E-64 J'ai vu qu'elles donnaient une belle et douce lumière. N'importe quelle femme apprécierait cela dans sa chambre. Savez-vous ce que j'ai fait? J'en ai chargé environ deux cents dans un véhicule. Et je suis allé chez tous ceux que je connaissais. Ils disaient: "Que voulez-vous, ce matin, Billy? N'ai-je pas payé mes factures?" J'avais la charge de déposer les factures.
J'ai dit: "Non, vous avez payé votre facture. Je veux vous en faire une autre." Je disais: "J'ai ici une lampe."
"Oh! non. je n'ai pas les moyens d'acheter cela."
"Bon, attendez une minute." Je ne leur demandais jamais d'acheter cela. J'en avais tout un tas dans un véhicule. "je - j'aimerais me décharger d'une dans votre maison. Gardez-la pendant deux semaines et appréciez-la et je repasserai la récupérer. Nous sommes censés faire la publicité de ces choses en les montrant tout simplement. Ainsi, je vais la placer dans votre maison..."
"Eh bien, maintenant, Billy, je - je ne saurai pas l'acheter. Je n'ai pas d'argent pour l'acheter."
"Oh! oh! je ne vous ai même pas demandé de l'acheter, n'est-ce pas? Je dis tout simplement que je voudrais juste la placer dans votre maison, et vous laisser l'apprécier."
- Vous ne plaisantez pas?
- Maintenant je...?... Vous me connaissez. Je repasserai la récupérer. Je vais la récupérer dans deux semaines. Ça va, je repasserai certainement la récupérer. La seule chose que je veux que vous fassiez, c'est juste...?... décharger cela de la camionnette et trouver un endroit où placer cela. Je dois en décharger beaucoup ici, je - je veux enlever cela de ma camionnette. Ce n'est pas que je - j'ai voulu que vous en achetiez. Je ne vous ai pas demandé d'en acheter. J'ai seulement demandé que vous la placiez ici.
- Alors, si ça se cassait?
"C'est ma responsabilité. J'en serai responsable." Je savais que la lampe se vendrait d'elle-même. Je savais que c'était un bon produit. J'installais la lampe dans la maison. Je n'avais pas repris dix parmi les deux cents. J'ai gagné le concours. Pourquoi? Pourquoi? La lampe s'est vendue d'elle-même. Dès que vous voyez cela et que vous voyez ce que c'est, alors vous désirerez cela. Cela se vendra de soi-même.
E-8 Madame Fordyce, une autre amie à nous qui est couchée juste à côté d’elle, mourante, ayant des troubles cardiaques... Et nous avons à plusieurs reprises rapporté–acheté un peu de légumes et tout de cette dame, de l’autre côté de la rue. Elle vivait ici à la campagne, près de Zurschmeide. Et je ne savais pas que c’était elle jusqu’à ce que je l’aie bien regardée. Elle a soixante-quinze ou soixante-seize ans. Et ses deux soeurs aînées sont allées là lui rendre visite. Et quand elles sont parties, je me suis approché, et elle a dit: «Etes-vous frère Branham, l’évangéliste?» Et j’ai dit: «Oui, madame.»
E-14 Et moi, trente et un ans durant, je me suis tenu ici derrière cette chaire et à travers le monde; en effet, j’ai déclaré que le monde est ma chaire. Ensuite, j’ai essayé de donner aux gens cette Parole de la Vie Eternelle. Et c’est la seule chose qui peut vous aider quand vous arrivez à la fin de la route. Pourquoi donc nous confier en quelque chose d’autre? En quoi pourrions-nous nous confier? Si… Quand maman m’a dit l’autre jour qu’elle était prête à partir, et que je suis allé lui parler…
E-15 Comme je l’ai fait pour madame Broy, ma belle-mère, près d’un mois avant qu’elle ne s’en aille, je suis allé lui parler. En outre, je l’ai baptisée, et ainsi de suite.
E-17 J’ai baptisé son vieux père dans l’eau boueuse, alors qu’il avait près de cent ans, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Je peux voir en ce moment le vieil homme trembler, avec sa main paralysée, me tenant au visage, m’étreignant, et me regardant bien en face. Je Le rencontrerai de nouveau de l’autre côté. Oh, oui. Certainement.
E-21 Billy était là pendant que j’y pensais. Je tenais la main de sa mère, mon épouse, pendant qu’elle se mourait; c’était juste quelques portes en dessous de là où maman se trouve maintenant. Quand elle a regardé là, et elle avait eu une expérience là avant de mourir; elle n’était qu’une fille de vingt-deux ans, mère de deux enfants, et elle dit: «Billy, tu as parlé de cela, tu as prêché sur cela, mais, dit-elle, chéri, tu ne sais pas ce que c’est. Combien cela est glorieux!» Nous venions alors de trouver le chemin de ce bon vieil Evangile. Elle dit: «Tiens-t’en à Cela, Billy. Tiens-t’en à Cela! N’abandonne jamais Cela. Cela récompense en ce moment.» Et je dis:
Je te rencontrerai au matin près des portails brillants et lumineux,
Quand toutes les peines seront ôtées;
Je me tiendrai à l’entrée, quand les portes seront grandement ouvertes,
E-23 Ces derniers jours, j’ai vu en venant, en revenant de l’hôpital, une tente érigée ici sur le–sur le terrain de la compagnie de chemin de fer de Pennsylvanie. C’est entre, je crois que c’est entre–entre la 9e et la 10e rue, ici au bout de Spring. Comme j’y arrivais, il y avait une pancarte portant la mention «Ministère du don du signe». Je ne connais pas le frère. Je ne le connais pas, car je ne l’ai jamais vu. Mais c’est un frère et il tient une série de réunions ici dans la ville. Et je sais ce que c’est que d’aller dans une ville, et peut-être une ville de cette dimension, et sans… personne pour le soutenir. Je ne le connais pas. Et il ne m’a pas du tout demandé d’annoncer ceci. Mais je–je crois que ce serait vraiment gentil si vous tous qui cherchez où aller, vous alliez là écouter notre frère prêcher l’Evangile. Il doit être un des enfants de Christ, sinon il ne serait pas parti ériger sa tente par ce temps froid de septembre, essayant de faire quelque chose pour notre Seigneur. C’est pourquoi, cette semaine, allez là rendre visite à notre frère et écoutez-le prêcher.
E-29 Et si vous n’êtes pas tout à fait sûr d’être prêt à rencontrer Dieu, voulez-vous juste lever la main vers Dieu, alors que personne ne vous regarde, et dites: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, partout. «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Je dois en arriver là où je serai peut-être inconscient moi aussi. Mais pendant que j’ai encore toute ma raison, je voudrais être sûr, avant d’y aller, que mon âme est destinée à Dieu. «Et je marcherai dans la vallée de l’ombre de la mort; je ne craindrai aucun mal, car Tu es avec moi.»
E-35 Et je prie pour maman. Seigneur Dieu, elle est la seule mère que j’aie jamais connue. Et d’une façon ou d’une autre, quelque douce que soit une femme, elle peut être aussi douce que possible, mais elle ne peut pas remplacer une maman, Seigneur, ce vieux chêne qui s’étend, enraciné et fermement établi; on peut aller s’asseoir à côté d’elle et lui parler. Je prie, ô Dieu, que Tu ne la laisses pas souffrir, car ça me brise le coeur, Seigneur, de penser qu’elle souffre. Laisse-la descendre dans la vallée de l’ombre de la mort sans craindre aucun mal.
E-72 Mais quand nous savons que nous contournons Quelque Chose, ce grand Héritage qui est nôtre, et que nous Le contournons parce que notre église a dit que les gens n’y croient pas aujourd’hui, que ceci n’est pas pour nous aujourd’hui, si nous contournons Cela, nous détruisons alors notre héritage.