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Zion, Illinois, USA

E-3 Et je vous le dis, si ce même homme, maintenant même, s’il tombait malade, très malade, et il irait chez un médecin; et si le médecin lui disait qu’il a l’appendicite, il irait en toute hâte à l’hôpital pour se faire opérer. Eh bien, alors si l’appendicite est une bénédiction, pourquoi aller faire enlever cela? Vous retranchez la bénédiction! Voyez-vous? Alors, si c’est vrai et que la science médicale dit quelque chose au sujet de la guérison divine, qu’en est-il de cela? Si c’est la vérité, chaque hôpital au monde, chaque médecin, ce sont des antichrists qui travaillent contre Dieu. Eh bien, c’est une honte d’avoir un médecin. C’est une honte d’aller à l’hôpital. C’est une honte d’être guéri. Vous devriez continuer à être malade et mourir. Recevez ces maladies et mourez vite, ou restez là et souffrez avec, ou que sais-je encore. Oh! la la! je ne peux pas–je ne peux pas comprendre cela. Peut-être–peut-être–peut-être que c’est moi [qui suis dans l’erreur.]. Mais si c’est le cas, je–je ne crois pas que ce soit le cas, c’est tout. Je crois qu’il y a quelque–quelque chose de faux quelque part.

Mais comment un brillant docteur peut-il prêcher un message, et laisser cela simplement là juste sur la ligne, et en arriver carrément là? C’est tout ce que Satan désire, c’est juste assez pour amener... Voyez-vous?


Zion, Illinois, USA

E-4 Le plus grand mensonge qu’il y a eu au monde renferme une bonne part de vérité. Lorsque Satan est venu vers Ève, il a dit, il lui a dit toute la vérité. Il a dit: «Eh bien, tes yeux s’ouvriront. Tu distingueras le bien du mal. Tu auras la connaissance comme Dieu. Tu n’en a pas maintenant, mais tu vas... c’est la vérité.» Et tout, sur toute la ligne, et ensuite il a dit: «Certainement, tu ne mourras pas.» Mais c’était un mensonge, parce que Dieu avait dit: «Vous allez mourir.»

Et ensuite lorsque Jésus vint sur terre, ces maladies qu’Il avait guéries, alors Il travaillait contre son Père céleste. Et ensuite Il a donné la commission à Ses disciples et les a envoyés guérir les malades, ressusciter les morts, et purifier les lépreux. A ce moment-là, Il travaillait alors contre la volonté du Père. Et ensuite, les dernières Paroles qu’Il a prononcées étaient: «Imposez les mains aux malades, et ils seront guéris.», c’était donc contraire à la volonté du Père.


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E-5 Alors, si Lui, si nous sommes guéris par Ses meurtrissures, Lui, alors le Père n’a rien à faire dans l’expiation. Fiou! Je ne sais pas comment vous allez vous y prendre. Mais cependant, ce sont–ce sont des gens intelligents. Que Dieu m’aide alors à être un fou. Voyez-vous?

J’ai entendu un homme qui descendait la rue un jour, il portait un écriteau sur le devant, avec la mention: «Je suis fou de Christ.» Et sur le dos il était dit: «De qui êtes-vous fou?» La Bible... C’est ce que Paul a dit, vous savez, dans le–dans les Ecritures. Il était un fou à cause de Christ.

Oui, je crois que la Parole de Dieu enseigne la guérison du corps et de l’âme. Non seulement cela, mais Dieu confirme Sa Parole par des miracles et des prodiges qui L’accompagnent. J’admets que Dieu permet parfois à Satan de nous châtier; ça c’est vrai. Mais lorsque ce châtiment est passé, vous revenez à Dieu, Dieu votre Père vous guérira. Et c’est vrai.


Zion, Illinois, USA

E-7 Mais de toute façon, combien les gens brillants, voyez comment ils s’embrouillent avec cela. Et un pauvre malade assis là, en train de souffrir, pensera qu’il est en train de faire la volonté de Dieu, alors que la bénédiction est juste là à portée de sa main pour le guérir.

J’aimerais lire quelques passages des Ecritures dans quelques instants. Tout d’abord, j’aimerais témoigner d’une expérience. Et ensuite, si c’est en ordre, frère Baxter m’a dit, il a dit: «Témoignez un tout petit peu ce soir ou quelque chose du genre.» Et si je désire le faire, c’est parce qu’il voulait que je–que je le fasse ainsi, parce qu’il était un peu fatigué, et il voulait se reposer.

J’aimerais relater une expérience, ensuite je vais lire le passage des Ecritures à la fin.

Un jour, lorsque la chose la plus remarquable, celle que je pense être l’une des choses les plus remarquables qui soient jamais arrivées, c’était l’un de ces ministres fondamentalistes qui s’en était pris à moi et qui avait dit que j’étais un hypocrite, un démon et un imposteur et qu’on devait me chasser de la ville. Et il avait payé lui-même environ cinquante dollars de sa propre poche, pour mettre cela à la une d’un journal. Il a dit que j’étais en train de m’imposer comme étant un homme de Dieu, et que je ne valais rien, et que je devais être chassé de la ville. Et que c’est lui qui se chargerait de le faire.» C’était juste un jeune homme qui revenait du cimetière, et... Oui. De toute façon, c’est pareil, c’est un endroit mort, c’est exact. Ils apprennent la lecture, l’écriture, l’arithmétique, et certains d’entre eux n’en savent pas plus sur Dieu qu’un Hottentot n’en sait sur un chevalier égyptien. Eh bien, c’est la vérité; eh bien, ils sont en ordre s’ils sortent de là, et qu’ils sont sauvés par Dieu. Mais vous n’êtes pas obligé d’aller là-bas pour être sauvé.

Paul disait que tout ce qu’Il avait connu, Il–Il a dû... Tout ce qu’il avait appris, il a dû oublier cela pour apprendre Jésus-Christ. Et c’est vrai.


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E-9 Si vous avez été avec moi en Afrique il y a quelques semaines, il y a quelques mois, il y a des hommes assis ici maintenant, qui viennent droit de l’Afrique et qui savent que c’est la vérité. Lorsque je suis entré dans cette réunion là-bas et que j’ai vu ces Hottentots qui revenaient de là, ces gens illettrés, à qui ces missionnaires qui étaient allés là avaient essayé d’apprendre la lecture, l’écriture, l’arithmétique, cela a fait d’eux deux fois plus des enfants de l’enfer qu’ils ne l’étaient lorsqu’ils avaient commencé. Et tous ces païens qui sont entrés, et qui étaient censés être des chrétiens, portaient une idole aspergée de la boue, et complètement recouverte de sang, et ils étaient censés être des chrétiens.

Le père de cet homme portait cela autrefois, vous savez, et étant poursuivi par un lion, alors il posa cela à terre, et récita une prière, puis alluma un petit feu, alors le lion s’enfuit. Evidemment, c’est le feu qui avait fait fuir le lion. Voyez-vous? Et alors, si cela ne marche pas, alors, il se retourne, et si... son... si le Dieu dont parle le missionnaire ne répond pas, alors il va essayer celui-là. Il porte d’abord ce dieu-là pour sa sécurité. Ça, ce n’est pas le christianisme. Mais lorsqu’ils ont vu la puissance de Dieu guérir un homme qui était né infirme, et faire qu’il se tienne debout, ils ont brisé leurs idoles par terre, et ils ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur.

Et les journaux ont écrit des articles disant qu’il y avait là de grands camions chargés des montres, des anneaux, et des armes à feu qu’ils avaient volés, qu’ils avaient sorti de leurs–là de leurs huttes et tout. Ils avaient ramené cela avec une véritable conversion.

Je vous assure, Jésus-Christ envoie dans ce dernier âge un Message qui secoue les choses. «Ce n’est ni par la force ni par la puissance, mais c’est par Mon Esprit, dit l’Eternel.» C’est vrai. Très bien. Et je me suis tenu devant certains de ces docteurs en philosophie, qui avaient leurs doctorats en théologie, il y a quelques jours. Lorsque docteur Devis et beaucoup d’entre eux m’ont dit, ils ont dit: «Billy, rentre chez toi, tu as fait un cauchemar...»


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E-10 J’ai dit: «Je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «Si vous en avez fini avec moi, si vous ne voulez plus de moi, ça ne dérange pas. Voici ma lettre de créance.» J’ai dit: «Je vais suivre Dieu, je vais Le laisser seul me conduire; je ne suis pas obligé de suivre l’Eglise baptiste.»

Il a dit: «Je–je ne–ce n’est pas ce que je voulais dire, Frère Branham. Je–je–je pense que j’ai blessé tes sentiments.»

J’ai dit: «Vous n’avez pas blessé mes sentiments du tout, mais lorsque vous me dites que c’était un cauchemar, alors que je me tenais là et j’ai parlé à un Ange face à face...»

Il a dit: «Tu veux dire que tu vas faire le tour du monde, avec une instruction de l’école primaire, et gagner des milliers d’âmes à Christ?»

J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit. Et c’est ce que je crois.» C’est juste.

«Comment le feras-tu?»

J’ai dit: «Pas plus que je ne sais comment Paul pouvait dire là sur le navire cette nuit-là, qu’il allait comparaître devant César. Mais il a dit: ‘Voici, un Ange de Dieu m’est apparu hier soir’, et Il a dit: «Ne crains point Saul, Paul, tu vas devoir comparaître devant César. Et Dieu m’a donné tous ceux qui naviguent avec moi.» Et il a dit: «Par conséquent, frères, ayez bon courage, car je crois en Dieu, il en sera exactement comme cela m’a été montré. Et je–je crois en Lui.» Et c’est vrai.


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E-17 Ecoutez. J’ai parcouru les sept mers, et je n’ai jamais vu un saint exalté. Je n’en ai jamais vu un seul. J’ai vu des gens hurler et crier. J’en ai vu même qui allaient en désordre, qui allaient à l’excès, voire à l’extrême. Et cela éloigne les gens. Mais je préférerais plutôt avoir un petit incendie de forêt plutôt que de ne pas avoir de feu du tout. Oui. C’est juste. Mais le voici. Mais un saint exalté, je n’en ai jamais vu un seul. Je n’ai jamais entendu parler d’une église qui serait appelée «sainte exaltée», des gens qui se reconnaissaient comme étant des saints exaltés. Je n’en ai encore jamais vu. Mais cet homme avait écrit cela dans le journal, le grand Houston Chronicle, vous savez, pour jouer au malin.

Eh bien, frère Bosworth est venu le jour suivant; il a dit: «Frère Branham, faites-lui la réplique là-dessus.»

J’ai dit: «Frère Bosworth, Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer avec les gens. Il m’a envoyé pour prier pour les gens, pas–pas...»


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E-18 Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, je comprends cela.» Mais il a dit: «Ecoutez, a-t-il dit, les gens ici vont penser que nous ne sommes qu’une bande de gens qui ne savent pas de quoi ils parlent devant le public. Et des milliers et des milliers de ces gens se sont rassemblés là à cet endroit-là.» Il a dit: «Ils sont supposés savoir ce qu’est la vérité.» Et il a dit... Frère Bosworth a grandi ici à Zion, sous le ministère du docteur Dowie, et–et ainsi de suite. Et il–il croyait cela. Et je crois qu’il est aujourd’hui l’un des plus grands enseignants de la guérison divine. Et il a dit: «Frère Branham, cela–cela ne devrait tout simplement pas se faire, a-t-il dit, devant le public.»

J’ai dit: «Frère Bosworth, l’onction du Saint-Esprit est sur moi. Je n’ai pas le temps de me disputer. La Bible dit: ‘Laissez-les tranquilles. Si ces gens, un aveugle conduit un aveugle, ne tomberont-ils pas tous dans la fosse?» J’ai dit: «Laissez-les tranquilles. Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer. Il m’a envoyé prier.»

Et alors, il–il a dit: «Voulez-vous m’accorder le privilège de le faire?» Oh! j’ai apprécié cela. Cela me rappelle Caleb d’autrefois: «Laisse-moi m’emparer de cette ville.»


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E-19 Et je me suis dit: «Cet homme, qui vient à peine de sortir d’un séminaire, là avec tous ses diplômes et tout, et ce vieillard, de soixante-dix ans et quelques, qui se tient là, et veut défier ce jeune homme dans un débat; ou plutôt, c’est ce jeune homme qui l’a défié; mais Lui voulait prendre l’Epée pour l’affronter afin de relever le défi.»J’ai dit: «Non, Frère Bosworth, je ne vous accorderai pas le privilège de le faire.» J’ai dit: «Parce que cela provoquerait tout simplement une dispute, et vous n’obtiendrez rien en vous disputant. Vous êtes comme la chouette de l’Irlandais, c’est simplement trop de bruit et de dispute pour rien.» J’ai dit: «Vous n’arriverez nulle part, et vous ne trouverez aucune chouette du tout.» Et j’ai dit: «Le...»

Il a dit: «Eh bien, si vous voulez juste m’accorder ce privilège, frère Branham, je vous promets que je ne vais pas me disputer.» Il a dit: «Je ne ferai aucune réplique; je serai un gentleman chrétien.» Et je l’ai regardé. Ses petits yeux se sont mis à briller, et juste... il désirait vraiment se lancer dans ce débat. Et j’ai dit: «Eh bien», j’ai jeté un coup d’oeil vers ma femme, et... et c’est à ce moment-là que je... Il m’avait poussé dans un défi pour aller au Sud–à Durban, en Afrique du Sud prier pour Florence Nightingale qui se mourait du cancer, la petite fille de la défunte Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix-Rouge en Angleterre.

Et j’ai dit: «Frère Bosworth, Accordez-moi juste un petit moment pour prier.»


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E-20 Il est sorti; quelques minutes après, il est revenu. Il a dit: «Qu’en dites-vous?» Il a dit: «Les journalistes attendent.» Bien sûr, ils me gardent loin des gens. Ce n’est pas que je n’aime pas être en contact avec les gens, j’aime être en contact avec les gens. J’aime les gens. Mais les gens...

Parfois mes amis disent: «Frère Branham, voulez-vous venir ici à la réunion, voulez-vous avoir cette petite visite de courtoisie?» J’aimerais bien le faire. Je le veux bien. Mais écoutez, Dieu m’a dit dès le départ, de choisir si je veux être un serviteur de Dieu, ou un serviteur de l’homme, je dois me tenir loin du public, et être en contact avec Dieu, pour que je puisse servir Dieu. Je sers les hommes, en servant Dieu. Et j’aime aller à différents endroits, et voir les gens pour leur parler et tout, mais le Saint-Esprit ne me permettra pas de le faire.


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