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Zion, Illinois, USA

E-21 Maintenant, je ne dis pas que tous les prédicateurs doivent être ainsi. Je suis né pour être un naziréen, bien sûr, et c’est donc un peu différent. Et ainsi, il y a bien des choses que je fais dans ma vie, que je ne demanderais pas à d’autres personnes de faire. Je ne dirais pas qu’ils doivent faire cela pour être des chrétiens, parce que c’était un... complètement différent.

Et beaucoup parmi vous comprennent cela, n’est-ce pas? Voyez? C’est juste... C’est juste pour moi– ou c’est pour moi, les choses que je dois faire, et tout, la manière dont je dois vivre, et les choses que je dois faire. Il s’agit d’une naissance naziréenne. Et ainsi nous–nous ne... Ce n’est pas... Vous ne pouvez pas enseigner à tout le monde d’être comme cela. Voyez? Mais je dis cela pour ce qui me concerne, personnellement.

Et alors finalement, lorsqu’il est revenu, j’ai dit: «Très bien, frère Bosworth.» Ils n’ont pas permis aux reporters d’entrer là où j’étais. J’ai dit: «Si vous voulez le faire et que vous me promettiez que vous n’allez pas vous disputer...» Eh bien, beaucoup d’amis de Bosworth sont assis ici, et vous le connaissez très bien. Et alors, je...

Et il a dit: «Je vous promets, Frère Branham, que je ne me disputerai pas du tout.»

J’ai dit: «Ça va. C’est bien. Allez-y.»

Alors, il a directement dévalé les marches, comme un petit garçon qui tient son premier jouet. Il a couru là et il a paraux reporters, et il leur a dit: «Ecoutez, frère Branham ne–ne fera pas cela. Mais, a-t-il dit, je vais le faire, moi.» Il a dit: «Je vais relever ce défi.»

Et ainsi donc, évidemment, le Houston Chronicle, vous savez comment sont ces journaux, ils avaient écrit de grands titres le jour suivant: «Ça va barder dans le monde ecclésiastique», vous savez, ou quelque chose de ce genre. Je pense que c’est ce qu’ils étaient censés faire, alors cela a été publié partout.


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E-23 Et alors, ce jour-là, ce journal-là, bien sûr, Le Houston Chronicle paraît sur la presse associée, et cela a été publié partout. Et ce qui m’a fait du bien, c’était que ce jour-là, de l’est, de l’ouest, du nord, du sud, des trains spéciaux, des avions ont parcouru le pays, amenant les gens à la rescousse.

Qu’était-ce? Les gens, il y avait... C’étaient des trinitaires, des unitaires, des Jésus seul ou les gens des Assemblées de Dieu ou tous les autres, les gens de la pluie des derniers jours, ou tout ce qu’ils voulaient être. Des nazaréens, des pèlerins de la sainteté, quelle que soit la dénomination, cela leur importait peu. Les–les principes de Jésus-Christ étaient en jeu, et ils s’étaient rassemblés à tel point que des milliers de gens ont rempli ce grand terrain de course, ce grand endroit, ou le–le stade Sam Houston, à tel point qu’ils remplissaient le terrain là où le grand spectacle de rodéo se produit et tout par là, les galeries et partout. Ils ont dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] c’est bien. Très bien.


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E-24 Eh bien, et dans cette grande ruée qu’il y avait là, ce soir-là, ces gens sont entrés venant de partout, ils s’étaient alignés et avaient rempli l’endroit en question. J’ai dit: «Je n’irai pas là-bas.» Je ne voulais pas y aller, parce que je ne voulais pas entendre un débat. Vous n’arriverez nulle part lorsque vous faites des débats. Vous pouvez tout aussi bien laisser cela tranquille. Alors je–j’ai dit: «Je ne vais pas y aller.» Eh bien, très bien, c’était OK.

Et pendant tout ce temps, on apprêtait les services. Je ne pouvais tout simplement pas rester chez moi. C’est tout. Je devais simplement aller. Et j’ai dit à ma femme; j’ai dit: «Je me rends là-bas.» Et elle est assise ici dans la salle ce soir, elle et la petite fille.

Et alors, nous sommes descendus ensemble, et nous avons pris le... et mon frère Howard m’a accompagné, il était ici avec moi la dernière fois que j’étais à Zion. Et alors, il a dit: «Maintenant, Bill, tu dois te tenir tranquille.»

Et j’ai dit: «Bien, assurément.»


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E-27 Il a dit: «Monsieur Best, j’aimerais vous poser une question. Si vous me répondez par oui ou non, quelle que soit la manière dont vous me répondrez, à ce moment-là la discussion sera terminée.» Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» Je me suis affaissé. Je me suis dit: «Oh! la la! Ça y est.» Je n’y avais jamais pensé de ma vie.

Mais ce vieux Caleb qui se tenait là, oint... Voyez-vous? C’était différent de l’expérience qu’avait cet homme qui était assis là, sorti de la lecture, de l’écriture, de l’arithmétique. Il n’avait jamais pensé à ces choses.

Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquent-ils à Jésus, oui ou non?» Il a dit: «Répondez-moi par oui ou non, et je vais m’asseoir.» Celui-ci a dit: «Allez-y, je m’en occuperai.» Il a dit: «Je vous pose une question, monsieur.» Le modérateur lui avait accordé la parole. Il a dit: «Je vous pose une question, montez ici à l’estrade, dites oui ou non, et je vais m’asseoir.» Certainement, il ne pouvait pas dire oui ou non. Il ne pouvait pas le dire. Il était lié juste là, avant même qu’il ait commencé. «Eh bien, a-t-il dit, monsieur Best, je suis très surpris.» Il a dit: «C’est l’un des plus faibles arguments que j’ai là-dessus, et vous n’arrivez pas à y répondre, qu’allez-vous faire des autres?» Voilà. Il a dit: «Ça, c’est mon plus faible argument. Je n’ai fait que commencer avec cela


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E-28 Mais s’il disait: «Non», alors, Il n’était pas...S’il–s’il disait: «Non», alors, Il n’était pas Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel Dieu avait pourvu. Il est Jéhovah... s’Il n’est pas... les Noms rédempteurs de Jéhovah, s’ils ne s’appliquent pas à Jésus et ne sont pas accomplis en Lui, alors, Il n’est pas l’Agneau auquel Dieu avait pourvu, et vous demeurez dans vos péchés, et Lui était un imposteur.

Et s’Il est Jéhovah-Jiré, Il est aussi Jéhovah-Rapha, parce que vous ne pouvez pas séparer ces noms expiatoires, ou ces–ces Noms rédempteurs; en effet, que tout cela est compris dans la rédemption. Et s’il est Jéhovah-Jiré, alors Il est Jéhovah-Rapha, et «Rapha» c’est la même chose que «Jiré»; Il est donc le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Cela régla la question. Oh! la la!

Il a dit: «Qu’allez-vous dire, monsieur Best?»

Il a dit: «Je–je–je vais... Je–je–je–je vais...»

Il a dit: «Venez ici et dites cela...?...»


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E-29 Lorsqu’il est monté sur l’estrade, il s’est mis à taper du pied sans cesse; il s’est levé, et a giflé le prédicateur. Alors, lorsqu’il est descendu de là, il est remonté, et lorsque son temps pour monter sur l’estrade est arrivé, il a prêché un bon sermon campbellite. J’ai grandi dans une Eglise baptiste. Je sais ce que c’est la doctrine baptiste. Je suis censé le savoir. Très bien.

Et il n’avait absolument pas prêché... divine. Les baptistes croient dans la guérison divine, et dans le fait de prier pour les malades. C’est l’exacte vérité. Mais il... Il a prêché en reniant même la puissance de Christ, et il a dit que même Lazare était de nouveau mort. Il a dit: «La guérison divine s’applique à 1 Corinthiens 15, lorsque ce corps mortel revêtira l’immortalité.»

Pourquoi aurons-nous donc besoin de la guérison divine, alors que nous serons immortels? Voyez? Telle était donc la situation. Juste au moment où il a dit cela, et tout le monde s’est mis à se moquer de lui. Il a dit: «Ce n’est qu’une bande des saints exaltés idiots comme vous qui êtes les seuls à croire des choses pareilles.» Il a dit: «Un vrai baptiste ne peut pas croire quelque chose de pareil.» Frère Bosworth a dit: «Un instant, frère.»


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E-32 Ensuite monsieur Best a dit, monsieur Best s’est levé et a dit: «Que ce saint exalté, que ce guérisseur divin approche. Qu’il accomplisse un miracle. Que je le voie. Que je voie ici un de ses patients qu’il hypnotise, qu’on l’examine d’ici un an. Que je voie cela. Que je voie cela. Amenez-le. Que je le voie accomplir un miracle.»

Monsieur Bosworth a dit: «Il est ici ce soir, vous êtes le bienvenu à n’importe quel moment.» Voyez-vous? Il a dit: «De toute façon, frère Branham ne prétend pas être un guérisseur divin, a-t-il dit, jamais.» Il a dit: «Je crois que sa littérature est publiée dans plusieurs différentes langues. Il a parlé directement, ou indirectement à des millions de gens.» Il a dit: «Pas une seule fois il a déjà dit qu’il est un guérisseur divin. Il dit toujours que c’est Christ qui est le Guérisseur.» Et il a ajouté: «Si le fait de prêcher la guérison divine fait de frère Branham un guérisseur divin, alors le fait de prêcher le salut fait de vous un sauveur divin.» Cela l’a fait asseoir. Voyez? Il a dit: «Aimerez-vous être appelé sauveur divin?»

«Absolument pas.»

Il a dit: «Frère Branham non plus n’aimerait pas être un guérisseur divin.» Il a dit: «Il prêche seulement la guérison divine par la croix. Et vous n’avez pas été capable de dire qu’il ne prêche pas cela par la croix au moyen des Ecritures.» Cela lui a cloué le bec.


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E-41 J’ai dit: «Depuis ce temps-là, Elle m’a toujours accompagné. C’est un Ange de Dieu. Il m’a rencontré en personne il y a quelques années. Tout au long de ma vie, Il m’a dit des choses qui sont arrivées, et je les ai racontées telles qu’Il me l’a dit. Et je défie quiconque n’importe où, d’aller dans la ville où j’ai grandi, ou partout ailleurs, de vérifier si une déclaration a été faite au Nom du Seigneur, sans que la chose n’arrive exactement telle que cela a été annoncé.» Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’était pas moi, mais c’était Lui.» Et j’ai dit: «N’importe qui ici, n’importe quel chrétien sait que Dieu n’aura rien à faire avec une erreur. Dieu est la Vérité.» Est-ce vrai? Et j’ai dit: «Il ne bénira pas une erreur. ...?... Et avant ce moment.» J’ai dit: «Cela ne marchera jamais. Dieu ne bénira pas une erreur. Mais si je témoigne de la Vérité, alors Dieu témoignera de moi. Si je fais une déclaration, et que c’est Dieu qui m’a dit de le faire, à ce moment-là Dieu soutiendra cela. Le croyez-vous? S’Il ne soutient pas cela, alors ce n’est pas Lui qui avait fait cette déclaration. Mais s’Il a fait la déclaration, Dieu se tiendra derrière ce qu’Il a promis.» Alléluia!

Oh! vous ne savez pas comment cela–comment je me sens avec ça. Ne pensez pas que j’ai perdu le nord. Je sais où je me tiens. Ecoutez. Oui, mais lorsque je sais où–ce dont je parle... Et tout homme ou toute femme née de nouveau ici sait de quoi il parle.


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E-43 Ayers a dit: «Je vais mettre celles-ci dans le studio, et les plonger dans l’acide, parce que Best veut les avoir demain. Je pense qu’il voudrait, peut-être mettre l’une d’elles dans le journal, une de ces photos.»

Alors, il a plongé les six négatifs dans l’acide. Il se tenait là, fumant une cigarette, attendant le–le développement de ces pellicules, alors que cela se développait dans l’acide. Il fumait une cigarette. Quelque temps après, il a jeté la cigarette à terre; il pensait à la réunion et à ce qui s’était passé. Alors, il est entré dans la pièce, il a retiré les six négatifs. Il a regardé l’une d’elles, c’était totalement vide; la deuxième, c’était vide, la troisième, la quatrième, la cinquième, la sixième, c’était complètement vide. Chacune des pellicules de monsieur Best était vide.

Et lorsqu’il a retiré la pellicule de la photo qu’il avait tirée de moi, il y avait là l’Ange de Dieu, la Colonne de Feu, dans la photo.


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E-52 Et à peine avais-je commencé à en parler que Quelque Chose est descendu. Je crois que c’était la même Colonne de Feu. Ma voix a changé. Je n’arrivais plus à retenir mes mots, et j’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, cette femme vivra et ne mourra pas.» Aujourd’hui elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg] et elle est en parfaite santé. Elle avait un cancer d’estomac au duodénum.

Et elle est là en train de se promener dans les rues. C’est ce qui m’a amené à aller en Afrique du Sud. C’est pourquoi j’étais parti; en effet, j’avais dit à Dieu que s’Il la guérissait, j’irais là. Lorsque j’étais ici à Houston, au Texas, j’ai vu... je savais que j’allais venir ici, cependant, je ne le savais pas. Mais, elle est venue à bord d’un avion. Monsieur Baxter ici présent, mon manager, lorsque je suis arrivé à Londres, en Angleterre, eh bien, il avait entendu quelqu’un m’appeler aux haut-parleurs. Et ils sont allés là pour savoir de quoi il s’agissait. Et ils ont dit: «Mademoiselle Florence Nightingale se trouvait là, et ils estimaient qu’ils n’arriveraient même pas à la faire sortir de l’avion, parce qu’elle se mourrait juste à l’instant.» Je leur ai dit de l’amener là-bas, parce que nous allions nous rendre au Palais de Buckingham, à l’Abbaye de Westminster, et à certains endroits, et que je la rencontrerais lorsque j’allais revenir. Et c’est là que Dieu a guéri cette femme.


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