Zion, Illinois, USA
E-41 Et alors, frère Baxter, même chose. Et tous deux sont allés, ils ont loué un grand bâtiment. Très bien. C'en est une preuve, voyez? Et nous avons continué le voyage, comme cela, des problèmes sévissaient partout. Et on n'a point tenu de réunion jusqu'au moment où nous étions arrivés là au...N'importe qui sait, celui qui est informé. Frère Jackson, vous le savez. La réunion, c'était à Durban, là où nous avions presque cent mille, trente mille convertis en une journée. Et c'était l'unique endroit où cela a eu lieu. Tout au long de la route, nous sommes tous tombés malades. Chacun de nous était tombé malade.
Et lorsque je suis rentré chez moi, j'étais pratiquement mort. J'avais des amibes. L'amibe, c'est un parasite, une petite bestiole, il entre dans l'intestin, dans l'estomac, c'est comme de petits crustacés, ça s'accroche là et ça suce jusqu'à ce que cela... Eh bien, cela suit son parcours pendant beaucoup d'heures. Après, ça entre dans le sang, si ça atteint le foie, ça éclate, vous vivez. Si ça va au cerveau, et que ça éclate; au coeur, vous mourez. Il n'y a rien qu'on puisse faire à ce sujet. J'ai marché dans la chambre, j'ai prié et crié, et j'ai prié et crié, et j'ai prié et crié, jusqu'à ce que mes yeux étaient pratiquement gonflés... Ma femme devait me conduire pour prendre le petit déjeuner. Il n'y avait pas du tout de réponse de la part de Dieu.
Un matin, j'étais couché là, ma main derrière la tête, j'ai dit: "Ô Dieu, que ferai-je?" Je perds du poids, je deviens de plus en plus maigre, les choses s'empirent tout le temps. Il n'y avait rien... Ça s'empirait. Il n'y avait rien que l'on pouvait faire: ça s'empirait tout le temps.