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Grande Prairie, Alberta, Canada

E-89 Je marchais là, les yeux fermés, disant: «Gloire à Dieu! Tu es si grand, Père. Oh! Tu es si grand. Je suis seul ici dans les hauteurs, où il n’y a ni essence ni cigarettes. Ô Dieu, il n’est pas étonnant que Tu puisses vivre ici en haut.» J’allais simplement là, louant Dieu. Bien vite, il se leva une petite tempête qui s’abattit sur les montagnes. Et je me suis mis derrière un arbre. Il y avait là des arbres qui avaient été renversés par le vent. C’était presque à la limite des arbres. Vous... Je me suis mis en dessous, je me suis placé derrière cet arbre, et je me suis assis là un petit moment, et la tempête soufflait très fort. J’avais la tête baissée comme ceci, disant: «Ô Dieu, Tu es merveilleux! Tu es le Dieu de la montagne; Tu es le Dieu de la vallée. Tu es Dieu quand nous sommes pauvres; Tu es Dieu quand nous sommes riches. Tu es Dieu quand nous sommes malades; Tu es Dieu quand nous sommes heureux. Tu es Dieu quand je chasse; Tu es Dieu quand je crie. Tu es Dieu en Dieu.» Et j’étais là...

Au bout d’un moment la tempête s’est calmée. J’ai regardé tout autour, je me suis dit: «Eh bien, gloire au Seigneur, la tempête est terminée. Je pense que je vais maintenant chasser mon élan.»

Et je me suis mis en marche pour partir. Et tout à coup, j’ai regardé en direction de l’ouest, vers le Canada, de ce côté-ci. Le grand soleil avait traversé cette province-ci, et de son grand oeil il perçait à travers les crevasses dans le rocher. J’ai regardé là. Je me suis dit: «Oh! oui, Jéhovah.» J’ai regardé de nouveau par ici, et il y avait un arc-en-ciel, parce que les arbres à feuilles persistantes étaient couverts de gel, vous savez; et le soleil brillait dessus et cela a formé un arc-en-ciel dans la–la–la vallée. Et je me suis dit: «Le voilà. Il est ici en haut. Il a l’aspect de la pierre de jaspe et de sardoine, Apocalypse 1, l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, le Lys de la vallée.» Oh! la la! Il était là, dans l’arc-en-ciel. Je me suis dit: «Ô Dieu, que Tu es grand.» Je me suis dit: «Oh! comme c’est merveilleux.»


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E-90 Et à peu près à ce moment-là, j’ai entendu un vieil élan beugler. Chris, tu comprends ce que je veux dire. J’ai entendu ce «whee-who», comme cela, et je me suis dit: «Oh! la la! il s’est égaré pendant la tempête. Il bramait pour appeler les autres.» Je me suis dit: «Voilà la profondeur, la nature qui appelle.» Un vieux loup gris s’est mis à hurler sur les collines, sa compagne–sa compagne répondait au fond. Alors, frère, je vous assure, la chose réelle est sortie de moi. Je me suis tenu là et j’ai pleuré comme un enfant. J’ai dit: «Ô Dieu! comme c’est merveilleux! Te voilà dans l’arc-en-ciel. Te voilà dans l’appel de l’élan. Te voilà dans l’appel du loup. Tu es Dieu partout. Oh! comme c’est merveilleux!» J’ai dit: «Gloire soit rendue à Dieu!» Et je me suis mis à courir sans arrêt tout autour de l’arbre, criant de toutes mes forces. Je ferais mieux de vous dire la vérité. Je criais: «Gloire à Dieu. Alléluia.» Je m’en foutais. Quiconque crie pour que quelqu’un d’autre l’entende crier est un hypocrite. Il n’y avait personne à quarante miles [64 km] de là où je me trouvais. Je sautillais tout simplement, je courais autour de l’arbre, criant: «Alléluia! alléluia! alléluia! gloire à Dieu!» Je voyais Dieu partout. Il était réel. Oh! la la! Je courais sans arrêt tout autour... Si quelqu’un était venu là dans les bois, il aurait pensé qu’il y avait là quelqu’un qui était sorti d’un asile de fous. Je ne faisais que tournoyer là. Je m’en foutais. Je passais un bon moment, je laissais échapper la vapeur. Je passais un moment merveilleux. «Alléluia, alléluia


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E-91 Et je me suis arrêté et j’ai dit: «Ô Dieu, pourquoi devrai-je descendre de ces montagnes? Oh! la la! Laisse-moi vivre et mourir ici dans les hauteurs, enterre-moi ici dans les hauteurs. Amène-moi à la Maison. Je vais déposer mon fusil ici; permets que mon fils Joseph le retrouve un jour. Qu’il fasse la chasse avec, Seigneur, mais prends-moi maintenant. Laisse-moi partir.» Oh! Je passais tout simplement un moment merveilleux. Je m’étais toujours dit qu’un jour je pourrais venir dans les bois et disparaître. «Laisse–laisse-moi m’en aller, Seigneur. Que je parte. Prends-moi comme Tu as pris Elie. Envoie les chevaux.» J’étais... Oh! j’ai passé vraiment un bon moment là-bas.

Tout à coup je me suis arrêté et alors, un vieux petit... Je ne sais pas si vous en avez ici ou pas. Oui, Chris, je crois que vous les attrapez au piège, ces vieux petits écureuils de pins. Oh! ce sont les policiers des bois en veston bleu, c’est la créature la plus bruyante que vous ayez jamais entendue de votre vie, et il n’est pas assez grand pour faire quoi que ce soit. Il a sauté sur une souche et a fait: «Tchat, tchat, tchat. Tchat, tchat, tchat. Tchat, tchat, tchat.»

J’ai dit: «Eh bien, une minute, petit ami.» J’ai dit: «pourquoi es-tu si excité? Tu n’as pas aimé ça? Eh bien, regarde ceci.» Et je me suis remis à courir sans arrêt tout autour de l’arbre. J’ai dit: «Comment as-tu aimé cela?» Vous voyez? J’ai dit: «Tu aimes ça?» J’ai dit: «Sais-tu ce que je suis en train de faire? Je suis en train d’adorer notre Créateur. Tu devrais faire la même chose. Ne me dérange pas.» Et je–j’ai continué, j’ai dit: «Oh! si seulement tu Le connaissais tel que je Le connais. C’est Lui qui te donne des pommes de pin. Tu vois? Honte à toi! Ne me dérange pas pendant que j’adore. Va-t-en.» Et je me suis remis à courir sans arrêt tout autour de l’arbre.


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E-93 Et je l’ai regardé. Je me suis dit: «Eh bien, ô Dieu, pourrais-Tu être dans cet aigle?» Je l’ai regardé et je me suis dit: «Oui. Tu es dans cet aigle, car il n’a pas peur.» Ça, c’est une chose; il n’avait pas peur. Je lui ai dit... Et Dieu n’a pas besoin d’un poltron. Si vous avez honte de témoigner, n’allez pas à l’autel. Si vous avez honte de dire: «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.» Si vous avez honte de dire: «Oui, j’ai reçu le Saint-Esprit. Alléluia.» Dieu veut mettre en vous une colonne vertébrale, pas un bréchet, Il veut faire de vous quelqu’un, Il veut vous donner un témoignage.»

C’est comme l’a dit Buddy Robinson: «Donne-moi un témoignage comme une scie à rondin. Mets beaucoup de connaissance dans le tréfonds de mon âme; laisse-moi combattre l’ennemi aussi longtemps que j’aurais une dent, et puis je le mordrais avec mes gencives jusqu’à ce que je meure.» C’était cela son témoignage, le vieil oncle Buddy, vous savez. Et c’est aussi ce qu’il voulait vraiment dire. Ainsi donc, à quatre-vingt-cinq ans, il parcourait soixante mille miles [96560 km] par an à bord d’une petite Chevrolet, prêchant encore l’Evangile. Il a écrit un livre dont un million d’exemplaires ont été vendus. Il ne connaissait pas la différence entre un nom et un prénom. Il disait: «Je ne savais pas. J’ai juste écrit la chose...» Mais c’était un grand homme de Dieu.


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E-94 Maintenant, remarquez cet aigle. Je me suis dit: «Pourquoi n’as-tu pas peur? Tu sais quoi? Je pourrais prendre mon fusil et t’abattre.» Bien sûr, il savait que je l’admirais bien trop pour faire cela. Il me regardait, et je me suis dit: «Eh bien, il n’a pas peur de moi; car s’il savait...» Je le regardais. Il ne cessait de remuer ses ailes, vous savez, pour voir si ses plumes étaient...?... Je me suis dit: «Certainement, c’est la raison pour laquelle il n’a pas peur. Il a un don de la part de Dieu: des ailes. Il a confiance dans ce don de la part de Dieu. Il savait qu’il se retrouverait dans ces arbres avant que ma main puisse atteindre ce fusil.» Il avait confiance.

Si un aigle peut avoir confiance dans ses ailes comme un don de la part de Dieu, à combien plus forte raison devrions-nous avoir confiance que le don du Saint-Esprit de la part de Dieu peut nous emporter aujourd’hui. J’observais ses plumes alors qu’il les remuait. Je me suis dit: «Frère, je suis... Je–je t’aime trop pour t’abattre.» Voyez-vous? Je l’observais.

(95) Au bout d’un moment, j’ai remarqué que ma présence ne le dérangeait pas. Il observait ce vieux petit tamia qui faisait: «Tchat, tchat, tchat, tchat, tchat, tchat.» Au bout d’un moment, il en a eu assez de cela. Il a fait juste un grand bond, il a battu les ailes peut-être deux fois, et il était au-delà de ces arbres. Et alors, à ce moment-là j’ai compris ce que Dieu était en train de faire. Ce grand gaillard n’a plus battu des ailes. Il savait parfaitement disposer ses ailes, et chaque fois que le vent venait, il se laissait porter par celui-ci. Au bout d’un moment, il a continué à monter, monter, monter (sans bouger une seule plume), à monter, monter, monter, jusqu’à ce qu’il est devenu un tout petit point.

J’étais là debout, les mains levées vers le ciel, disant: «Oh! gloire à Dieu. C’est ça. Il n’est pas question de battre les ailes et de dire que je suis un pentecôtiste aujourd’hui. Battre les ailes et dire que je suis un baptiste demain. Battre les ailes et dire que j’irai aux réunions d’Oral Roberts. Battre les ailes et dire que j’irai aux réunions de frère Branham. Battre les ailes et dire que j’irai chez Tommy Hicks.» Non, il est question de savoir comment disposer vos ailes, vos ailes de la foi dans la puissance de Dieu. Chaque fois que les vagues de la gloire viennent, on se laisse porter par celles-ci. Il a laissé là ce vieux petit tamia lié à la terre, qui faisait: «Tchat, tchat, tchat: le temps des miracles est passé; la guérison divine n’existe pas; le Saint-Esprit n’existe pas.» Il en a eu assez d’entendre cela, il a donc tout simplement disposé ses ailes et s’en est allé. Oh! la la! disposez simplement vos... C’est ça, les amis, disposez simplement vos ailes dans la foi.


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E-96 (98) Ainsi, un jour j’étais là-bas, et il a dit: «Eh bien, Billy, tu viens un peu en retard cette fois-ci.» Et il portait un petit sifflet qu’il s’était fabriqué, et il a pris ce petit sifflet et il a soufflé dedans, et cela résonnait comme un petit bébé faon (c’est le petit bébé de la biche) appelant sa maman.

Et je me suis dit: «Burt, tu ne vas pas faire ça

Et il a dit: «Oh! ressaisis-toi! Billy.»

Nous apportions donc toujours une bouteille thermos pleine de chocolat chaud, parce que cela vous réchauffe, s’il vous arrive de vous égarer ou quelque chose comme cela. (Je m’excuse de traîner, mais je vais terminer maintenant même.) J’ai dit: «Je suis...» J’ai dit: «Je suis...» Nous sommes allés et ces cerfs à queue blanche, oh! la la! vous parlez d’Houdini comme étant un maître en évasion; c’était un amateur. Vous devriez les voir après qu’on leur a tiré dessus une fois. Oh! ils peuvent disparaître comme... Vous voyez simplement là où il se trouvait. Et ainsi, alors ils–ils étaient très rapides. Et ils étaient... La saison de chasse était ouverte depuis deux semaines. Et, oh! nous avons marché toute la matinée sans voir même une seule trace. D’habitude, vers midi nous nous asseyons et prenons notre déjeuner.

(99) C’était donc vers midi. Nous sommes arrivés dans une petite clairière, elle avait à peu près trois ou quatre fois la dimension de cette église-ci, comme cela. Et alors Burt s’est assis. Et nous n’avions pas vu une seule trace ni rien. Et d’habitude nous nous séparions vers midi, et lui allait d’un côté et moi de l’autre; et nous nous retrouvions à un moment donné ce soir-là dans le camp que nous avions dressé, où se trouvaient nos chevaux et tout le reste.

Ainsi quand Burt s’est donc assis, il s’est mis à chercher comme ceci dans son veston au niveau de la poitrine. Je pensais qu’il voulait prendre sa–sa–sa bouteille thermos, vous savez, pour prendre son chocolat. Quand donc il s’est mis à faire sortir quelque chose, c’était ce petit sifflet. Et j’ai dit: «Burt, tu ne vas pas faire résonner ça

Il a dit: «Oh! prédicateur, ressaisis-toi.» Il m’a regardé avec ses yeux de lézard, vous savez. Il a pris ce petit sifflet et il a soufflé dedans. Cela résonnait comme le cri d’un petit faon.

Eh bien, à ma surprise, juste en face de cet endroit, une grosse mère biche (c’est la femelle du cerf) s’est dressée. Elle était cachée (Voyez-vous?) sous les broussailles. Elle s’est dressée. C’est–c’est inhabituel. Pas... Dans cette contrée-ci, cela pourrait ne pas l’être, mais dans cette contrée-là, si. C’est très inhabituel qu’une biche se lève, ou un cerf, à ce moment-là de la journée, vers onze heures.


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E-98 (102) J’ai simplement continué à attendre, mais le coup ne partait pas. J’ai attendu, j’ai attendu, le coup ne partait toujours pas. Je me suis dit: «Que se passe-t-il?» Et je me suis retourné. Ces nerfs d’acier de ce demi-Indien... il allait comme ceci, tremblant comme cela; et il s’est retourné, et les larmes lui coulaient sur les joues. Il a jeté le fusil par terre. Il m’a saisi aux jambes, alors qu’on se tenait là sur cet amoncellement de neige. Il a dit... [Espace non enregistré sur la bande–N.D.E.]

Pendant que vous avez les yeux fermés et que vous êtes en prière, combien ici aimeraient être autant chrétiens que cette biche était mère? Ceux qui voudraient avoir l’amour de Christ dans leur coeur au point que vous pourriez manifester Christ? Pas un simulacre, mais une vraie–une naissance qui fait de vous un chrétien, comme la naissance avait fait de cette biche une mère. Si vous voulez ce genre d’expérience, voulez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, partout, certainement.

(103) Notre Père céleste, cette petite histoire simple... et pourtant les gens savent qu’ils ont besoin de Toi, Seigneur. Il leur faut être chrétien. Ils veulent l’être. Nous voulons tous avoir quelque chose de réel, sur base de quoi nous pouvons dire au monde que Tu es Christ, le Fils de Dieu. Accorde-le, Seigneur, ce soir. Que cette expérience vienne à chacun de nous. Dans cette petite salle d’environ cent cinquante personnes, plus de la moitié d’entre eux ont levé la main pour dire qu’ils voulaient ce genre d’expérience. Seigneur, cela montre qu’il leur manque cette sorte d’expérience. Que Christ ce soir, dans Sa sainteté loyale, montre à cette assistance qu’Il les aime, et qu’Il peut leur donner cette expérience d’une véritable naissance chrétienne, pas un simulacre, mais une véritable expérience. Accorde-le, Père. Je demande cela au Nom de Jésus, le Fils de Dieu.


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E-3 Et dire aujourd’hui que ce n’est pas vrai, c’est arriver trop tard pour ça. Mais j’ai effectué environ sept voyages à travers le monde, et j’ai vu cela dans chaque pays: des dizaines de milliers d’aveugles, des sourds, des muets, des affligés, des gens souffrant de cancer, de tumeurs, de lèpre, et même des morts (attestations médicales à l’appui qu’ils étaient morts depuis des heures) ressuscités. Ainsi donc, cela ne peut pas être juste des déclarations. Nous ne les accepterions pas comme ça. Le médecin doit le confirmer. Voyez? Il doit y avoir une déclaration authentique avant que nous puissions publier cela.

Il y en a des dizaines de milliers qui n’ont jamais été publiées, car je ne suis pas trop chaud à publier des histoires, à moins que ça soit juste parmi nous. Jésus a dit quelque part: «N’en parlez à personne. Allez simplement de l’avant et rendez gloire à Dieu.» Aussi, je pense qu’aujourd’hui nous mettons trop l’accent sur la publication et quelque chose de spectaculaire. Mais Christ n’était pas un Homme de spectacle. Il est le Fils de Dieu, humble. Comment les hommes peuvent-ils croire s’ils ne sont pas ordonnés à croire? A son époque, il y avait beaucoup de gens qui ne croyaient pas cela, mais Il allait vers ceux qui croyaient effectivement cela.


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E-10 Et la Parole de Dieu est une Semence. Et vous les fermiers ici présents, vous savez que si vous plantez une semence et que vous vous en occupiez correctement, si elle est dans un bon genre de sol, elle produira ce qu’est la semence. Et la Parole de Dieu est une Semence. Si vous La plantez dans un bon genre de terre de foi, et que vous traitiez Cela correctement, cela produira exactement ce–ce que cela est. Si c’est pour la guérison, cela produira la guérison; le salut, le salut; la joie, la joie. Et chaque promesse dans la Bible est vraie.

Et, rappelez-vous donc, vous pouvez m’en rendre témoignage: Une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu la fera s’accomplir, si vous pouvez afficher une bonne attitude envers cette promesse-là.

Or, la Bible déclare: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous.» Donc, si la Parole était Dieu, alors Elle est toujours Dieu.


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E-11 Eh bien, nul ne vaut plus que sa parole. Si vous ne pouvez pas me croire sur parole, alors je–je ne pourrais jamais-je ne pourrais jamais être votre ami. Et si je ne peux pas vous croire sur parole, je ne peux pas avoir confiance en vous. Mais lorsque nous pouvons croire l’un l’autre sur parole, croyant que vous... Eh bien, c’est ainsi qu’on s’y prend avec Dieu. Et personne ne vaut plus que sa parole. Si vous faites une promesse, il vous faudrait toujours l’accomplir, sinon il faudrait dire pourquoi vous ne le pouvez pas, que les gens le sachent, car un homme est tenu à sa parole. Et Dieu est tenu à Sa Parole. Si Dieu ne tient pas Sa Parole, alors ce n’est pas la Parole de Dieu. Mais s’Il tient effectivement Sa Parole, alors Il est Dieu dans Sa Parole. Dieu demeure toujours dans Sa Parole. Et lorsque Sa Parole entre en vous, alors votre parole devient Sa Parole; c’est ce qui fait que tout ce que vous demandez s’accomplit. C’est aussi simple que ça. Dieu est le Créateur. Il a tout créé. Toutes les bonnes choses viennent de Dieu. Alors, les mauvaises choses, des choses viles, c’est la bonne chose pervertie.


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