.

Eh bien, frère Banks Wood est assis quelque part ici dans cette salle ce soir, il était présent, il a vu cela s’accomplir. Tous ces deux jeunes gens se comportent bien. Ils font le lavage des pieds tout le temps, ils prennent la communion à l’église. Et lorsque nous faisons le lavage des pieds, nous posons les mains sur celui qui lave les pieds et nous prions. L’autre soir, ce jeune homme, d’environ quatorze ans, avait imposé les mains à notre pasteur, frère Neville, et priait pour lui. C’est l’acte le plus beau.


Chicago, Illinois, USA

E-12 Maintenant, comment pouvais-je sauver ces enfants? Voyez? Ce–ce n’est pas ça. Si ce ne sont pas vos propres paroles, si ce n’est pas votre propre pensée, alors, c’est–c’est je ne sais quoi qui vous inspire. Si c’est Dieu, alors c’est la Parole de Dieu. Voyez? C’est donc ainsi dans–dans les réunions ici le soir, lorsque vous voyez ces choses arriver, ce n’est pas moi. Je ne peux pas faire cela. C’est–C’est Dieu qui le fait. Et si seulement vous croyez cela, alors, c’est tout ce que vous avez à faire; c’est seulement–seulement croire cela.

Eh bien, il est pratiquement temps maintenant de former la ligne de prière, Billy. Je prends trop de temps. Mais, vous savez, j’aimerais–j’aimerais prendre un rendez-vous avec vous tous de Chicago ici. Avec aussi ce–ce frère qui chante ici le soir, frère Melvin. Oh! comme j’aime entendre ce jeune homme chanter! Je–j’aimerais l’entendre chanter Souviens-Toi de moi, l’une de ces soirées avant mon départ. Et puis, il y a une soeur de couleur qui chante chez les Hommes d’Affaires Chrétiens. Oh! la la! Vous–vous devriez l’entendre chanter Ohé du bateau! Et je disais à ma femme, elle est assise là au fond ce soir, je lui en parlais, j’espère qu’elle arrivera à entendre cette dame chanter Ohé du bateau! et frère Melvin chanter.

Souviens-Toi de moi, alors que les larmes seront en train de couler. Oh! la la! J’espère assurément que nous comprenons cela.

Et il y avait un jeune frère là à cette série de réunions, l’autre matin, il est assis quelque part là derrière. Je lui ai serré la... Le voici, lui et sa femme. Oh! la la! Vous parlez de chanter. Et lorsque vous arriverez dans la Gloire, je–je souhaiterais... J’ai toujours aimé chanter. Je préférerais à tout moment chanter plutôt que prêcher. Ainsi, je–j’aime beaucoup les chants.

Ainsi, j’ai toujours dit: «Tous les grands chanteurs de la terre seront rassemblés de l’autre côté, chantant les histoires, comment ils avaient vaincu, là sur cet immense flanc de la colline dans la Gloire. Juste de l’autre côté de la Rivière de la Vie, là de l’autre côté, j’aimerais m’asseoir et les écouter. J’aimerais donc vous inviter vous tous de Chicago à me rencontrer là donc, et–et nous nous assiérons et les écouterons chanter, nous n’aurons alors plus... nous n’aurons plus à nous dépêcher et à vérifier si les enfants ne vont pas se faire du mal ou quelque chose comme cela. Ils seront là avec nous, et il n’y aura rien qui nuira ni détruira. Et nous aurons alors beaucoup de temps. Et nous parlerons bien longtemps, nous aurons beaucoup de temps pour causer.


Chicago, Illinois, USA

E-15 Jésus venait d’être rejeté, après un grand réveil. Il s’occupait toujours des affaires du Père. Je–j’aime ça. Nous... Moi-même, je–je pense, j’ai mal utilisé beaucoup de temps. C’est ce que nous pensons nous tous. Des fois, nous sommes tellement emballés qu’il nous faut aller quelque part nous relaxer.

Mais nous voyons que Jésus était toujours occupé aux affaires du Père. J’aime ça. Et c’est ce que nous devrions faire. Nous ne devrions jamais perdre de notre temps. Le temps que nous avons, nous devons l’utiliser en conséquence, gagner le temps, le racheter, parce qu’il est précieux. Chaque fois que nous avons l’occasion de faire valoir Jésus, faisons-le. Chaque moment que nous avons pour faire valoir Dieu, faisons-le. Faites quelque chose pour l’église, pour le progrès des gens. Beaucoup de gens, c’est ainsi que nous arrivons à connaître ces choses, c’est à partir de ce que quelqu’un nous a dit.


Chicago, Illinois, USA

E-16 Et Jésus avait quitté la Galilée, son territoire d’origine, Il a traversé la mer, Il se sentait conduit, sans doute, à aller à Gadara pour le réveil. Sans doute que le Père L’avait conduit à traverser la mer vers Gadara. Et nous connaissons tous l’histoire, qu’il n’y avait eu qu’une seule personne de sauvée; c’était le fou de Gadara. Il était là dans les champs, au cimetière. Il était devenu sauvage. On le liait avec des chaînes, et la puissance démoniaque pouvait briser ces chaînes, et–et... J’ai souvent pensé, en visitant des asiles pour malades mentaux et en voyant combien quelqu’un possédé par ces puissances démoniaques est fort, parfois il faut un policier pour le maîtriser... Vous vous rappelez là en Floride, un soir, un–un homme qui ne pesait pas plus de 120 livres [54 kg] avait frappé cinq policiers aussi facilement qu’il frapperait votre enfant. Et–et puis, lorsque ce mauvais esprit a été chassé de lui, eh bien, il y avait à peine quelque chose. Il était tout aussi doux que possible. Mais c’était un mauvais esprit.

Alors, je me disais: «Si un homme possédé d’un mauvais esprit peut briser les chaînes, que pourrait-il faire s’il était complètement abandonné à Dieu, que la puissance de Dieu le possédait comme cela?» Il pourrait redresser chaque jambe estropiée, accomplir de grandes oeuvres, si seulement il pouvait être oint de la puissance de Dieu aussi complètement que le diable avait pu s’emparer complètement de lui.


Chicago, Illinois, USA

E-21 Et, vous savez, Jésus a regardé cet homme qui avait recouvré le bon sens et s’était vêtu d’habits... Si... vous savez, je me suis toujours dit que là, je–je ferais mieux de ne pas aborder cela. Si–si vous remarquez bien, cet homme-là a commencé à s’habiller aussitôt qu’il a rencontré Jésus. Et comment se fait-il que nous prétendons Le connaître, et nous nous dévêtons tout le temps? Il y a donc... Et c’est un...

Les gens disent que nous sommes fous parce que nous prêchons de telles choses. Mais je ne sais pas. C’est l’homme qui avait... qui était nu qui était fou, d’après la Bible. Alors, après avoir rencontré Jésus, il est allé se revêtir. Ainsi–ainsi, nous voyons que...


Chicago, Illinois, USA

E-24 Alors, Jaïrus était toutefois, comme beaucoup aujourd’hui, il s’était mis sous le même joug avec une organisation, au point qu’il n’arrivait simplement pas à s’en débarrasser à cause de sa grande réputation. Peut-être, appelons-le docteur Jaïrus. Voyez? Il était un... Il jouissait d’une grande réputation, celle, peut-être, d’un docteur. Il était un sacrificateur. Il était un–il était un pasteur d’une grande synagogue. Mais dans son coeur, il était disciple de Jésus de Nazareth, et il voyait ces miracles. Il rentrait chez lui, étudiait et sondait les Ecritures. Et il disait: «C’est tout à fait...»

Imaginons-nous qu’il était là, ce jour-là, quand Simon était venu. Il était allé entendre Jean prêcher, il en avait entendu parler, il l’a entendu annoncer Jésus, il avait vu cette Lumière descendre sur Lui, là, et s’arrêter sur Lui. Et nous avons vu cette même Lumière qui était sur Lui dire à ce vieux pêcheur: «Eh bien, tu es Simon, fils de Jonas.»

Peut-être, vous savez, son père était peut-être un membre de la synagogue de cet homme.

Il a dit: «Je sais que cet Homme ne le connaissait pas. Je suis rentré chez moi, j’ai vérifié cela dans les Ecritures, et j’ai vu que c’était le signe du Messie. Et alors, pendant que j’étais là, et je–j’étais là de l’autre côté, évidemment, avec des sacrificateurs et mes frères, écoutant pour voir ce que je pouvais entendre dire. Et les frères ont dit: ‘Qu’allons-nous faire à notre retour?’»

Quand Philippe s’est approché avec Nathanaël et que... Jésus se tenait là, Il a dit à Nathanaël qui il était et où il avait été trouvé, et tout comme cela. Nous avons vu Nathanaël, il était peut-être en train d’étudier pour devenir prédicateur, et il a dit: «Eh bien, Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

Il a dit: «Tu crois parce que Je t’ai dit cela


Chicago, Illinois, USA

E-25 Et peut-être qu’il avait été là aussi et qu’il avait entendu cette femme au puits, et–et qu’il avait été au portail cette fois-là, lorsque l’aveugle Bartimée était là en train de crier: «Jésus, Toi Fils de David, aie pitié de moi.» Il ne pouvait pas L’atteindre. Si vous allez... Si jamais vous avez été à cet endroit-là, on a mis des repères à l’endroit où Bartimée était et là où Jésus était lorsqu’il L’a appelé. Oh! la la! Tout ce boucan, ces cris, des gens qui disaient: «Dis donc, on me dit que Tu ressuscites les morts. Nous en avons un cimetière plein par ici. Viens en ressusciter quelques-uns, et nous croirons en Toi.» Voyez? Comment pouvait-Il donc entendre tout... Mais sa foi L’avait touché.

C’est comme le petit Zachée. J’ai raconté cela aux hommes d’affaires chrétiens. Il était perché dans l’arbre comme cela, il disait: «Eh bien, Rebecca m’a dit qu’Il–qu’Il connaissait toutes choses et qu’Il pouvait... Dieu parlait par Lui et qu’Il était le Messie. Je vais donc m’entourer de toutes ces feuilles, alors–alors Il ne saura jamais que je suis assis ici en haut.» Alors, lorsque Jésus s’est arrêté là en dessous de cet arbre, Il a levé les yeux et a dit: «Zachée, descends. Je vais avec toi chez toi.»


Chicago, Illinois, USA

E-27 Mais, vous savez, Dieu a une façon de susciter en nous cette foi véritable et authentique. Dieu a des voies particulières de s’y prendre. Et alors, disons qu’un soir, la fillette est rentrée et elle était... Il avait une seule fillette d’environ douze ans, et elle avaait en âge. C’était l’unique enfant que sa femme et lui avaient eue.

Un soir, elle est revenue, après avoir sauté à la corde ou quelque chose comme cela, à la paroisse, elle est revenue, et elle a dit: «Papa, je me sens vraiment malade.»

Alors, il a palpé sa petite tête et a dit: «Oui, chérie, tu es malade.» Alors, il a dit: «Maman, je vais te dire quoi. Mets-la au lit et nous irons chercher le médecin.» C’est tout ce qu’il y a de raisonnable à faire.

Ils sont donc partis chercher un bon médecin dans les parages. Il est venu, il l’a touchée. Il a dit: «Oui, elle brûle de fièvre.» Alors, il lui a administré des soins pendant deux ou trois jours. Et il a fini par découvrir que sa fièvre s’empirait. Et, oh! cela a atteint le point où... C’était tellement élevé qu’il devenait... le médecin s’en inquiétait. Alors, il a essayé toutes les herbes et tous les médicaments qu’il connaissait pour essayer d’aider cette jeune fille. Mais il–il n’arrivait à rien faire de bien avec cela. Il n’arrivait simplement pas à arrêter cette fièvre.


Up