E-55 Et alors, si celui qui marche à travers le feu, s'il est effrayé et qu'il se mette à courir à travers le feu, il se couvre d'opprobre. Mais il doit marcher lentement, d'un pas ferme à travers ces braises ardentes. Et parfois, elles ont une profondeur de quinze pieds [4,6 mètres - N.D.T.], ces braises ardentes, et peut-être quinze... elles ont peut-être une profondeur de quinze pieds [4.6 mètres - N.D.T.], et peut-être qu'ils ont une longueur de trente ou quarante yards [27,43 ou 36,58 mètres - N.D.T.], et une largeur d'environ, oh! peut-être huit ou dix pieds [2,43 ou 3 mètres - N.D.T.], et elles sont chauffées à blanc. Et il n'a sur lui qu'un chiffon qui est un petit pagne, on dirait enroulé autour des hanches. Et il en sort, se traînant avec tout ceci, saignant et ayant des hameçons et tout partout sur son corps, il entre en frénésie jusqu'à ce qu'une bave blanche coule de sa bouche.
E-73 Et ce gars dit: "Ce soir, vers minuit, Dieu va me donner une robe blanche à porter pour m'établir parmi vous, afin de prouver que je suis un ancien prophète." Donc, ils... Ce soir-là, tous suivaient, et on chuchota: "Entrez." Et les gens se déplaçaient. Alors le gars reçut une robe blanche. Après le départ du visiteur, les gens sont allés voir la robe; elle était authentique, une véritable robe blanche, elle paraissait très jolie.
E-75 Et après cela, les gens dirent: "Prends cette robe et va te présenter devant saint Martin, l'homme de Dieu qui est là." Et il refusa. Il refusa d'aller se présenter devant ce prophète authentique. Il ne voulut point se présenter; et ils le forcèrent à le faire. Et dès qu'ils entreprirent de l'y amener, la robe disparut et s'en alla quelque part. Ils ne surent point où la robe s'en était allée. Voyez, lorsqu'on en arrive à la confrontation!
E-84 Bon, c'est ce que Paul trouva quand il alla à Rome. C'est ce qu'Aquilas et Priscille trouvèrent quand ils furent envoyés à partir de la Pentecôte et qu'ils fondèrent l'église de Rome; c'est ce qu'ils ont rencontré: une adoration païenne des idoles. Il y avait environ deux millions d'habitants à Rome - dans la Rome métropolitaine, y compris les esclaves et les banlieusards, et les autres, environ deux millions de gens. Mais les murs qui entouraient Rome mesuraient sept miles [11,3 km - N.D.T.]. Et à l'intérieur de ces sept miles, juste au pied de la montagne, il y avait quatre cents temples païens dédiés aux dieux païens et aux déesses païennes.
E-85 Maintenant, j'aimerais parler ici, juste un instant, sur quelque chose que j'ai tiré des livres d'histoire, et j'en ai un avec moi ici même. La façon dont ils procédaient pour adorer. Comment procédaient-ils pour adorer? Comment un païen procédait-il pour adorer? La première chose qu'il faisait, c'était se rendre au temple pour trouver le prêtre, le prêtre païen. Puis, il lui donnait en offrande une forte somme d'argent, et ensuite un sacrifice, un animal, afin d'apaiser le dieu auquel il allait parler.
E-87 Donc, le prêtre païen... On allait vers lui et on lui remettait une certaine somme d'argent, alors le prêtre païen lui donnait en retour une bougie, juste une chandelle ordinaire. Et alors l'adorateur prenait cette bougie... Après qu'il avait payé le prêtre, il prenait cette bougie et s'approchait de l'autel consacré au dieu auquel il voulait parler. Et sur cet autel, il y avait le feu où le sacrifice devait être consumé. Au piédestal de la statue, du grand temple en bronze, ou - ou de l'idole, et il prenait alors ce temp... cette bougie, et l'allumait avec le feu provenant de l'autel, le feu de l'autel de l'idole. Il allumait la bougie et descendait au piédestal de l'autel devant l'idole, et il y déposait cette bougie. Et alors, après avoir déposé la bougie...
E-88 Je pense que c'est afin qu'un dieu, parmi tous les autres dieux, puisse savoir exactement dans quelle statue il devait entrer, vous savez, pour revenir et lui parler. Pourquoi la bougie? Je n'en sais rien. Toutefois, il déposait une bougie allumée avec le feu provenant de l'autel.
E-98 Bien. Au cours de mes voyages, j'ai remarqué que l'idolâtrie n'a pas changé. Et le vrai Christianisme non plus n'a pas changé. Tous les deux gardent leurs places, et ils les garderont jusqu'à la Venue du Seigneur Jésus. Je vais en parler un tout petit peu pour vous en donner une idée. Et si vous êtes spirituel, vous allez certainement le saisir.
E-99 Comme Baal était le dieu-soleil, eh bien, les gâteaux qui étaient faits, comme Jérémie l'a dit ici (nous en avons parlé il y a quelques instants)... les femmes préparaient des gâteaux à Baal, le dieu-soleil. En effet, vous trouverez un peu plus tard, là dans ce chapitre, si vous le lisez, qu'ils disaient: "Si nous n'adorons pas Baal, alors nous n'aurons pas de récoltes." En effet, Baal était le dieu de la fertilité. En d'autres termes: "Nous savons que c'est le soleil qui fait croître les produits agricoles."
E-128 Maintenant, ils n'ont donc pas accepté l'enseignement chrétien que... Irenée, Polycarpe, et ces frères, Paul... Nous voyons que le plus vieux disciple était... qui a vécu le plus longtemps, c'était Jean. Il fut exilé à Patmos pendant trois ans, parce qu'il avait une école. Il transmettait ou plutôt arrangeait laParole de Dieu, la rassemblant, mettant les Épîtres ensemble. On les a surpris, lui et ses érudits, en train de faire cela, et il fut excommunié pour trois ans. Après la mort de l'empereur, il fut ramené, et c'est alors qu'il écrivit le Livre d'Apocalypse.