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Grande Prairie, Alberta, Canada

E-33 La personne suivante dans la ligne était un petit garçon qui louchait, un petit Zoulou. Y a-t-il des frères missionnaires ici? Les Zoulous. Savez-vous ce que sont les Zoulous? Des gens de grande taille et de forte corpulence; ils pèsent en moyenne 300 livres [136 kg]. Ils lancent...?... pour garder, vous savez; le petit Songhaï doit faire des manoeuvres avec le sien. Le grand Zoulou... Et puis ils avaient ce régime alimentaire, vous savez, ce sang et je ne sais quoi, qu’ils mélangent ensemble. Et il louchait au possible. Et en Afrique, ils...

Vous soeurs, vous aimez les lis? Oh! je les trouve splendides. Ils en ont qui mesurent seize pouces [40 cm], de très grands lis calla sur l’estrade, certains sont jaunes... Et ce sont vraiment des lis sauvages de la jungle.

Ainsi donc, quand ce petit garçon est monté sur l’estrade, j’ai dit: «Maintenant, tout le monde peut voir qu’il louche.»

Etiez–étiez-vous en Afrique à ce moment-là, frère? Y étiez-vous? Non, en Inde. Oh! oui. Eh bien, maintenant, peut-être que j’aurai l’occasion de parler de l’Inde. Etiez-vous en Inde quand j’y étais? Vous n’y étiez pas. C’est là que j’ai eu mon plus grand rassemblement, à Bombay: cinq cent mille personnes en une fois. Ainsi donc, c’est là que j’ai vu le... Eh bien, je ne peux pas aborder cela, mais il y avait un... Il a opéré tant de choses, je vous assure, c’est merveilleux.


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E-34 Et alors, ce petit garçon se tenait là, et j’ai dit: «Tout celui qui est assez proche peut voir que cet enfant louche.» J’ai dit: «Je ne suis pas en mesure de redresser ses yeux.» J’ai dit: «Je n’ai rien avec quoi redresser ses yeux.» Mais j’ai dit: «Peut-être que le Saint-Esprit pourrait me révéler quelque chose qui a causé cela, et alors peut-être que cela pourrait amener le petit garçon à–à avoir la foi pour croire en Christ.» Et je lui ai dit: «Regarde-moi.»

Et l’interprète (l’interprète en zoulou) a dit: «Regarde-moi.» Et le petit ami a levé les yeux.

J’ai dit: «Il est né comme ça.» J’ai dit: «Bien, sa mère et son père sont des gens minces, ce qui est étrange pour des Zoulous.» J’ai dit: «Mais il est issu d’un foyer chrétien, parce que dans leur petite hutte il y a une image de Christ du côté droit du mur, quand vous entrez.» Et là derrière, à environ cent yards, le père et la mère ont levé la main, pour dire que c’était exact. Quand j’ai de nouveau regardé l’enfant, ses yeux étaient aussi droits que les miens. J’ai dit: «Evidemment, tout le monde voit que quelque chose s’est produit. Ses yeux sont déjà droits. Passe, fiston.» Et on l’a fait passer.


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E-35 Et juste à ce moment-là j’ai entendu une agitation. Combien ont connu frère Bosworth? Le vieux frère Bosworth était l’un de mes... F. F. Bosworth. Il se tenait là, et je l’ai entendu mener quelque chose là, une sorte de dispute. Et c’était un médecin britannique. Et il continuait à faire des histoires. Il a dit: «Je veux lui parler.» Frère Bosworth a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela maintenant, monsieur.» Il a dit: «Vous causeriez tout simplement une émeute.» On devait garder ces gens séparés. Ils avaient aussi des guerres tribales, vous savez. Et alors il a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela maintenant.» Il a dit: «Quand notre frère est sous cette onction, il prie pour les malades.» Il a dit: «Croyez tout simplement.»

L’autre a dit: «Je veux lui parler.»

Je me suis retourné. J’ai dit: «Qu’y a-t-il, docteur?»

Il a dit: «Comment avez-vous su que j’étais un médecin?»

J’ai dit: «Eh bien, que voulez-vous?»

Il a dit: «J’aimerais vous demander ceci, Monsieur Branham: qu’avez-vous fait à ce garçon?»

J’ai dit: «Rien.»

Il a dit: «C’est moi qui l’ai placé sur l’estrade.»

«Eh bien, ai-je dit, c’est très bien.»


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E-36 Il a dit: «Ses yeux sont droits maintenant. Le voici debout ici.» Il avait la main sur sa tête. Il a dit: «C’est moi qui l’ai placé là sur l’estrade; il louchait. J’ai mes mains sur lui ici, et ses yeux sont droits.» Il a dit: «Eh bien, Monsieur Branham, je comprends votre télépathie; cela consiste à parler aux gens, à leur dire ce qu’ils désirent, et ce qu’ils ont fait, mais, a-t-il dit, j’aimerais vous poser une question. Avez-vous hypnotisé cet enfant?»

J’ai dit: «Les médecins de l’Association Médicale Britannique vous ont-ils délivré une licence pour pratiquer la médecine, alors que vous n’en savez pas plus que ça sur l’hypnotisme? Si l’hypnotisme redresse les yeux d’un enfant, ne trouvez-vous pas que vous, médecins, devriez commencer à pratiquer l’hypnotisme?»

Il a dit: «Monsieur Branham, je voudrais que vous sachiez que j’ai été élevé pour croire en Dieu.»

J’ai dit: «C’est une très bonne chose, docteur.» Et alors d’autres personnes sont montées. J’ai dit: «Un instant. Laissez-le tranquille.»


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E-37 Et il a dit: «Eh bien, ai-je dit, je sais que Dieu est dans ce lis. Il ne pourrait pas pousser... Il y a en lui une vie que nous ne pouvons pas trouver. Nous ne pouvons pas trouver le germe de vie. Nous savons que Dieu est dans le lis, sinon il ne pourrait pas vivre.» Mais il a dit: «Dites-moi, le Dieu dont vous parlez est-Il si tangible qu’Il pourrait prendre cet enfant qui louchait et redresser ses yeux? Et vous êtes à dix pieds [3 m] de lui.»

«Eh bien, ai-je dit, docteur, ses yeux sont-ils droits?»

Il a dit: «Absolument.»

«Eh bien, ai-je dit, l’ai-je touché?»

«Non, non.» Il a dit: «Alors cela fait que Dieu est quelque part entre ici et là, n’est-ce pas?»

J’ai dit: «Il est tout simplement partout.» Et ainsi alors quelqu’un s’est mis à le tirer.

Il a dit: «Juste une minute.» Il y avait là un grand micro omnidirectionnel; en effet, ils avaient (oh!) une foule de gens qui s’étendait jusqu’à peut-être cinq cents yards, vous savez, là comme cela, avec ce grand micro. Il s’est avancé vers ce micro. Il a dit: «Dans ce cas, j’accepte Jésus-Christ comme mon Sauveur.»

J’aimerais vous dire une chose. Quand je quittais Durban environ deux semaines après cela, il y avait environ vingt, trente mille personnes là, agitant les mains pour dire au revoir et tout, vous savez. «Revenez, revenez.» Cela a fait la une... deux ou trois pages des journaux chaque jour, ce que le Seigneur avait fait dans les réunions. Et là, à ce propos, savez-vous ce qu’a fait ce médecin? Il a enjambé la rampe, il est passé par-dessus certains gardes, et il a couru là et il a passé ses bras autour de moi, comme cela, et il m’a embrassé, et il s’est mis à parler en langues. Et il a dit: «Frère Branham, je suis un chrétien. Je retourne dans le champ de mission comme missionnaire», ce médecin britannique.


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E-41 S’Il me disait que–que Georges Washington allait ressusciter du cimetière présidentiel, j’inviterais le monde entier à venir voir cela s’accomplir. C’est juste. Il est... J’ai vu des milliers et des milliers de visions, et je prendrais quiconque à témoin: pas une seule n’a jamais failli. Cela ne peut faillir; c’est Dieu. Comment Dieu peut-Il faillir?

J’étais alors certain que le garçon allait être guéri, et je me suis dit: «Voici l’occasion pour moi, maintenant même.» J’ai dit: «Combien ici voudront recevoir Christ comme leur Sauveur si ce garçon est rétabli?» Jusqu’à perte de vue, il y avait ces mains noires: des Songhaïs, des Sothos, partout, comme cela, des Indiens, partout. Et j’ai dit: «Lève-toi, fiston. Jésus-Christ te guérit.» Bien sûr l’interprète lui a dit ça, mais le garçon n’était même pas mentalement normal. Il ne cessait donc de faire: «Uh! ba, ba, bla, bla», essayant d’exécuter une danse. Il pensait qu’on l’avait emmené là à l’estrade pour faire le pitre, vous savez, pour danser. Je me suis donc avancé et j’ai saisi la chaîne qu’on avait mise sur lui, par laquelle on le conduisait. J’ai dit: «Lève- toi, Jésus-Christ te guérit.» Et le garçon s’est levé.


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E-42 Et alors, les larmes coulaient sur son ventre noir. Il s’est tenu là et regardait tout autour comme cela, pour la première fois de sa vie. La foule était tout simplement prise de frénésie. Il était là. Non seulement il était guéri, redressé, mais il était dans son bon sens. Voyez-vous?

J’ai dit: «Combien parmi vous recevront Jésus-Christ maintenant comme leur Sauveur personnel, Celui qui vous aime?» Et j’ai dit: «Levez-vous.» Trente mille purs indigènes se sont levés à la fois.

Vous les Canadiens, vous connaissez Ern Baxter, n’est-ce pas? Frère Ern Baxter? Il était assis juste là à l’estrade. Et frère Baxter a dit: «Frère Branham, je crois qu’ils ont compris qu’il s’agit de la guérison physique.»

J’ai dit: «Je vais reprendre cela à travers le...»

Et le vieux frère Bosworth était tout simplement en larmes. Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, le Saint-Esprit est tout simplement en train de m’ôter la vie.»

Et j’ai dit: «Je ne voulais pas dire la guérison physique? Je voulais dire recevoir Christ comme Sauveur. Vous qui portez des idoles, si vous comprenez, brisez vos idoles par terre.» Et il y eut comme une tempête de poussière, quand ces idoles furent brisées. Trente mille purs indigènes vinrent à Christ en un seul appel à l’autel. Pensez-y. C’est... disons trente, dix, vingt, trente... Eh bien, ce serait environ dix fois le nombre qu’il y eut à la Pentecôte. C’est juste. Environ dix fois le nombre qu’il y eut à la Pentecôte.


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E-43 Et le lendemain matin le maire m’a appelé, à ma chambre d’hôtel. Il a dit: «Frère Branham, allez vite à votre fenêtre, du côté qui donne sur le lac.»

Frère Bosworth était là. Il a dit: «Frère Branham, j’estime...»

Et j’ai dit: «Eh bien, vous qui voulez qu’on prie pour vous, croyez tout simplement au Christ dont je parle.» Et j’ai offert une seule prière d’ensemble. Eh bien, il n’y a eu qu’environ trois personnes à l’estrade. J’ai offert une seule prière d’ensemble, et on a estimé à vingt-cinq mille les miracles remarquables qui se produisirent en une seule fois. Vous voyez? Ils ne sont pas endoctrinés: «Nous sommes–nous sommes méthodistes. Nous sommes baptistes. Nous sommes presbytériens. Nous sommes unitaires, binitaires, trinitaires.» Et, oh! vous savez, toutes–toutes ces histoires-là. Ils n’en savent rien. Ils cherchaient tout simplement un Dieu qui avait quelque chose, et qui pouvait répondre. Voyez-vous?


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E-44 Et puis, vous savez quoi? Je suis allé à la fenêtre, et... descendant la rue... Si je dois vivre jusqu’à cent ans en ayant mon bon sens, je n’oublierai jamais cela. Il y avait sept grands camions britanniques (Je ne sais pas si vous savez ce que c’est ou pas, longs à peu près comme d’ici jusqu’à ce mur-là) chargés de béquilles, de planches, de fauteuils roulants, de différents instruments qu’ils avaient amenés des jungles sur des centaines de kilomètres, et ils avaient fait des semaines en venant, comme cela. Tout cela était dans les sept grands camions, entassés jusqu’en haut. Et derrière ces camions venaient des Zoulous, des Sothos, des Songhaïs, des Xhosas, et tous ces gens qui utilisaient ces–ces choses jusque la veille, ils descendaient la rue en chantant dans leur langue maternelle respective: «Crois seulement, tout est possible.» Oh! quel moment!

Vous les femmes canadiennes, vous ne faites pas ça, mais je vais dire ceci pour montrer ce qui se passe en Amérique. Les femmes américaines en arrivent à un point où chaque année elles se dévêtent un peu plus. Juste pour descendre jusqu’à... D’abord c’étaient des robes courtes, maintenant elles en sont à des choses minuscules qui ont l’air de vêtements d’hommes, et d’autres histoires qu’elles portent. C’est une disgrâce. C’est une honte. C’est une... C’est–c’est... Une femme me parlait, disant: «Frère Branham, je ne porte pas des shorts.» Elle a dit: «Je porte des pantalons.»

J’ai dit: «C’est pire. La Bible déclare que c’est une abomination pour une femme de porter un vêtement d’homme.» C’est juste. Et j’ai dit: «Vous ne devriez jamais faire cela

Elle a dit: «Eh bien, on ne... Quand on va au magasin, vous ne pouvez acheter rien d’autre que ces vêtements sexy.»

J’ai dit: «Un jour vous répondrez à la barre du jugement pour avoir commis adultère. Vous pourriez être aussi pure que le lis vis-à-vis de votre mari. Vous pourriez être aussi pure que le lis envers votre petit ami. Mais la Bible dit, Jésus a dit: ‘Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.’» Et j’ai dit: «Si vous vous exhibez là en étant habillée comme cela et que le pécheur vous regarde et vous convoite, qui est coupable, vous ou le pécheur? Et lui, il va répondre pour cela, et avec qui a-t-il commis adultère? Avec vous. Qui est coupable? Vous, pour vous être présentée comme cela.» Et j’ai dit: «Vous serez coupable d’avoir commis un adultère quand ce pécheur devra répondre pour avoir commis adultère.»

«Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle.» Qui est coupable? Vous. C’est juste.

Cette femme a dit, elle m’a écrit une lettre, elle a dit: «Monsieur Branham, on ne confectionne pas des vêtements comme ceux dont vous parlez. C’est le seul genre...»

J’ai dit: «Mais il y a encore des tissus, et on vend des machines à coudre; il n’y a donc point d’excuses pour cela. Voyez-vous? C’est juste.»


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E-45 Ecoutez. J’aimerais dire ceci. Souvenez-vous tout simplement de ceci, si jamais les gens commençaient à porter des shorts et tout au Canada. Vous voyez? Si jamais elles le faisaient, souvenez-vous tout simplement de ceci. Ces femmes indigènes, les jeunes comme celles qui étaient âgées, qui ne pouvaient distinguer leur main droite de leur main gauche, elles se tenaient là, n’ayant qu’un chiffon sur elle. Elles étaient nues au possible, elles ne savaient pas qu’elles étaient nues. Mais à l’instant même où elles ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel, elles ont croisé les bras [sur la poitrine] pour s’éloigner de la présence des hommes.

Dites-moi alors pourquoi, si ces gens qui se disent pentecôtistes ou chrétiens, ou méthodistes, ou baptistes... Comment expliquer que chaque année vous prétendez avoir le même Christ, et le même Saint-Esprit, et vous cherchez à vous exposer davantage chaque année? Pourquoi est-ce que ce Saint-Esprit-là a amené une femme à se couvrir pour s’éloigner de la présence des hommes, et quand vous les voyez le jour suivant, elles ont sur elles une sorte de vêtement? Pourquoi amène-t-Il les unes à porter des vêtements et les autres à les enlever? Dieu ne travaille pas comme cela. Il y a quelque chose qui cloche quelque part, frères. Oh! la la! éloignons-nous de nos conceptions mondaines et retournons à l’Evangile. Amen. Retournons à la Vérité, à la Parole. Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir une église. Comment Dieu pourrait-Il bâtir une église sur un tel fondement? Retournons à la Vérité, frère, soeur.


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