Zion, Illinois, USA
E-9 Si vous avez été avec moi en Afrique il y a quelques semaines, il y a quelques mois, il y a des hommes assis ici maintenant, qui viennent droit de l’Afrique et qui savent que c’est la vérité. Lorsque je suis entré dans cette réunion là-bas et que j’ai vu ces Hottentots qui revenaient de là, ces gens illettrés, à qui ces missionnaires qui étaient allés là avaient essayé d’apprendre la lecture, l’écriture, l’arithmétique, cela a fait d’eux deux fois plus des enfants de l’enfer qu’ils ne l’étaient lorsqu’ils avaient commencé. Et tous ces païens qui sont entrés, et qui étaient censés être des chrétiens, portaient une idole aspergée de la boue, et complètement recouverte de sang, et ils étaient censés être des chrétiens.
Le père de cet homme portait cela autrefois, vous savez, et étant poursuivi par un lion, alors il posa cela à terre, et récita une prière, puis alluma un petit feu, alors le lion s’enfuit. Evidemment, c’est le feu qui avait fait fuir le lion. Voyez-vous? Et alors, si cela ne marche pas, alors, il se retourne, et si... son... si le Dieu dont parle le missionnaire ne répond pas, alors il va essayer celui-là. Il porte d’abord ce dieu-là pour sa sécurité. Ça, ce n’est pas le christianisme. Mais lorsqu’ils ont vu la puissance de Dieu guérir un homme qui était né infirme, et faire qu’il se tienne debout, ils ont brisé leurs idoles par terre, et ils ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur.
Et les journaux ont écrit des articles disant qu’il y avait là de grands camions chargés des montres, des anneaux, et des armes à feu qu’ils avaient volés, qu’ils avaient sorti de leurs–là de leurs huttes et tout. Ils avaient ramené cela avec une véritable conversion.
Je vous assure, Jésus-Christ envoie dans ce dernier âge un Message qui secoue les choses. «Ce n’est ni par la force ni par la puissance, mais c’est par Mon Esprit, dit l’Eternel.» C’est vrai. Très bien. Et je me suis tenu devant certains de ces docteurs en philosophie, qui avaient leurs doctorats en théologie, il y a quelques jours. Lorsque docteur Devis et beaucoup d’entre eux m’ont dit, ils ont dit: «Billy, rentre chez toi, tu as fait un cauchemar...»